La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1084)

La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -

- Montre lui et montre nous ce que tu fais si bien ! … Je compte sur toi pour me faire honneur…

Vivement je regardai le Maître qui lut dans mon regard mon très vif contentement à tout faire pour le satisfaire. D’un claquement de doigts, Maître me fit me mettre à quatre pattes devant Monsieur le Comte, et lui dit :

- Regardez Ma pouliche Monsieur, regardez là de près, ne voyez-vous pas couler en ses veines le sang bleu de la Royauté ? Et pourtant, elle vous est offerte dans sa plus simple apparence de chienne femelle ! Puisque vous la vouliez, prenez-là, on ne me prend pas mon bien, Monsieur, Seul Moi, l’offre ou pas. Vous ne pouvez refuser mon offre devant témoins, sauf à m’offenser à nouveau devant témoins cette fois ! Vous avez carte blanche pour arriver à vos fins ! Montrez-nous quelle sorte de dresseur émérite vous faites ! Vous le grand spécialiste des belles juments …

Le Comte ne riait plus du tout, commençant de comprendre ce qui se tramait tout en étant très loin de la fin qu’il ne pouvait imaginer. Devant les personnes présentes, et surtout devant mon fessier ondulant, il ne pouvait faire autrement que de se lever. Monsieur le Comte, dans une attitude théâtrale, fit le tour de l’assemblée, fixa chacun des participants, regarda longuement ma croupe frémissante de femelle offerte… Il faut dire que moi la chienne, parée comme je l’étais, toujours revêtue de mes voiles, mais, relevés au-dessus des reins, croupe dénudée, cuisses écartées, vulve dégoulinante à souhait, lèvres vaginales gonflées de désirs, clitoris turgescent… anus légèrement ouvert et si accueillant… la chienne, que je suis, donc semblait plus une sirène aux charmes ravageurs ou une divinité du sexe, tant se dégageait de moi un magnétisme sexuel puissant. Le Comte, ne détachait pas ses yeux de la pouliche offerte que je représentais à son regard et à l’assemblée, mais le pouvait-il, le détacher ce regard obnubilé comme simple mâle et comme accusé devant monter au combat afin de sauver la face…

A un moment donné, relevant un peu la tête, mes yeux croisèrent le regard du Maître.

Regard à la fois empreint de fierté et d’une immense colère, laquelle je savais, n’était pas du tout contre moi. Le regard de Monsieur le Marquis me redonna courage devant le déferlement des coups portés par Monsieur le Comte. J’étais fière, très fière de résister, d’endurer cet apocalypse de coups d’un fouet que Maître, en personne, lui avait tendu à bout de bras. Le Comte avait donc pris ce fouet presque avec arrogance et frappait désormais mon cul afin de démontrer sa capacité à dresser une jument. Coups visiblement donnés pour me briser, tentant de prouver par ce fait, l’excellence du dressage de Monsieur le Comte. Je ne tenais qu’à un fil, sentant ma résistance s’amenuiser de seconde en seconde. Ma peau rougit d’abord jusqu’à que mon fessier bleuisse pour laisser place à des traces de brûlures ayant entamé la peau et donnant qui coulait sur mes fesses abominablement déchirées, labourées… Deux motivations me faisaient encore tenir : La fierté du Maître à qui j’appartenais et je voulais anéantir cet homme (Monsieur le Comte) lui prouvant que, ni son titre de Noblesse, si sa qualité de spécialiste en matière de chevaux, ne pouvait justifier sa façon de se comporter.

Mais mes forces déclinaient rapidement, ma vue se brouillait, mes bras tremblaient, mes forces semblaient me quitter, quand, enfin, Monsieur le Comte de colère enroula les lanières autour du manche puis jeta le fouet qui traversa toute la pièce, allant frapper un vase de Chine posé sur une sellette, objet d’une rareté telle que Maître, voyant son vase à terre, en mille morceaux, ferma ses yeux, respira un bon coup, mais ne dit rien, tentant de garder son calme. La colère, que dis-je la colère du Maître était palpable. Monsieur le Comte semblait n’avoir cure ni même peut-être conscience de la situation, entièrement dans son combat qu’il savait perdu d’avance. Il ne se rendait même pas compte qu’en se donnant ainsi en spectacle, même son chauffeur ne pouvait supporter la scène car celui-ci détournait son regard.
Quant à Walter, plusieurs fois, et je le voyais par en dessous entre mes bras, semblait vouloir bondir pour arrêter cet homme devenu fou et ivre de colère, mais, à chaque fois, peut-être sur un geste du Maître, le Majordome reprenait sa place sur sa chaise… Un silence de mort régnait dans le bureau du Châtelain… Mon visage devait être livide, baigné de larmes, mes cheveux défaits… Monsieur le Marquis prit la parole dans un calme apparent mais cachant une colère contenue, parfaitement maîtrisée :

- Monsieur le Comte, avez-vous terminé ? Car je n’ai pas l’impression que vous avez réussi à faire plier Ma pouliche ?...

