Le Dossier Dupuis

Le dossier Dupuis … Je vous en ai déjà parlé du dossier Dupuis. Depuis la dernière fois (Escapade à Dinard), il n’avait pas avancé d’un iota. Entre les fois, où je remets à plus tard, les fois où Dupuis me fait faux bond, le dossier Dupuis est au point mort.

J’ai décidé en début de semaine de prendre le taureau par les cornes et d’appeler Dupuis.

Ce dossier, je l’ai depuis deux mois. Dupuis, chef d’une entreprise de travaux publics, est du genre à jouer les filles de l’air. A chaque fois qu’on doit se voir pour avancer sur son dossier, il annule au dernier moment. Et du coup le dossier Dupuis, reste là, sur mon bureau à prendre la poussière.

Cette fois, il ne s’échappera pas, je l’ai eu en ligne et je lui ai arraché un rendez-vous à son bureau l’après-midi même. « 16h30 tapantes », ais-je même précisé, d’un ton qui ne laissait la place à aucune négociation. Je l’ai même menacé de laisser tomber son affaire au cas où …

J’arrive à la boite de Dupuis à 16 heures, histoire d’assurer le coup. Je me gare dans la cour. Et nom d’une pipe, j’aperçois mon Dupuis qui monte dans sa voiture, prêt à s’en aller. Je lui fais de grands signes sur le parking et je m’approche avant qu’il ne s’en aille. Ce n’est pas possible ! Il a peur de moi ou quoi !

- Bah alors monsieur Dupuis, vous avez oublié notre rendez-vous !
- Ah bonsoir Mademoiselle Marsac … Euh non, mais j’ai un imprévu sur un chantier. Il faut que j’y aille.
- Mais oui monsieur Dupuis, mais il va bien falloir qu’on le boucle votre dossier. Si vous voulez avoir gain de cause auprès du tribunal. L’échéance approche, c’est dans deux mois et moi j’ai encore pas mal de travail derrière ! il faut qu’il soit béton votre dossier ! Béton …. Entreprise de travaux publics …. Béton … Non ?
- Euh …

Bon à priori, il ne réagit pas à mon jeu de mot. Bon, je vois que vous pensez vous aussi, il est foireux mon jeu de mot.

Je ne peux pas vraiment vous donner tort, mais on fait ce qu’on peut hein ! Je suis un peu sur les nerfs aussi.

- Euh, oui d’accord mademoiselle Marsac. Mais j’ai préparé tout ce que vous avez besoin. C’est dans le bureau d’Anne-Sophie, ma comptable. D’ailleurs, Anne-Sophie vous aidera, je l’ai mise au courant de votre venue.
- Bon … Ecoutez, on va faire pour le mieux.
- C’est ça, mademoiselle Marsac, merci … Mais il faut que je file …

Et voilà mon Dupuis qui s’évade une fois de plus. Mais cette fois, j’ai le nom de sa comptable. Je ne vais pas la lâcher la Anne-Sophie. J’en ai marre du dossier Dupuis et sa poussière qui embarrasse mon bureau. Soit on aboutit aujourd’hui, soit le dossier Dupuis termine à la corbeille. J’ai parfois des réactions de maniaque et un dossier qui dépasse, ça me hérisse les poils. Tant pis pour le manque à gagner pour la boite. Je m’en expliquerai avec le boss.

Je traverse la cour de l’entreprise de travaux publics. Je suis un véritable spectacle pour trois ouvriers qui chargent un camion. Une blonde en mini-jupe, avec des talons hauts qui évite les flaques d’eau au milieu de la cour, ça dénote légèrement.

J’arrive au bâtiment administratif et j’accoste un type dans le couloir :

- Bonjour, je cherche le bureau d’Anne-Sophie, la comptable …
- Euh, oui là-bas, me dit-il en désignant un bureau vitré, au bout du couloir

Je frappe à la porte et entre :

- Bonjour, je suis Laetitia Marsac, je viens pour …
- Oui oui, bonjour, monsieur Dupuis m’a mise au courant. Je suis Anne-Sophie, la comptable de l’entreprise. Entrez …, me dit-elle en se levant.

