Nouveau Départ
Lamour est parfois complexe à vivre, il est souvent fait de concession de lun ou de lautre.
Il ma fallu mextraire dune histoire damour pour en vivre une autre bien plus forte.
Mon mari et moi avions le même âge, 29 ans. Nous nous sommes rencontrés en 1ère année de fac et nous ne nous sommes plus quittés. Nous nous sommes installés à Lille et avons commencé une vie professionnelle intéressante et suffisamment lucrative pour bien vivre et profiter de la vie.
Mon mari est grand, bel homme, mignon, assez extraverti et drôle. Son humour ma charmé immédiatement lors de notre rencontre. Pour ma part, je suis châtain blond, 1.65m, des formes là où faut pour plaire aux hommes et on formait un beau couple.
Nous nous sommes mariés à 24 ans. Mon mari, Sam, a réussi à me convaincre dattendre un peu avant davoir des s. Le fait que cela bénéficie à ma vie professionnelle et que plusieurs de nos amis aient également fait ce choix ma aidé à accepter son point de vue.
On sort encore beaucoup, on voyage dès quon le peut et on profite des vacances entre amis. Je ne peux nier que japprécie cette vie et jaime également beaucoup mes amis et le temps passé avec eux mais depuis 2 bonnes années, je me sens cependant de plus en plus prête à avoir un , à évoluer dans la vie. Je sens que jai besoin dêtre mère pour me sentir épanouie en tant que femme.
Jai lancé plusieurs fois la conversation sur ce sujet mais Sam trouvait toujours une excuse. Et je commençais à me poser des questions sur son envie den avoir un jour.
Au jour daujourdhui, je me rends compte que cest à ce stade que les relations avec mon mari sont devenues un peu plus distantes. Je crois que lui, avait peur que mes demandes se fassent plus pressantes et de mon côté, je lui en voulais inconsciemment.
A cette période, jai eu lopportunité daller dans une filiale de mon groupe pour faire évoluer ma carrière. Je devais occuper un poste vacant pendant 8 mois et former un futur remplaçant après avoir remis de lordre dans plusieurs services de la société.
La filiale en question était à Toulouse, soit 6 ou 7 heures de trajet en train. Un logement super mignon était mis à ma disposition pour toute la durée de ma mission.
Le 1er mois a été très chargé au travail. Je ne rentrais pas le soir à lappartement avant 21h00 et jétais le matin à 7h00 au boulot. Je suis rentrée les 3 premiers weekends et Sam est venu le suivant. Ensuite, cétait toujours à moi de faire les trajets car il y avait toujours une fête de prévue avec nos amis. Jai vite été fatiguée des très longs trajets et Sam rechignait ouvertement à laisser ses amis pour le weekend.
Au travail par contre, au bout de 2 mois, mes efforts ont fini par payer et mes horaires ont commencé à diminuer. Jai pu commencer à profiter de cette ville accueillante et vivante. Par contre, ne connaissant personne, je navais que très peu de vie sociale.
Sam a dû aller pour sa part pendant 1 mois aux USA pour son travail. Il faisait ça tous les ans une ou 2 fois. Je me suis rendu compte que cétait un soulagement pour moi de ne pas avoir à rentrer ou à me sentir coupable de ne pas le faire. Sam et moi, on séloignait lun de lautre et nos retrouvailles étaient loin dêtre aussi passionnées quelles auraient dû lêtre.
Pour passer le temps, je me suis inscrite dans une salle de sport. Presque immédiatement, je me suis faite draguée ouvertement. Certains étaient de gros lourdauds, arrogants. Je les ai vite calmés. Dautres étaient plus respectueux et étaient agréables mais jai rendu les choses claires également.
Cependant, je me suis lié damitié avec une fille, Marie, assez rapidement. Cétait une fille pleine de vie, très drôle, qui ma fait connaître quelques-uns de ses amis et notamment un homme de 30 ans environ, Marc. Il venait très régulièrement à la salle.
On parlait de plus en plus ensemble. Jai su rapidement quil était célibataire et pompier professionnel mais je sentais quil y avait des choses quil ne me disait pas. Et cétait normal, on ne se connaissait pas assez.
