Terma 22 - Dépucelage De Madhi Par Ammi Ali :
Pour prendre un peu de repos sur mes histoires de famille, voici encore une autre petite histoire que ma raconté un de mes amis qui se rappelle ses débuts et son dépucelage. Je lui laisse la parole :
Je suis Madhi. Etudiant mais avec si peu de sous, jai du accepter de partager, comme gite, avec un collègue maçon Ali, un arabe émigré, sa baraque composée dune pièce, un coin cuisine et un cagibi toilettes. Nous travaillons dans un chantier de construction ou jétais pointeur. Ali était grand et costaud, poilu, très brun de peau et maitrisant très mal le français, mais bosseur et porté sur le sexe.
Comme il était nettement mieux payé que moi et plus âgé, javais 19 ans et lui 40, cetait lui qui faisait les dépenses et moi les travaux, préparation repas, nettoyages local, draps, couvertures et même vêtements et bien sur la vaisselle. Comme il ny avait quun lit, on se couchait cote à cote et même souvent, serrés lun dans les bras de lautre.
Cétait gênant pour moi mais Ali trouvait que nous nous connaissions mieux ainsi pour nous aider. Il aimait le contact et ça nous réchauffait. « sadri 3ala sadak ouala 3ala dhahrak, nza3kou al barad » (ma poitrine contre la tienne ou contre ton dos, ça fait fuir le froid) ma-t-il souvent dit, en se collant à moi. Jétais trop timide pour refuser et ça me réchauffait réellement le corps.
Il avait une nana quil ramenait chaque soir, sans faute, vers 17h, lui faisait lamour pendant une ou deux heures, puis la renvoyait. Moi, jattendais dehors quils finissent, et je continuais mon travail de cuisine après. Il ma proposé de mamener une fille mais jai refusé, sans lui avouer que jétais puceau et que je nétais amateur que de masturbations solitaires. Quant nous nous couchions, je sentais lodeur du sperme de mon ami et le parfum de la fille et cela mexcitait.
Tout marchait bien pendant deux mois.
Après notre diner vers 21h, en silence, on est allé se coucher comme dhabitude car on doit se lever tôt pour le travail. Face à lui, je voyais quil souffrait, alors je lui ai tourné le dos. Après un moment, jai senti sa bite gonflée qui me piquait le derrière. Je me suis écarté et nous étions gênés. Ali sagitait trop dans le lit et mempêchait de dormir, alors je le lui ai dit. Il ma répondu que sa bite a besoin de se soulager. Je lui ai proposé de se branler tout simplement. Il sest redressé sur le lit, a ressorti sa bite, déjà très gonflée et a commencé à se masturber devant moi en soufflant « enik ! enik souwa wa terma ! » ( je baise la chatte et la terma !).
Je nétais pas si bête ou innocent que ça. Javais saisi que mon ami, à défaut de sa nana, voulait me baiser la terma puisquil a répété ce mot plusieurs fois devant moi. Mais je ne voulais pas et javais peur car je nai jamais fait cela. De plus, je ne pouvais pas protester puisque cest moi qui lui a proposé de se branler. Et je dois avouer que la vue de sa grosse queue commençait à mexciter. Cétait la première fois que jen voyais une en chair et en muscles et non pas en images à la télé ou sur livres porno.
Il haletait aussi avec passion et cela ajoutait à mon excitation. Javais envie de lui saisir sa bite et la branler à sa place. Il a du remarquer mon regard denvie, alors il ma proposé de le toucher.
Ses paroles dites dans un souffle haletant mont affolé, alors, sans hésiter, jai sauté sur loccasion. Jai empoigné cette belle bite et jai commencé à la branler. Elle était dure et douce à la fois, grosse et terriblement excitante. Je fantasmais déjà sur sa puissance et ses plaisirs. Jimaginais ce zob si gros et si dur dans le vagin de la fille et dans son cul quant je lentendais hurler de plaisir, alors quils baisaient et moi dehors à attendre quils finissent.
Ali me proposa de la mettre dans ma bouche et de la sucer comme une glace, cela lui ferait plaisir. « oulaydi ! zébi 7ajbak ! dirou fi foumok ! koulou ! moussou ! tchouf chhaal hlou ! » ( fiston ! mon zob te plait ! mets le dans ta bouche ! manges le ! tu verras quil est succulent !). Et je lai fait, non seulement pour lui, mais parce que jen avais envie depuis un moment car, de désir, ma salive dégoulinait de ma bouche entrouverte. Alors jai englouti ce gros zob gonflé avec plaisir et son volume et sa douceur mont affolé. Je commençais à perdre le sens de la situation, mais cétais si agréable que jen frissonnais.
