Commomération Mémorable Suite 1

Célébration suite 1
Très occupé le reste de la journée, je n’ai revu ma femme et nos deux invités qu’en fin de soirée pour le repas ; John un peu tendu, son copain étonné de l’ambiance et ma coquine ne sachant pas trop comment se comporter ; pour moi, une folle envie que cela dégénère un peu, mais ne sachant pas trop comment m’y prendre sans que cela soit trop « téléphoné ».
Finalement, la solution est venue de John, qui, alors que nous dégustions un bon calvados, s’est hardi en me disant qu’ils avaient beaucoup apprécié la découverte d’hier soir, mais que nous devions être rassurés sur leur discrétion. Certes rassuré je l’étais, mais pas très sur qu’il est été discret sur son aventure du matin, car son ami, sans beaucoup de discrétion, louchait généreusement sur les attraits de Béa ; il est vrai que le décolleté avait de quoi attirait l’œil et que le jeu de jambe sur le fauteuil, face à lui, devait lui faire découvrir quelques trésors.
C’est alors que j’ai demandé à John si lui aussi faisait des petits films avec sa femme ; la réponse a été on ne peut plus clair ; pas question pour elle de faire cela, les bonnes manières de l’école catholique en étant sans doute l’une des raisons ; ressentant ses regrets, je leur ai demandé s’il voulait voir la fin ; trois regards étonnés, puis la réponse a fusé « oh oui, si cela ne dérange pas Béa » ; j’en ai profité pour faire comprendre que j’étais au courant « je crois que vu les événements dans le salon, ce matin, elle ne sera pas contre » Béa a eu un grand sourire et me déposant un baiser sur les lèvres « je vous laisse entre hommes, et si tu as besoin, appelle moi, sinon, je reviendrais plus tard »
J’ai remis en lecture le morceau en question, et j’ai vite constaté leur bosse, visible sous leurs survêtements. « Je crois que le corps de Béa n’a pas de secret pour John, mais pour toi, m’adressant à son ami, qu’en penses-tu ? » puis changeant le disque, je leur montre une série de photos prises lors d’une soirée avec des trois amis ; Béa suçant plusieurs queues avant de se faire prendre à la suite.

« j’aimerais bien que ma femme en fasses autant « c’est Michel qui vient de parler « Béa est très excitante et surtout très coquine ; cela lui arrive souvent de s’offrir ainsi ? » ; je n’ai pas le temps de répondre, car venant de la chambre : « à chaque fois que l’occasion se présente et que mon homme m’offre pour notre plaisir » quand nous nous retournons, nous découvrons ma Béa, en body laissant à découvert ses tétons déjà tendus et son pubis rasé, par l’ouverture inférieure ;des bas noirs et en haut talons, très maquillée, c’est une jolie petite coquine qui vient s’assoir en les deux garçons, posant sa main sur les sexes très visibles en relief ; « vous avez apprécié la séance à ce que je vois, et comme mon homme doit en avoir envie, je suis à vous » si John semble plus excité, Michel lui est un peu perplexe
« Tu veux baiser avec nous deux devant ton mari ? »
« oh oui, j’aime cela et lui aussi, avec ou sans lui, et j’espère que vous allez bien me faire jouir » se faisant, elle se penche sur lui et écartant son jogging, elle l’embouche complètement ; c’est le début d’une longue et chaude soirée, car aussitôt, John, après quelques pénétrations avec ses doigts, l’enfile sans aucune difficulté ; sa chatte est très dilatée et elle encaisse le gros chiffre qui maintenant la pilonne profondément ; lui tenant la tête à deux mains, Michel se branle littéralement , s’enfonçant sans ménagement dans sa gorge ; quand elle se retire, c’est pour encourager John qui la besogne, ses couilles frappant généreusement le fessier ;: « oh oui encore défonce moi, humm,….. Tu vas me faire jouir, regarde jean, lui aussi en profite, montre-lui comme ta grosse queue me ramone bien la chatte, regarde il se branle, cela l’excite de voir sa femme se faire prendre »
Il est vrai que moi aussi j’ai sorti ma queue et que je me masturbe, doucement, afin de ne pas juter trop vite ; je sais que la soirée ne fait que commencer. De fait, John accélère ses coups de butoir et enfoncé jusqu’aux couilles, il se cambre et s’écrit « putain, je jouis, t’es une sacrée bonne femelle » secouée à son tour par la jouissance, Béa a lâché la queue de Michel, qui se finit à la main et déverse sa jute sur le visage de Bea ; « oh oui, il me remplit, ses jets me fécondent, encore baise moi encore, j’ai envie de vos queues, » puis soudain un long crie s’échappe de ses lèvres ; les yeux révulsés, elle se libère, crie sa jouissance.
