La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1085)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
Le Maître me confia aux bons soins de linfirmière esclave Virginie en compagnie de lesclave Blandine, qui ne travaillait pas ce jour et qui était venue au Château, servir le Maître
Quelques temps après : Sportive de nature, jai toujours été attirée par la compétition, quelle soit physique ou intellectuelle. Mais les plus grandes compétitions, je les ai livrées contre moi-même. Le goût de leffort physique ma toujours attirée ainsi que le dépassement de moi-même
Jy suis souvent parvenue par le sport. Déjà, adolescente, au Lycée, javais fait partie de léquipe dathlétisme de lAcadémie de Cergy Pontoise, dans les courses de relais 4x400 mètres et 4X100 mètres. Maître attache beaucoup dimportance à la santé de ses esclaves, aussi le sport fait partir de lenseignement quIl nous donne, si généreusement et de façon, obligatoire. Pour plusieurs dentre nous, mâles ou femelles, cétait plus une corvée mais pour moi, un moment de pur bonheur. Pour cela, il a fait construire une piste, comme dans un stade, longue de 400 mètres sur laquelle les esclaves sentrainent régulièrement. En effet cette piste est à lintérieur dune autre beaucoup plus longue faisant 1700 mètres car lensemble des deux pistes se situe dans lhippodrome lui appartenant, là où il fait sentrainer ses chevaux de courses. Chaque matin, nos journées débutent par un cross, et cest un tableau de voir Ses femelles et Ses mâles courir, nus (es) lhippodrome de la propriété, sous la surveillance des dresseurs.
Il est arrivé assez souvent, que Maître memmène ainsi parfaire ma forme physique, pour son plus grand plaisir, celui de ses yeux et parfois, il invite des amis, personnages importants à venir voir sa pouliche Hathor sentraîner. En plus du bonheur quil maccordait à courir, je savais faire sa joie à me voir sur la piste, et celle que je donnais à ses Invités.
Un jour de mai à 6 heures du matin. Dans notre belle Provence, à cette heure, le temps est idéal, pas trop chaud encore ni trop frais. En ce jour de premier mai, la ville dort encore, mais Monsieur le Marquis a invité aujourdhui, non seulement le Maire de notre ville, mais également Monsieur le Député, quelques notables régionaux de ses amis, accompagnés de personnes que Maître veut « récompenser » ou gratifier dun « cadeau ». Ce jour-là, le Noble avait convié, beaucoup dhommes donc dont les âges variaient entre 45 et 65 ans, chefs dentreprise, édiles municipaux, hommes daffaires, etc
venus sans leurs épouses
Tous étant au courant de ce quils allaient découvrir et ... utiliser éventuellement par la suite. Quand ces messieurs sont arrivés et donc étaient, tous présents, Maître mamena, tenue en laisse, entièrement nue, pieds également. Jai dabord été présentée aux Invités comme la femelle Pur-Sang de son troupeau, dernière acquisition du Maître des lieux. Jadore courir pieds nus, sentir sous mes pieds, le sol. Je suis ainsi
Après présentation à ces messieurs, répondre aux questions posées par ceux-ci, jai été conduite sur la piste. Je savais ce que javais à faire mais le Châtelain, entouré des Invités, me fixait, en cet instant lobjectif à atteindre. En général il me faisait faire tout dabord un tour de piste déchauffement soit, 400 mètres. Cest lensemble de cette « prestation » que je vous narre ici. Jétais donc sur la ligne de départ, entièrement nue sous les regards des hommes. Svelte de nature, 173 centimètres de taille, mes mensurations 95/36/95, 52 kilos, taille très fine mettant en valeur mon fessier, mes hanches, ma poitrine et ma chevelure blonde.
Mes seins tiennent bon, les aréoles pas trop larges, roses pâle, surmontées de deux petits tétons comme en ont les femelles qui nont pas encore porté
Mes tétons sont très sensibles et très réactifs
Le top départ des premiers 400 mètres déchauffement fut donné. Les hommes comme Monsieur le Marquis, me suivirent grâce à leurs jumelles. Je me lançais. Rapidement jétais en action mais ne voulait pas aller trop vite, Maître me linterdisant à juste titre afin de tenir sur la longueur imposée. Ma foulée était légère, douce, mes seins ballottèrent doucement sans que je ne les soutienne (cétait interdit par le Noble), je fis le tour de la piste sous les regards de ces messieurs et dès les deux cents premiers mètres, je me sentis déjà dans le bon tempo
la respiration était calme, tout allait bien ! Revenue au départ, je reçus les instructions du Maître.
- Aujourdhui, tu vas tenter dégaler ton record de la dernière fois sur 1500 mètres, mais nous allons aussi travailler les derniers 100 mètres et ta pointe de vitesse qui la dernière fois nétais pas bonne.
- Oui Maître.
- Belle pouliche, tu connais les conditions, si je suis content de toi, tu seras récompensée, dans le cas contraire, tu seras punie.
- Oui Maître.