Ali gémissait « zid ! zid ya bni ! zid moussli zébi ! foumok skhoune ! ihabbal zébi ! » ( continues ! continues fiston ! suces mon zob ! ta bouche est chaude ! elle affole mon zob !). Je continuais de plus belle et jétais content et heureux de ce plaisir de mon ami. Il ajouta « masli qlawya ! alhassli qlawya ! zidna echahwa ! » ( caresses mes couilles ! lèches mes couilles ! augmentes notre jouissance !). Comme jétais penché sur son zob et ses couilles, Ali qui était collé à moi, en profita pour envoyer sa main farfouiller du coté de mon derrière.
Jai juste eu limpression du glissement de sa main sur mon dos et vers le bas.
Alors, jai continué à le sucer et à le branler, pendant que sa main se plaquait sur mes fesses. Puis il me caressa la terma sans que je réagisse et glissa ses doigts dans le sillon de mes fesses. « ah ya zébi ! chhaal hlouwa teremtek ! baydha ou bla sqab! smina wa skhouna ! ! » ( ah zébi ! taterma est si douce ! blanche et sans poil ! large et chaude !). Jai eu un frisson de tout le corps et, sans presque le faire exprès, jai arrondi le derrière et gonflé mes fesses. Alors il glissa ses doigts sur mon anus et me frotta doucement le cul.
Mon attention était maintenant totalement sur mon anus auquel je faisais des mouvements douverture-fermeture sans volonté car ça me démangeait. Ali poussa un doigt et il réussi, avec mon aide, à traverser lanus. Puis, il continua à me frotter la terma à lintérieur. Javais cessé de lui sucer la bite car jétais entièrement occupé par ces nouvelles sensations de mon cul.
Ali ma chuchoté « ya oulaydi ! ya oulaydi ! zébi hbal 3ala teremtek ! a3tini enikak ! fissa ! fissa ! ma tougtouch nassana ! ! » ( ô fiston ! fiston ! mon zob devient fou de ta terma ! laisses moi te niker ! vite ! vite ! je ne peux plus attendre !). Il me demanda de me coucher sur le ventre et de soulever le derrière. Je savais ce quil voulait faire mais je navais pas la force psychique de refuser. Je me suis couché et jai soulevé les fesses et Ali ma totalement enlevé mon pantalon.
Puis, il ma léché les fesses et lanus et a introduit encore son doigt dans mon cul. « Ya zébi ! hlouwa teremtek ! hamra ki souwat qahabti ! hahi leik ya zébi ! nilk eterma al baydha ! » ( zébi ! ta terma est douce ! rouge comme la chatte de ma pute ! elle est à toi ô mon zob ! nike la blanche terma !) .
Malgré mon affolement, jai réussi à lui avouer doucement que jétais vierge et que javais peur. « raha teremtek ejdida ! ma tkhafach ! zébi ihalhalak bissouhoula ! mine ba3ad nchab3ak neik ! » ( ta terama est viérge ! naies pas peur ! zébi te louvrira avec facilité ! et après il te rassasiera de neik !).
Il ma dit de rester ainsi un moment, puis il sest levé, a couru vers le coin cuisine pour apporter un peu de beurre, je lai su plus tard. Quant il revenait vers moi, jai vu son zob gonflé, droit et qui, dans sa course, balançait dans un mouvement affolant. Cétait une image plus érotique que javais vu dans les vidéos et qui a amplifié les frissons de mon corps. Javais peur mais jétais impatient de gouter ce gros zob. Ensuite, ja senti le beurre qui me lubrifiait lanus et lintérieur du cul.
Puis, Ali plaça sa bite sur mon anus et doucement, après plusieurs essais dentrée-sortie, son gland pénétra mon cul. Bien sur, jai eu mal et plusieurs fois, jai essayé de me libérer mais Ali était plus fort et déterminé. Il ma même donné des claques sur les fesses et la terma et ma engueulé. Je lui ai dis « fi chwya 3ammi Ali ! teremti thigua ! ouja3atni ! » ( doucement oncle Ali ! ma terma est serrée ! tu mas fait mal !). Il ma appelé salope et pute qui aguiche les hommes et quil allait me niquer coute que coute, et quaprès cest moi qui en redemanderait.