Au premier coup dil, jai ressenti une forte attirance physique. Quelque chose dans son visage me plaisait et je narrivais pas à mettre le doigt dessus. Je trouvais quil dégageait beaucoup de charme.
Pour ne rien gâcher, je trouvais son physique parfait. Moins grand que mon mari, entre 1.75 et 1.80m, il était aussi plus fin mais avec des muscles bien dessinés tout en étant loin dêtre bodybuildé. Et jai toujours aimé regarder les fesses des hommes et celles de Marc étaient un régal pour mes yeux.
Je voyais aussi le regard des autres filles envers lui. Certaines dentre elles nétaient pas très subtiles dans leurs tentatives dattirer son attention. A chaque fois que cela se produisait, alors que je nen avais aucun droit, je ressentais une piqure de jalousie bien plus mordante que je ne laurais voulu.
Jai été invitée un samedi soir chez ma nouvelle amie et comme je navais pas de voiture, Marc, invité également, a eu la gentillesse de me proposer de passer me prendre.
Le jour venu, il faisait chaud (en tous cas pour une habitante de Lille) et je me suis habillée en robe courte et légère.
Vers 18h45, On a sonné à la porte. Jai eu la surprise de voir Marc avec dans ses bras une petite fille de 2 ans environ, belle comme un cur, timide, lovée contre lui.
Il ma présenté sa fille Léa. Je navais aucune idée quil était papa.
La soirée, passée presque intégralement avec Marc a été plus quagréable. Une fois rentrée chez moi, jai ressenti une gêne et cest après avoir passé une heure à chercher le sommeil que jai compris ce qui se passait.
Cest à ce moment que je me suis rendue compte que javais des sensations dans le creux des reins que je navais pas ressenties depuis longtemps. Javais envie dun homme et ce nétait pas mon mari. Et ça, cest quelque chose que je navais jamais connu depuis que jétais avec lui.
Bien sûr, javais rencontré des hommes plus beaux, ou mieux foutus que mon mari mais jamais ils nont déclenché chez moi ce genre de sentiments. Cela ma beaucoup troublé.
Les 2 semaines suivantes, jai revu Marc à plusieurs reprises et 2 fois où il avait avec lui son adorable petite Léa. Un soir, alors que Léa dormait, il ma parlé de la maman de Léa, décédée dans un accident de la route alors que la petite fille avait 4 mois. Apparemment un face à face sur une route de campagne et il a été impossible de déterminer la personne fautive car il ny a eu aucun témoin et aucun des 2 navaient bu. Jétais en pleurs pendant son récit.
Le voir avec sa fille après cela a encore augmenté mon admiration et surtout, mon affection pour lui.
Je me posais de plus en plus de questions sur mon couple. Et les appels à mon mari ne me rassuraient pas beaucoup. Je le sentais distant et je suis sûr quil devait se dire la même chose de moi.
Je suis rentrée à Lille le jour où il rentrait des USA. Nos retrouvailles ont été bonnes mais il ny avait pas de flammes et on a retrouvé nos amis pour une soirée très arrosée. Le dimanche, on sest réveillés tous les 2 en même temps et on a eu une grande discussion.
- Sam, jai beaucoup réfléchi à nous 2 pendant les 3 derniers mois.
- Moi aussi Julie. Et je vois que ce nest plus pareil entre nous.
- Je voudrais savoir où nous en sommes. Il y a encore 1 an, jétais sûre de moi, sûre de nous mais aujourdhui, je ne suis plus sûre de rien.
- Je taime Julie, jen suis sûr moi.
- Je te crois mais je tai fait part de quelque chose que je voulais avec toi et tu repousses tout le temps. Tu sais de quoi je veux parler ?
- Dun , oui, je sais !
- Tu vois tu tagaces déjà.
- Oui mais moi, ce que je vois cest quon est encore jeune, on peut profiter, bouger. Rien ne nous retient.
