J'Ai Pervertie Ma Collegue -13-
Nous avons Marion et moi-même décider de partir deux semaines en Tunisie avec Fannie et R. Ce sont des vacances avec un grand V.
Dès notre arrivée à lhôtel, nous descendons à la boutique pour acheter deux djellaba pour nos soumis.
-voilà de quoi vous vêtir pour aujourdhui, demain nous irons au souk pour en acheter dautre. Alors vous prenez une douche et à poil sous la djellaba, sans dessous. Il fait chaud, autant que vous profitiez pour être à laise. Pour la plage, ce sera ment maillot de bain, ici on évite la tenue dAdam. R, viens que je te retire ta cage, tu te laves bien et je te la remettrais après. Noubliez pas le corps lisse tous les deux, les vacances nempêche pas que vous soyez propre de tous poils.
Le soir direction le restaurant de lhôtel, les activités et finissons par nous coucher. Nos deux chambres communiquent entre elle, la porte reste ouverte pour que nous puissions veiller sur notre joli couple.
Le lendemain, après le petit déjeuner, direction la ville pour profiter de ce réel début de vacance. Nous passons de magasin en magasin, dégustons de bon jus dorange fraichement pressé et décidons dattaquer le marché. Nous nous faisons alpaguer par chaque vendeur de boutique, mais nous continuons notre chemin. Et puis une femme prend Fannie par le bras, insistant pour la faire entrer dans son salon de coiffure.
-viens, entre je vais te faire une belle coiffure, madame, viens
.
Marion prend les choses en main.
-que voulez-vous à mon amie ?
-ji veux juste lui faire une pitite coupe, ça lui fera du bien pour les vacances, en plus ci pas pas chère madame, juste 10 dinars pour elle.
Marion me regarde, je lui réponds du regard, oui. Alors Marion et Fannie entre dans le salon et Marion échange avec cette femme, expliquent la coiffure qui doit être fait.
-mais la dame ne dit rien elle, elle veut quoi ?
-elle veut ce que je veux, alors faite lui ce que je vous ai demandez et vous aurez vos 10 dinars.
-mé madame, cest pas possible, si la dame elle veut pas, jai pas droit de faire ça.
-alors Fannie, dit lui que cest ce que tu veux.
-oui madame, je veux que vous fassiez ce que mon amie a demandée.
-bon, bon si cé que tu veux, je vais faire madame.
Fannie est installée et deux femmes saffairent autour delle. Marion me regarde et sourie. Une petite trentaine de minutes plus tard, Fannie sort du salon avec Marion.
-regarde comme elle est belle ta Fannie R, regarde-moi cette nuque complètement rasée, passe ta main.
R passe sa main sur cette nuque rasé à blanc insistant, appréciant. Fannie à été rasée à blanc sur le pourtour de la tête laissant cette masse de cheveux au-dessus.
-alors sa te plait de voir ta Fannie comme ça ?
-oui.
-elle est super bandante et fais très salope en plus, au moins pendant les vacances on peut se laisser aller à des extravagances et puis ça repousse.
-Marion, tu vas finir par lui tondre toute sa tignace, ou je me trompe ?
-oui Fred, tu as raison, un jour je compte bien lavoir aussi lisse de la tête que notre soumis. Elle me fera mouiller rien quen la voyant tondu. Rire
..
Fannie entend cet échange et nous regarde avec des yeux paniqués, alors que R semble plutôt content, esquivant un sourire.
-bah ! alors R, pourquoi sembles tu content ?
-il y a pas de raison que moi je sois tondu à blanc, alors quelle a le droit de garder sa touffe sur la tête. Elle a voulu que nous vous soyons soumis, mais elle doit aussi passer par les mêmes règles.
Nous reprenons le chemin du souk et nous arrêtons dans un atelier de djellaba. Nous regardons ce qui nous plait et ce qui plait à nos deux soumis. Le choix sarrête sur deux habits. Le vendeur leurs demande de les essayer et là sa bloque un peu.
Je fais comprendre au vendeur, que nous avons besoin dun endroit un peu plus discret que son magasin. Il ne comprend pas, mais nous dirige vers larrière-boutique.
Nous constatons que lhomme est surpris par cet évènement. Je prends donc les choses en mains.
-bon combien pour les quatre ?
-mé monsieur, il faut que je réfléchisse, tu prends
.
-les quatre, en prime tu peux utiliser la femme.
-oh monsieur, tu veux que je
.
-bon cest pas grave on va aller plus loin
-non non, viens par là.
