Le Dossier Dupuis
Le dossier Dupuis
Je vous en ai déjà parlé du dossier Dupuis. Depuis la dernière fois (Escapade à Dinard), il navait pas avancé dun iota. Entre les fois, où je remets à plus tard, les fois où Dupuis me fait faux bond, le dossier Dupuis est au point mort.
Jai décidé en début de semaine de prendre le taureau par les cornes et dappeler Dupuis.
Ce dossier, je lai depuis deux mois. Dupuis, chef dune entreprise de travaux publics, est du genre à jouer les filles de lair. A chaque fois quon doit se voir pour avancer sur son dossier, il annule au dernier moment. Et du coup le dossier Dupuis, reste là, sur mon bureau à prendre la poussière.
Cette fois, il ne séchappera pas, je lai eu en ligne et je lui ai arraché un rendez-vous à son bureau laprès-midi même. « 16h30 tapantes », ais-je même précisé, dun ton qui ne laissait la place à aucune négociation. Je lai même menacé de laisser tomber son affaire au cas où
Jarrive à la boite de Dupuis à 16 heures, histoire dassurer le coup. Je me gare dans la cour. Et nom dune pipe, japerçois mon Dupuis qui monte dans sa voiture, prêt à sen aller. Je lui fais de grands signes sur le parking et je mapproche avant quil ne sen aille. Ce nest pas possible ! Il a peur de moi ou quoi !
- Bah alors monsieur Dupuis, vous avez oublié notre rendez-vous !
- Ah bonsoir Mademoiselle Marsac
Euh non, mais jai un imprévu sur un chantier. Il faut que jy aille.
- Mais oui monsieur Dupuis, mais il va bien falloir quon le boucle votre dossier. Si vous voulez avoir gain de cause auprès du tribunal. Léchéance approche, cest dans deux mois et moi jai encore pas mal de travail derrière ! il faut quil soit béton votre dossier ! Béton
. Entreprise de travaux publics
. Béton
Non ?
- Euh
Bon à priori, il ne réagit pas à mon jeu de mot. Bon, je vois que vous pensez vous aussi, il est foireux mon jeu de mot.
- Euh, oui daccord mademoiselle Marsac. Mais jai préparé tout ce que vous avez besoin. Cest dans le bureau dAnne-Sophie, ma comptable. Dailleurs, Anne-Sophie vous aidera, je lai mise au courant de votre venue.
- Bon
Ecoutez, on va faire pour le mieux.
- Cest ça, mademoiselle Marsac, merci
Mais il faut que je file
Et voilà mon Dupuis qui sévade une fois de plus. Mais cette fois, jai le nom de sa comptable. Je ne vais pas la lâcher la Anne-Sophie. Jen ai marre du dossier Dupuis et sa poussière qui embarrasse mon bureau. Soit on aboutit aujourdhui, soit le dossier Dupuis termine à la corbeille. Jai parfois des réactions de maniaque et un dossier qui dépasse, ça me hérisse les poils. Tant pis pour le manque à gagner pour la boite. Je men expliquerai avec le boss.
Je traverse la cour de lentreprise de travaux publics. Je suis un véritable spectacle pour trois ouvriers qui chargent un camion. Une blonde en mini-jupe, avec des talons hauts qui évite les flaques deau au milieu de la cour, ça dénote légèrement.
Jarrive au bâtiment administratif et jaccoste un type dans le couloir :
- Bonjour, je cherche le bureau dAnne-Sophie, la comptable
- Euh, oui là-bas, me dit-il en désignant un bureau vitré, au bout du couloir
Je frappe à la porte et entre :
- Bonjour, je suis Laetitia Marsac, je viens pour
- Oui oui, bonjour, monsieur Dupuis ma mise au courant. Je suis Anne-Sophie, la comptable de lentreprise. Entrez
, me dit-elle en se levant.