- Et jusquà quand est-ce que tu jugeras que tu es jeune. 29 ans, ce nest plus si jeune, en tous cas pour une femme qui veut avoir au moins un . Et quand on sest mis ensemble, je te rappelle que tu parlais déjà toi-même ds.
- On peut attendre encore un peu non ? Rentre ici avec nous dès que ton travail là-bas sera fini et tout sarrangera. Je pense que tu te sens trop seule là-bas.
- Tu te rends compte de ce que tu viens de dire ! Tu viens de me dire de rentrer avec VOUS ! Pas avec TOI ! Et pour toi, si jai envie dun , cest parce que je suis seule à Toulouse ? tu ne me semble pas malheureux que je sois si loin.
- Tu exagères.
- Non, je nexagère pas. Et ta vision de notre couple ne me plaît plus. Je veux des choses que tu ne veux clairement pas. Je veux une vie de famille. Je veux élever un et je suis persuadée quon peut samuser et profiter quand même.
- Ce ne sera plus pareil.
- Cest vrai mais cest ce que je veux et pas toi.
- Un tout de suite, je ne veux pas. Cest vrai.
- Donc cest sans issue.
Je me suis levée et habillée puis jai fait ma valise. Sam a voulu membrasser quand je suis partie mais jai détourné la tête. Jétais triste, énervée, et convaincue que je navais plus davenir avec Sam. Je naurais jamais cru que notre mariage allait sombrer à ce point.
Pour ne rien arranger à mon humeur morose, le temps a été mauvais toute la semaine à Toulouse.
Sam avait visiblement parlé de notre dispute autour de lui car Jai eu plusieurs appels de mes amis de Lille, essayant de me dire quil ne fallait pas réagir comme ça. Sam rejetait toute la faute sur moi et ça me mettait hors de moi. Même ma meilleure amie avait pris sa défense.
Je nai eu mon mari quune seule fois au téléphone de la semaine et cétait un appel purement administratif. Il a eu beau essayer dêtre gentil, jai senti tout de suite que ça allait être très difficile pour moi daccepter de recoller les morceaux.
Jai continué à voir Marie très régulièrement et je lai mise au courant des difficultés de mon couple. Jai apprécié quelle ne prenne pas partie pour lun ou lautre. Jai également passé un peu de temps avec Marc et jai revu sa puce. Jai failli éclater en sanglots quand elle ma couru dans les bras.
Je voulais donner du temps à notre couple mais un évènement a encore compliqué les choses entre nous. Jai été convoquée par le directeur de mon usine. Quand je suis arrivée dans son bureau, il était accompagné de mon patron de Lille. Jai tout de suite cherché quelle boulette javais fait qui allait me valoir dêtre virée ou de retourner illico à Lille. Javais tout faux. Un poste allait se libérer à Toulouse à la fin de ma mission. Mes patrons me proposaient le poste car ils appréciaient mon travail et les collaborateurs dici acceptaient sans problème mon autorité. Jai bien sûr demandé un délai de réponse. Ils mont laissé 2 semaines avant de passer une annonce.
Jai annoncé cette nouvelle à Marie en tout premier. Elle était folle de joie et me voyait déjà rester.
- Cest génial ! Restes ici Julie. Tu verras, ce sera parfait pour toi !
- Je dois penser à mon couple aussi
. Je sais que ça va mal mais si jaccepte le poste, cest le divorce à coup sûr ! je ne suis vraiment pas sûr daccepter tu sais.
- Julie, je
. Je crois que je dois tavouer quelque chose
.
Elle semblait très mal à laise, hésitante, et cest très inhabituel chez elle.
- Tu me fais peur là !
- Tu dois me promettre de ne répéter à personne ce que je vais te dire
. Vraiment personne !
- Euh
Cest promis daccord.
- En fait, si tu restais dans les environs, cela pourrait changer des choses pour certaines personnes ici
- Quest-ce que ma présence ici pourrait changer et pour qui ?
- Je te trouve très intelligente, mais tu nes pas très maligne sur ce coup-là
. Cest pour Marc et Léa que ça pourrait changer quelque chose.
- Et euh
. Je ne vois pas ce que ça pourrait changer.
