Abbu Dhabi

Comme la veille il est parti rejoindre Aïcha me laissant seul. Je commençais à me poser des questions sur Jeff. Ou était il? J'ai pas le caractère inquiet mais je savais pas trop que penser. Cette nuit la j'ai dormi seul et pas dérangé. Le matin c'est le toubib qui est venu.
Habille toi, vous prenez l'avion pour Abu Dhabi et je t'ai laissé dormir. Tu seras le dernier a embarquer.
Et mes fringues?
Ne t'inquiètes pas , tu n'as plus que ce que tu vas porter. Le reste est déjà sur la route.
En effet c'était le vide dans l'armoire et j'ai pris une douche rapide avant de m'habiller. Tout tombait bien veste comme pantalon et chemise. Les mocassins étaient cirés et j'ai eu juste le temps de sortir , la voiture arrivait. La même, ou une autre mercedes s'est garé devant , j'ai laissé passer Aïcha et me suis assis près d'elle à l'arrière. Sa main a rejoins la mienne. Ses yeux fixés sur ma bouche. J'ai souri elle aussi.
Ce soir il a décidé de nous et pour nous. Ah!Bien.
Elle a détourné le regard sur la vitre de son coté. Je connaissais pas le coin où on se dirigeait. J'ai vu une barrière ou on s'est arrêté puis on a roulé jusqu'a un petit avion d'affaire privé. L'escalier déplié sur le coté et un mec au pied. De près il n'était pas si petit que ça. Le mec a aidé Aïcha a sortir et l'a accompagné jusqu'à la passerelle. Je les ai rejoins. Le mec m'a tenu la main un peu plus que l'habitude. J'ai compris qu'il était aussi gay. Dans la cabine où on entrait une rangée de 4 fauteuils faisait face à une autre et un peu plus en avant deux fauteuils encore, plus larges. L'émir était assis sur l'un d'eux. Il nous a souri quand on s'est assis derrière lui. L'échelle a été relevée et le bruit des moteurs a retenti, un sifflement assourdi, feutré. Les sièges étaient en cuir fauve et on sentait une atmosphère de club, très masculine. On s'est attaché, le steward est passé vérifier puis est allé s'assoir . Le ronflement a augmenté suivide bruit de roulement et d'un léger roulis.

Un arrêt et la puissance des moteurs puis j'ai senti que j'étais plaqué sur mon siège. L'impression de puissance et je n'étais plus maître de rien pui le silence après un envol et le bruit du train qui rentre et plus grand bruit. Le serveur est venu nous offrir une boisson. J'ai demandé du champagne a tout hasard et il m'en a servi. L'émir sirotait une tasse curieusement recouverte de buée de fraicheur. Aïcha, elle, a bu aussi un peu de champagne. On était que nous et le steward. Il a allumé un écran . On apercevait le sol, la campagne qui défilait lentement. Sur un signe de l'émir le steward s'est mis nu et l'a sucé. Aïcha a détourné les yeux mais j'ai senti sa main prendre la mienne pour l'amener entre ses cuisses moites. Elle ne portait pas de sous vêts et sans m'aventurer plus que ça j'ai bien compris que ça l'excitait de voir son mari se faire pomper par un autre mec.
Sa main a séparé mes doigts , les a porté sur la protubérence de son sexe , en a poussé deux sur son clitoris qui mouillait . Du coup j'ai bandé aussi mais on ne le voyait pas. Rachid lui voyait bien sa femme et souriait par avance de notre entente. Je voyais les fesses du steward, pas très poilue mais un peu . Il se branlait en suçant comme le font les mecs qui ont besoin de s'exciter. Moi j'aime la bite pour la bite et je n'ai besoin de nulle autre excitation.
Rachid a plaqué la tête du mec sur son sexe comme Aîcha ma main et j'ai senti qu'elle tremblait en même temps que son petit abricot s'humidifiait fortement. Elle a dégagé ma main quand Rachid a lachè la tête du mec. Il s'est relevé et est allé se finir de la main et se laver la bouche dans un petit toilette.
Le temps avait passé et on survolait une côte avec des villages puis plus grand chose. Le mec est revenu , cette fois habillé nous présenter un choix de film et des revues. Je me suis abandonné dans une revue sur les E.A.U.