Nous nous dirigeons un peu plus dans larrière-boutique et ferme la porte derrière nous. Il sort sa queue de son pantalon et demande à Fannie de sucer. Elle saccroupie et gobe ce sexe qui durcit dans la bouche. Le marchand, sort des mots en arabe, tenant la tête de Fannie pour donner le rythme. Sans vraiment tarder, il se place derrière les fesses de notre soumise, remonte la djellaba sur le dos, se protège et pénètre lintimité de Fannie.
-oh là là, cest déjà tout mouillé, té oune belle salope toi, puis continu en arabe
..
R sapproche du visage de sa Fannie, la regarde, lembrasse, leurs langue échangeant un long baisé.
Je retiens Marion qui sapprêtait à intervenir.
-il à raison, tu es une salope ma chérie, une belle salope, tout juste bonne à prendre des bites, en plus des bites darabe. Jespère quil va bien te prendre, bien téclater la chatte, te lagrandir pour quelle devienne un vrai hall de gare à bite, tu ne mérites que ça. Allez monsieur, baise là bien à fond, ce nest quune salope, je veux lentendre couiner, fais là beugler comme une chienne, vas-y encore, encore.
La réaction de R nous laisse pantois. Jamais il ne sétait laissé aller à un tel langage, un tel dépassement.
-R que se passe-t-il ?
-rien monsieur, juste que.., quelle a voulue entrer dans ce jeu, me faire entrer dans ce jeu. Je ne le regrette pas, mais je veux que maintenant elle sache ce que je pense delle, que je laime comme ça, dans cette condition, la voir se faire prendre par cet homme me libère.
-eh bien
. Je crois que tu vas mériter une récompense.
Le marchand continu à besogner Fannie. En entendant les paroles de R, elle sest laissé aller devant nous, invitant lhomme à la prend encore.
-vas-y , encore fais plaisir à mon mec soumis, prend moi encore, il te regarde et
..
Le marchand accélère ces mouvements, ressortant son membre pour mieux la pénétrer encore et finit par se libérer en criant des mots en arabe.
Fannie se rhabille et nous sortons du magasin, les vendeurs nous regardent.
Le retour à lhôtel se fait tard dans la soirée, nous avons profité de cette journée. Marion me questionne sur la récompense que je compte donner à R.
Au moment du coucher, je fais venir R à moi.
-je tai dit que tu avais le droit à une récompense. Nous avons donc décidé de te retirer ta cage de chasteté. Tu as toute la nuit pour profiter de Fannie, alors un conseil, profite en bien, demain tu retrouveras ta cage.
-merci.
Dès le lendemain matin, R est de nouveau encagé.
Nos vacances se passent bien, nous profitons pleinement du soleil et de la plage, tout le monde a le droit un des moments de décompression. Durant ce jour, Marion me dit quune des hôtesses de lhôtel nest pas insensible à Fannie et que Faiza, lhôtesse à proposer de venir boire le thé chez elle à Marion et Fannie. Marion a pris le temps dexpliquer la situation pour éviter toute ambiguïté. Faiza, reste sur sa proposition. Alors, avec mon accord, rendez-vous est donné pour le lendemain.
A leur arrivée, Faiza les accueille avec comme habit un « salat ». Marion est surprise de la voir comme ça, puisquà lhôtel elle est européanisée. Faiza leur explique que pour travailler, elle est obligée de sadapter. Marion insiste sur le fait que peut-être ne sont-elles pas comprises.
-oh ! mais si, jai bien compris, il ny a pas de problème, entrez.
Elles discutent devant un thé maison qui semble-t-il était divin. A un moment, deux autres femmes en salat également arrivent dans la pièce. Echange en arabe, puis traduction en français. Elles se joignent pour prendre le thé. A un moment Faiza att le bras de Fannie et la tire à elle face à son entre-jambe. Les deux autres femmes empoignent Marion, lempêchant tout mouvement. Faiza, lève le bas de son salat et laisse apparaitre un sexe velu, non entretenu.
-alors leuropéen, tu vois ça, tu vas me lécher tout ça et proprement.
Elle prend la tête de Fannie et la plaque sur sa toison pubienne. Marion tente de se libérer, mais en vain.
-toi, ne tinquiète pas, tu ne seras pas en reste, mes amies ont envie de gouter à une blanche.