- Ecoute, je vais te dire une chose que tu sais déjà
Marc te plaît. Je suis même prête à mavancer et à dire que tu laimes.
- Hein
Je
Je ne vois pas ce qui te fait dire ça.
- Tous nos amis sen sont rendus compte tu sais ! Ce que je vais peut-être tapprendre, cest que Marc est fou de toi et que ça aussi tout le monde sen est aperçu
.
- Sauf moi
. Il ne ma jamais rien dit que je sache
- Et pour ne rien gâcher, Léa tadore
Mais pour lui, tu es une femme mariée, en poste ici pour encore quelques mois seulement. Il ma dit lui-même quil ne tenterait rien car il ny a pas davenir et quil doit penser à Léa en priorité. Mais je peux tassurer que je ne lavais pas vu sintéresser à une autre femme depuis la mort dEve.
- Marie, merci de me dire ça
Et pour tout te dire, oui, en effet Marc me plaît. Beaucoup même et javais limpression que ce nétait pas du tout réciproque donc je profitais du temps passé ensemble, jappréciais juste sa compagnie
En amie
Et comme tu me las dit, je suis mariée
.
- Lui aussi tu lui plais. Sois en sûre. Et je ne lui ai rien dit quand tu mas dit que ton couple nallait pas bien car ton départ dans quelques mois naurait rien changé.
- Je comprends
- Alors tu comprends aussi que si tu restes à Toulouse dune part, et que tu décides de ne plus être une femme mariée dautre part, ça change tout
. Pour lui et pour toi !
Je suis restée silencieuse quelques instants.
- Quelle que soit la décision que tu vas prendre, Marc est un ami très proche et je tiens beaucoup à lui. Je ne suis pas sûr quil approuve vraiment que je tai raconté tout ça alors sil te plaît, ne lui dis rien. Je voulais juste que tu aies toutes les cartes en main pour prendre ta décision.
- Oui, bien sûr ! Ne tinquiète surtout pas.
Le weekend suivant, Sam devait venir me rejoindre mais le vendredi à 15h00, il ma juste envoyé un texto, disant quil ne pouvait venir à cause dune obligation professionnelle. Je savais que cétait du flanc. Cest ce jour-là que jai pris ma décision. A 15h30, jétais dans le bureau de mon chef pour lui dire que jacceptais la proposition. Je me suis sentie soulagée dun poids énorme. Jai su tout de suite que cétait la bonne décision.
Le dimanche à 12h00, jai eu mon mari au téléphone. Il avait la voix pâteuse du lendemain de fête.
- Sam, nous deux, ce nest plus possible. Tu nas même pas fait leffort de venir ce weekend. Jen ai conclu que tu ne voulais plus vivre avec moi.
- Cest faux, javais juste plein de trucs à faire.
- Et tu me lannonce par texto ?
- Jétais pressé et je me doutais que tu le prendrais mal.
- Ecoutes, Jai encore beaucoup damis à Lille même si tu me fais passer pour la méchante auprès deux. Je sais que tes obligations professionnelles, cétait un foot avec tes potes de boulot et une grosse fiesta hier soir.
- Julie, tu as vu le temps de trajet ?
- Donc, cest bien ce que je pensais ! Tu nas même pas fait leffort de venir me voir alors que notre mariage est une catastrophe en ce moment
. Et si en plus tu commences à me mentir
- Jai eu tort, je mexcuse mais jen ai marre que tu sois loin, cest tout.
- Eh bien ça ne va pas sarranger car jai accepté un poste à Toulouse. Je ne rentrerais pas vivre à Lille.
-
Et tu sais que je nirais pas vivre à Toulouse.
- Oui, je sais. Je pense donc quil faut quon divorce
.. Notre couple ne va nulle part.
- Reviens ici et on peut faire des concessions tous les deux.
- Et quest-ce que tu vas faire comme concessions, me faire un que tu ne veux pas ? Arrêter de faire la fête comme un gamin de vingt ans plusieurs fois pas semaines ? Ce serait pire que tout.
- Pour toi la décision est prise alors ?