C'était clairement un état musulman mais bien dirigé et avec encore quelques restrictions sexuelles. Dont les femmes qui ne pouvaient conduire et les homos plutôt mal vus. J'ai demandé à Rachid comment il faisait pour vivre comme ça.
Il a ri. Tout dépend de quelle classe tu fais partie. Moi je suis assez haut. Pas encore émir en titre et peut être jamais mais je me tiens au courant et j'ai certains passe-droits qui me permettent de vivre comme je vis. C'est pour cela que tu es la comme ton ami Jeff.
Il est où?
Tu le verras bientôt. On ne va pas tarder d'arriver et une heure après tu le verras.
J'avais senti dans mes oreilles la différence de pression, on descendait assez doucement mais on descendait. Le paysage ne montrait pas grand chose. Une maison par ci par là et des fois une tache verte, assez rare. En se rapprochant j'ai vu plus de maison et des immeubles au bord de l'eau avant que le train ne sorte et que le mec passe vérifier nos ceintures. On s'est posé en douceur et l'appareil s'est rangé près de structures assez vastes. Une fois le réacteur éteint la porte a été ouverte, laissant passer une chaleur infernale pour moi. Rachid est descendu en premier et s'est engouffré dans un 4*4 aux vitres fumées qui a démarré sitôt Aïcha à l'intérieur. Une autre voiture plus modeste mais climatisée m'a emmené. Le chauffeur ne parlait pas français et le black à ses cotés non plus. On a roulé pas mal avant de sortir de la ville et de rouler à l'intérieur, la route était parfois recouverte de sable mais bien goudronnée. Derrière nous une camionnette nous avait rattrapé et roulait cool. A un embranchement on est parti sur le coté jusqu'à une sorte d'oasis de verdure avec une grande maison mais peu d'ouvertures et un petit village au loin. La voiture de rachid était devant et une fois dehors on est entré vite fait dans la maison presque fraîche.
Entre mon ami. Aïcha est parti se reposer et j'ai besoin de me détendre un peu. Descend avec moi. Passé un vaste hall une sorte de vide surmontait une piscine et de l'eau coulait par une cascade artificielle. J'étais ébloui.
Laisse toi faire. Un black torse nu en pantalon bouffant m'aidait à me déshabiller. Ne t'inquiètes pas il est au service de la famille comme tout ses parents et s. Ils ne sortent pas d'ici. Lui sait tout mais ne parle pas. Il attendait que je vire mon slip ce que j'ai fait . Rachid lui était déjà nu et a plongé dans l'eau. Pas de grosses éclaboussures comme moi j'ai du faire en plongeant. Le mec avait disparu laissannt des serviettes à coté de deux lits de repos.
Je lui ai dit de faire venir Jeff. Ne soit pas surpris, il a fait le mauvais garçon. On était juste à l'endroit ou j'avais pied et j'ai vu arriver Jeff, menottes aux pieds et aux poignets ainsi qu'au cou. Nu évidemment. Queue dressée.
Ton ami ne veux pas se faire prendre, il dit que ce n'est pas pareil de prendre et de se faire mettre. Il flippe un max, tu sais qu'il est un peu maso? Je veux que tu assistes à son dépucelage anal. Il m'a dit avoir déjà reçu une bite mais très fine. Je ne la compte pas. Regarde , il est moins fier qu'à Chantilly. Le black qui l'accompagnait l'a fait mettre à genoux , puis penché en avant , fesses vers nous. Je matais ses grosses couilles et son anus dans les poils qui palpitait.
C'est beau non un cul ferme et fermé qui va se donner.
Ben je sais pas moi mais si vous aimez le mien je suis ok avec vous.
Oui évidemment le tien est un rêve de cul, mais forcer un cul pratiquement vierge... Il faut qu'il connaisse tout les cotés de sa sexualité. Il aime te prendre donc il doit aimer aussi sinon comment savoir comment te faire plaisir. Regarde.
Il est sorti de l'eau , sexe tendu, fier de lui. Laisse nous Abbdu. Il va être sage.
Tu as faim jeff? Assez pour sucer une bite d'arabe?
Il disait rien , regard fixé sur le sexe de Rachid. Avance sur tes genoux. Tu sais comment faire , tu l'as fait faire. Il a avancé un peu jusqu'à avoir les lèvres contre le sexe qui palpitait. Il a jeté un regard vers moi puis a entrouvert la bouche. Visiblement excité de faire ça devant une lope comme moi.
Sort la langue! Lèche le gland.