Souvenirs De Vacances Naturistes

(Histoire vraie – il est évident que les prénoms ont été changés…
Vous pouvez rechercher d’autres souvenirs qui ont déjà été publiés).

Ceux qui me connaissent bien savent que je suis un inconditionnel du naturisme…
Il serait trop long de vous dire comment j’en suis venu là, mais c’est une pratique que j’ai découverte en Allemagne quand j’étais grand adolescent… A cette époque, il faut dire que depuis longtemps la pratique du naturisme (et du nudisme) était chose courante dans ce pays.

Malheureusement, je n’ai jamais pu faire partager cette activité à ma première épouse qui était bien trop prude pour cela… C’est tout juste si elle acceptait de faire l’amour en pleine lumière lors de nos premières années de mariage.

Veuf au début de la quarantaine, j’ai découvert le libertinage avec une première maîtresse, puis j’ai multiplié les aventures avec des femmes plus ou moins jeunes rencontrées dans ce qui à l’époque commençait à se répandre : les clubs échangistes.
Parfois les liaisons duraient plus d’une soirée…
Dans le même temps, chaque été je me rendais dans les lieux naturistes de la côte vendéenne ou landaise, ou même au Cap d’Agde.
La réputation sulfureuse de ce dernier lieu commençait à se répandre… grâce notamment aux étrangers, nordiques pour la plupart, qui progressivement ont transformé certains coins de la plage et des dunes en un baisodrome géant…



Quelques années plus tard, j’ai quitté la région parisienne pendant quelques années pour des raisons professionnelles.
C’est alors que j’ai rencontré, complètement hors du milieu libertin, une femme de mon âge.
Elle était également veuve avec de grands s, déjà installés dans la vie.
Bien qu’elle ne corresponde pas aux critères physiques que j’apprécie chez une femme (une jolie poitrine bien ronde, légèrement opulente, une taille marquée et des hanches un peu larges portant des fesses rondes…) nous sommes devenus amis « en tout bien tout honneur », partageant des sorties au théâtre, au cinéma, dans des expositions artistiques en fonction de nos goûts communs.


Après un diner fin dans un restaurant célèbre dans la région nous sommes revenus dans sa grande maison au milieu d’un parc arboré pour prendre une dernière coupe de champagne avant de nous séparer comme nous le faisions toujours.

Mais ce soir-là, rien ne s’est passé comme d’habitude…
Au moment où j’embrassais cette amie, nos lèvres se sont trouvées… et ce qui devait arriver… arriva…
Nous avons fait l’amour pour la première fois… après avoir dispersé nos vêtements sur le chemin de sa chambre, comme pris dans une sorte de frénésie...
Nous avons passé le weekend ensemble et c’est devenu une habitude… bien agréable au demeurant…
J’ai découvert une femme ardente dont le mari n’avait certainement pas su découvrir quels talents elle recélait en elle…
Elle m’a avoué qu’elle n’avait jamais fait de fellation à son mari (ils s’étaient mariés vierges !) et que celui-ci se contentait de la prendre dans la position la plus classique qui soit !
C’est ainsi que progressivement je lui ai fait découvrir combien c’était bon de faire un 6 9, d’adopter certaines positions dans lesquelles, certes la femme domine, mais peut sentir monter son plaisir en étant empalée sur un sexe vaillant…
Pour éviter les commérages et aussi rassurer nos s respectifs (les siens, bien qu’étant indépendants, ne m’acceptaient guère), nous nous sommes mariés dans la plus stricte intimité. Seuls nos s respectifs étaient dans la confidence…
Je ne pouvais pas abandonner mon logement de fonction où vivaient mes s…
Nous nous retrouvions de plus en plus souvent dans sa grande maison située en basse vallée du Rhône à une dizaine de kilomètres de chez moi…
L’été, c’étaient de longues marches dans les forêts des environs ou des heures de farniente au bord de la piscine à écouter le chant des cigales…
Nous égrainions nos souvenirs de jeunesse, ceux de nos précédents mariages, nos projets de vacances dans les îles…
Bref, nous étions bien !
Souvent le soir, avant de rentrer dans la maison, nous piquions une tête dans la piscine où une fois en chahutant comme des ados, j’ai dégrafé son soutien gorge et libéré sa poitrine qui n’avait guère besoin de soutien.
Je lui ai dit :
- Chiche, on enlève tout ! Tu verras comme on est bien !
- D’accord, si tu veux… à cette heure personne ne nous verra… en plus les murs sont hauts !