- Oui, je crois sincèrement que cest la décision à prendre.
- Tu as certainement raison. Je peux te poser une question ?
- Oui
- Est-ce que
tu as rencontré quelquun ?
- Je ne te trompe pas si cest ta question. Et je ne tai jamais trompé non plus dailleurs. Cest juste que jaime la vie ici. Je me suis fait de nouveaux amis ici
. De très bons amis même
- Tu penses donc que tu seras mieux là-bas ?
- Oui
- Ok. Merci dêtre franche. Pour ton information, je ne tai jamais trompé non plus. Jai des défauts, je le sais, mais je nai pas celui-là.
- Alors, est-ce que tu es daccord pour divorcer ?
- Oui, je crois que cest le mieux à faire.
On sest quitté comme ça, amicalement et ça ma fait en même temps du bien et ma rendue triste. Cétait dommage de ne pas sêtre rendu compte avant que notre amour avait diminué à ce point.
Les trois mois suivants sont passés très vite car jai dû faire des voyages pour ramener mes affaires, régler le divorce amiable, dire au revoir à mes amis de Lille. Je dormais dans notre appartement mais dans un lit différent de celui de Sam qui avait racheté ma part de lappart.
Moi, jai emménagé dans un joli petit appartement à Toulouse, en location. Tout cela ma pris du temps et je nai presque pas vu Marc pendant cette période. Jai demandé à Marie de ne rien dire à Marc. Jai fait attention à ses réactions lorsque jétais avec lui et jai vu les signes que je lui plaisais. Des coups dil quand je me tournais, des sourires. Jai même cru une fois quil allait franchir le pas. Pour ma part, jétais de plus en plus convaincue que cet homme était pour moi. Et javais de plus en plus envie de lui. Je lai aperçu une fois torse nu car un homme sortait du vestiaire des hommes à la salle de sport. Cette vision na duré quune seconde mais je me suis tout de suite imaginée dans ses bras. Jai même fait une chose que je navais plus fait depuis un bon moment ! Je me suis masturbée plusieurs fois en pensant à lui.
Jétais excitée comme une gamine le jour où jai reçu les papiers de mon divorce. Je nai enlevé mon alliance que ce jour-là, la rangeant avec une pointe de tristesse quand même.
Mais mon excitation nétais rien comparée à celle de la première soirée que jallais passer en tant que célibataire en étant invitée chez Marie. Je savais que Marc devait être là. Je savais aussi que cétait lanniversaire de Léa la veille.
Je me suis faite belle mais décontractée, sans maquillage ou presque. Je voulais lui plaire au naturel.
Jai su que Marc était arrivé avant de le voir car une petite fille est venue se coller à mes jambes. Marc est entré quelques minutes plus tard au moment où Léa finissait denfiler une robe que je venais de lui offrir. Marc était lui aussi très content de me voir.
La soirée était comme dhabitude très agréable et enjouée chez Marie autour dun bon barbecue.
A un moment, Marie a demandé le silence.
- Jai une grande annonce à faire. Notre petite Julie, toute nouvelle venue dans notre cercle damis va finalement rester parmi nous beaucoup plus longtemps que prévu ;
Il y a eu plein de hourras.
- Elle a bien caché son jeu car elle voulait faire la surprise mais elle a signé un contrat dernièrement et a emménagé dans notre joli quartier.
Tout le monde était ravi et jai croisé le regard de Marc à plusieurs reprises. Il était visiblement troublé.
Plus tard dans la soirée, on sest enfin retrouvé seuls. Il a trinqué avec moi à mon installation. Il a eu le regard perdu dans le vide quelques instants et jai compris rapidement pourquoi. Je tenais mon verre de la main gauche et il a vu que je ne portais plus dalliance.
- Julie, je suis vraiment content que tu tinstalles ici. Tu tes décidée il y a longtemps ?
- Ça fait trois mois maintenant.
- Tu mas caché ça tout ce temps ?
- Cétait fort comme surprise non ?
- Oui
. Et tu ne portes plus dalliance non plus
..
- Non.
- Est-ce que je dois comprendre que tu tes installée seule ici ?