Je me retrouve face à une femme d’une trentaine d’année, du genre, comment dire …. Ronde. Enfin bien ronde. Une femme assez grande, mais plutôt forte. Pas grosse, forte …. Des hanches larges, une poitrine plus que généreuse, des fesses larges aussi ….

Le truc, c’est que ses vêtements ne sont pas du tout assortis à sa morphologie.
Au lieu de mettre des vêtements un peu amples, elle porte un tailleur à carreau qui épouse ses formes de près. De très près, même si vous voyez ce que je veux dire. En un mot comme en cent, au plus près, ça l’épouse Anne-Sophie ! En fait ça boudine et ça fait ressortir ses formes. Plutôt que fille ronde, ce qu’elle est, elle parait grosse, ce qu’elle n’est pas ment.

Sa jupe qui lui arrive à mi-cuisses est si serrée qu’elle lui compresse les fesses. Elle a des cuisses trois fois plus grosses que les miennes. Elles restent toutefois fermes apparemment. Voilà … un gros cul, des grosses cuisses, mais le tout ferme. Ca passerait à l’aise, si elle s’arrangeait un peu.

D'autant plus qu’elle a plutôt un joli visage. Brune, les cheveux mi- longs qui lui tombent dans le cou, elle a un joli regard (vert) et un sourire magnifique. Bon, moi les yeux verts me font craquer … Le tout est rehaussé par un grain de beauté sur la pommette qui lui donne un charme fou. Le seul bémol (et encore), serait qu’elle force un peu sur le maquillage, fond de teint et rouge à lèvre.

Anne-Sophie m’explique que Dupuis a tout préparer, qu’elle est au courant de tout, donc si j’ai besoin, je ne dois pas hésiter, que les locaux sont petits et qu’il n’y a pas d’autre bureau disponible, mais que je peux m’installer en face d’elle pour travailler et partager son bureau (le tout d’une traite, sans ponctuation et quasiment sans reprendre sa respiration).

Je m’installe donc sur le fauteuil en face d’elle, sort de ma sacoche mon MacBook, ouvre le dossier et attaque la pile de documents préparés par Dupuis. Même si elle a débarrassé un bout de bureau, ça manque de confort et de place tout ça. Enfin bon, du moment que le dossier Dupuis avance !! Moi, ça me va !!

J’ai tellement envie de le boucler que je m’absorbe complètement à ma tâche. Je feuillète les documents, prends quelques notes sur mon traitement de texte, annote le dossier informatique, pour en modifier certains passages plus tard.


A un moment, je lève légèrement la tête et je vois Anne -Sophie, enfin non, je ne la vois, pas, je la surprends, le regard fixé sur mon décolleté. Je lève plus franchement les yeux et la voilà qui détourne le sien, les joues légèrement empourprées, comme si je la prenais en faute.

Je porte un petit spencer gris sur un chemisier blanc, qui est légèrement ouvert sur ma poitrine, peut être un bouton de trop ouvert, et encore !. Ça laisse voir la naissance de ma poitrine, peut être ! Quand je tends le bras pour chercher un papier sur la pile, ça doit laisser entrevoir la dentelle de mon soutien-gorge blanc. Peut-être ! En tout cas, Anne-Sophie, ça a l’air de la passionner mon décolleté. Elle s’intéresse aux femmes, Anne-Sophie ? On dirait bien. Regarder de la sorte, se sentir coupable quand on la surprend, elle n’a pas la conscience tranquille.

On va voir, je veux en avoir le cœur net. Je fais semblant de me replonger dans mon dossier, tout en surveillant ma nouvelle copine du coin de l’œil. Très vite, comme rassurée, Anne-Sophie se remet à mater mes seins. Joueuse, je relève la tête, lui souris et m’étire les bras haut levés. Ca a pour effet de faire gonfler et ressortir ma poitrine. Là elle a vue sur la dentelle de mon soutien-gorge, c’est sûr. D’ailleurs, Anne-Sophie un peu obnubilée ne réagit qu’après un laps de temps de deux ou trois seconde, avant de détourner le regard !

