Nous Avons Un Beau Métier (Suite - 2).

Après les deux premiers épisodes que j’ai racontés, je cède volontiers la place à Camille pour vous raconter comment elle a vécu cette soirée à trois.


Récit de Camille.

Au cours de la soirée pendant laquelle j’ai proposé à Vanessa de prendre l’intérim de la secrétaire et de devenir mon assistante en matière de sexologie mon compagnon a servi de cobaye…
Je voulais voir comment elle se débrouillerait avec un des futurs patients ou futures patientes.
De médecin généraliste, je m’étais spécialisée dans les problèmes de couples et en été, j’avais un emploi du temps particulièrement chargé car beaucoup d’hommes et de femmes profitaient de leurs vacances pour venir me consulter.



À 42 ans passés, je suis ce que les hommes appellent « une belle plante ». Blonde comme les blés de par mes origines nordiques déjà lointaines, j’ai une poitrine bien rebondie (un bon 95 C) et une chute de reins digne de la princesse de Saba… Les fesses charnues et bien fendues attirent le regard des hommes et c’est souvent qu’Hervé me prend en levrette : Voir mes fesses s’ouvrir, çà le fait fantasmer et parfois il passe par la « porte arrière »… et là… je prends un pied d’enfer quand je sens ses giclées frapper le fond de la capote (hygiène oblige) !

Par contre Vanessa est complètement différente… C’est une jeunette d’environ 20 ans, qui, nous l’avons découvert, n’a pas froid aux yeux…
Pour tout dire, elle avoue avoir le feu au cul ! Son « mec » comme elle l’appelle, ne lui suffit pas… elle se masturbe dans son lit ou sous la douche et quand elle est véritablement en manque, elle se paie une sortie en club libertin… s’offrant aussi bien à des hommes qu’à des femmes !
Elle a une silhouette longiligne (comme beaucoup de jeunes), une poitrine et des fesses plutôt menues sous une taille peu marquée.
Si d’une manière habituelle elle est habillée d’un jean qui lui fait comme une seconde peau ou d’une mini jupe « ras la touffe », ce soir, elle avait fait des efforts vestimentaires…



Nous étions passés dans la chambre conjugale où Vanessa et moi, nous nous sommes déshabillées mutuellement sous le regard d’Hervé.

Ensuite, nous nous avons fait un 69 au cours duquel Vanessa m’a dominée, montrant son savoir faire avec une femme… Et elle était douée !
Pendant que Vanessa me gouinait, les fesses haut levées, ce coquin d’Hervé était allé chercher dans notre « coffre aux secrets » un des godes qu’il avait introduit dans le sphincter de Vanessa !
Et elle avait aimé !

Notre nuit à trois a été particulièrement mouvementée…
Vanessa n’en avait jamais assez…
Nous nous étions gouinées une seconde fois pendant qu’Hervé récupérait d’une précédente saillie… Il bandait encore à moitié, allongé sur le dos en nous regardant d’un œil égrillard quand Vanessa s’est écriée :
• Chiche… On le pompe à deux ?
Je n’étais pas contre…
Hervé devait encore avoir de la réserve pour nous envoyer en l’air l’une ou l’autre !
C’est ainsi que nous nous sommes partagées la bite d’Hervé…
Quand l’une suçait le gland, l’autre caressait les bourses ou la base du mat et inversement…
Vanessa est même parvenue à faire entrer la bite jusqu’à ce que ses lèvres arrivent jusqu’au pubis d’Hervé !
C’était chaud !
Et nous avions su faire renaître une bandaison digne d’un étalon de films X !
La queue était dressée comme un pal sur le ventre de « notre » homme…
Vanessa qui venait de se faire sauter s’est écriée en vouloir encore… qu’elle avait envie de sentir la grosse queue d’Hervé dans son cul… mais qu’elle avait aussi envie de sentir une bite dans sa chatte !
Comment faire ?
J’avais la solution !
Dans le « coffre aux trésors » j’avais un gode ceinture que je n’avais pas encore utilisé… Il était encore emballé !
• Çà te convient ?
• Ooouuuiii ! Génial… Quelle belle bite ! Dommage qu’elle soit fausse mais je m’en contenterai !
Quelques semaines auparavant, j’avais commandé ce jouet sur un site de la toile et je venais de la recevoir le matin même…
Outres les sangles qui permettaient de se harnacher avec, ce gode ceinture offrait l’avantage d’une excroissance qui entrait dans le sexe de la femme et des picots souples pour exciter le clitoris… Mais le plus beau (si j’ose dire…) c’était la taille, la couleur et la texture…
Si Hervé a été bien servi par la nature, la taille de ce gode est encore supérieure, de couleur brun foncé, on aurait pu imaginer la bite d’un noir ou d’un métis avec les veines bien saillantes le long de la hampe et un gland rosâtre décalotté et saillant !
Vanessa bavait d’envie devant ce jouet !

Je m’étais harnachée et m’étais couchée sur le dos… le sceptre de plastique dressé sur mon pubis comme une vraie bite humaine… Vanessa a regardé si j’étais bien installée en faisant quelques mouvements avec ses mains puis sa bouche avant de m’enjamber et de se laisser couler lentement sur ce pal…
• Oh… je suis bien remplie ! çà va être le pied ! Hervé… mon cul est à vous !
Vanessa s’est allongée sur moi, pressant ses petits seins aux tétons saillants contre les miens et m’a embrassée en me disant à l’oreille combien elle était heureuse de nous avoir rencontrés…
Dans cette position, sa fente était offerte à Hervé qui allait la sodomiser comme elle le souhaitait.
Comme elle était un peu serrée et que la bite d’Hervé est assez conséquente, ce dernier a injecté dans le sphincter de la belle une bonne dose de gel translucide et il s’est approché, la queue conquérante !
A genoux de part et d’autre de nos cuisses emmêlées, je l’ai vu saisir la taille de Vanessa et son bite disparaître quand il a embroché le cul de la belle…
Oh, il ne l’a pas prise violemment… Il est entré lentement dans le passage étroit et quand il a été bien ancré au fond, il y est resté quelques instants…
Je sentais à l’entrée de ma chatte l’effet de picots du sexe artificiel qui chatouillaient mon clitoris et la cyprine de Vanessa qui s’écoulait entre nos pubis…
Puis Hervé a entrepris les mouvements de piston dans le boyau étroit de Vanessa… Je le connaissais assez pour savoir qu’il ne se libérerait qu’après nous avoir envoyée en l’air toutes les deux…
Il a baisé longuement le cul de Vanessa et çà n’a pas raté… elle s’est mise à jouir, allant et venant sur la bite artificielle comme une démente… ce qui m’a fait partir à mon tour !
Après quelque minutes de repos, Hervé (qui n’avait pas déculé…) a repris les mouvements dans l’antre secret de Vanessa et il s’est lâché, inondant à nouveau le fond de la capote de puissantes giclées de foutre… et là, je me suis arrangée pour faire aller et venir le sexe factice dans celui de notre complice… jusqu’à ce qu’elle jouisse à nouveau !
Quel pied !

Je ne sais pas comment nous nous sommes désunis, toujours est-il que tous les trois, nous nous sommes endormis pour nous réveiller au milieu de la matinée…
J’étais toujours harnachée avec le gode ceinture, Hervé comme chaque matin bandait à moitié et Vanessa était lovée entre nous deux !