- Oui. Le divorce est officiel juridiquement depuis hier.
A ce moment, une petite brunette sest jetée dans les bras de son père.
- Alors Léa, tu es content aussi que Julie reste à Toulouse ?
Elle na certainement pas compris ce que ça impliquait mais a répondu oui avec enthousiasme et elle est repartie aussi vite. Du coin de lil, jai vu Marie sourire en nous voyant tous les deux.
- Est-ce que ça veut dire aussi que jai une chance de faire partie de ta grande liste de prétendant ?
- Mmmh ! je ne sais pas encore
oui, jaimerais bien que tu sois un prétendant Marc. Même si la liste est bien moins longue que ce que tu crois
. Et toi, jarrive à la combientième place dans ta liste de femmes à courtiser ?
- Je tavouerais que cette liste est extrêmement réduite depuis longtemps et ne contient quun seul nom depuis que jai fait ta connaissance.
Léa est revenue vers nous. Jai vu la fatigue dans son regard et je lai prise dans mes bras. Léa a posé sa tête sur ma poitrine. On a continué à discuter et Léa sest endormie. Jétais aux anges.
- Je crois que je ferais mieux de rentrer. Elle est bien fatiguée là.
- Elle ne me dérange pas tu sais. Jaime lavoir comme ça contre moi.
- Je vois ça ! Elle parait être bien comme ça ! Elle a trouvé un très bel oreiller !
Sa tête avait un peu glissé et sa bouche était posée sur le dessus de mon sein. Jai rougi à son compliment mais Marc est devenu écarlate malgré son teint bronzé. On a rigolé tous les deux.
- Julie, est-ce que tu accepterais de venir dîner avec moi un soir ?
- Oui, jaimerai beaucoup Marc.
- Je suis de garde toute la semaine. Est-ce que vendredi prochain cest possible pour toi ?
- Oui, sans problème. Est-ce que tu amèneras Léa avec toi ?
- Ça ne te dérangerait pas ?
- Sil y a la moindre chance quelle se blottisse encore dans mes bras comme ça, jexige que tu lemmènes.
- Je te le redis daccord ?
- Ok
Marc sest levé et ma pris Léa. Nos regards se sont croisés et jai déposé un baiser rapide sur ses lèvres.
- Merci Julie. Jattends ça depuis longtemps.
- Moi aussi.
- Vivement vendredi alors !
La semaine a été très longue. Vendredi, Marc est arrivé avec un magnifique bouquet. Léa nétait pas avec lui. Je lai trouvé très beau, dans un jean un peu moulant et une très belle chemise.
- Léa nest pas là ?
- Non, mes parents mont demandé si ils pouvaient lavoir pour le weekend. Ils sont partis chez mon frère à Bordeaux.
Je lui ai souri
- Jadore Léa mais ce soir, cétait peut-être mieux quon ne soit que tous les deux non ?
- Je dois avouer que je préférais quelle ne soit pas là. Même si je ladore.
Il ma emmené dans un très bon petit restaurant que je ne connaissais pas. Lambiance était douce. On a passé toute la soirée à discuter de tout et de rien. On a énormément rigolé. Puis la discussion est devenue plus sérieuse quand il ma demandé pourquoi javais divorcé.
Je lui ai dit tout de suite que mon souhait davoir un rapidement au contraire de mon mari était la principale cause et que cela avait entraîné un fossé dans notre couple, fossé qui sétait creusé encore et encore, tuant petit à petit notre amour.
- Julie, je veux que tu saches que tu mas plu immédiatement.
- Tu as bien caché ton jeu !
- Tu étais mariée ! Tellement belle, douce
. Mais inaccessible
. Et je dois penser à Léa
- Je peux moi aussi te dire que tu mas attiré tout de suite mais comme tu las dit, jétais mariée et je naurais jamais trompé mon mari. Ce nest pas ma façon de faire.
- Ça ne ma pas empêché de penser à toi quand même.