J’ai envie de jouer un peu.

- Ouh la la ! J’ai un peu mal au dos à force de rester penchée sur ce dossier, fis-je. Je m’accorde une petite pause.

Je recule le fauteuil à roulette d’une trentaine de centimètre, afin de l’écarter du bureau, pour qu’Anne-Sophie puisse avoir une vue d’ensemble. Je croise mes jambes. Ma jupe courte remonte sur ma cuisse et la découvre partiellement. Le regard d’Anne-Sophie est aimanté sur ma jambe. En plus, je n’en suis pas sure, mais en-dessous au niveau de la jupe, on doit pouvoir voir un peu de la dentelle noire de mon Dim-up.
Je baisse le regard pour vérifier. En effet, un mince liseré de dentelle, à peine un demi-centimètre dépasse de ma jupe.

« Tu voulais mater en douce ma chérie, là tu es servie et tu vas apprécier mon jeu de jambe ! », me dis-je à moi-même en décroisant et recroisant et en m’arrangeant pour faire remontera ma jupe un peu plus encore. Et voilà que je m’étire une fois de plus en gonflant ma poitrine. « Tu vas en avoir pour ton argent, ma chérie » Le petit jeu de l’exhibition discrète, je sais faire. Faire plaisir aux goudous refoulées, ça me plait aussi.

L’homme que j’ai croisé en entrant passe la tête par la porte du bureau :

- Ah Anne-Sophie, je m’en vais. En fait, il n’y a plus que toi … Et mademoiselle … Le patron a appelé, il ne revient pas. Tu boucle tout en partant, t’es la dernière !
- Oui oui, ne t’inquiètes pas, je fermerai en partant !

Nous voilà seules, Anne-Sophie et moi dans les locaux.

- Laetitia, vous voulez un café ?
- Euh oui pourquoi pas, c’est un peu tard pour moi, mais oui ! Merci Anne-Sophie
- Je vais vous en chercher un à la machine, dans le couloir, me dit-elle en se levant et en posant un regard plus qu’appuyé en passant sur mes cuisses.

Je me retourne sur son passage, pour la regarder sortir du bureau. Un gros cul, mais ferme, ça j’en mettrais ma main au feu ! Enfin au feu non … Je mettrais ma main sur ses fesses plutôt !! Cette expression main au feu est idiote ! Main aux fesses est beaucoup plus adapté. Franchement, qui va mettre sa main au feu, alors qu’il a un postérieur à disposition.

- Court sans sucre, s’il vous plaît !
- Oui oui …

Je vois à travers les parois en verre Anne Sophie insérer les pièces dans la machine et attendre que le café remplisse le gobelet. Elle jette sans arrêt des regards vers moi.

« Tu veux mater, je vais t’en montrer un peu plus ma grande ! ».

Je me lève, relève ma jupe sur mes cuisses, et fait semblant de réajuster mon bas, comme s’il avait glissé. Avant de remettre ma jupe en place et me rassoir. D’un regard en coin, j’ai vu qu’Anne-Sophie n’a pas perdu une miette de la scène que j’ai joué pour elle.

Quand Anne-Sophie revient avec le café, je me suis remise au travail. Enfin, ayant à peu près tout ce que j’ai besoin pour mon dossier déjà, je fais semblant de m’être remise au travail.

- Ah merci Anne-Sophie pour le café, vous êtes adorable, lui fis-je en souriant.

Histoire de l’hypnotiser un peu plus, j’ai ôté un bouton de plus à mon chemisier, avant qu’elle ne revienne. Là on voit bien une partie de mes seins. Pas de soucis.

Anne-Sophie s’en est aussitôt aperçue. Elle ne lâche plus ma poitrine et le soutien-gorge qu’on aperçoit largement maintenant.

Même quand je relève les yeux, elle a du mal à détourner les siens.

Elle ne va pas tarder à être à point. On va passer à l’étape suivante …. Je suis sûre qu’elle mouille sa culotte ! D’ailleurs, moi, ce petit jeu commence à me plaire aussi.