Michel, lui n’a pas débandé et quand son copain se retire, il allonge Béa sur la moquette, et lui remontant les jambes, les posent sur ses épaules et d’une traite, il s’enfonce dans le conduit béant ; quand il la pénètre, un flot de semence s’échappe de sa chatte et s’écoule sur le sillon culier ; Michel, en profite pour enfoncer son pouce dans l’anneau encore serré, ce qui fait broncher Béa « non pas cela, » il n’en tient pas compte, bien au contraire car , il s’y enfonce plus profondément, facilité par la mouille provenant de son vagin ; il l’amène à la jouissance , plusieurs fois, puis se retirant, il positionne sa queue sur l’anneau ; Béa n’a pas le temps de réagir qu’il la sodomise complètement ; l’anneau a lâché, accompagné d’un cri de surprise de Béa ; mais elle ne renâcle plus bien au contraire, car, prenant ses fesses a deux mains, elle les écarte, permettant ainsi que la queue s’enfonce encore plus profondément ; la sodomie est puissante, rapide et surtout très longue, car Michel a déjà joui tout à l’heure et sa raideur ne faillit pas ; il la pilonne, ressortant plusieurs fois du conduit , pour mieux la pourfendre ; à chaque fois, elle encaisse sans problème, traduisant son plaisir, l’encourageant à la défoncer ; quand enfin, il se repend dans ses entrailles, un long feulement traduit la jouissance de ma douce. Il s’est retiré , mais son conduit est béant et s’en écoule la semence qu’elle vient de recevoir ;
Même si son corps est extenué, son visage reflète son plaisir, et nous embrassant goulument tous les trois, elle veut se diriger vers la salle de bain. Je la retiens « pas si vite, tu m’oublies, à mon tour de prendre du plaisir ; et comme je sais que tu aime cela, nous allons te prendre en double, car je vois que John a retrouvé ses forces » ; en effet, il arbore à nouveau son sexe bandé et j’ai envie de lui offrir le cul de ma petite salope de femme ; m’allongeant sur le sol, j’att Béa ; elle a compris et d’une poussée, elle se plante mon chibre avec un grand « oh oui, j’ai envie de ta queue, baise moi fort aussi » ; l’agrippant par les épaules , je la couche sur moi ; je sais qu’ainsi, elle offre son anneau et m’adressant à John « vas y prend la en même temps ; elle aime être prise en double » son gland s’engouffre contre le mien ; il vient de lui faire une double vaginale et elle essaie de se défaire d notre emprise ; « non vous êtes trop gros tous les deux, vous allez me déchirer » John a une hésitation, mais je l’encourage à continuer ; pour moi , pas de grande possibilité de mouvement, mais par contre , lui est déchainé ; j’ai su plus tard que c’était la première fois que cela lui arrivait ; il a fallut peu de temps à Béa pour encaisser les deux vits et rapidement son plaisir a refait surface ; pris par sa fougue, John a quitté le fourreau, et voulant se replanter en elle, a donné un grand coup de bassin ; un cri de douleur de Béa ; car glissant sur le sillon bien graissé, c’est dans son cul qu’il venait de se planter, d’une seule poussée ; heureusement l’anneau était encore dilaté ; en quelques minutes, elle venait d’encaisser deux doubles, et lui venait de découvrir le plaisir de posseder une femme en double , et qui mieux est, les deux en une même baise ; quand à Béa, a nouveau vite dilatée, elle a encaissé nos queues, nous traitant, à la fois de deux enfoirés, mais aussi nous faisant découvrir l’ampleur de son plaisir. Finalement la jouissance nous a rattrapé et presque en même temps nous lui avons déversé notre sperme.
Je savais que cela n’allais pas en restait là les deux jours suivants, mais pour ce soir , nous étions tous comblés. Demain, il fera jour