« ya kahba ! raya7 trankil ! enikak enikak ! teremtek raha al zébi elayla ! » ( putain ! restes tranquille ! je te nikerais ! je te nikerais ! ta terma est pour mon zob cette nuit ! nag3arlak teremtek ! ou nchab3ak bzébi ! nassguik bqlawya ! » ( je te défoncerais la terma ! et te rassasierais avec mon zob ! je tarroserais avec mes couilles !).
Enfin, sa bite glissa dans mon cul jusquaux couilles. Jai senti leur claquement sur mes fesses. Dun air triomphal, il me dit « Khlass ! rah zébi dkhal fi teretek ! oulaydi ! dhourka nhoukouha bach tamlass 3ala zébi ! ousbour ! » ( ça y est ! mon zob a pénétré ta terma ! fiston ! maintenant on va la frotter pour la lisser à mon zob ! patientes !).
Il continua encore quelques essais pour mélargir lanus et faciliter les glissements de sa queue. Quant ce mouvement devint facile et même sans douleur pour moi, il accéléra. « ouach ! oulaydi ! badat ta3ajbak enayka ! rak thiss bzébi dakhal teremtek ? » ( alors ! fiston ! la nayka commence à te plaire dans ta terma ?). Comme je ne répondais pas car jétais totalement sous le charme de mes nouvelles sensations agréables, il me claqua les fesses « gouli ! rak thaiss zébi ! » (dis moi ! tu sens mon zob !). Et moi, dans un souffle rauque, affolé « rani nhiss ! rani nhiss » ( je sens ! je sens !).
Wach rak thiss ? goul ! » (quest ce que tu sens ? dis !). Et moi, « zébek halli ou tartagli teremti ! ekhchiine ou hlou ! zid ! » (ton zob ma ouvert et éclaté la terma ! épais et doux ! continues ! ). Ses coups de reins et ses « han..han.. » à chaque enfoncements me donnaient autant de plaisir que ses frottements à lintérieur. Je limaginais, ce gros zob qui mouvrait lanus et lélargissait puis me défonçait les entrailles jusquà buter au fin fond.
Puis jai pris conscience que cétait mon dépucelage, ma première sodomie, ma première saillie, le premier homme qui montait sur mon derrière, pénétrait mon cul avec sa grosse bite, goutait ma terma et que cétaient mes premières jouissances sexuelles. Après un long moment de vas et viens vigoureux et sonores de mon ami et des grognements de plaisirs de ma part, Ali hurla « hahi jaya ! jaya ! « ( elle arrive ! elle arrive !) et éjacula dans mes entrailles. Cétait humide, chaud et puissant.
Puis il se souleva et sur le coté, il continua à se branler pour se vider de tout son sperme. Je restais couché sur le ventre. Le sperme sortait de mon cul et coulait sur mes cuisses. Le plaisir continuait à frissonner dans tout mon corps et le fait de savoir mon derrière nu et le cul de ma terma en lair augmentait mon plaisir et mes fantasmes. Je trouvais bizarre davoir si facilement accepté les désirs de Ali et dy avoir trouvé du plaisir. Je voulais même recommencer sans essayer de comprendre ou dexpliquer.
Jai touché mon derrière pour le caresser à la main car ça commençait à me donner du plaisir et jai enfoncé un doigt dans mon cul encore plein de sperme. Jai constaté quil était assez souple pour souvrir à mes doigts et je me suis fait quelque mouvements de vas et viens. Jen avais envie. Ali la remarqué et ma demandé si jen voulais encore. » wach ya kahba ! 3ajbak eneyk ! edaouri 3ala ezeb lakhchine ! klaak qaraq ! khlass ! ki dhagat zébi, teremtek edawar ezidha ou ezdha ! » ( alors putain ! ça ta plu la neika ! ça y est ! dès quelle a gouté mon zob, ta terma le demandera encore et encore !).
Comme jopinais de la tête, il se souleva et se coucha de nouveau sur mon dos. Sa bite ayant un peu fléchie, il se frotta sur mes fesses et sur le sillon de mon anus. Ses poils du ventre chatouillaient ma terma et amplifiaient mes désirs. Je me frottais moi aussi à lui par plaisir et pour gonfler son zob. Il ricana et me souffla : « Houkki ! houkki qaraq 3ala zébi ! tannih 3ala teremtek ! hiliha bah echam ha mine dakhal ! houki ya kahba ! » ( frottes ! frottes ton cul sur mon zob ! fais le gonfler sur taterma ! ouvres la pour quil hume son odeur de lintérieur ! frottes ! putain !).
Il me caressa en même temps les hanches, même parfois brutalement, et fit plusieurs mouvements de balancements à mon derrière pour exciter sa queue et cela réussit à la faire bander de nouveau. Alors ? avec passion, il enfonça son zob dans mon anus et dès quil se trouva dans la chaleur et la douceur interne de mon cul, il se gonfla encore plus.
Moi aussi, jai bien senti, dabord cette brutale pénétration et elle ma donné de la jouissance à tel point que jai hurlé mon plaisir. « Ah ya zeb sahbi ! Ouja3atni ! lakine chaal hlou wa mtine ! zid ! tartagni hatta lal qlawy» ( ah ! ô zob de mon ami ! tu ma fais mal ! mais comme tu est doux et dur ! continues ! défonces moi jusquaux couilles !).
Dans ma terma, je ressentais ce gros zob qui augmentait de volume et de puissance. Ensuite, Ali recommença ses vas et viens sans tenir compte des restes de sperme de mon cul. Dabord ce ne fut que des glissements agréables, puis, les frottements devinrent secs et plus rugueux. Alors le plaisir samplifia dans mon cul et les frissons envahirent tout mon corps.
Ma terma souvrais au maximum et je criais et même hurlais parfois de jouissances. « hadhi nayka mtina ! zebek ya ammi Ali dakdakli teremti ! zahaha hata zebi ana rah tanane bi al farha ! « zid ! nikni ! nikni ! » ( cest une nayka puissante ! ton zob ô ammi Ali ma chatouillé la terma ! il lui a fait tellement de plaisir que même mon zob à moi sest gonflé de joie!).
En effet, cette seconde sodomie a été beaucoup plus agréable que la première. Luis aussi, grognait et haletait et ses « han
han.. » de plus en plus puissants traduisaient sa jouissance et le plaisir qui montait de ses couilles. Je suis incapable de saisir le temps de cette sodomie mais pour moi elle a duré une éternité, de plaisir et de jouissance. Et lorsquAli déversa ses jets de sperme dans mon cul, jétais dans labandon total au plaisir sexuel.
A lapogée de son plaisir, Ali hurla « daffag ! daffag ya zébi ! fi termet kahabti ! esguiha bzanate qlawyk ! essourti hliya eterma al baydha ! » ( verses ! verses ô mon zob ! dans la terma de ma pute ! arroses la avec le sperme de tes couilles ! engoutis le lait de mon zébi ô blanche terma !).
Bien rempli par le muscle palpitant de son gros et puissant zob et noyé par le jus chaud et visqueux de ses couilles, ma terma et moi-même étions au firmament de la jouissance. Ensemencés, remplis, presque fécondés par cet homme, nous étions devenus quelquun dautre après avoir gouté les plaisirs de cette merveilleuse et grosse queue dhomme.
Il y a deux heures, on était deux collègues, Ali et moi, maintenant il est devenu mon amant, mon donneur de plaisir sexuel et moi, sa putain, sa kahba comme il aime le dire qui lui offre les douceurs de son cul, de sa terma, chaque nuit, à sa convenance, dans notre lit commun. Après nous être nettoyés, on sest recouchés, blottis lui contre mon derrière et mon cul, mais habillés de nos sous vêtements. On a du travail demain de bonheur.
Je luis ai toutefois demandé « law qodwa qahabtak etjik ! wach endirou ? » ( et si demain ta nana revient ! quest ce que nous allons faire ? ). Sans hésiter et en me derrant contre lui, il me répondit « enikha mine souetha sa3a wane za3akha ! mine ba3ad, nafatrou ou enik teremtek sa3a wala dhoudj ! khatr raha taremtek jdida wa hloua ! » ( je baiserais sa hatte une heure puis je la renverrai ! ensuite, on dinera et après je nikerais ta terma une à deux heures ! elle est nouvelle et douce !). Cinq minutes plus tard, il ronflait doucement, fatigué mais rassasié sexuel.
Ainsi ma raconté Mahdi son dépucelage et ses premières sodomies. Bien sur, il ma raconté la suite de ses relations brulantes avec ammi Ali dans leur baraque, à deux et avec des amis de Ali, mais je vous les raconterais, peut être une autre fois. Bonne nuit et bonne éjaculation.
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