La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1086)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
- Suis ton instinct, Isabelle
me disais-je
prenant tous les risques
Et oui, je me reconnais bien là, en cet instant, esclave mais entêtée et vexée, incorrigible et excitée !
Je sentais monter en moi ce que les athlètes appellent la gnac de la gagne, ce petit supplément dadrénaline qui leur fait donner au moment opportun le coup de reins nécessaire à la victoire. Cest je pense ceci qui mexcitait de savoir la satisfaction du Maître car il me faisait comprendre par ses gestes que jétais dans les temps
Le troisième tour finissait, 1200 mètres étaient couverts. Il restait 300 mètres
Vexée que jétais de ma mauvaise performance précédente, mariée aussi de limage que javais donnée de la femelle devant les amis du Maître, selon mon caractère de frondeuse, de Pur-Sang fougueuse, damoureuse de la gagne et uniquement de la gagne, aux prix de tous les risques, je décidais de
décider toute seule sans attendre le signal de Monsieur le Marquis pour les derniers cents mètres. Jen étais à couvrir les 100 mètres suivants après les 1200 déjà parcourus. Jallongeais légèrement ma foulée, me tassait très doucement sur mes cuisses, et commençais à accélérer la cadence des jambes. Je lâchais déjà les « chevaux » tout en tenant les rênes
Javalais ces 100 mètres avec une facilité déconcertante tout en ignorant les grands signes du Noble que je voyais bien mais que je faisais semblant de ne pas voir, tête de mule que je suis... Restaient deux-cents mètres à parcourir. Jaccélérai encore lâchant un peu plus la bride de mes jambes
Alors que mon entre cuisses était de plus en plus trempé dexcitation, je parlais à mes jambes :
- Allez, mes belles, allez ! Vous allez y arriver parce que je vous connais, vous êtes les meilleures ! Attendez encore un peu, je vais tout lâcher et vous pourrez vous laisser aller, vous allez montrer à Maître à et à ces hommes ce que vous savez faire.
Ce cent mètres fut avalé en si peu de temps que Maître déjà fouettait lair de sa cravache en signe de fureur totale. Mais je pris le parti de ne pas en tenir compte : Il me restait cent mètres à faire, en moi, je disais à mes jambes :
- Allez mes belles, donnez tout ce que vous pouvez et Vous aussi Maître, faites-moi confiance, je vais vous rendre fier
Jamais je nai terminé un 1500 mètres aussi aisément. Javais tout lâché, ma foulée était si longue que je croyais que mes jambes avaient doublé de longueur. Mes orteils, pourtant si légers sur la piste, allaient chercher encore plus loin le point dimpact me propulsant dans la foulée suivante, mes muscles de fesses et de cuisses étaient à fond, mes seins même semblaient vouloir participer à la gagne, les poings serrés de rage, mais de rage contenue, je terminais en boulet de canon, jamais ce terne nétant aussi bien utilisé. La ligne darrivée passée, il me fallut plus de 80 mètres pour retrouver un rythme plus lent et tandis que je sautillais sur place, je revenais vers le groupe, lentement, essoufflée je lavoue, mais pas du tout cuite. De là où jétais, je voyais le Châtelain regarder son chronomètre comme ne pouvant en croire ses yeux. Il montrait le chrono à ses amis et passait sa main dans ses cheveux... Jarrivais à très petite foulée derrière le groupe et comprit que javais fait un temps canon selon les termes des sportifs. Enfin le groupe se rendit compte de ma présence derrière lui, Monsieur le Marquis me montra le chronomètre et me dit :
- Tu peux mexpliquer comment tu as fais ça ?
Comme je restais sans voix :
- 2 secondes de mieux que ton précédent record et 3 secondes de moins que tes 1500 mètres de tout à lheure !
Très sincèrement, je ne pouvais donner dexplications cohérentes mais je lisais sur le visage du Maître, à la fois sa fierté mais également son incompréhension. Un de ses amis lui dit en riant :
- Mon ami, vous avez déclenché le chrono en retard après le départ peut-être !
Maître le fusilla du regard !
Quoiquil en soit, javais bel et bien, non seulement amélioré mon temps, mais battu mon précédent record sur la distance.
- A la douche Ma petite femelle. Mes amis, vous allez assister à la douche de mon Pur-Sang.
Je me dirigeais vers les vestiaires mais :
- Non, ici, ordonna Maître !
Il me désignait un endroit où se trouvaient des caillebotis au sol et un tuyau. Je pris place sur le caillebottis et me voilà arrosée deau froide par le jet deau tenu en mains par le Châtelain. Les Invités étaient hilares me voyant me tortiller sous leau glacée. Devant, de dos, leau me fouettait les seins, me fit dresser mes tétons, le jet tapait contre mon clitoris et lexcitait encore plus :
- Lève les bras, ordonnait Monsieur le Marquis, écarte tes jambes, la chienne
!
Une fois la douche terminée, les hommes fumaient, certains me dévisageaient lourdement, Maître prit la parole :
- Comme prévu, mes amis, après chaque parcours, avec Ma petite femelle, je fais le débriefing et, comme Moi, vous avez pu constater à quel point son premier chrono était mauvais. Ma pouliche étant tout sauf sotte, jen déduis quelle a couru en se retenant alors quen plus, je vous lavais présentée comme une perle. Elle va donc recevoir sa correction, ici, sous vos yeux.
Je ne bougeais pas attendant quIl me désigne lendroit.
- Viens ici, dit-il, me désignant un endroit.
Les hommes se rapprochèrent, firent cercle autour du Maître et moi-même, penchée en avant, mains derrière la nuque. Un bandeau fut placé sur mes yeux. Jentendis Maître faire glisser un zip et (certainement) ouvrant son sac, en sortit une cravache. A la vue de loutil :
- Ah oui ! Super, dit un Invité, voilà donc Cher ami, comment vous dressez vos pouliches, on comprend mieux maintenant.
Monsieur le Marquis ne répondit pas mais dun geste fit élargir le cercle. Jétais toujours mouillée quand la cravache me cueillit en travers des fesses, dans un geste puissant, ce qui me fit tout à la fois dire « hou ! » et me redresser quelque peu. Immédiatement je repris la position, quand le second coup matteignit en travers du fessier cette fois, depuis le bas du dos. La sensation de la brûlure de la cravache sur un corps mouillé est intense et cruelle
Trois, quatre, cinq, dix, coups me furent donnés sans retenue.
- Redresses-toi ! Chienne
- Oui Maître répondis-je, tandis que des larmes coulaient de mes yeux, sous le bandeau.
Cinq coups furent appliqués à chacun de mes seins et la punition prit fin ainsi.
- Mes amis, maintenant, je vous offre le dessert, servez-vous de Ma chienne selon vos envies ! dit le Maître, et ne vous privez pas !
Ce fut, yeux toujours bandés, un festival de fellations et de remplissage de ma chatte et anus, tandis que le faisant, ces messieurs échangeaient entre eux, qui des questions de la Commune ou des choses des diverses sociétés dont ils étaient les dirigeants. Je devenais lexutoire de ces Messieurs.
Malgré ou peut-être parce que javais les yeux bandés jétais excitée davaler tous ses foutres sans voir à qui ils appartenaient tout comme sentir ces sexes me prendre, me posséder, me besogner de tous côtés... par des verges dressées dont je croiserai peut-être demain les propriétaires sans savoir quils
Les marques sur mon corps excitaient terriblement les Invités. Je devenais citerne, certains se masturbant sur mon dos, et éjaculant sur moi
Recouverte de foutre, remplie ras bords, je servais de vide-couilles à ces Messieurs
Ensuite, une fois que tous furent rassasiés de mon corps offert, ils me firent coucher sur le dos les membres en croix et mimposèrent douvrir grand la bouche et ils murinèrent abondamment sur tous mon corps sans omettre ma cavité buccale
Après cette séance, jeus droit à une douche bien chaude ! Et ensuite, nous filions nous restaurer dans une auberge, où un repas copieux nous fut servi et au cours duquel, je dus répondre à une foule de questions sur ma condition desclave, nouvellement « recrutée » par le Maître.
(A suivre
)
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