Le top départ fut donné. Maître, chronomètre en main, suivit ma foulée comme les Invités à la jumelle. Pour une piste de 400 mètres, 1500 mètres représentent presque quatre tours de piste, laissant ainsi la possibilité aux Invités de me voir passer presque quatre fois devant eux. Pour la sportive que je suis, ces quatre tours se partagent en quatre challenges différents les uns des autres. Le premier tour est destiné à lancer le train tout en économisant des forces. Le second
etc
Les premiers 400 mètres étant avalés, sans forcer, je commençais le second tour. Ma foulée est maintenant bonne, le rythme est parfait, jétais dans les temps fixés
ma respiration était calme, le cur battait à son rythme, tout allait bien, je me sentais parfaitement bien.
Tout se passait donc bien, cheveux au vent, naseaux fumants, la Comtesse pouliche esclave, avalait les mètres avec une allure de métronome. Jétais toujours à laise mais les 1200 mètres terminés, les muscles bien chauds, une fine transpiration perlait sur mon corps dénudé
Je savais que jétais regardée aux jumelles, je savais que je navais aucun droit à lerreur. 1330 mètres, 1400, les 100 derniers mètres approchèrent et selon le signal du Châtelain, cest maintenant que je devais commencer à lancer mon sprint. Sur un signe convenu entre nous, je vis Maître lever sa cravache, signe du lancement du sprint final. Instinctivement, ma foulée sallongea, mon corps se pencha très légèrement en avant pour offrir moins de résistance à lair, encore quatre-vingt mètres, et jallais tout donner... voilà, cétait parti... jaccélérais, accélérais encore, les orteils effleurèrent le sol semblant ne plus le toucher, 80 mètres, 50, 30, jétais à fond... top chrono... ! La ligne darrivée fut franchie. Je ralentissais, mais poursuivis plus lentement ... puis revint attendant la sentence. Maître nétait pas content, mais pas content du tout ! Les Invités eux, furent « aux anges » me félicitèrent, me touchèrent les seins, le cul, et même me branlèrent le clitoris au passage ou me doigtèrent rapidement le vagin.
- Mes amis, je vous ai fait venir pour admirer pas pour commenter. Mon esclave, ce matin a été nulle et vous verrez comment je len remercie par la suite. De plus, je vous lai présentée comme une excellente finisseuse et voilà son résultat qui me fait... honte.
Jétais atterrée, je navais jamais eu lintention de ne pas réussir ce sprint et encore moins aujourdhui, devant les amis du Maître. Sincèrement, je ne comprenais pas ce résultat.
- On recommence imposa Monsieur le Marquis devant les Invités qui nen demandaient pas mieux. - Je te jure que tu vas cette fois, battre ton record sinon je te punirais comme jamais tu nas été punie, tu entends ?
- Oui Maître, répondis-je, honteuse et penaude, ne comprenant toujours pas le pourquoi mais bien décidée à me rattr.
Je me replaçai sur la ligne de départ quand déjà penchée en avant Maître sapprocha de moi et me dis à loreille :
- Tu las fait exprès, petite garce mais tu me le paieras ensuite.
Jallais lui jurer que non, mais dun geste très autoritaire, me fit signe de me préparer à repartir. Me voilà à nouveau sur la ligne de départ, torse légèrement penché en avant, les poings serrés, la rage au ventre, seins offerts à la vue des Invités
Top départ ! Je recommençais un second parcours de 1500 mètres, me demandant à nouveau ce qui avait cloché dans le final.
- Concentre-toi Isabelle, me disais-je, concentre-toi !
Le premier tour se terminait, je regardais le Noble qui semblait un peu plus content
je me sentais mieux, plus sereine, ma foulée me semblait plus souple, moins résistante à leffort, les mètres savalaient avec plus de régularité, et au deuxième passage, Maître leva son pouce me faisant signe que cétait parfait.
- Continue ainsi, hurla-t-il afin que je lentende, tandis que je passais devant le groupe. 800 mètres étaient avalés !
Cest fou ce que la psychologique peut faire à un athlète quand il sent que son effort plait, que ce quil fait est bon
. Je sentis tout de suite, un mieux-être menvahir, une sorte de fierté à faire la joie des Invités qui me voyaient passer pour un second 1500 mètres, mais surtout, voyant Monsieur le Marquis satisfait. Jentamais le troisième tour confiante et bien plus en forme que les premiers 1500 mètres, jen convenais moi-même. Je parlais à mes jambes, je parlais à mon corps, mes bras balançaient de façon plus souple, je me sentais aérienne, plus que tout à lheure, je sentais mes muscles plus fluides et finalement je finissais ce troisième tour très facilement, pas du tout fatiguée, ayant gardé du « jus » en réserve, prête à exploser pour le final. Ainsi encouragée, plus je courais vite, plus je me sentis excitée ! Mes foulées saccentuèrent et mon clitoris saffolait, je le sentais sériger comme enivré par la performance de mes jambes ! Je sentis alors ma cyprine couler sur mes cuisses à chaque foulée ! On aurait dit une chienne en chaleur courant le mâle pour un accouplement impératif et primaire, bestial et instinctif que le rut imposerait
Alors excitée, je me disais :
- Suis ton instinct, Isabelle
me disais-je
prenant tous les risques
(A suivre
)
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