- Anne-Sophie ?
- Oui Laetitia
- Il y a un truc que je ne comprends pas là ... dis-je en désignant mon ordinateur
- Quoi ?
- Venez voir !

Elle fait le tour du bureau, appuie ses deux mains sur le plateau et se penche pour regarder l’écran de mon MacBook.

- Regardez là, si je compare avec votre dossier, je ne comprends pas ce que cet avenant fait là, il ne sert à rien …

Elle se penche encore plus. Je me suis légèrement redressée pour approcher mon visage de l’écran aussi. En fait, ma joue et à quelques centimètres de la sienne. Je vois l’œil d’Anne-Sophie se tourner. Elle s’est aperçue de notre promiscuité.

Je tourne légèrement la tête et l’embrasse sur le coin de la joue. Elle ne semble pas réagir, ni même savoir si elle doit réagir, mais intérieurement ça doit cogiter. Elle ne doit pas savoir où elle en est. Ça doit turbiner dans son crane (et dans sa culotte aussi !).

Par contre en dehors, elle semble pétrifiée et reste bouche bée. Mon petit bisou, sur le coin de sa lèvre l’a transformée en statue. Je suis un peu sorcière sur les bords, on dirait, je pétrifie et j’ensorcelle d’un seul bisou

Cette fois, j’ai tourné mon visage et j’embrasse ses lèvres plus franchement. Je glisse même ma langue dans sa bouche toujours entrouverte. Réflexe conditionné ? Peut-être, sa langue tourne en même rythme que la mienne alors que le reste de son corps reste pétrifié.

Je libère sa bouche, elle est toujours figée. Je le prends par la taille, la fait tourner et me mets en face d’elle, pour l’embrasser à nouveau, cette fois sans me tordre le cou.

Ca a pour effet de la faire enfin réagir. Son corps raide semble se détendre. De son côté le baiser devient également actif. Elle colle ses lèvres aux miennes, pénètre sa langue dans ma bouche, la retire, s’écarte légèrement pour s’adosser au bord du bureau, Son rouge à lèvre rouge vif s’est étalé autour de ses lèvres par l’effet du baiser passionné que nous venons d’échanger. Elle a dû m’en coller partout aussi autour de la bouche. Mon rose à lèvre pâle ne fait pas le poids par rapport à son rouge vif.

- Qu’est-ce que je fais …. Me dit-elle en s’écartant tout rouge, Mais qu’est-ce que je fais !!! Excusez-moi Laetitia, quelle honte. Excusez mon comportement !!
- Ah tais-toi net viens là, lui dis-je en l’attirant vers moi à nouveau. Tu en meurs d’envie depuis une heure. Moi aussi d’ailleurs, j’en meurs d’envie … Profites donc au lieu de te poser mille questions inutiles …
- Oui mais …
- Chuuuttt …. Les femmes t’attirent, tu en as une sous la main … Une femme qui a envie de toi en plus !

Mes mots la libère. Elle m’attire contre elle et colle à nouveau sa langue dans ma bouche. Elle me sert contre elle. Je dois faire minuscule entre ses bras. J’ai au moins 15 centimètres de moins, je suis deux fois moins large, je dois disparaitre littéralement.

Ses mains toutes excitées passent sur mon corps, mes hanches, mon ventre, mes fesses. Ses mouvements sont brusques, guidées par la tension qui l’anime. En fait elle me pelote partout en poussant de gros soupirs, entre deux tours de langue.

Elle m’a écartée légèrement, lâchant t enfin ma bouche (je respire goulûment du coup, j’allais manquer d’air), pour glisser sa main dans mon décolleté à la recherche de ma poitrine qu’elle a tant regardé tout à l’heure. De mon côté j’ai plaqué mes mains sur ses cuisses et j’essaie sans trop de succès de remonter sa jupe trop sérrée.

Cette fois, elle se lâche Anne-Sophie. Et dans l’état où elle est, ça va faire mal !