C’est ainsi que se baigner nus en soirée est devenu une habitude !
Si bien que nous avons envisagé de tenter l’expérience d’un weekend dans un gîte naturiste situé dans le Haut Var et qui portait bien son nom puisque nous avions envie de roucouler à deux à l’ombre des pins.
Nous en sommes revenus enchantés, nous promettant de recommencer l’été suivant pour un séjour plus long.
Malheureusement, le bonheur retrouvé n’a pas duré puisque ma seconde épouse a été également emportée par la maladie d’une manière quasi foudroyante… mettant fin à un peu plus de 18 mois de relations amicales et moins d’une année de mariage…



Les mois, les années, bref le temps a passé.
Je suis revenu en région parisienne…
J’ai repris mes habitudes de libertinage…
Cela ne m’empêchait pas de penser à l’une et l’autre de mes épouses…
Nous avions connu le bonheur…
Cela ne leur enlevait rien, ce n’est pas comme si je les avais trompées de leur vivant…
Puis un été, je suis retourné sur la Côte landaise où j’avais loué un bungalow pour deux semaines…
J’ai retrouvé cette ambiance décontractée qui règne dans ces campings où tout le monde se promène nu ou presque…
C’est à cette occasion que je suis allé rendre visite à Alice, une jeune femme dont j’avais fait connaissance sur un site érotique d’Internet.
Nous nous étions promis de nous rencontrer si un jour nous en avions la possibilité… et je dois avouer que le lieu choisi cette année la, n’était pas innocent !
Nous avons passé un après-midi ensemble dans un bavardage coquin qui nous a entrainé dans une belle partie de jambes en l’air…
Elle était chaude comme la braise et moi, un peu en manque de sexe !
Vous voyez certainement ce que je veux dire…



Au camping, malgré certains appels non dissimulés, j’étais resté sage… me contentant de regarder ces jolies naïades qui s’ébattaient dans l’eau ou sur l’immense plage du domaine… Il y en avait de bien belles, jeunes ou moins jeunes… mais elles semblaient accompagnées… et le petit intermède avec cette « amie » m’avait suffi !
Au final, je me suis rendu compte que toute cette agitation ne me convenait plus…
J’en ai parlé avec le gérant de la superette du camping qui m’a dit :
- Pourquoi ne pas aller dans le Périgord ? Il y a un gîte qui a ouvert l’an passé… On ne m’en a dit que du bien… C’est calme et convivial et en plus, la patronne serait une fameuse cuisinière !
- Ok ! Merci du tuyau ! Je vais me renseigner en rentrant chez moi !
- Vous verrez, c’est beaucoup plus calme, d’après ce que je sais, le lieu n’accueille que 40 personnes au maximum… Il y a des chambres dans les bâtiments et des bungalows disséminés à une centaine de mètres de la piscine.

- Cà me semble bien ! Merci !



C’est ainsi que les vacances terminées, je suis allé sur la toile et j’ai trouvé facilement les coordonnées de cet établissement…
Les témoignages sur un site spécialisé de ceux qui y étaient passés étaient élogieux…
Les photos montraient un endroit à la tenue irréprochable : Un grand corps de ferme aménagé avec une grande salle commune avec ne cheminée rustique, des studios et appartements en nombre limité, un coin balnéo ouvrant sur une vaste terrasse ombragée puis sur une belle piscine avec une large plage pourvue de transats, et en bordure du bois quelque bungalows…
Cela me convenait tout à fait…
J’ai donc fait la réservation d’un bungalow pour la première quinzaine de juillet de l’année suivante !



Dès mon arrivée, j’ai été accueilli par une jeune femme qui, après les formalités d’usage, m’a guidé vers mon bungalow…
Mon installation a été rapide et après une douche bienfaisante et relaxante, j’ai parcouru les installations que je trouvais en tous points conformes au descriptif…
Effectivement, chaque famille pouvait en profiter comme elle le voulait…
En cette fin d’après-midi, il y avait pas mal de monde autour de la piscine et les plus jeunes disputaient âprement un match de beach-volley dans le plus simple appareil.



