La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1087)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode N°1076) -
Il rappela Walter pour quil la mène au Chenil, où elle ne tarda pas à sendormir sur la couverture dune des nombreuses niches qui la composaient
Le lendemain midi, Monsieur le Marquis d'Evans retrouvait Son ami Wangdak dans le petit salon, où un apéritif avait été préparé sur un petit guéridon. Les deux amis arrivèrent au même moment, un sourire radieux sur les lèvres. Alors qu'ils s'installaient tous deux confortablement dans des fauteuils bleu roi, Wangdak regardait attentivement la pièce dans laquelle ils se trouvaient.
- Eh bien mon ami? Pas de soumis ou d'esclaves en vue ce soir ? demanda-t-il
- Pas encore
mais si vous le voulez je peux en faire venir.
- Eh bien, jaimerai beaucoup revoir Votre soumise, qui Vous avait accompagné lors de Votre dernière visite au Tibet. Javais énormément pris de plaisir à la soumettre
- Quà cela ne tienne, cher ami ! Je vais la faire appeler. Mais elle nest plus une simple soumise, elle a mérité, après plusieurs épreuves, et par son dévouement totale, son entière dévotion et son comportement parfait, et bien sûr avec son plein consentement, de devenir Mon esclave attitré.
- Avec son plein consentement ? Il Vous arrive donc de leur demander leur avis ? (Wangdak avait un sourire taquin sur les lèvres)
- Eh oui, que voulez-vous, il marrive dêtre « faible », répondit le Marquis en riant. Non, plus sérieusement, lengagement dun esclave envers Moi est bien plus important que celui dun soumis, et je ne peux pas prendre une décision si importante à leur place. Une fois engagés en tant quesclaves, soit ils y restent, soit ils rentrent chez eux mais dans ce cas il ny a aucun retour possible ! Et je mengage à leur resti lensemble de leurs biens quils mauraient confié, ainsi quun compte en banque plus fourni car je leur fais fructifier leur argent. Ainsi sils me quittent, ou si une personne de leur famille avait un souci, ils seraient en mesure dassumer.
Dans chaque pièce du Château, se trouvait un bouton-interphone qui permettait au Châtelain de faire venir Walter dès quIl avait besoin de ses services. Comme à son habitude, le Majordome se présenta rapidement dans le petit salon. Il reçut lordre de venir me venir me chercher. Jétais justement en train de faire ma séance dentraînement de future chienne de concours sur léquipement que le Maître avait acheté au Tibet lors du grand marché BDSM. Il avait dû se renseigner avant dacheter quoique ce soit, car le parcours était au plus proche du vrai parcours dagility canin. Pour le moment, je mentrainais sur un parcours de 12 obstacles, niveau « débutant ». Peu nombreux étaient ceux du Cheptel qui avaient des prédispositions pour ce type dexercice. Mais le Châtelain sétait découvert un certain attrait pour ce sport. Et il pensait chercher un certain nombre de soumis sportif qui pourrait soutenir un concours. Jétais en quelque sorte un prototype, un test avant quIl ne se lance dans le dressage de bêtes de concours. Ma séance commençait par une demi-heure de tapis de marche pour chien, sur lequel jévoluais à quatre pattes, en « courant » aussi vite que la vitesse qui augmentait régulièrement me limposait. Puis je travaillais sur le parcours en lui-même.
Jattendais accroupie sur une table, attendant le coup de sifflet me donnant lordre du départ. Je sautais de la table et partais en quadrupédie. Je devais sautais une première haie avec des barres en croix, puis je devais monter sur une palissade (pas aussi pentue que celle des chiens de concours, nayant pas la même agilité queux), passais dans un tunnel rigide se trouvant sous elle, puis je sautais une nouvelle haie, passais sur une passerelle, sautais un mur, pour revenir sur la table de départ, où je devais faire la belle pendant trente secondes, avant den descendre pour passer entre une dizaine de piquets de slalom.
Si je métais améliorée, javais le droit de mallonger sur la table, sur le dos, cuisses écartées, et on venait me branler jusquà la jouissance, si javais mérité celle-ci par une récompense-autorisation à lorgasme. Si je navais pas été performante lors du parcours, lorgasme métait interdit et je devais donc contenir mon plaisir à être branlée longuement. De plus sil ny avait pas damélioration, ou si javais été plus longue, je recevais le fouet pendant cinq minutes minimum, temps qui se rallongeait dautant de minutes que celles qui avaient dépassé mon précédent chrono
Lorsque Walter vint me chercher, je venais de finir mon parcours et jattendais le verdict, que je ne connus pas. Mais il massura que la sentence, positive ou négative, tomberait dans tous les cas avant ma prochaine séance dentrainement. Je le suivais donc jusquau petit salon, trempée de sueur. Je me prosternais devant le Maître et attendis.
- Eh bien, chienne, tu pourrais te laver avant de te présenter devant moi, tu pues la transpiration à plein nez !
Il disait cela, sachant très bien quIl navait donné aucune indication en ce sens à Walter lorsquIl mavait fait envoyer chercher. Il rappela alors le Majordome pour quil ramène une jeune soumise arrivée depuis peu au Château, et Il lui ordonna de me nettoyer de sa langue, et mordonnant de lui faciliter laccès à mon corps au fur et à mesure quelle le léchait
Les deux amis continuèrent un moment leur discussion sans faire attention à nous.
La conversation tourna beaucoup autour du futur mariage, et de la première journée de Sangmo au Château. En effet, le Châtelain raconta au Tibétain suivant ce que Walter Lui en avait conté et ce quIl avait pu voir sur une des nombreuses caméras du Château, qui Lui permettait de savoir absolument tout ce qui se passait entre les murs de Sa noble demeure. Tandis que les langues allaient bon train, Wangdak, après avoir demandé au Noble si cela ne le dérangeait pas, sétait déchaussé, et, après avoir ôté ses chaussettes, samusait à caresser mon dos, puis mes fesses. Ses pieds découvraient mon corps, lun commença à se faufiler entre mes cuisses, son gros orteil parvenant à mon clitoris et le branlant doucement, partant parfois à la découverte du reste de mon sexe en se glissant entre mes lèvres vaginales. Un « Hummm ! » approbateur apprit au Maître Vénéré, qui nen doutait pas, que ma caverne était déjà bien humide. Pendant ce temps, le second pied ne sennuyait pas non plus. Toujours avec le gros orteil, il appuyait régulièrement sur ma petite entrée, allant récupérer un peu de mouille à lavant, et il le pénétrait peu à peu, avant de sagiter à lintérieur.
Je me remis en quadrupédie, en faisant attention de ne pas perdre le contact avec les doigts de pieds qui soccupaient de moi, et jouvris la bouche pour recevoir Son noble sexe bien bandé, bien épais. Et alors que deux de mes orifices étaient occupés par des petits membres nerveux qui me faisaient grand effet, Il me baisa le troisième qui était jusque-là inoccupé. Le Tibétain se lassa vite de jouer avec ses orteils. Il se leva, dégaina sa queue, de belle taille également et me fourra sauvagement, alternant des coups de reins dans ma chatte et dans mon cul. Jétais ainsi bien remplie de partout. Et comme sils étaient liés lun à lautre, ils jouirent de concert, me remplissant, lUn dans la bouche, lautre dans le cul me donnant des claques aussi forts sur mes globes charnus que ses cris bestiaux au moment de la jouissance furent puissants. Le Maître, Lui, mavait bloqué la tête de ses mains, en coït buccal profond, pour se libérer en violents jets de perme épais, que javalais avec délice ! Après que jeus nettoyé les deux verges avec ma langue, leur conversation recommença sur un sujet qui navait pas encore été abordé, cest Wangdak qui lança ce sujet :
- Et au fait, Votre musée ? Lavez-Vous ouvert finalement ? Vous aviez acheté de belles pièces au marché au Tibet !
- Oui je lai ouvert, il y a quelques mois. Et dailleurs, Mon esclave qui Vous sert de repose-pieds, en a été une pièce maîtresse le jour de son inauguration, comme cadeau pour être devenue Mon esclave.
- Je serais ravi que Vous me racontiez cela !
Le Châtelain prit un moment, replongeant dans Ses souvenirs récents, un sourire aux lèvres car ce moment avait été une belle réussite ! Et linauguration du musée BDSM avait attiré énormément de monde de leur milieu ! Il avait organisé cette inauguration juste après que Sa chienne Aphrodite MDE soit devenue Son esclave. Une sorte de cadeau quIl lui faisait, car seuls les meilleurs, les plus obéissants, à lattitude la plus parfaite avaient eu le droit dêtre utilisés pour les diverses « présentations » et tous lavaient ressenti comme un grand honneur. Il revoyait la foule qui avait envahi les extérieurs en attendant de pouvoir entrer dans ce premier Musée Mondial de la D/s, où se mêlait objets et êtres vivants en vitrine. La vive admiration de Ses pairs. Il navait reçu que compliments et félicitations pour Son uvre. Il fut particulièrement ému que des personnes dun certain âge, ayant connu Son père, grand Dominant reconnu également parmi toute la Dynastie des Evans, le félicitent en Lui disant combien il aurait été fier de Lui, sil avait pu être encore présent. Son père mais aussi à ne pas oublier tous les précédents Marquis dEvans qui se sont succédés depuis des générations au Château et tous Maîtres de renom en leur temps
Bel héritage auquel le Noble était si fier et quil sefforçait de perpé au quotidien
- Mieux que vous le raconter, je vais vous faire visiter ! Mais après le repas. Le musée nest pas ouvert en permanence, car il nest pas fait que dobjets inanimés ou animés mécaniquement. Plusieurs membres de mon Cheptel y sont nécessaires. Il faut donc un petit moment pour tout mettre en place, et jexige quils aient correctement mangé auparavant pour avoir lénergie nécessaire à toute la visite.
Il fit un signe à son ami qui retira ses pieds de mon postérieur, et claqua des doigts. Je revins alors me prosterner devant Lui.
- Ma chienne, trouve Walter et préviens-le denvoyer au premier service tous ceux qui ont un poste à tenir au Musée, et dis-lui de le tenir prêt à ouvrir en début daprès-midi. Ensuite rends-toi immédiatement aux cuisines où tu diras la même chose à Marie. Bien sûr, tu y reprends également ta place ! Exécution !
Je me remis alors prestement en quadrupédie et je partis exécuter Ses ordres. Que ce soit le Majordome ou la cuisinière, tous deux réagir rapidement et avec efficacité à la nouvelle. Et très vite, tous les soumis concernaient étaient rassemblés dans la cuisine et mangeaient, dans des gamelles, une pâtée particulièrement nutritive et équilibrée. Puis chacun fut amené au poste quil devait occuper
(A suivre
)
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