- Moi non plus
. Et je crois que je dois tavouer quelque chose tout de suite. Mon mariage était foutu, je le savais mais minstaller à Toulouse était une décision difficile à prendre. Quelquun ma dit quelque chose qui ma convaincu de ne pas rentrer à Lille. Tu mas tellement bien caché que je te plaisais que jai failli ne pas accepter le poste.
- Je ne croyais pas que tu pourrais vouloir rester
. Et tu ne mas jamais montré que tu étais intéressée non plus
. Donc quelquun a su te convaincre de venir définitivement ici ? Il faudra que je remercie cette personne.
- Elle ma fait promettre de ne rien dire parce quelle a peur que tu lui en veuilles mais je crois que je ne veux pas commencer par te cacher quelque chose.
- Dis-moi ! Même si je suis sûr de savoir qui cest !
- Marie ma dit que je te plaisais et quelle était sûre que le seul obstacle cétait le fait que je sois mariée. Elle ma dit que tous vos amis sétaient rendus compte que je te plaisais et que cétait réciproque de ma part.
On a payé laddition et on est sorti. Au bout de quelques pas, Marc ma prise par la main, ma arrêtée en pleine rue et ma embrassé. Jai répondu tout de suite à son baiser avec passion. On a mis longtemps à séparer nos lèvres. Ses mains parcouraient ma taille et mon dos. Son regard me dévorait.
- Ca fait tellement longtemps que jattends ça Julie !
- Moi aussi Marc.
- Je te ramène ?
- Oui, je veux bien.
Arrivé chez moi, il est descendu et ma raccompagné jusquà la porte de limmeuble. On sest embrassé longuement, tendrement. En vrai gentleman, jai senti quil allait rentrer chez lui si je ne faisais rien.
- Est-ce que ça te dit quon se retrouve demain quelque part ? Je peux te faire découvrir de jolis coins par ici.
- Se serait sympa, oui. Jen ai très envie.
- Tant mieux.
- Marc
. Léa nest pas là, rien ne tattend chez toi
. Tu veux monter avec moi ? un café peut-être ?
- Avec plaisir Julie.
Quand on est monté, il y avait une véritable tension érotique dans lascenseur. Ses yeux parcouraient mes formes et je dois avouer que je faisais tout me mettre en valeur, notamment mes seins.
- Je ne suis pas étonné que ma petite Léa se soit sentie bien dans tes bras lautre soir. Sa tête était posée au meilleur endroit possible sur terre
Jai éclaté de rire. Ca a libéré un peu la tension mais aussitôt passé la porte de mon appartement, je me suis tournée vers lui et jai passé mes bras autour de son cou.
- Je suis désolée, jai menti. Je nai pas de café, je ne bois que du thé mais il fallait que je te fasse monter.
Je lai embrassé. Notre baiser était de plus en plus chaud.
- Fais-moi lamour Marc. Jen ai envie depuis tellement longtemps
- Moi aussi Julie. Jai tellement envie de toi. Cétait une de te voir toujours aussi belle à la salle de sport ou en soirée ou même à chaque fois que je te voyais.
- Tu crois que te voir travailler tes muscles était plus facile pour moi ? Avec toutes ces jolies femmes qui te tournent autour.
- Je peux te dire la même chose.
Nous sommes allés dans la chambre et nos vêtements ont volés très vite. Je me suis retrouvée en string et lui en caleçon très rapidement. Il ma poussée sur le lit et il est venu sur moi.
Je pouvais enfin passer mes mains sur son corps chaud, souple et si ferme en même temps. Il était en appui sur un bras et me caressait aussi. Je peux même affirmer quil madmirait. On sembrassait mais très vite, ses lèvres ont quitté les miennes pour glisser dans mon cou. Ses baisers étaient très sensuels et me donnaient des frissons de désir.
Il sest attardé longuement sur mes seins pendant que je caressais ses épaules et ses cheveux, pressant parfois son visage dans ma poitrine.
Je nen pouvais plus de désir quand il a glissé ses doigts dans lélastique de ma culotte pour lenlever. Marc ma écarté les cuisses tout en les caressant et a porté sa bouche à mon sexe. Il ma gouté, lapé, dévoré. En à peine quelques minutes, jétais une boule de jouissance pure. Des gémissements incontrôlables sortaient de ma gorge. Il était très doué. Il a stoppé juste après mon 2ème orgasme.
