La Femme De Mon Employé, Partie 4
Le lendemain matin, jenvoie un SMS à Stéphane :
tu crois que tu peux passer à la fermeture ce soir ? Je sais que tu as pris une journée de congés, mais je vous paie un coup et je voudrais vous parler dun truc à tous
pas de souci, à ce soir patron ;)
Après la fermeture, on se retrouve tous les 5 dans mon bureau.
- Alors servez vous, y a des jus de fruits, du vin, de la bière
- Euh Thomas, minterrompt Charlotte. On est 5 et tu as ramené de quoi sustenter toute une équipe de rugby.
- Pas grave. Ce qui est pas ouvert vous aurez quà le prendre avec. Mais bon, cest pas le sujet. Alex, y a des chances que tu ne te sentes pas trop concerné, normal, mais tu fais partie de léquipe et à ce titre tu as autant le droit de savoir ce que jai à leur dire et tu nas pas être mis à lécart quand je paie un pot à mes employ
- Bon, accouche, me coupe Pierre.
Je prends une grande inspiration et je me lance.
- Il y a une truc que je ne vous ai pas dit suite à la mort de Romain.
Charlotte, Pierre et Stéphane semblent se décomposer à lévocation de leur ancien collègue.
- Cest moi qui ait annoncé sa mort à Julie et dans sa colère, elle ma dit que cétait à cause de moi si Romain avait été tué. Aujourdhui jai appris à accepter que les choses ne peuvent pas toujours être contrôlées, et que jai eu plus de chance que lui ce jour-là, mais quand elle ma dit ça, je me suis senti atrocement coupable. Elle me détestait déjà avant ça, et je le méritais bien. Et là elle sest mise à me haïr. Et je me sentais tellement coupable, que je me suis dit quelle avait bien raison.
Je marque une pause un instant, le temps de laisser retomber la peine qui revient à la surface quand je repense à la mort de Romain.
- Et cest en sortant de chez toi Charlotte que jai réalisé quil fallait que je me rachète auprès de Julie.
Alors que je mattends à des remarques désapprouvantes, ils accueillent bien la nouvelle.
- Tu as bien fait Thomas. Même si tu navais aucune raison de te sentir coupable, me dit Charlotte. Et cest pour ça que tu as tellement changé : tu es beaucoup moins arrogant et désagréable depuis un certain temps. Tu vois Pierre, je tavais dit que la solitude le pesait
- En fait, pas vraiment, lui dis-je. Je sais que vous le pensez tous, et vous avez raison : jétais un vrai con
et oui la présence de Julie ma fait changé. Mais pas comme vous le pensez. Je suis persuadé quil y a eu des jours ces derniers temps où jai été pire quavant le braquage
Ils baissent les yeux et je prends ça pour une confirmation.
- Il y a un autre truc dont je voulais vous parler. Je suis tombé amoureux de Julie bien longtemps avant quelle ne vienne vivre chez moi
mais elle mavait clairement fait comprendre que je navais aucune chance face à Romain. Et non, je vous rassure je ne lai pas fait assassiner, je suis pas fou à ce point
Ils lâchent tous un petit rire.
- Quand jai proposé à Julie demménager, cétait réellement totalement désintéressé. De 1 je savais à quoi men tenir vis-à-vis de ses sentiments à mon égard, et de 2 ce nétait clairement pas le moment de la courtiser. Dailleurs je nai plus jamais rien fait en ce sens. Mais de vivre à ses côtés, mes sentiments pour elle nont fait que grandir, et y a des jours où je devenais fou, et jétais vraiment désagréable avec les gens autour de moi. Alors je men excuse. Et donc là où je veux en venir, cest que aujourdhui, après quelle aie fait le premier pas Julie et moi sortons ensemble.
Charlotte me saute au cou, Pierre me félicite et Stéphane me répond un « je comprends mieux pourquoi tu as laissé tomber
» avant de me serrer la main.