En début de soirée, comme il est de coutume un peu dans tous les campings, nous avons eu droit au POT D’ARRIVEE… réunissant les nouveaux membres avec ceux qui étaient là depuis une semaine ou plus.
Il ne m’a pas fallu longtemps pour me rendre compte que je serais le plus âgé du groupe… Mais cela ne me gênait pas…
Il y avait deux couples d’allemands d’une cinquantaine d’années… Ils semblaient être ensembles et là depuis pas mal de temps car leur bronzage était très réussi ! Ensuite, il y avait trois autres couples avec des grands adolescents… puis plusieurs jeunes couples dans la vingtaine… ou trentaine d’années…
Le propriétaire nous a souhaité la bienvenue en disant que ce n’était pas parce que sa femme, le personnel et lui étaient habillés que nous devions renoncer à ce pourquoi nous étions venus : prendre le soleil en toute liberté !
Puis nous avons fait connaissance les uns avec les autres…
L’ambiance était vraiment très conviviale autour d’un buffet abondamment garni de spécialités locales…
Il y avait de jolies femmes… certaines ne portaient rien du tout, d’autres avec juste un petit triangle de tissu…
La plupart des femmes qui étaient entièrement nues, l’étaient véritablement… La toison pubienne était absente ou se limitait à une simple bande de poils.

Seule une femme enceinte portait un soutien gorge sur une poitrine des plus opulentes…
Du côté des hommes, je puis dire qu’il y en avait pour tous les goûts… des musclés certainement habitués des salles de sports, d’autres plus « fades » mais malgré ma petite brioche et mes 60 ans passés, je ne me trouvais pas déplacé.
Quant aux attributs masculins (pour autant que je m’en souvienne), il y en avait de toutes les tailles… mais au repos, comment les apprécier à leur juste valeur ?
Quelque peu fatigué par les 500 km de route au travers du Massif central, j’ai quitté l’assemblée d’assez bonne heure…
La nuit était tombée et un croissant de lune illuminait le ciel.
Le cheminement vers les bungalows était jalonné de petites lumières bleutées du plus bel effet !
J’ai été surpris que deux jeunes femmes m’emboitent le pas en disant :
- Nous sommes voisins… Faisons le chemin ensemble !

Elles devaient avoir autour des 30 ans…
Je me souviens que j’ai plaisanté en leur disant qu’elles avaient peut-être peur du loup !
Elles ont éclaté de rire et… nouvelle surprise, elles marchaient à côté de moi en se tenant par la taille.
Celle qui avait des cheveux blonds et courts m’a dit :
- On ne te choque pas, j’espère ? Nous sommes ensemble en couple… pour nos vacances !
- Il en faut d’autre pour me surprendre… vous êtes libres de n’aimer que les femmes.
- Non… Quelle horreur ! Nous aimons les hommes aussi… Nous sommes mariées mais nous avions envie de nous retrouver sans nos mecs !

Celle qui avait les cheveux blonds tombant sur les épaules et que j’avais remarquée lors de la soirée avec sa poitrine opulente a ajouté en riant :
- Nous étions en internat ensemble… Nous nous retrouvons tous les étés entre filles… Il en manque d’ailleurs deux qui arriveront la semaine prochaine !



J’allais donc avoir à proximité immédiate de mon bungalow deux puis quatre filles qui n’avaient pas froid aux yeux… et qui avaient semble t il chaud aux fesses !
Pour prendre congé, les filles m’ont embrassé et celle qui avait les cheveux longs a pressé ses seins contre ma poitrine plus que nécessaire et son pubis contre le mien en chuchotant à mon oreille :
- Fais de beaux rêves ! Demain est un autre jour !

Cette coquine avait éveillé ma libido, si bien que mon sexe était dressé lorsque je les ai quittées.



Le lendemain matin, alors que je somnolais encore un peu dans mon lit, j’ai été tiré de ma torpeur par des coups frappés à ma porte et des cris joyeux :
- Hola… Paresseux… Il va être 9 heures… On est allé chercher les croissants… En échange, offre nous le café… On a oublié d’en acheter !

C’était mes deux voisines qui se manifestaient ainsi…
Lorsque j’ai ouvert la porte, elles se tenaient devant moi, un bras négligemment passé autour de la taille de l’autre… chacune portant un paquet…
Un sourire resplendissant éclairait leur visage…
C’est à ce moment que j’ai réalisé que j’étais sorti du lit complètement nu et le sexe dressé comme souvent le matin !
Agnès, la blonde aux cheveux courts s’est exclamée en riant :
- Oh… le bel organe ! Je n’avais pas bien vu hier soir !
- Vous savez, il n’a rien d’extraordinaire… S’il est un peu trapu, il est aussi relativement court !
Daphnée, la blonde aux longs cheveux a dit à son tour :
- L’essentiel n’est-il pas de savoir s’en servir pour rendre une femme heureuse ?
Agnès et moi, nous en avons convenu dans un grand éclat de rire et j’ai ajouté :
- Vous semblez être des connaisseuses !
- Tu ne crois pas si bien dire… Nous sommes complètement bisexuelles et nous ne crachons pas sur les messieurs quand nos hommes ne sont pas là !