Je me retrouve face à une femme dune trentaine dannée, du genre, comment dire
. Ronde. Enfin bien ronde. Une femme assez grande, mais plutôt forte. Pas grosse, forte
. Des hanches larges, une poitrine plus que généreuse, des fesses larges aussi
.
Le truc, cest que ses vêtements ne sont pas du tout assortis à sa morphologie.
Sa jupe qui lui arrive à mi-cuisses est si serrée quelle lui compresse les fesses. Elle a des cuisses trois fois plus grosses que les miennes. Elles restent toutefois fermes apparemment. Voilà
un gros cul, des grosses cuisses, mais le tout ferme. Ca passerait à laise, si elle sarrangeait un peu.
D'autant plus quelle a plutôt un joli visage. Brune, les cheveux mi- longs qui lui tombent dans le cou, elle a un joli regard (vert) et un sourire magnifique. Bon, moi les yeux verts me font craquer
Le tout est rehaussé par un grain de beauté sur la pommette qui lui donne un charme fou. Le seul bémol (et encore), serait quelle force un peu sur le maquillage, fond de teint et rouge à lèvre.
Anne-Sophie mexplique que Dupuis a tout préparer, quelle est au courant de tout, donc si jai besoin, je ne dois pas hésiter, que les locaux sont petits et quil ny a pas dautre bureau disponible, mais que je peux minstaller en face delle pour travailler et partager son bureau (le tout dune traite, sans ponctuation et quasiment sans reprendre sa respiration).
Je minstalle donc sur le fauteuil en face delle, sort de ma sacoche mon MacBook, ouvre le dossier et attaque la pile de documents préparés par Dupuis. Même si elle a débarrassé un bout de bureau, ça manque de confort et de place tout ça. Enfin bon, du moment que le dossier Dupuis avance !! Moi, ça me va !!
Jai tellement envie de le boucler que je mabsorbe complètement à ma tâche. Je feuillète les documents, prends quelques notes sur mon traitement de texte, annote le dossier informatique, pour en modifier certains passages plus tard.
A un moment, je lève légèrement la tête et je vois Anne -Sophie, enfin non, je ne la vois, pas, je la surprends, le regard fixé sur mon décolleté. Je lève plus franchement les yeux et la voilà qui détourne le sien, les joues légèrement empourprées, comme si je la prenais en faute.
Je porte un petit spencer gris sur un chemisier blanc, qui est légèrement ouvert sur ma poitrine, peut être un bouton de trop ouvert, et encore !. Ça laisse voir la naissance de ma poitrine, peut être ! Quand je tends le bras pour chercher un papier sur la pile, ça doit laisser entrevoir la dentelle de mon soutien-gorge blanc. Peut-être ! En tout cas, Anne-Sophie, ça a lair de la passionner mon décolleté. Elle sintéresse aux femmes, Anne-Sophie ? On dirait bien. Regarder de la sorte, se sentir coupable quand on la surprend, elle na pas la conscience tranquille.
On va voir, je veux en avoir le cur net. Je fais semblant de me replonger dans mon dossier, tout en surveillant ma nouvelle copine du coin de lil. Très vite, comme rassurée, Anne-Sophie se remet à mater mes seins. Joueuse, je relève la tête, lui souris et métire les bras haut levés. Ca a pour effet de faire gonfler et ressortir ma poitrine. Là elle a vue sur la dentelle de mon soutien-gorge, cest sûr. Dailleurs, Anne-Sophie un peu obnubilée ne réagit quaprès un laps de temps de deux ou trois seconde, avant de détourner le regard !
Jai envie de jouer un peu.
- Ouh la la ! Jai un peu mal au dos à force de rester penchée sur ce dossier, fis-je. Je maccorde une petite pause.