En rentrant, je dis à Julie que jai tout raconté à léquipe et elle est soulagée que ce soit fait.
Pour linstant, on na pas envie que les choses aillent trop vite entre nous, déjà que la situation est assez inhabituelle puisque nous vivons déjà ensemble
du coup, pour faire comme un jeune couple normal, nous ne passons pas toutes nos nuits ensemble, chacun rejoignant sa chambre après nos ébats. On senvoie des SMS alors que nous sommes parfois dans la même pièce pour faire comme si nous étions séparés jusquà la fois suivante
- Thomas, téléphone pour toi, me dit Charlotte depuis lautre bout du magasin.
Je traverse la boutique et prends le combiné avant de retourner remplir un de mes rayons.
- Magasin culturel bonjour, Thomas pour vous servir.
- Pour me servir, très intéressant
dit Julie.
- Coucou bébé. Comment ça se fait que tu appelles pas sur mon portable ?
- Je voulais que tu sois surpris en attendant ma voix. Ça se passe bien au boulot ?
- Oui. Tu avais quelque chose à me demander ?
- Je voulais juste que tu saches que je nai rien mis sous ma jupe cet après midi pour aller bosser et que jai très, mais alors très envie de toi, que tu fourres ton visage entre mes jambes, que tu mordes mon clito comme tu le fais si bien, que jai envie que tu me prennes dès que tu passeras le pas de la porte de la maison et que rien que de penser à tout ce que tu pourrais me faire, je suis toute mouillée
Et elle raccroche avant que jai eu le temps dire quoique ce soit
me voilà bien fin, bandant comme pas possible au milieu du magasin
va falloir que ça redescende vite avant que les clients ne sen aperçoivent. Mais cette fille est vraiment surprenante. Je limaginais pas capable de faire un truc pareil.
En ramenant le téléphone à Charlotte, jessaie de penser à des trucs loin dêtre bandant, mais rien ny fait, ma queue ne redescend pas.
- Charlotte, faudrait que tu ailles en rayon à ma place, sil te plaît. Je moccupe de la caisse.
- Y a un souci ? Me demande-t-elle.
Et avant que je dise quoi que ce soit, jentends Stéphane rire en passant derrière moi.
- Charlotte, pose pas de question, fais ce quil te demande, lui répond-il à ma place en riant de plus belle.
Il vient de me sauver la mise, parce que je sais pas comment je me serais sorti de ça
Une fois quelle a contourné le comptoir, je prends sa place. Jen profite pour sortir mon portable et envoyer un SMS à Julie.
tu me chauffes et tu me raccroches au nez ?! Ce nest pas très gentil ça
ça veut dire que je vais être punie ?
je ne sais pas encore
moi je pense que je mérite une bonne petite correction
puisque cest demandé si gentiment ! Jai hâte de te corriger alors
et si tu savais comme jai hâte aussi de te sauter dessus, de tarracher des fringues, de tentendre jouir sous les assauts de ma langue et de ma queue en toi
timagines même pas dans quel état ton coup de fil ma mis
oh, jimagine très bien et ça mexcite beaucoup
par contre jai pas mal de boulot. Je vais devoir te laisser. A ce soir !
ça roule bébé, à ce soir
Le reste de laprès-midi me semble être une éternité. Jai à peu près réussi à calmer mes ardeurs, mais plus lheure de la fermeture approche et plus je me sens à nouveau à létroit dans mon boxer. Au moment de fermer le magasin, cest limite si je ne fous pas mes employés dehors.
- Mais Thomas, on na pas fini de tout ranger ni de nettoyer, proteste Charlotte.
- Cest pas grave, je viendrai plus tôt demain matin pour le faire.
- Ouais, si tu arrives à te lever en avance ! Me lance Stéphane qui lui semble avoir compris
ce qui nest pas le cas de Pierre, Charlotte et Alex qui nous regardent interloqués.
- Allez, rentrez chez vous et profitez de votre soirée. Et toi aussi Steph, essaie de pas rater le réveil demain, jajoute en voyant Oriana lattendre sur le parking.
Je ferme tout en quatrième vitesse et fonce à la maison.
Dans lentrée, je fais voler mes chaussures tout en jetant mes clefs et mon téléphone dans le vide poches puis jenlève mon t-shirt en arrivant dans la cuisine.
Julie est assise au bar, jouant sur son téléphone. Je passe derrière elle et pose mes mains sur ses hanches.
- Alors, je te la donne tout de suite cette fessée ou dabord je moccupe un peu de ta chatte ?
Aucune réaction, elle ne quitte même pas son téléphone.
- Bébé ? OK, visiblement tu fais la gueule
je tai dit, cest le fait que tu me tiennes tête qui me fait bander, pas que tu fasses la tête
Toujours rien
- Et je peux savoir ce que jai pu faire depuis notre dernier SMS pour que tu boudes ?
Elle fait glisser une photo de moi avec une fille, derrière laquelle il est écrit : Thomas je taime, Lucie sur le bar. Et je me prends une claque émotionnelle monumentale.
- Tu navais pas parlé de celle là
Lautre soir, après avoir fait lamour, on a parlé de nos vies sentimentales et sexuelles. Elle ma dit être sortie avec 6 garçons avant de rencontrer Romain : 3 avec qui cétait du sérieux, 3 quelle a qualifié damour de jeunesse. Elle ma également dit avoir eu 8 aventures sans lendemain et avoir fréquenté un de ses prof de lycée, âgé dune quarantaine dannées, de manière non officielle et ce dans le but quils senvoient en lair alors quelle navait que 17 ans et que cest avec lui quelle a découvert la plupart des pratiques sexuelles quelle connaît.
De mon côté, je lui ai avoué navoir eu que 2 relations sérieuses, que javais pas mal cumulé les plans cul à une période et les coups dun soir. Je lui ai également parlé dOriana, des raisons qui me poussaient à lappeler, de la façon dont je lai traitée, quelle sétait attachée à moi et que javais coupé court à tout ça pour ne pas la faire souffrir. Devant son inquiétude à savoir si elle tenterait de revenir dans ma vie, je lai rassurée en lui disant quelle ne mavait plus contacté depuis que je lui avais demandé de supprimer mon numéro, et quà ce que je savais elle passait du bon temps avec Stéphane.
- Premièrement, saches que japprécie moyennement quon fouille dans mes affaires, dis-je énervé.
- Je ne voulais pas fouiller : jai oublié mon chargeur de téléphone au travail, on a le même portable et je sais que tu ranges ton chargeur dans un des tiroirs de ta table de chevet, et je me suis trompée de tiroir.
- Dans ce cas excuse moi de tavoir accusée. Et je ne ten ai pas parlé parce que ce nest pas une de mes ex. Cest ma sur jumelle
- Pourquoi tu ne mas pas dit que tu as une sur ?
- Parce quelle est décédée.
Elle semble se décomposer.
- Je suis désolée Thomas
je voulais pas
- Tinquiète bébé, jaurai du ten parlé, ça aurait été plus simple. Mais cest un sujet que je naime pas abordé. Jai perdu une partie de moi-même ce jour-là.
Je vois quelle nose pas poser la question que tout le monde se pose dans ces cas là.
- Elle a été tuée par son mec
et sil ne sétait pas pendu après lavoir étranglée, je laurais tué de mes propres mains ce connard.
- Cest arrivé quand ?
- Y a un peu plus de 3 ans, elle avait tout quitté ici pour sinstaller avec lui dans une autre région, elle semblait heureuse. Mais on appris par la suite quil se défonçait à la cocaïne, et quelle faisait tout pour quil décroche. Visiblement un jour il na pas supporté quelle essaie de lempêcher de sniffer et il la étranglée. Une fois le trip passé il a réalisé ce quil avait fait. Il a gribouillé quelques mots sur une feuille pour expliquer son geste et sest pendu dans la cave
Pendant que je lui racontais tout ça, Julie sest tournée sur son tabouret et sest blottie dans mes bras.
- Jimagine même pas comme ça du être difficile pour toi
- Jai littéralement pété un plomb : on était tellement proche et je lui en voulais de ne pas sêtre confiée à moi et je men veux de ne pas avoir vu que quelque chose nallait pas
je suis rentré dans une période un peu auto destructrice. Jétais en train douvrir mon magasin, et avec le stress et le choc je suis devenu un vrai connard. Je men prenais à tout le monde. Je sortais tous les soirs, me mettant des races à coup dalcool, jai eu une période où je sautais tout ce qui bougeait. Et un jour mon père ma pris entre 4 yeux et ma fait comprendre que si je narrêtais pas les conneries ou que je rentrais en ayant foutu une nana en cloque, il arrêterait de me prêter de largent pour finaliser le magasin. Alors je me suis calmé sur les sorties et les filles, mais jétais toujours autant désagréable. Et puis tu es entrée dans ma vie, avec tes piques assassines sur ma façon de me comporter et tu mas fait changer.
Elle me sourit et je lembrasse tendrement.
- Par contre, le contexte est plus vraiment top pour te sauter dessus là
Elle se redresse et murmure à mon oreille.
- Pourtant je nai toujours pas de petite culotte, et jai vraiment été une vilaine fille à tallumer comme ça, et en plus jai fouillé dans tes affaires.
Elle passe sa main sur mon entrejambe en disant cela. Je la soulève et la pose sur le plan de travail de la cuisine. Jouvre doucement les premiers boutons de son chemisier puis je menflamme.
- Oh va chier, je ten paierai un autre
dis-je en faisant sauter les autres. Jen peux plus dattendre pour sentir ton corps
Je constate alors quelle na pas mis de soutien-gorge non plus.
- Et en plus tu vas bosser sans soutif
Je lembrasse et ma langue va chercher la sienne, alors que ma main droite remonte le long de sa cuisse pour trouver sa chatte humide. Je me mets à genoux devant elle.
- Assieds toi bien au bord et écartes les jambes bébé
Elle sexécute aussitôt et je fourre mon visage dans son intimité.
- Attends un instant
me dit-elle.
Je me recule un peu et je la vois tendre la main vers le distributeur de glaçons du frigo tout proche. Elle en prend un et me le met dans la bouche, un sourire coquin aux lèvres.
Je reprends alors là où je métais arrêté, laissant ma langue glisser autour de son clitoris maintenant accompagnée du glaçon.
- Oh oui, dit-elle à 2 doigts de jouir.
Je retire alors ma bouche de sa chatte pour embrasser sa cuisse.
- Tes sadique bébé ! Proteste-t-elle.
- Pas du tout, ce nest que le début de ta punition ma puce.
Et je suce à nouveau son clitoris. Quand elle est sur le point de jouir, je glisse 3 doigts en elle et elle crie son plaisir en tirant mes cheveux.
Je me relève et lembrasse avec le glaçon pour quelle se goûte. Elle veut me le prendre mais je refuse.
Je latt par les cheveux et les tire en arrière pour quelle tende son cou. Je fais glisser le glaçon le long de ce dernier avant de le passer sur ses seins, mattardant bien sur ses tétons pour les faire pointer. Elle gémit de plaisir.
- Jai envie que me prennes bébé
dit-elle alors que je mordille ses seins.
- Quand on est une vilaine fille comme toi, on na pas dexigence, je lui réponds en souriant.
Elle entreprend alors douvrir mon jeans.
- Pas touche, je lui dis en lui donnant une tape sur la main.
- Allez, sil te plaît, dit-elle en insistant.
- Arrête ou je te fais mal ma puce
Comme pour me défier, elle essaie à nouveau daccéder au bouton de mon pantalon. Je lui pince alors fermement un téton et elle pousse un petit cri se plaisir.
- Tu attends que ça en fait
puisque tu as tellement envie dêtre punie
Et je la balance sur mon épaule pour la monter dans ma chambre. Je la pose debout devant mon armoire et ouvre la porte fenêtre de la terrasse. Je prends ensuite mon matelas et le mets dehors.
- Tu nas pas perdu la tête là ?
- Absolument pas, lui dis-je en portant à nouveau sur mon épaule. Il fait beau et chaud, le soleil est en train de se coucher ce qui nous donne une vue magnifique, et cest un toit terrasse avec aucun vis-à-vis. Alors cest là quon va senvoyer en lair.
- Mais on peut nous entendre
- Jen ai absolument rien à foudre que les gens savent quon baise
Je la porte et lallonge sur le matelas et ouvre la boutonnière de mon jeans avant de me mettre au-dessus delle pour lembrasser. Je lui retire ensuite sa jupe et son chemisier.
- Mets toi à 4 pattes maintenant.
Elle me sourit avec gourmandise et me tend son cul avec impatience.
- Ça cest parce que tu me chauffes alors que je suis un boulot, dis-je en lui mettant une première fessée bien bruyante, et elle gémit de plaisir. Celle là cest parce que tu sors sans sous-vêtements.
Et je lui en donne une deuxième, elle gémit davantage.
- Et ça cest parce que tu me tiens tête et que ça mexcite énormément
La troisième claque encore plus fort et elle me tend une nouvelle fois ses fesses. Je sors ma queue de mon jeans et, la saisissant par les hanches, menfonce en elle brutalement.
- Oh oui, vas-y, souffle-t-elle. Jaime quand tu perds le contrôle.
Et je la pilonne violemment jusquà la faire jouir.
- Allonge toi sur le dos, me demande-t-elle.
Elle sagenouille au-dessus de moi et se laisse glisser très lentement le long de ma queue. Elle prend mes mains et les pose sur ses seins. Pendant que je les caresse et les pince, elle ondule sur moi et caresse la base de ma queue. Je finis par jouir en elle en poussant un râle de plaisir.
Elle se laisse tomber à côté de moi et pose sa tête sur ma clavicule. Elle joue avec les poils qui partent de mon nombril jusquà mon pubis du bout de son index. Puis elle passe ses doigts sous lélastique de mon boxer.
- Tu en veux encore ma puce ? Gourmande !
Jenlève mon jeans et mon boxer et Julie saisis ma queue bien en main pour me branler. Quand je commence à durcir à nouveau, elle me prend en bouche.
Après quelques minutes, elle me demande de mallonger sur le côté et fais de même devant moi, frottant ses fesses contre mon gland.
- Et dis moi bébé, lanal ça te botte ou cest pas trop ton truc, demande-t-elle en plaçant ma main près de son petit trou
En guise de réponse, je le titille avec mon index. Aussitôt elle tend les fesses vers moi et jenfonce mon doigt. De ma main libre, je joue avec sa poitrine alors quelle se caresse la chatte, ondulant contre moi.
- Prends moi, chuchote-t-elle.
Elle se met à 4 pattes devant moi et je la pénètre doucement.
- Serre les jambes et allonge toi ma puce.
Je passe mes jambes à lextérieur des siennes et elle fait ce que je lui ai demandé, et mon corps suit le sien pour que je retrouve presque allongé sur elle.
Je passe ma main droite sous elle et lui caresse la chatte tout en allant et venant dans son petit trou. Entre les câlins davant et de me sentir si serré dans son cul, je ne vais pas tenir longtemps avant de jouir.
Elle ondule sous mes caresses et jouit rapidement. Je me retire alors et me termine à la main sur ses fesses.
- Bouge pas bébé, je vais chercher de quoi tessuyer.
Je file à la salle de bains prendre les lingettes et jai une lumière.
- Dis ma puce, elle est où la petite au fait ?
- Elle chez ma meilleure amie , sa marraine. Ça fait des mois que je ne lavais pas vu, et Rosi aussi par conséquent. Je métais beaucoup renfermée quand Romain est mort. Et quand on a décidé de se mettre ensemble toi et moi, jai eu envie de partager ça avec elle. Javais peur quelle men veuille mais elle a été très compréhensive. Et elle garde Rosi jusquà demain soir..
- Toute une nuit avec toi, pas de stress au matin pour préparer le biberon ? Je suis le plus heureux des hommes.
Je lembrasse doucement et vais chercher une couverture. On sinstalle dans les bras de lautre et on profite de la fin du coucher de soleil avant de réinstaller le matelas dans ma chambre.
Quand je me réveille au matin, Julie nest plus dans mon lit mais jentends leau dans la douche. Jentre dans la salle de bains discrètement et me faufile sous la douche pour la surprendre.
- Bonjour Monsieur Manelli, vous êtes bien en forme à ce que je sens, dit-elle en se collant à ma queue.
- Cest vous qui me mettez dans cet état, Madame Gellati.
Elle passe ses bras autour de mon cou et membrasse.
- Je te dis pas le nombre de fois où jai eu envie de défoncer cette porte pour te rejoindre dans la douche depuis que tu as emménagé ici
- Et si tu me montrais ce que tu maurais fait
- Jen meurs denvie bébé, mais ça va être du rapide pour ce matin, je suis déjà en retard
Et je la plaque contre le mur de la douche et la pénètre. Je passe ma main sous ses fesses pour la soulever et elle passe ses jambes autour de ma taille. Jen profite pour lui enfoncer 2 doigts dans le cul. Elle jouit rapidement et je gicle à mon tour.
Je la repose et att mon gel douche.
- Désolé ma puce, cétait du vite fait mais faut vraiment que je me dépêche.
- Jaime bien aussi un coup rapide de temps en temps. Et on se rattra.
Je me lave rapidement et fonce au boulot.
Je termine le rangement des commandes et entreprends de nettoyer les vitrines, mais je meurs de faim. Je prends mon téléphone et envoie un SMS à Stéphane qui commence une demie-heure avant les autres.
tu crois que tu peux passer me prendre un petit dej à la boulangerie en venant ? Si oui, prends en un pour toi aussi, cest moi qui paie, utilise la carte bleue du magasin
pas de prob boss
Il arrive 20 minutes plus tard avec 2 cafés, 2 demies baguettes et un assortiment de confitures. Je me régale déjà.
- Laisse tomber la mise en place aujourdhui, je lai déjà faite. Installe toi avec moi et prends le temps de manger.
- Le réveil a été dur ce matin patron ? Tas pas eu le temps de manger ?
- Jai rien mangé depuis hier midi. Javais dautres projets hier soir, mais ça tu ten doutais déjà, je lui dis en souriant. Et ce matin je nai eu aucun problème pour me lever, mais jétais trop occupé pour manger.
- Ben dis donc, elle cache bien son jeu la petite Julie.
- Et toi, visiblement tu nas pas beaucoup dormi cette nuit
- Javoue
Oriana est insatiable. Et elle fait des miracles avec sa bouche !
- Tu prêches un convaincu ! Cest vraiment un bon coup cette fille. Mais cest surtout une gentille fille. Et du coup, vous deux, cest un coup de temps en temps ou cest plus sérieux ?
- On en a pas vraiment parlé, mais je pense que cest plus quun plan cul : on senvoie des messages dans la journée, on fait des sorties, et on se voit tous les jours.
- Je sais que je te lai déjà dit, mais si elle sattache à toi, ne joue pas avec elle. Moi jaurais du tout arrêter plus tôt, dès que jai compris quelle en voulait plus. Mais jai été salaud, je me suis servi delle pour passer ma frustration.
- Ce nest pas dans mes intentions, Thomas, je tassure.
Charlotte et Pierre arrivent en même temps.
- Ah ben y a en a qui se la coulent douce, dit Pierre en riant.