J’en ai voulu, à ses mots, au Maître, qui me semblait provoquer à nouveau le Comte. Celui-ci répondit froidement :

- La première partie, Monsieur le Marquis n’était pas due à faire plier votre jument mal dressée, elle n’était due qu’à abaisser sa résistance. J’ai l’habitude de ces juments racées, maintenant je vais l’achever !

Disant cela, le Comte me fit me relever, mais rester sur mes genoux que je resserrais mais, d’un violent coup de pieds sur le genou droit, il me fit écarter les cuisses… Placé en face de mon visage, il sortit son sexe que je connaissais déjà pour l’avoir sucé quelques jours auparavant, mais sa tige était bien mouillée, ruisselante même ce qui me fit me dire, qu’il avait pris beaucoup de plaisir, d’excitation à me cravacher comme il l’avait fait. Les doigts de sa main droite enserrèrent violemment mes joues, entre les mâchoires, me forçant à ouvrir la bouche fortement. Il y enfonça son sexe sans ménagement, jusqu’au fond et plaça sa main gauche sur ma nuque, m’attirant à lui au point que mon nez était collé à ses poils pubiens, m’empêchant de respirer et de déglutir… Il resta ainsi plusieurs longues secondes, puis, sa main droite se retira de mes joues, tandis que la gauche continuait de me plaquer à son bas-ventre.

La main droite devenue libre, se saisit de mon téton gauche, dans lequel il enfonça ses ongles très fortement, me faisant me pencher du même côté pour alléger la souffrance, mais il ne relâchât pas son étreinte l’accentuant même en étirant fortement mon téton jusqu’à lui pour ensuite, l’enfoncer profondément en mon sein, poussé par son doigt, qui, une fois enfoncé, décrivait de petits cercles dans le sein, téton enfoncé.
Puis, il enlevait son doigt, le téton ressortant à nouveau, et le reprenais encore une fois, ongles enfoncés plus fort et le ballet recommençait à nouveau. Au bout d’un moment, poursuivant son geste sur mon téton très meurtri, il commençait de faire aller ma tête d’avant en arrière sur sa tige proche de juter. Enfin il enleva sa main de derrière ma nuque pour se saisir du téton droit et faire subir aux deux, les mêmes sévices qui me provoquaient, je dois bien le reconnaitre, une certaine excitation car je sentais mon sexe s’humidifier grandement…

- Suce, ordonna-t-il sur un ton autoritaire !

C’est, enfin, ce que j’espérais qu’il dise, qu’il me laisse faire afin d’obéir au Maître qui m’avait ordonné de le sucer comme je savais y faire ... Je commençais alors une fellation comme je sais tant les faire, longue, très longue, mais pendant lesquelles, je contrôlais complètement non seulement la montée du désir masculin, mais même son éjaculation. Je léchais, mordillais, tétais, aspirais, refoulais, pompais… Le Comte, en ma bouche, semblait se concentrer sur sa tige, relâchant de ce fait l’étreinte de ses ongles sur mes tétons… Il se mettait à trembler, ses jambes flageolaient, ses bras commençaient des moulinets dans l’air, tentant de prendre mon visage, mais à chaque fois, je pressais sa tige contre mon palais, coinçais son gland entre palais et langue, le comprimant assez pour casser son réflexe éjaculatoire. Monsieur le Comte était tendu vers l’aboutissement de son orgasme que maintenant je contrôlais complètement, l’empêchant d’arriver. A ce moment, je savais qu’il était à ma merci. Je le travaillais encore et encore, de mon méat coulait tant de liquide que j’avais, par moments du mal à poursuivre mon travail tout en avalant son jus… Les yeux du Comte commençaient de se révulser, sa respiration plus qu’haletante le faisait transpirer plus que normale… Mais il n’arrivait pas à juter. Je semblais gagner la partie quand il sortit violemment de ma bouche, me gifla très fortement en plusieurs allers retours qui me faisaient tourner le visage tantôt à droite, tantôt à gauche, me fendant même la lèvre supérieure…