En moi-même j’ai pensé que décidément mon séjour démarrait sur les chapeaux de roues… Ces deux coquines me faisaient des avances non dissimulées…
C’est ainsi qu’au cours de ce petit déjeuner prolongé, nous avons parlé librement de notre sexualité.
Les deux filles m’ont raconté comment, lorsqu’elles étaient en terminale et internes dans un lycée privé en bordure du bois de Boulogne, elles s’étaient « découvertes ».
Les filles et les garçons étaient séparés sans aucune possibilité de se rejoindre clandestinement dans les dortoirs ou ailleurs…
Agnès et Daphnée avaient satisfait leur libido en entretenant une relation saphique et avaient découvert qu’elles n’étaient pas les seules dans l’établissement.
Elles avaient ainsi pu changer de partenaires au gré de leurs envies…
Les études universitaires les avaient séparées, elles étaient entrées dans la vie active, elles s’étaient mariées…
Daphné et Ellen avaient eu un qui était confiés pendant les vacances à des grands parents heureux...
Je n’ai pas fait mystère de ma vie d’époux fidèle et de libertin comme je l’ai déjà expliqué.
J’ai découvert ainsi qu’Agnès était plutôt dominatrice dans la relation qu’elle entretenait avec Daphnée, qui semblait accepter cela…
En plus, alors que nous étions en train de ranger les restes de notre petit déjeuner elle a lancé :
- Fais nous connaitre un club échangiste… Il doit bien y en avoir un dans la région !
- OK… si cela vous fait envie… on va chercher ! Le dimanche, on devrait trouver quelque chose d’ouvert.



C’est ainsi que nous avons pris la route de Bergerac où un établissement portant bien son nom nous attendait en périphérie de la ville à partir de 15 heures…
Lorsque nous sommes arrivés sur le parking, nous avons découvert une belle maison de maître au milieu d’un parc… A part une plaque dorée portant le nom de l’établissement près du portail, rien ne laissait penser que nous allions entrer dans un lieu coquin…
Comme c’est souvent le cas, j’ai été le seul à acquitter un droit d’entrée dans la mesure où j’étais accompagné de deux jolies jeunes femmes…
Au bar, nous avons été accueillis par le patron de l’établissement auquel j’ai expliqué que mes deux compagnes découvraient un club coquin…
Il a demandé à une des barmaids de nous faire visiter les lieux et de nous expliquer le fonctionnement du club…
Puis, nous sommes passés par le vestiaire où nous avons déposé nos vêtements et autres affaires dans des casiers prévus à cet effet… Les filles portaient désormais un paréo et moi, un short long et vague.
Ainsi, nous ne serions pas encombrés, libres de nos mouvements…
Partout, la couleur fuchsia de l’éclairage colorait les murs et donnait de la chaleur aux différentes pièces. Baignée d'une lumière tamisée, au sous-sol, la partie balnéo abritait des douches, un sauna et un grand bain à bulles pouvant accueillir facilement une dizaine de personnes. Pour la « détente et plus », de jolis salons câlins thématiques s'offraient à toutes sortes de fantasmes.
Mes deux compagnes étaient enchantées… Elles se collaient à moi, une de chaque côté et me prennent par la taille… et me remerciaient en m’embrassant mêlant leur langue à le mienne…
C’est déjà bien chaud.
Puis, pour prendre une boisson, nous sommes retournés au bar d’où nous avions vue sur la grande piste de danse équipée d'une cage et d’un podium où les dames pouvaient offrir des shows enflammés ou s’ébattre à plusieurs... dans des combinaisons variables…
En fait, c’était la même organisation que dans la plupart des clubs libertins.



Je passe volontiers sur ce qui s’est passé dans le club…
Mais mes deux compagnes, après avoir s’être offert une étreinte lesbienne sur le podium central (et attiré des curieux), m’ont entrainé dans un coin câlin où je les ai honorées l’une à la suite de l’autre, lâchant au final une belle giclée entre les seins de Daphné.



