Cherche Fantasmes Pour Épouse Pudibonde 2

Le lendemain, il est à peine arrivé à son bureau que l’époux pervers appelle le beau-père de son collègue. Ce dernier ne cache pas son enthousiasme quand notre homme lui propose de se rencontrer pour mettre un plan de traitement destiné à déniaiser sa tendre épouse.
Ce matin en partant, il a demandé à sa chérie de se préparer pour sortir peut-être ce soir. En conséquence, de se faire belle et désirable. Comme d’habitude elle a accepté non sans montrer des signes d’inquiétude et de réserve.
Un rendez-vous est pris pour le midi même, le beau-père à la retraite a toutes ses journées libres qu’il pourra consacrer à leur plan.
Il ne sait pas pourquoi mais notre mari retrouve un plaisir doublé d’excitation de parler de sa femme avec cet homme. Visiblement pervers comme lui, il lui apparaît sans le moindre charme, sinon son âge avancé qui devrait plaire à sa jeune femme Chantal. C’est un fait qu’il fait beaucoup plus décatis que lui même. Il lui parle de ses seins, de ses fesses, de ses cuisses…
- Vous n’avez rien contre les sexes qui ont conservés un mince duvet soigné pour toison ?
- Au contraire, je suis de la génération des femmes velues et j’adore découvrir les lèvres d’une vulve en écartant les quelques poils d’une chatte.
- A la bonne heure ! Si vous vous sentez une inclinaison pour Chantal, vous ne serez pas déçu !
- Une inclinaison ? Vous voulez rire, j’éprouve déjà une véritable passion pour elle. Dites moi, une indiscrétion, elle est adepte de la fellation ?
- Bien sûr, cher ami. Et elle avalera toute votre liqueur même si elle renâcle à le faire spontanément.
Notre cadre exagère bien sûr et complètement émoustillé, il ne se sent plus de limites et ne se rend même pas compte qu’il vient déjà de livrer sa jeune femme à cet individu. Sans compter que ce dernier fait partie de son cercle de connaissance et que cela peut nuire à la réputation de son couple ou pour le moins de sa femme.

Cette confession montre combien cette histoire le séduit, l’incitant à prendre des risques démesurés. Il va peut-être enfin trouver de quoi stimuler sa libido défaillante.
Mais ce qu’il désire au delà de livrer son épouse, c’est l’idée de la louer à des individus afin qu’ils réalisent leurs fantasmes et tant que faire se peut, proposer des originalités qui vont l’exciter en retour.
- Dites-moi, cher ami, que comptez-vous proposer à Chantal qui puisse lui donner du plaisir ? A mon initiative, elle a accepté jusqu’alors de s’exhiber, de danser avec des inconnus en boite, sans jamais aller très loin. Pour ma part je suis à court d’idées pour la dévergonder.
- Tout d’abord, je vais la baiser, pour et seulement pour mon seul plaisir. Elle est belle, cela suffit à mon excitation. Il y a bien longtemps que je n’ai pas tiré une si jolie femelle. Faites moi confiance pour en retirer la maximum de jouissance personnelle.
Le simple fait d’entendre le mot « tirer » pour celui de faire l’amour à sa femme, choque d’emblée profondément le mari. Plus aucun respect pour la personne. Il est pris d’une érection spontanée et se contorsionne sur sa chaise. Ce jeu n’échappe pas au beau-père qui entend bien en tirer parti et prendre l’ascendant sur lui.
Pour notre homme, mari déjà cocu, louer son épouse et la livrer aux sévices d’hommes pervers aux fantasmes cachés, apparaît comme une urgence incoercible, depuis cette soirée chez son ami. C’est l’entraîner dans des situations qu’il n’est plus capable d’imaginer. Pas de relations tarifaires bien sûr, mais la soumettre à une sexualité débridée dont il imagine qu’elle est sans doutes refoulée au plus profond d’elle-même.
- Bien sûr vous pourrez la baiser. Je vous laisse le champ libre à l’exception de sévices corporels. Je vous laisse le doute quant à notre complicité. Ce sera notre secret à elle et à moi. Vous ne pourrez rien en savoir. Sachez juste que nous nous aimons et que ni elle ni moi ne voulons mettre notre couple en danger.