Je lai fait rouler sur le dos et je lai embrassé, gouttant sur ses lèvres mon propre plaisir. Je suis passée sur lui et à mon tour, jai profité de son corps dathlète. Je me suis faite sensuelle, le frôlant de la pointe de mes seins, léchant ou embrassant au hasard. Son caleçon était terriblement déformé.
Tout en le regardant dans les yeux, jai enlevé son caleçon. Son impatience était tellement visible.
Quand jai baissé le regard vers son sexe, je nai pu mempêcher de penser que javais vraiment déniché le gros lot avec Lui.
Son érection semblait être à son maximum. Même en position allongée, son gland ne touchait pas son ventre tellement il était dur et tendu. Jai saisi sa verge dune main et mes doigts nen faisaient pas le tour. En plus dêtre épaisse, elle était longue, le gland atteignant facilement son nombril. Je nai pas pu mempêcher de faire la comparaison avec mon ex-mari. Il nétait pas ridicule mais navait rien à voir avec ce que je tenais dans les mains.
- Marc, tu es
. Parfait !!!! Tu pourrais avoir nimporte quelle femme. Pourquoi moi ?
- Je ne veux pas nimporte quelle femme. Je veux la plus belle, la plus sensuelle, la plus désirable
. Celle que jaime
- Mmmmh ! Quest-ce que jai envie de toi !
- Jespérais te plaire ! Tu as tellement de charme, ton corps est incroyable !
- Ne prends pas peur mais il faut absolument quon fasse un si ça marche entre nous. Je pense que le résultat ne sera pas mauvais.
Marc a rigolé franchement puis ma attiré pour membrasser et me regarder dans les yeux.
- Je crois que je vais attendre avec impatience le jour où tu voudras que je te mette enceinte !
Jai senti une boule de désir vriller mon bas ventre à ses mots. Jai commencé à le branler. Je me suis penchée et jai pris son gland en bouche. Mon dieu quil était bon et doux, gros entre mes lèvres. Je suçais sa grosse queue et jaimais ça.
- Oh mon dieu Julie, ça fait tellement longtemps ! Cest trop bon tout ça !
- Je veux que tu jouisses, quand tu veux !
- Non, je veux être en toi ! Laisses moi te faire lamour !
Je voulais vraiment le faire jouir mais javoue que jespérais lavoir en moi.
Marc et venu sur moi en missionnaire. On sest embrassés longuement, avec tendresse. Son gland caressait lentrée de ma chatte. Cétait doux, bon. Marc ma dit « je taime » alors quil poussait pour entrer en moi.
Mon sexe sest ouvert pour lui, petit à petit. Cétait bon, cétait très bon même. Il était patient, me laissant mhabi à son calibre à chaque fois quil progressait en moi.
Ses baisers, doux passionnés en même temps, la progression de son sexe en moi, frottant toutes les zones érogènes, mont transporté dans un autre univers. Il ny avait quamour et plaisir. Jai commencé à jouir, fort, longtemps.
Marc sest collé un peu plus à moi, la tête dans le creux de mon cou. Il a accéléré ses mouvements. Jétais tellement bien dans ses bras que je voulais que ça dure toujours mais sa jouissance était proche. Je le sentais.
Il a relevé la tête pour me regarder dans les yeux et jai pu voir sa jouissance sur son visage, entendre ses râles de plaisir et sentir les jets de sperme en moi en même temps. Cétait tellement fort, tellement puissant que jen ai pleuré de bonheur quand jai eu fini de jouir moi-même.
On sest câliné longtemps, son sexe encore en moi. Puis il a roulé sur le dos et jai calé ma tête sur son épaule.
- Ouah Julie ! Je
.. OUAH !!!!
- Entièrement daccord !
- Je taime Julie !
- Je taime
.
On a parlé un bon moment puis il ma à nouveau fait lamour. Jai joui dabord, et lui peu après moi. Cétait moins urgent, encore plus doux. