Il Est Temps De Tout Dire 4
Jeudi :
Javais rendez-vous à son hôtel pour un 5 à 7 typique des amants réguliers. Je my rendis avec un peu davance tant jétais frustrée de notre rencontre de la veille (je comptais bien sur autre chose que du plaisir solitaire, aussi intense fut-il), tant jétais fière de montrer que javais respecté les consignes de labricot libre et tant jétais curieuse de savoir ce quil me réservait. Toute la nuit et une bonne partie de la matinée javais échafaudée des plans sur la comète : et sil venait avec son collègue (javoue la présence de cet homme plus jeune me stimulait fortement, son charme, son aura contenue
), et sil mattachait (javais vu cela sur canal plus et cela mavait chatouillée au plus haut point
), et si
,et si
, et sil ne venait pas (la pire des options, je le confesse).
Il était là. Souriant et heureux de me voir comme à son agréable habitude, mais cette fois pas de rush ni de caresses es contre la porte. Au contraire, il prit le temps de poser ma veste sur une chaise, de me proposer un verre
La galanterie faite homme.
- Alors évidemment tu y es allée
- Ou ? Demandai-je ingénue
- Ne joue pas à cela jolie brune, tu dois apprendre à dépasser ta fausse pudeur et à te nourrir de ta honte. Tu es une bonne bourgeoise perverse, acceptes le et jouis-en au contraire !
Jaimais sa façon directe, crue et factuelle de parler de mon désir. Mon corps y répondait à chaque fois.
- Oui jy suis allée
- Et ? ne me force pas à tinterroger sil te plait
- Je me suis touchée, jai adoré, ça a été très rapide
- Bien, montre-moi
- (silence)
- Tu mas compris. Montre-moi.
Je massis sur le bord de la chaise, écartai amplement les jambes, heureuse de montrer mon pubis et mes lèvres lisses, et commençai à me masturber le clitoris déjà gonflé par notre discussion. Il me dévorait des yeux, jétais déjà en transe.
- Bien, arrête. Nous allons faire autrement.
Difficile de me contenir au bord de lorgasme mais jy parvins.
- Mets-toi en levrette, redresse bien ton cul et branle toi à nouveau. Colle bien tes seins contre le lit que ta croupe soit bien offerte. Écarte mieux les cuisses. Doigte-toi au bord. Voilà pas plus.
Il était derrière moi et me guidait tout en me regardant faire. Il était resté habillé alors que jétais cambrée de façon obscène la jupe retournée sur mon dos. La situation nouvelle pour moi me rendait folle.
Soudain ses deux mains écartèrent mes fesses et il cracha sur mon anus. Je me redressai.
- Reste en position.
Docile, je reposai ma tête contre le traversin. Ses doigts commencèrent à faire pénétrer la salive dans mon rectum. Jétais crispée.
- Je vois tu nas jamais pris du cul. Jaurais dû men douter. Eh bien nous allons remédier à cela illico presto.
Lubrifiant plus amplement avec sa bave et ma mouille, je sentais ses doigts (deux je pense) faire des allers-retours peu profonds et tournoyants. La douleur laissa rapidement la place à une sensation de plénitude, peu à peu je mouvrais sous leffet conjuguée de sa pénétration et de ma masturbation.
- Très bien, détends-toi, comme ça, ça va passer tout seul.
Jentendis le bruit de sa braguette et me refermai instantanément comme une huitre.
- Non ! Laisse toi faire !
Il mappuya fortement la nuque de sa main pour me forcer à me cambrer à nouveau. Derrière, son autre main continuait son travail douverture. Je tremblai.
Jétais encore ouverte lorsque ses doigts laissèrent la place au contact chaud de son gland. Un tout autre calibre. Il poussa lentement tout en frottant sa verge pour faciliter le passage. Puis il senfonça dun coup.
Difficile de décrire la sensation. Douloureuse au début, vraiment, puis les va et vient, ses mains fortement ancrées sur mes hanches, les caresses de mes doigts sur mon sexe
Je ne sais plus quand la douleur a laissé place au plaisir mais finalement quel plaisir !
Un orgasme long et profond, joint à mon clitoris.
Il jouit aussi. Avec dintenses grognements et une puissance animale. Nous étions unis dans un vrai moment de plaisir, fut-il « contre nature » dans mon ancien monde.
- Tu vois ce nétait pas si difficile ni désagréable
- Non mais
- Pas de « mais » tu as aimé, sois en fière. A ce propos quand tu rentreras chez toi ne tessuie pas la raie. Je veux que tu me sentes encre cette nuit.
Ce soir-là je mendormis le visage tournée vers mon mari. Javais besoin de le regarder et de réfléchir mais javais surtout peur quil découvre mon anus encore gras de ma première sodomie
(à suivre, sabine.guillard2 skype)
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