- Pour une fois que jencourage un employé à rien foutre, je réponds en souriant. Jai fait la mise en place ce matin, et javais la dalle alors il a ramené les petits dej. Mais faudrait quon sen prenne un tous ensemble à loccas. Jai conscience que jai pas toujours été le plus sympa des patrons. On est une équipe, on tous à peu près le même âge, autant en profiter pour que ce soit cool entre nous. Mais comme je reste votre patron, au boulot maintenant, on ouvre dans 5 minutes.
Cest une journée calme, je reste au bureau pour bosser sur louverture de mon prochain magasin qui a pris du retard.
En début daprès-midi, je confie le magasin à Stéphane.
- Je ne sais pas à quelle heure je reviens, ni si je reviens.
Je me rends au cabinet comptable où travaille Julie.
- Bonjour, il faudrait que je vois madame Gellati , sil vous plaît, cest urgent, dis-je à la réceptionniste.
Elle semble inexpérimentée, elle ne demande même pas qui elle doit annoncer. Elle se dirige vers un bureau, dit quelque chose à la personne qui sy trouve puis reviend vers moi.
- Suivez moi, elle va vous recevoir.
Je la suis dans le bureau et Julie me souris.
- Referme la porte derrière toi, Marie. Merci.
La jeune femme sexécute et Julie se lève de son bureau pour se jeter à mon cou.
- Mais quest-ce que tu fais là ? Me demande-t-elle.
- Javais envie de te voir et envie de toi aussi
et cest trop long dattendre jusquà ce soir.
Je me recule pour la regarder.
- Tu sais que tu es hyper bandante en jupe tailleur. Ça fait maîtresse cochonne !
Elle commence à ouvrir les boutons de ma chemise et je relève sa jupe. Elle ouvre mon jeans et le baisse légèrement ainsi que mon boxer pour libérer ma queue, puis elle me pousse sur sa chaise avant de se mettre à genoux devant moi et de me sucer.
- Cest très excitant le cliché de la secrétaire qui passe sous le bureau pour sucer le patron
Je finis par lui demander de se relever.
- Tourne toi et penche toi sur le bureau.
Elle pose son buste sur le bois du meuble. Je lui enlève sa petite culotte et la pénètre par le petit trou. Je lencule lentement pour faire durer le plaisir. A chaque fois que je menfonce en elle, elle contracte les fesses, me serrant encore plus la queue, et me procurant un plaisir divin.
Puis je me retire et menfonce dans sa chatte, tout aussi doucement que je ne lai fait dans son cul avant. Mais visiblement, ce nest pas ce dont elle a envie.
- Fais moi mal bébé, me supplie-t-elle.
Je la saisis par les hanches et donne de grands coups de rein, menfonçant au plus profond delle jusquà éjaculer.
On se rhabille et je massieds sur sa chaise de bureau, lattirant à moi pour quelle se mette sur mes genoux. Je la serre contre mon torse. Jai encore parfois du mal à réaliser quon est ensemble. Elle ma rembarré tellement de fois que javais par ne plus y croire.
- Ne prépare pas à manger pour ce soir, je men occupe en rentrant, je lui dis.
- Tu essaieras de pas foutre le feu à lappartement cette fois, répond-elle en riant.
- Promis ma puce. Et dis moi, ce week-end, ça te dirait quon aille tous les 3 chez mes parents ? Jaimerais leur dire au plus vite toute la vérité sur nous 2 et jai hâte quils rencontrent Rosi.
- Ben écoute, jai rien contre, mais Stéphanie ma déjà demandé si elle pouvait prendre la petite pour le week-end. Mais on peut y aller tous les deux.
- Tu crois que si je vais chercher Rosi en fin de matinée dimanche, ça la gênera ?
- Non, je suis sûre quelle ne sera pas contre.
- Ça marche, jappelle ma mère après. Allez, jy vais, je vais te laisser travailler. Moi je vais en profiter pour aller à la salle de sport.
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