Lune des deux femmes prend Marion par les cheveux et la plaque dos au sol, La deuxième lève son salat et se pose sur le visage de Marion. La seconde remonte la jupe de Marion, arrache la petite culotte et plonge sa langue dans lintimité de Marion. Cette dernière, contrainte et e lèche un sexe poilu pendant quune femme lui lape le sexe. Elle entend les gloussements de Faiza qui réagit sous les coups de langue de Fannie. Pour Marion, la situation lui semble folle, elle est mise au même rang que sa soumise. Les deux femmes se comportent comme deux femme en furie, elles échangent leur place régulièrement, Marion se retrouve à chaque fois à devoir lécher un sexe poilu, dune odeur et dun goût différent. Elle a décidé de ne plus lutter pour essayer déchapper à ces deux femmes, mais plutôt de profiter de ce moment qui en fin de compte lui apporte du plaisir. A un moment, Marion est complètement dévêtue, ses seins sont malaxer, pincés, tirés pour le plaisir de ces deux femmes qui elles restent avec leur salat. Elle aperçoit, un peu plus loin Faiza et Fannie, cette dernière toujours dans lentrejambe de Faiza et Marion comprend que la langue alterne entre le sexe et la rondelle.
-vas-y leuropéenne, hum, oui
.ouvre mon cul hummm oui, oh ! avec ces tous ces poils tu te débrouille bien, ta nana avait raison tu as une bonne langue de waqiha.
Marion, repart sur les assauts de ces deux femmes. Une des deux femmes cri son plaisir, lâchant abondamment de jus que Marion doit laper jusquà la dernière goutte. Ensuite le deuxième prend la place et frotte énergiquement son sexe sur la bouche de Marion, tout en se masturbant le bouton. Rapidement, le plaisir arrive et cette femme râle tel un homme qui jouit. Marion quant à elle, reste allongé sur le dos, fatigué et sans avoir profitée de la libération du plaisir. Reprenant ses esprits, Marion cherche Fannie du regard. Elle découvre Faiza dos au sol, les jambes écartés, Fannie parcourant les seins et le sexe de sa bouche, mais un homme, dun âge avancé est en train de besogner Fannie. Marion se relève, se rapproche et trouve cet homme qui sodomise sa soumise. Marion veut réagir mais une des femmes chope ces cheveux.
-laisse, ne bouge pas la blanche, cest notre mari. Tinquiète pas pour toi, tu es là juste pour nous satisfaire, il ne te touchera pas, tu es juste à nous deux.
-mais
.
-arrêetttte, nous avons juste le droit davoir du plaisir avec les femmes, Farid ne soccupe plus de nous, sa dernière femme Faiza est la seule quil touche sans compter la waqiha, mais ça cest un cadeau pour lui, une européenne, elle va sen rappeler. Rires.
Marion continue dobserver, lhomme est vaillant malgré son âge qui semble avancé. Une des deux femmes atts les fesses de Fannie, les écartent, laissant apparaître un membre de taille très honorable qui a ouvert le cul de notre soumise. Lhomme se retire, la femme abondamment sur la queue de son mari, ce dernier reprend ses assauts, prenant Fannie sur toute la longueur de sa queue. Cette dernière ne dit rien, sa langue étant enfouit dans lintimité de Faiza. Lhomme se retire, change de protection et empale Fannie par son intimité. Lhomme réagit, une des femmes traduit.
-cette blanche mouille comme une garce
..elle est trop large, jaime pas ça.
Lhomme laboure sans relâche notre soumise, sarrête. Il prend Fannie par les cheveux, la retire de lintimité de sa troisième femme. Il retire sa protection et empale Faiza dun coup, la prenant sans douceur. Ah un moment il râle et lâche tout son jus dans cette femme. Après sêtre retiré, il oblige Fannie à nettoyer lintimité de Faiza, pendant que cette dernière nettoie et suce son mari. En peu de temps, lhomme rebande de nouveau et sans perdre de temps se protège et enfourne le cul de notre soumise.
-au moins là cest serré, sans compter ces choses quelle a au sexe, cest bien une blanche.
Ces choses, ce sont les anneaux que Fannie à sur les lèvres du sexe, a priori cette homme nen nest pas friand. Lhomme se retire du conduit anal de Fannie et se libère par de long jet sur les fesses. Une fois terminé, il nous ordonne de partir. Faiza, réajustée, nous conduit à la porte avec un large sourire.
-merci les filles, pour moi ça été super. Les premières femmes de mon mari se sont super éclaté avec toi et ta chienne est médiocre pour mon mari. Alors tirez-vous, avant quil décide de la donner aux hommes de la famille. Ne me cherchez pas à lhôtel, je ne reviens pas avant votre départ et elle claque la porte, laissant Fannie et Marion dans la rue.
Au retour, Marion me raconte cet épisode. Sur le moment elle était très en colère contre Faiza, mais il y avait bien longtemps quelle navait pas donnée du plaisir à des femmes. Fannie quant à elle, Marion la traité dincapable, même pas foutu de contenter un vieux et lavertissant que des choses allaient changer.
Fin de nos vacances.
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