- N’arrache pas tout quand même, j’y tiens à ce chemisier, lui dis-je alors qu’elle déboutonne fébrilement le vêtement.
- Mais qu’est-ce que je suis en train de faire !!! continue-t-elle sans s’arrêter.
- Tu es en train de me déshabiller …

Moi, j’ai enfin réussi à remonter sa jupe sur ses fesses et à découvrir ses cuisses entièrement. J’avais raison. Ses cuisses sont fermes. Larges, mais fermes. Un peu de cellulite, certes, mais en tout cas, c’est loin d’être laid. Je m’occupe de ses fesses maintenant. Mes mains sont dessus. J’ai enfoncé mes ongles dans les collants que j’ai déchirés. Sous le coup de la griffure, elle lâche un gémissement.

Elle me retourne et me colle contre le bureau. J’ai les fesses en suspend sur le bord du plateau. Anne-Sophie a poussé largement mon spencer et mon chemisier maintenant entièrement déboutonné vers l’arrière, découvrant ainsi mes épaules et les bretelles de mon soutien-gorge. Elle tire les fines bretelles et le fait descendre sur mes avant-bras, découvrant par là-même mes seins gonflés par l’’excitation. Elle se penche vers moi et gobe un téton en malaxant l’autre. Elle n’est pas vraiment douce, mais c’est du à son excitation extrême. Pas d’expérience à priori avec une autre femme. Un peu gauche dans ses gestes. Surement sa première fois. Elle doit satisfaire un vieux fantasme.

En tout cas, elle ne se demande plus ce qu’elle est en train de faire …

Elle s’est accroupie devant moi et me lèche le ventre et le nombril maintenant, tout en passant ses mains sous ma jupe. Elle la remonte en embrassant mes cuisses. La jupe enfin remontée, son regard se fixe sur l’auréole sur mon string blanc entre mes jambes.

- Tu vois comme j’ai envie de toi Anne-Sophie ?
- Oui
- Attends, écartes toi, on va se déshabiller, lui dis-je dans un souffle

En fait, j’ai voulu jouer avec elle au chat et à la souris, à la chatte et à la souris plutôt, mais j’ai été prise à mon propre jeu, je suis dans le même état qu’elle.

Pour ma part, je suis déjà à moitié nue. Anne-Sophie, s’en est chargée. Je termine mon déshabillage rapidement. Je fais tomber mon chemisier et mon spencer, dégrafe mon soutien-gorge, baisse ma jupe, fais glisser mon string et enlève mes escarpins.

Anne-Sophie, quant à elle, vient découvrir deux gros seins et un ventre avec quelques bourrelets, elle baisse sa jupe.

- Allonge-toi sur le bureau, lui dis-je en enlevant mon MacBook et les dossiers qui traine dessus.

Elle s’est allongée et je m’occupe de terminer son déshabillage. En effet, j’ai craqué son collant avec mes ongles. Elle a une belle griffure sur le cul. Ça lui fera un souvenir de moi pour quelques jours !

Je baisse et enlève ses collants et sa culotte et les jette sur le tas de vêtements qui jonchent le sol au pied du bureau.

Elle a remonté ses jambes et plié ses genoux. Elle écarte maintenant ses cuisses. Elle est belle ainsi offerte. Son visage est marqué par l’excitation.

Je me penche sur elle. Je caresse ses gros seins, l’un après l’autre. Puis, je prends dans ma bouche l’un des deux tétons pour le sucer. Je pince l’autre entre mon pouce et mon index. Ils sont tout durs et dressés. Anne-Sophie geint sous la caresse. Ma main glisse sur son ventre, ce qui ne manque pas de lui provoquer des frissons.

J’abandonne sa poitrine pour faire le tour du bureau t me placer face à elle. Anne-Sophie a toujours les jambes écartées, les genoux pliés et les pieds à plat sur le bureau.

Son pubis m’est offert. Son sexe est encadré par une toison noire, ma foi bien entretenue. Pour ma part, après des années à m’épiler, j’ai laissé repousser mes poils pubiens et mon sexe s’orne d’un triangle blond au-dessus sur le pubis. Il est certes clairsemé, mais finalement des poils pubiens, c’est pas mal non plus. Et puis c’est moins de travail que l’épilation intégrale ou pire le rasage. Je ne suis pas brune mais c’est tout de même du boulot. Là une paire de ciseau, un coup de rasoir, pour tailler et le tour est joué.

