Une Commomération Mémorable
Journées de commémoration
Notre commune est engagée dans la commémoration pour la dernière guerre et afin de limiter ses frais, le maire a sollicité ses administrés, afin quils hébergent dans la mesure de leurs moyens, des soldats canadiens. Pour nous ce sera deux soldats, plus deux autres le midi car leurs hébergeants ne sont pas dispo en journée. Pas de problème pour nous, car je suis en retraite et ma miss a pu poser cinq jours de congés.
A larrivée du contingent la répartition se fait au hasard, et nous héritons de deux solides gaillards, parlant parfaitement le français, ce qui marrange bien car mon anglais est anecdotique ; récupération du barda, réception, et nous voilà chez nous ; soirée très simple, fraternelle, pleine danecdotes de nos invités et nous voila couchés. Ma miss me fait part de son plaisir daccueillir ces deux jeunes hommes, courtois, sympathiques et cerise sur le gâteau, bien foutus. En effet ce sont des hommes de commando, bien charpentés, et très certainement très réactifs ; bien entendu, lévocation de leurs atouts nous donnent des idées et cela se termine par une partie de jambes, très coquine.
Le lendemain matin, ils nous quittent de bonne heure pour les répétitions et pour ma part je me rends à la mairie avec les autres bénévoles. Quand je reviens à la maison, je suis étonné de trouver ma douce, dansant un rock endiablé avec lun des soldats, encouragés par les trois autres. Cest vrai, deux autres viennent manger le midi. Cependant, je constate quils profitent aussi du spectacle, car je ne sais si Béa la fait exprès mais sa jupe est très courte et ses admirateurs peuvent régulièrement découvrir ses fesses et la couleur de son slip, lorsque sa jupe virevolte au rythme de la musique. Mon arrivée interrompt la séance et le repas se déroule normalement ou presque car je peux constater que les regards vers Béa sont bien appuyés ; il faut reconnaitre que cest une belle femme, une jolie poitrine bien formée, de jolies jambes sous un joli fessier, bien rebondi et surtout un très joli visage, toujours très souriant, bref une femme qui fait envie et je suis le premier à le reconnaitre et à en profiter, car en plus de sa beauté, cest une amante très gourmande.
Un bon repas et nous terminons la soirée en regardant des photos de mon père et de ma famille, alors que je prépare le café quand soudain, je vois Béa rougir et fermer rapidement lordi ; les deux hommes cependant ont le sourire, et joyeusement lun des deux sesclaffe » très belles images, dommage que cela sarrête » ; je comprends alors que certaines photos doivent être plus privées ; mais il est trop tard. Gênée, Béa sest échappée ; je mexcuse auprès deux, mais cela na pas eu lair de leur déplaire si jen crois la bosse qui sest formée chez lun des deux. Au contraire, il me félicite davoir une si belle femme et quil aimerait bien que sa femme accepte de faire la même chose ; je réalise alors que les images en question sont en réalité un petit film très coquin, que nous venions de faire quelques jours auparavant. Et cest avec un grand sourire quils me quittent et me demandant de saluer ma miss.
En arrivant dans notre chambre, je découvre une Béa sur le lit, nue, un masque sur les yeux et surtout très offerte, les cuisses bien écartées, dévoilant sa fente, déjà ouverte doù perle des gouttes de cyprine. Jen déduis que loin dêtre choquée, elle est au contraire très excitée davoir été vue me faisant une pipe, avant de se faire prendre. Inutile de préciser quen un instant jétais nu, et la queue bien bandée, je lui ai fait lamour, la possèdant furieusement, encouragé par ses demandes de la défoncer et de la faire jouir. La jouissance est venue, puissante, fulgurante et accompagnée de puissants cris qui à nen pas douter, ont dû être entendus de nos invités.
Béa.
Lorsque je me réveille, jean nest plus à côté de moi ; il a lhabitude de se lever tôt, de prendre son café en lisant ses mails. Pour moi, je suis une peu plus tardive, surtout ce matin ; je suis encore moulue de nos exploits de cette nuit ; jai la chatte engluée de semence et les adducteurs douloureux davoir été écartelée. Jai envie de lui faire une surprise et jenfile un combiné de nuit, très coquin ; un simple voile recouvre le haut, alors que mon bas est un shorty, très ample et très transparent ; pour accen la provocation, je le remonte le plus possible, ce qui fait que ma chatte est écrasée sur le tissu.
Mon homme vient de partir, mais je suis toujours dans la cuisine, espérant larrivée de John ; des bruits de pas, mais je ne me retourne pas ; deux mains se plaquent sur le tissu qui recouvre mes seins ; mes tétons sont vite triturés ; appuyé contre moi, je sens très bien son gros bâton qui sécrase sur mon fessier. Puis me soulevant, il me dépose sur la table, posant mes jambes sur ses épaules ; , après mavoir arraché le shorty ; les cuisses ouvertes, je lui offre la pleine vue sur mon intimité, les lèvres encore pleines de semence ; en une poussée , il a investi ma grotte, sans aucune difficulté ; sa queue , pourtant grosse et longue glisse facilement dans le conduit bien lubrifié et quand il ressort, un bruit indécent séchappe de mes petites lèvres ; la deuxième pénétration est tout aussi violente et magrippant les seins , il me baise frénétiquement, mavouant quhier soir , mes cris lui avait donné beaucoup denvie et que mon silence de ce matin lui avait donné lenvie furieuse de me prendre..
Pour me prendre, il ma pris, me baisant longuement, me retournant à plat ventre pour me prendre en levrette ; à chaque fois que son gland frappait le fond de mon vagin, une décharge me transperçait, pour finir quand ses jets, chauds et nombreux mont fécondé, en un feulement de plaisir ; me prenant dans ses bras, il ma tendrement embrassé fouillant ma bouche avec sa langue ; puis sécartant, il ma dit « je sais que tu as toujours envie ; jai envie te faire jouir, tout au long de mon séjour » me fixant intensément, il attendait ma réponse ; lembrassant à mon tour, je me suis échappée ,le laissant dans linterrogation.
Une fois dans ma chambre, jai laissé un message à mon homme, pour ne pas le déranger « john vient de me faire jouir, et jen ai encore très envie » ; quelque temps plus tard la réponse « jespère quil a été bon, t es une vraie coquine et je crois que leur séjour va être riche en événements ; je taime »
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