De retour au bungalow, elles n’ont pas voulu me quitter et nous nous sommes endormis tous les trois, bras et jambes emmêlés pour une nuit sans rêves… jusqu’au milieu de la matinée !
Lorsque je me suis réveillé, je bandais à moitié, mon sexe logé entre les fesses généreuses de Daphnée et Agnès était collée dans mon dos, une main passée au dessus de moi et posée sur le sein droit de notre complice…
Je n’osais bouger… Elles semblaient encore endormies…
Mais NON… elles ne dormaient pas…
Daphné, sentant mon sexe entre ses fesses, a commencé à s’agiter et sans presque bouger a entrepris un savant massage de mon sceptre qui s’est déployé entre ses globes…
Agnès m’a soufflé doucement :
- Baise la par derrière… elle aime ! Quant à moi, je passe devant !
C’est ainsi que, couchés sur le côté, je me suis glissé entre les fesses de Daphné pendant qu’Agnès se mettait en 6 9 devant… Je sentais son haleine sur mon sexe qui allait et venait dans la chatte de Daphné… Humm ! Que c’était bon !



Le reste de la semaine a été plutôt calme… Nous passions beaucoup de temps au bord de la piscine à lézarder… J’étais comme un pacha avec une fille de part et d’autre, lesquelles semblaient dire : « Il est à nous ! » quand une autre femme me regardait avec insistance.
Après le diner du vendredi soir précédent l’arrivée d’Ellen et de Stéphanie, nous nous sommes offert une séance de sauna, balnéo, bains à remous… dans lequel, j’avais de part et d’autre ces deux coquines qui me chauffaient…
Quand l’une m’embrassait, l’autre branlait doucement mon sexe… quand un homme seul est arrivé… C’était un des « culturistes ». Il nous a interpellés joyeusement en disant :
N’y aurait pas une place pour moi ?
Agnès a répondu :
Quand il y en a pour un, pourquoi pas pour deux… Viens je vais m’occuper de toi !
Pendant que je baisais Daphné, il en a fait autant avec Agnès puis il nous a laissés.



Le lendemain, j’ai fait connaissance avec Ellen et Stéphanie mais les filles sont restées entre elles…
Le matin du dimanche, j’ai eu de nouveau droit à la séquence « on n’a pas de café ! » et nous nous sommes retrouvés à cinq sur la petite terrasse du bungalow pour un petit déjeuner qui a duré... jusqu’à midi !
Autant Ellen était une jolie rousse au visage constellé d’éphélides avec des formes menues, autant Stéphanie était brune de peau avec des cheveux d’un noir de jais… et des formes dignes d’une fille du soleil : Des seins en forme de pomme bien durs, des hanches un peu larges et des fesses rondes sous une taille cambrée…
J’étais comme un coq en pâte au milieu de ces quatre filles.



Ne croyez pas que je leur ai fait l’amour le soir même…
En fait, pendant plusieurs jours nous sommes restés « sages » jusqu’au mardi soir (si je me souviens bien…) où Ellen est venue frapper à ma porte au moment où je m’apprêtais à me coucher :
Nous avons tiré au sort… Ce soir, je dors avec toi !
Tu sais ce qui va se passer ?
Oui… c’est ce que je veux ! Etre baisée par un homme qui s’y connait bien ! Agnès et Daphné ne m’ont fait que des compliments !
OK… Alors, entre !

Nous étions nus tous les deux et la brève conversation avait commencé à faire son effet… Mon sexe se relevait… si bien qu’Ellen l’a embouché aussitôt pour achever de me faire bander…
Mais, je voulais lui donner un orgasme buccal avant de la prendre, aussi nous nous sommes retrouvés en 6 9 sur le lit… avant de passer aux choses sérieuses…
Le lendemain matin, les trois autres filles sont venues nous retrouver alors que nous étions encore dans les bras l’un de l’autre… à moitiés endormis… La nuit avait été rude !
Agnès, qui décidément semblait le chef de bande a demandé à Ellen :
Je te l’avais dit que c’était un bon coup malgré son âge !
Oh oui… Il y a longtemps qu’on ne m’avait pas envoyée au 7ème ciel comme il l’a fait.
Stéphanie s’est écriée :
Je te laisse une nuit de repos… mais demain soir c’est mon tour…
Comme tu veux, je suis à ta disposition !



Voila comment se sont déroulées ces deux semaines de vacances…
C’était différent et plus intime que sur les plages… et j’étais tombé sur quatre belles luronnes…

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