Mais bon, je passe avec cet intermède sur l’entretien de mon pubis, continuons plutôt notre histoire.

Son sexe m’est donc offert, largement entrouvert, nous en étions là, avant notre digression. Anne-Sophie est en attente que je la touche, c’est manifeste. Elle a redressé son buste et la voilà appuyée sur le bureau sur ses deux coudes. Je vais la faire patienter un peu encore.

Je caresse ,de la paume de ma main, l’intérieur de sa cuisse gauche, puis de sa cuisse droite. Ma langue replace très rapidement la paume de ma main. Mes mains ne restent pas pour autant inactives. Je saisi ses mollets et je relève ses jambes en les écartant encore davantage.

Eh oui, Anne-Sophie, je vais te manger le minou, mais je veux que tu vois bien l’action pour le premier cuni qu’une femme va te faire.

Je passe deux doigts sur ses lèvres en appuyant à peine. Malgré tout, cela arrache un gros soupir à Anne-Sophie, suivi d’un long gémissement. C’est tout humide … Mouillé même, voire détrempé. Je ne résiste pas à la tentation d’enfoncer mon index dans son vagin. J’ai le droit à un petit cri aigu de la part d’Anne-Sophie, suivi d’un « oui »aigu lui aussi. Manifestement, elle aime ça. Je ne peux pas la blâmer pour ça. Je la masturbe tout en douceur, juste histoire de lui provoquer d’autres gémissements :

- Tu as envie que je te lèche ?
- Ouiiii, lèches moi !
- Tu es une cochonne toi, tu sais ça ?
- Oui, je suis une cochonneeeehmmmphpffff

Sa phrase s’est terminée en gémissements, voire même en geignements ensuite, quand j’ai collé ma bouche sur son sexe et que j’ai aspiré. Ma langue s’est mise en action sur ses lèvres intimes. Elle est bien mouillée, je m’en rassasie.

J’ai écarté ses lèvres avec mes doigts, pour faire apparaitre son bouton. Je le titille du bout de la langue, je le taquine, je l’asticote, je le tarabusque et enfin je l’agace.

Anne-Sophie a pris ses seins dans ses mains et râle à qui mieux-mieux. Je lèche son clitoris et je me pourlèche les babines :

- AAAAAAHHHH, je vais jouiiiiir
- Ah non, pas tout de suite, c’est trop tôt !

Un peu tôt en effet pour parachever mon œuvre :

- Tournes toi, mets-toi à quatre pattes sur le bureau, lui dis-je en me relevant.

J’ai envie de gouter un peu à ses grosses fesses qui me font envie depuis le début. Anne-Sophie s’est retournée et me présente son postérieur. Je le saisis à deux mains, glisse ma langue sur son petit trou et le goute avidement. Mon majeur, s’est à nouveau glissé dans son vagin pour la masturber à nouveau. Cette fois j’ai le droit à une sorte de hululement de sa part, puis a des glapissements. Elle agrippe le bord du bureau et à voir ses jointure toute blanches, elle sert très fort.

Encore une fois, je m’interromps en la sentant prête à décoller. Là encore, je n’ai pas pu résister, je lui mets quelques claques sur les fesses. Ça aussi, j’en avais trop envie.

- Tu veux me lécher toi aussi ?
- Oui oui oui, j’ai envie !!!
- Retournes toi sur le dos, on va se mettre en 69, je vais me mettre sur toi.

Je monte sur le bureau, l’enjambe et place mon entre-jambe au-dessus de son visage, avant de me pencher et de m’allonger sur elle, la tête entre ses cuisses.

Je sens sa bouche m’embrasser d’abord, puis sa langue s’aventurer dans mon intimité. Son premier cuni, elle cherche, mais finalement trouve assez facilement comment faire. Elle appuie avec le bout de son doigt sur mon clitoris. Sa langue lèche mes lèvres, découvre l’entrée du vagin. Moi aussi, je mouille abondamment. Apparemment, ça n’a pas l’air de la chiffonner, vu comment elle passe sa langue partout. Elle la glisse même entre mes fesses, passant alternativement de mon vagin à mon petit trou. Elle se rend compte que ça me plait à mes gémissements et au fiat que je trémousse mes fesses sous ses caresses. Finalement, elle est plutôt douée Anne-Sophie. Une autodidacte en fait.

De mon côté, je m’active. Je vais la faire jouir. Elle explose d’un seul coup, ses glapissements se transforment en mugissement, puis finissent en grognements divers. Elle lâche ensuite quelques onomatopées. Je ne comprends pas trop ce qu’elle râle, elle est toujours en plein action sur mon entre-jambe. Elle en a plein la bouche.

Je me suis redressée en restant accroupie au-dessus de son visage. J’ai saisi ma poitrine avec mes deux mains, Je frotte mon sexe sur sa bouche, sur son nez, son menton. Sa langue tente à chaque passage de me lécher. Elle saisit mes fesses comme pour arrêter mes mouvements de bassin et à m’immobiliser. C’est pour mieux me pénétrer la langue dans le vagin et à l’agiter en moi. Elle trouve aussi mon clito. Je vais partir à mon tour, je le sens venir. Des vagues de plaisir envahissent mon ventre.

Anne-Sophie se lâche complètement, elle me colle quelques claques à son tour sur le cul. J’apprécie ces claques à leur juste valeur.

Mes gémissements sont plus conventionnels que les siens. Quelques « Aaahhhh » pour les coups de langue et des « Ooooohhh » pour les claques sur mes fesses, enfin un ou deux « Ouiiii ».

Je me laisse aller, je laisse le plaisir prendre possession de mon corps. Je pousse un long gémissement qui se termine par un cri en forme de « Oooohhhh ».

Heureusement que nous sommes seules dans le bâtiment, parce que nous avons été assez bruyantes, elle et moi.

Je l’enjambe à nouveau, me retourne et viens m’allonger sur elle. Ma poitrine à l’air toute petite appuyée sur ses gros seins.

Le tour de sa bouche, son nez et ses joues luisent des résultats de mon excitation. Je passe ma langue sur son visage et sur ses lèvres, avant de l’embrasser encore. Quand nos bouches se séparent, Anne-Sophie me dit d’une petite voix :

- C’était vraiment super. J’ai adoré. Ça fait longtemps que j’en avais envie. Que je regarde les autres femmes dans la rue, que je surfe sur le net sur de sites pour regarder des corps de femme. Franchement, je ne regrette rien, j’ai adoré ! C’était trop bien !
- Si tu as tant aimé, il faudra recommencer … tu vas devenir une vraie goudou. Comme moi !
- J’ai bien aimé quand tu m’as mis des claques sur les fesses. Et puis j’ai bien aimé t’en mettre aussi.
- Trouves toi d’autres camarades de jeu et invente tes propres règles du jeu ! Vas sur les sites de rencontre, tu verras, il y a plein de femmes qui cherchent.
- Et toi … Tu ne voudrais pas qu’on recommence ? Tu es tellement belle !
- Tu sais, moi je suis en couple ! Je n’ai rien contre une aventure par ci par là, mais je me cantonne au one-shot. Je ne veux pas de relation suivie. J’aurais, pour le coup, l’impression de trahir ma compagne.
- C’est dommage !
- Tu en trouveras d’autre, toi aussi tu es belle.
- Moi, je suis grosse.
- C’est vrai, mais tu es belle. Je t’assure que tu peux plaire. La preuve, moi qui suis si belle selon tes dires, tu m’as plu et tu m’as fait envie.
- Si tu le dis. Je vais essayer les sites de rencontre…

Sur ses bonnes paroles, je me suis relevée, je suis descendue du bureau, j’ai aidé Anne-Sophie à se relever.

Nous nous sommes rhabillée en silence, nous sommes allées nous rafraichir aux lavabos.

J’ai rassemblé mes affaires, mais avant de partir, je lui ai donné un dernier baiser.

Et voilà, le dossier Dupuis, je l’ai terminé le lendemain au bureau. Il a trainé longtemps, mais il m’aura permis de faire surtout une belle rencontre.

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