Je recule le fauteuil à roulette dune trentaine de centimètre, afin de lécarter du bureau, pour quAnne-Sophie puisse avoir une vue densemble. Je croise mes jambes. Ma jupe courte remonte sur ma cuisse et la découvre partiellement. Le regard dAnne-Sophie est aimanté sur ma jambe. En plus, je nen suis pas sure, mais en-dessous au niveau de la jupe, on doit pouvoir voir un peu de la dentelle noire de mon Dim-up.
« Tu voulais mater en douce ma chérie, là tu es servie et tu vas apprécier mon jeu de jambe ! », me dis-je à moi-même en décroisant et recroisant et en marrangeant pour faire remontera ma jupe un peu plus encore. Et voilà que je métire une fois de plus en gonflant ma poitrine. « Tu vas en avoir pour ton argent, ma chérie » Le petit jeu de lexhibition discrète, je sais faire. Faire plaisir aux goudous refoulées, ça me plait aussi.
Lhomme que jai croisé en entrant passe la tête par la porte du bureau :
- Ah Anne-Sophie, je men vais. En fait, il ny a plus que toi
Et mademoiselle
Le patron a appelé, il ne revient pas. Tu boucle tout en partant, tes la dernière !
- Oui oui, ne tinquiètes pas, je fermerai en partant !
Nous voilà seules, Anne-Sophie et moi dans les locaux.
- Laetitia, vous voulez un café ?
- Euh oui pourquoi pas, cest un peu tard pour moi, mais oui ! Merci Anne-Sophie
- Je vais vous en chercher un à la machine, dans le couloir, me dit-elle en se levant et en posant un regard plus quappuyé en passant sur mes cuisses.
Je me retourne sur son passage, pour la regarder sortir du bureau. Un gros cul, mais ferme, ça jen mettrais ma main au feu ! Enfin au feu non
Je mettrais ma main sur ses fesses plutôt !! Cette expression main au feu est idiote ! Main aux fesses est beaucoup plus adapté. Franchement, qui va mettre sa main au feu, alors quil a un postérieur à disposition.
- Court sans sucre, sil vous plaît !
- Oui oui
Je vois à travers les parois en verre Anne Sophie insérer les pièces dans la machine et attendre que le café remplisse le gobelet. Elle jette sans arrêt des regards vers moi.
« Tu veux mater, je vais ten montrer un peu plus ma grande ! ».
Je me lève, relève ma jupe sur mes cuisses, et fait semblant de réajuster mon bas, comme sil avait glissé. Avant de remettre ma jupe en place et me rassoir. Dun regard en coin, jai vu quAnne-Sophie na pas perdu une miette de la scène que jai joué pour elle.
Quand Anne-Sophie revient avec le café, je me suis remise au travail. Enfin, ayant à peu près tout ce que jai besoin pour mon dossier déjà, je fais semblant de mêtre remise au travail.
- Ah merci Anne-Sophie pour le café, vous êtes adorable, lui fis-je en souriant.
Histoire de lhypnotiser un peu plus, jai ôté un bouton de plus à mon chemisier, avant quelle ne revienne. Là on voit bien une partie de mes seins. Pas de soucis.
Anne-Sophie sen est aussitôt aperçue. Elle ne lâche plus ma poitrine et le soutien-gorge quon aperçoit largement maintenant.
Même quand je relève les yeux, elle a du mal à détourner les siens.
Elle ne va pas tarder à être à point. On va passer à létape suivante
. Je suis sûre quelle mouille sa culotte ! Dailleurs, moi, ce petit jeu commence à me plaire aussi.
- Anne-Sophie ?
- Oui Laetitia
- Il y a un truc que je ne comprends pas là ... dis-je en désignant mon ordinateur
- Quoi ?
- Venez voir !
Elle fait le tour du bureau, appuie ses deux mains sur le plateau et se penche pour regarder lécran de mon MacBook.
- Regardez là, si je compare avec votre dossier, je ne comprends pas ce que cet avenant fait là, il ne sert à rien
Elle se penche encore plus. Je me suis légèrement redressée pour approcher mon visage de lécran aussi. En fait, ma joue et à quelques centimètres de la sienne. Je vois lil dAnne-Sophie se tourner. Elle sest aperçue de notre promiscuité.
Je tourne légèrement la tête et lembrasse sur le coin de la joue. Elle ne semble pas réagir, ni même savoir si elle doit réagir, mais intérieurement ça doit cogiter. Elle ne doit pas savoir où elle en est. Ça doit turbiner dans son crane (et dans sa culotte aussi !).
Par contre en dehors, elle semble pétrifiée et reste bouche bée. Mon petit bisou, sur le coin de sa lèvre la transformée en statue. Je suis un peu sorcière sur les bords, on dirait, je pétrifie et jensorcelle dun seul bisou
Cette fois, jai tourné mon visage et jembrasse ses lèvres plus franchement. Je glisse même ma langue dans sa bouche toujours entrouverte. Réflexe conditionné ? Peut-être, sa langue tourne en même rythme que la mienne alors que le reste de son corps reste pétrifié.
Je libère sa bouche, elle est toujours figée. Je le prends par la taille, la fait tourner et me mets en face delle, pour lembrasser à nouveau, cette fois sans me tordre le cou.
Ca a pour effet de la faire enfin réagir. Son corps raide semble se détendre. De son côté le baiser devient également actif. Elle colle ses lèvres aux miennes, pénètre sa langue dans ma bouche, la retire, sécarte légèrement pour sadosser au bord du bureau, Son rouge à lèvre rouge vif sest étalé autour de ses lèvres par leffet du baiser passionné que nous venons déchanger. Elle a dû men coller partout aussi autour de la bouche. Mon rose à lèvre pâle ne fait pas le poids par rapport à son rouge vif.
- Quest-ce que je fais
. Me dit-elle en sécartant tout rouge, Mais quest-ce que je fais !!! Excusez-moi Laetitia, quelle honte. Excusez mon comportement !!
- Ah tais-toi net viens là, lui dis-je en lattirant vers moi à nouveau. Tu en meurs denvie depuis une heure. Moi aussi dailleurs, jen meurs denvie
Profites donc au lieu de te poser mille questions inutiles
- Oui mais
- Chuuuttt
. Les femmes tattirent, tu en as une sous la main
Une femme qui a envie de toi en plus !
Mes mots la libère. Elle mattire contre elle et colle à nouveau sa langue dans ma bouche. Elle me sert contre elle. Je dois faire minuscule entre ses bras. Jai au moins 15 centimètres de moins, je suis deux fois moins large, je dois disparaitre littéralement.
Ses mains toutes excitées passent sur mon corps, mes hanches, mon ventre, mes fesses. Ses mouvements sont brusques, guidées par la tension qui lanime. En fait elle me pelote partout en poussant de gros soupirs, entre deux tours de langue.
Elle ma écartée légèrement, lâchant t enfin ma bouche (je respire goulûment du coup, jallais manquer dair), pour glisser sa main dans mon décolleté à la recherche de ma poitrine quelle a tant regardé tout à lheure. De mon côté jai plaqué mes mains sur ses cuisses et jessaie sans trop de succès de remonter sa jupe trop sérrée.
Cette fois, elle se lâche Anne-Sophie. Et dans létat où elle est, ça va faire mal !
- Narrache pas tout quand même, jy tiens à ce chemisier, lui dis-je alors quelle déboutonne fébrilement le vêtement.
- Mais quest-ce que je suis en train de faire !!! continue-t-elle sans sarrêter.
- Tu es en train de me déshabiller
Moi, jai enfin réussi à remonter sa jupe sur ses fesses et à découvrir ses cuisses entièrement. Javais raison. Ses cuisses sont fermes. Larges, mais fermes. Un peu de cellulite, certes, mais en tout cas, cest loin dêtre laid. Je moccupe de ses fesses maintenant. Mes mains sont dessus. Jai enfoncé mes ongles dans les collants que jai déchirés. Sous le coup de la griffure, elle lâche un gémissement.
Elle me retourne et me colle contre le bureau. Jai les fesses en suspend sur le bord du plateau. Anne-Sophie a poussé largement mon spencer et mon chemisier maintenant entièrement déboutonné vers larrière, découvrant ainsi mes épaules et les bretelles de mon soutien-gorge. Elle tire les fines bretelles et le fait descendre sur mes avant-bras, découvrant par là-même mes seins gonflés par lexcitation. Elle se penche vers moi et gobe un téton en malaxant lautre. Elle nest pas vraiment douce, mais cest du à son excitation extrême. Pas dexpérience à priori avec une autre femme. Un peu gauche dans ses gestes. Surement sa première fois. Elle doit satisfaire un vieux fantasme.
En tout cas, elle ne se demande plus ce quelle est en train de faire
Elle sest accroupie devant moi et me lèche le ventre et le nombril maintenant, tout en passant ses mains sous ma jupe. Elle la remonte en embrassant mes cuisses. La jupe enfin remontée, son regard se fixe sur lauréole sur mon string blanc entre mes jambes.
- Tu vois comme jai envie de toi Anne-Sophie ?
- Oui
- Attends, écartes toi, on va se déshabiller, lui dis-je dans un souffle
En fait, jai voulu jouer avec elle au chat et à la souris, à la chatte et à la souris plutôt, mais jai été prise à mon propre jeu, je suis dans le même état quelle.
Pour ma part, je suis déjà à moitié nue. Anne-Sophie, sen est chargée. Je termine mon déshabillage rapidement. Je fais tomber mon chemisier et mon spencer, dégrafe mon soutien-gorge, baisse ma jupe, fais glisser mon string et enlève mes escarpins.
Anne-Sophie, quant à elle, vient découvrir deux gros seins et un ventre avec quelques bourrelets, elle baisse sa jupe.
- Allonge-toi sur le bureau, lui dis-je en enlevant mon MacBook et les dossiers qui traine dessus.
Elle sest allongée et je moccupe de terminer son déshabillage. En effet, jai craqué son collant avec mes ongles. Elle a une belle griffure sur le cul. Ça lui fera un souvenir de moi pour quelques jours !
Je baisse et enlève ses collants et sa culotte et les jette sur le tas de vêtements qui jonchent le sol au pied du bureau.
Elle a remonté ses jambes et plié ses genoux. Elle écarte maintenant ses cuisses. Elle est belle ainsi offerte. Son visage est marqué par lexcitation.
Je me penche sur elle. Je caresse ses gros seins, lun après lautre. Puis, je prends dans ma bouche lun des deux tétons pour le sucer. Je pince lautre entre mon pouce et mon index. Ils sont tout durs et dressés. Anne-Sophie geint sous la caresse. Ma main glisse sur son ventre, ce qui ne manque pas de lui provoquer des frissons.
Jabandonne sa poitrine pour faire le tour du bureau t me placer face à elle. Anne-Sophie a toujours les jambes écartées, les genoux pliés et les pieds à plat sur le bureau.
Son pubis mest offert. Son sexe est encadré par une toison noire, ma foi bien entretenue. Pour ma part, après des années à mépiler, jai laissé repousser mes poils pubiens et mon sexe sorne dun triangle blond au-dessus sur le pubis. Il est certes clairsemé, mais finalement des poils pubiens, cest pas mal non plus. Et puis cest moins de travail que lépilation intégrale ou pire le rasage. Je ne suis pas brune mais cest tout de même du boulot. Là une paire de ciseau, un coup de rasoir, pour tailler et le tour est joué.
Mais bon, je passe avec cet intermède sur lentretien de mon pubis, continuons plutôt notre histoire.
Son sexe mest donc offert, largement entrouvert, nous en étions là, avant notre digression. Anne-Sophie est en attente que je la touche, cest manifeste. Elle a redressé son buste et la voilà appuyée sur le bureau sur ses deux coudes. Je vais la faire patienter un peu encore.
Je caresse ,de la paume de ma main, lintérieur de sa cuisse gauche, puis de sa cuisse droite. Ma langue replace très rapidement la paume de ma main. Mes mains ne restent pas pour autant inactives. Je saisi ses mollets et je relève ses jambes en les écartant encore davantage.
Eh oui, Anne-Sophie, je vais te manger le minou, mais je veux que tu vois bien laction pour le premier cuni quune femme va te faire.
Je passe deux doigts sur ses lèvres en appuyant à peine. Malgré tout, cela arrache un gros soupir à Anne-Sophie, suivi dun long gémissement. Cest tout humide
Mouillé même, voire détrempé. Je ne résiste pas à la tentation denfoncer mon index dans son vagin. Jai le droit à un petit cri aigu de la part dAnne-Sophie, suivi dun « oui »aigu lui aussi. Manifestement, elle aime ça. Je ne peux pas la blâmer pour ça. Je la masturbe tout en douceur, juste histoire de lui provoquer dautres gémissements :
- Tu as envie que je te lèche ?
- Ouiiii, lèches moi !
- Tu es une cochonne toi, tu sais ça ?
- Oui, je suis une cochonneeeehmmmphpffff
Sa phrase sest terminée en gémissements, voire même en geignements ensuite, quand jai collé ma bouche sur son sexe et que jai aspiré. Ma langue sest mise en action sur ses lèvres intimes. Elle est bien mouillée, je men rassasie.
Jai écarté ses lèvres avec mes doigts, pour faire apparaitre son bouton. Je le titille du bout de la langue, je le taquine, je lasticote, je le tarabusque et enfin je lagace.
Anne-Sophie a pris ses seins dans ses mains et râle à qui mieux-mieux. Je lèche son clitoris et je me pourlèche les babines :
- AAAAAAHHHH, je vais jouiiiiir
- Ah non, pas tout de suite, cest trop tôt !
Un peu tôt en effet pour parachever mon uvre :
- Tournes toi, mets-toi à quatre pattes sur le bureau, lui dis-je en me relevant.
Jai envie de gouter un peu à ses grosses fesses qui me font envie depuis le début. Anne-Sophie sest retournée et me présente son postérieur. Je le saisis à deux mains, glisse ma langue sur son petit trou et le goute avidement. Mon majeur, sest à nouveau glissé dans son vagin pour la masturber à nouveau. Cette fois jai le droit à une sorte de hululement de sa part, puis a des glapissements. Elle agrippe le bord du bureau et à voir ses jointure toute blanches, elle sert très fort.
Encore une fois, je minterromps en la sentant prête à décoller. Là encore, je nai pas pu résister, je lui mets quelques claques sur les fesses. Ça aussi, jen avais trop envie.
- Tu veux me lécher toi aussi ?
- Oui oui oui, jai envie !!!
- Retournes toi sur le dos, on va se mettre en 69, je vais me mettre sur toi.
Je monte sur le bureau, lenjambe et place mon entre-jambe au-dessus de son visage, avant de me pencher et de mallonger sur elle, la tête entre ses cuisses.
Je sens sa bouche membrasser dabord, puis sa langue saventurer dans mon intimité. Son premier cuni, elle cherche, mais finalement trouve assez facilement comment faire. Elle appuie avec le bout de son doigt sur mon clitoris. Sa langue lèche mes lèvres, découvre lentrée du vagin. Moi aussi, je mouille abondamment. Apparemment, ça na pas lair de la chiffonner, vu comment elle passe sa langue partout. Elle la glisse même entre mes fesses, passant alternativement de mon vagin à mon petit trou. Elle se rend compte que ça me plait à mes gémissements et au fiat que je trémousse mes fesses sous ses caresses. Finalement, elle est plutôt douée Anne-Sophie. Une autodidacte en fait.
De mon côté, je mactive. Je vais la faire jouir. Elle explose dun seul coup, ses glapissements se transforment en mugissement, puis finissent en grognements divers. Elle lâche ensuite quelques onomatopées. Je ne comprends pas trop ce quelle râle, elle est toujours en plein action sur mon entre-jambe. Elle en a plein la bouche.
Je me suis redressée en restant accroupie au-dessus de son visage. Jai saisi ma poitrine avec mes deux mains, Je frotte mon sexe sur sa bouche, sur son nez, son menton. Sa langue tente à chaque passage de me lécher. Elle saisit mes fesses comme pour arrêter mes mouvements de bassin et à mimmobiliser. Cest pour mieux me pénétrer la langue dans le vagin et à lagiter en moi. Elle trouve aussi mon clito. Je vais partir à mon tour, je le sens venir. Des vagues de plaisir envahissent mon ventre.
Anne-Sophie se lâche complètement, elle me colle quelques claques à son tour sur le cul. Japprécie ces claques à leur juste valeur.
Mes gémissements sont plus conventionnels que les siens. Quelques « Aaahhhh » pour les coups de langue et des « Ooooohhh » pour les claques sur mes fesses, enfin un ou deux « Ouiiii ».
Je me laisse aller, je laisse le plaisir prendre possession de mon corps. Je pousse un long gémissement qui se termine par un cri en forme de « Oooohhhh ».
Heureusement que nous sommes seules dans le bâtiment, parce que nous avons été assez bruyantes, elle et moi.
Je lenjambe à nouveau, me retourne et viens mallonger sur elle. Ma poitrine à lair toute petite appuyée sur ses gros seins.
Le tour de sa bouche, son nez et ses joues luisent des résultats de mon excitation. Je passe ma langue sur son visage et sur ses lèvres, avant de lembrasser encore. Quand nos bouches se séparent, Anne-Sophie me dit dune petite voix :
- Cétait vraiment super. Jai adoré. Ça fait longtemps que jen avais envie. Que je regarde les autres femmes dans la rue, que je surfe sur le net sur de sites pour regarder des corps de femme. Franchement, je ne regrette rien, jai adoré ! Cétait trop bien !
- Si tu as tant aimé, il faudra recommencer
tu vas devenir une vraie goudou. Comme moi !
- Jai bien aimé quand tu mas mis des claques sur les fesses. Et puis jai bien aimé ten mettre aussi.
- Trouves toi dautres camarades de jeu et invente tes propres règles du jeu ! Vas sur les sites de rencontre, tu verras, il y a plein de femmes qui cherchent.
- Et toi
Tu ne voudrais pas quon recommence ? Tu es tellement belle !
- Tu sais, moi je suis en couple ! Je nai rien contre une aventure par ci par là, mais je me cantonne au one-shot. Je ne veux pas de relation suivie. Jaurais, pour le coup, limpression de trahir ma compagne.
- Cest dommage !
- Tu en trouveras dautre, toi aussi tu es belle.
- Moi, je suis grosse.
- Cest vrai, mais tu es belle. Je tassure que tu peux plaire. La preuve, moi qui suis si belle selon tes dires, tu mas plu et tu mas fait envie.
- Si tu le dis. Je vais essayer les sites de rencontre
Sur ses bonnes paroles, je me suis relevée, je suis descendue du bureau, jai aidé Anne-Sophie à se relever.
Nous nous sommes rhabillée en silence, nous sommes allées nous rafraichir aux lavabos.
Jai rassemblé mes affaires, mais avant de partir, je lui ai donné un dernier baiser.
Et voilà, le dossier Dupuis, je lai terminé le lendemain au bureau. Il a trainé longtemps, mais il maura permis de faire surtout une belle rencontre.
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