Il vint derrière moi et m’encula d’une si forte manière que je n’eus pas le temps de m’ouvrir assez, ce qui me déchira l’anus… Il cherchait vraiment à me « détruire » devant les témoins, dans un combat à « mort ».
Le terme de « duel » prenait tout son sens… Rassemblant mes forces je décidais que je gagnerai quelque soit le prix à payer ! Le Comte fourrageait violemment mon ventre accroché à ma taille, son front inondé de sueur, il donnait tout ce qu’il avait pour soulager sa prostate… A nouveau, je tentais de contrôler ce très mauvais étalon, par un jeu subtil de mes muscles intimes, anaux. Je comprimais sa bite lentement, très lentement, jusqu’à commencer de la faire se dé tuméfier en mon cul de salope blessée, mais pas encore à terre. J’étais le vengeur du Maître qui s’estimait blessé par l’offense de cet homme, mais j’étais également celle qui voulait montrer à ce mâle indigne ce qu’il en coûte à se frotter à de véritables femelles sachant y faire avec les hommes. Il ne s’agit pas à un cavalier de vouloir chevaucher sa monture, encore faut-il savoir la dompter !

A force de comprimer ce sexe nauséeux, il finit par perdre de sa superbe, devenu macaroni flasque et gluant, et d’un coup de reins rageurs, je l’expulsais de mon cul. La vue du sexe du Comte, son état nerveux, son ahurissement devant son incapacité à jouir, le firent rester, tout d’abord incrédule, comme absent, puis il s’écroula dans son fauteuil dans une respiration rapide et saccadée, le front en sueur, pantalon à demi baissé, le sexe pendant mais bavant fortement... Triste image d’un homme précieux, hautain, l’image d’un homme à jamais défait, et, chose aggravante, devant témoins. Monsieur le Marquis reprit la parole, ce qui rompit l’ambiance très lourde. Il m’aida à me relever tout d’abord, me prit dans ses bras, faisant attention de ne pas se tâcher avec les traces de sang maculant mon fessier, m’embrassa tendrement, avec une douceur inouïe, puis me prit par la main, et tous les deux, faisant face au Comte, anéanti, toujours vautré dans son fauteuil, sexe toujours dehors et pendant, il lui dit sans détour :

- Monsieur ! Vous êtes anéanti, et honteux, vaincu à la loyale par mon esclave. Je m’estime vengé. Vous ne faites plus partie de mes amis et vous demande de sortir de chez moi immédiatement pour ne plus jamais y revenir. Vous croyant supérieur, vous avez négligé la force de ma femelle et en avez payé le prix, devant nous dans la honte !

Alors que nous allions nous retirer… Avec ce que je vois (il regardait mes traces sanguinolentes encore) Maître rajouta :

- Je … devrais de ma main vous...

Il ne termina pas sa phrase que, cependant, tout le monde avait comprise et termina en disant :

- Viens, Ma belle pouliche, je te conduits à l’infirmerie pour te faire soigner. Quant à vous (s’adressant au Comte) à mon retour en mon bureau, je ne veux plus vous voir ! Walter, fait nettoyer le parquet de ce sang par quelques esclaves!
- Bien Monsieur, avec grand plaisir.

Maître me conduisait tenue par la main comme sa belle qu’il emmène pour danser. Nous traversions des pièces, dans lesquelles, les esclaves et personnels s’inclinaient devant notre passage, certains (es) gardaient des yeux grands ouverts devant mes plaies de mon fessier, et Le Noble me dit :

- Aujourd’hui, belle esclave, tes souffrances ne resteront pas vaines à mes yeux. J’ai vu de quoi tu es capable, j’ai vu ton engagement indéfectible à Ma personne, tu en as payé le prix, je n’oublierai jamais ce que tu as enduré pour moi. Je saurai, le temps venu m’en souvenir... Sache combien mon cœur vibre envers toi et aussi à cet engagement solide de ta part que tu as su me démontrer... Je suis si fier de toi ... Tu es à Moi et jamais, tu entends, jamais tu ne seras abandonnée, je serai toujours là …

Le Maître me confia aux bons soins de l’infirmière esclave Virginie en compagnie de l’esclave Blandine, qui ne travaillait pas ce jour et qui était venue au Château, servir le Maître…

(A suivre …)

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