Notre homme a, bien entendu, l’intention de parler de son projet à son épouse. Curieuse et par amour, il est persuadé qu’elle finira par y abonder, la rassurant de la réserve de garder une issue de secours, un mot prononcé, un sésame, qui fera cesser le jeu. Ce mot sacré sera toujours communiqué au complice qui devra à tout moment s’y soumettre.
- Mais vous devrez me faire connaître au préalable ce que vous aurez envisagé pour elle. Même si j’autorise que vous la rencontriez hors de ma présence, le plus souvent je voudrais être le spectateur de ses abandons.
Les deux hommes se réjouissent de cette entente, mais en même temps chacun pense secrètement qu’il allait profiter de l’aubaine qui s’offrait à lui dans ce marché de dupes.
Le mari voir le cheminement de la débauche de sa femme.
L’amant la perspective de rencontres à l’insu du cocu pour profiter de la sottise probable de cette femme aussi jolie que docile et pourquoi pas, lui faire découvrir des plaisirs multiples en exaltant des désirs qu’elle aurait refoulés. Il connaissait déjà des amis, des relations à qui cette belle poulette donnerait des envies de débauche.
Il est vrai que, depuis bien longtemps déjà, l’activité sexuelle de notre homme se résous à des masturbations solitaires devant des images ou des films glanés sur le net. Pouvoir toucher la peau douce des appâts d’une jolie dame lui semblait devenu inaccessible et sa résignation lui était douloureuse. Mais là, l’espoir renait ! Pour affirmer sa détermination, il demande le numéro de portable de la jeune femme.
- Donnez-moi son numéro de portable. Je souhaite la contacter au plus vite. La baise cela ne se capitalise pas. Il faut consommer au plus vite.
Le mari, nerveux à l’idée que son projet prend forme, n’hésite pas une seconde pour lui donner. Le beau-père se réjouit en lui-même de l’aubaine.
Chantal se rendait bien compte de l’épuisement de la libido de son mari et aussi des efforts qu’il déploie pour trouver les moyens propres à la réveiller.
Il avait été flamboyant jusqu’ici mais, petit à petit, reproduisant toujours les mêmes situations, cela ne fonctionnait plus.
La différence d’âge avait été un élément important dans son mariage mais aujourd’hui, elle commence à s’apercevoir que ça devient un obstacle à son épanouissement sexuel mais aussi existentiel. C’est vrai, elle a depuis toujours été attirée par les hommes mûrs et ce n’est pas un hasard si elle a épousé cet homme plus âgé qu’elle, qui partage sa couche. Elle avait à l’époque recherché le père qui lui avait manqué, disparu beaucoup trop tôt. Cela avait été facile pour elle de se donner et lui faire l’amour car jamais elle n’avait été attirée par de jeunes hommes.
Quand il l’exhibe, elle reconnait qu’elle aime le regard des inconnus sur elle, mais elle se bloque aussitôt, envahie par la honte guidée par les principes et mises en garde répétés de sa maman dès les premières années de son adolescence : « Méfie toi des hommes. Ne les regarde jamais dans les yeux. Ce sont tous des sales cochons ».
Afin de s’accorder avec ces principes, et se prémunir des tentations, elle s’investit dans différentes œuvres caritatives pour occuper ses journées mais aussi et surtout pour répondre à son éducation religieuse.
Elle avait bien été choquée quand son mari avait proposé au beau-père de son collègue de l’aider à la déniaiser. Mais une fois la honte passée, elle reconnaît qu’elle avait ressenti une onde de chaleur envahir tout son corps tout comme cette sensation d’excitation en saisissant le regard sur ses jambes. Le beau-père avait des yeux et une prestance particuliers qui l’avaient décontenancée. Etait-ce la raison de son trouble ? Etait-elle en train de succomber aux appels de la chair, du vice, de la luxure ? Elle n’arrivait pas à chasser ces pensées qui la tyrannisaient. Bien pire, elle se sentait envahir par des pulsions que sa conscience réprouvait.

Secrètement, elle entrevoie des situations avilissantes. Si elle avait été jusque là assez en retrait de toutes les propositions imaginées par son mari, elle finissait par se convaincre que la vie est courte et qu’il faut en profiter.
Elle arrive alors à la conclusion qu’elle apprendrait à faire fi de ses états d’âme et de ses blocages religieux. En même temps, elle sent bien qu’en conservant cette apparence d’une femme bloquée et timide, était un atout qui ne pourrait que servir ses envies et plaire et à son mari, et aux inconnus susceptibles de participer à sa débauche. Elle se garderait bien de lui en parler.
Son mari lui a demandé en partant ce matin, de se faire belle pour sortir ce soir. Elle se met à espérer que ce soit avec cet homme au regard si vicieux et aussitôt, elle s’aperçoit qu’elle mouille sa petite culotte. Elle irait se confesser.
Depuis cette rencontre, le brave beau-père ne tient plus en place. Ce cocu en puissance lui offrait sa femme. Tout simplement ! Il imagine déjà la tête de ses copains, tous aussi pervers que lui, quand ils verront cette femme belle à la beauté pleine de grâce qui manque tellement aux femmes ordinaires et vulgaires. Charme est le mot qui désigne le mieux cette personne, et de savoir qu’il va pouvoir en disposer le rend déjà fou d’excitation. Son mari peut dire ce qu’il veut, elle sera son jouet à lui et il saura en faire profiter toute sa communauté de fous du cul rencontrés sur le net. Il a besoin de fantasmes ? Et bien il va être servi ! Ne reste plus qu’à soumettre la belle aux yeux si bleus ! La scène du divan, qui avait montré sa timidité et sa réserve, laissait à penser que ce serait chose facile.

(à suivre)

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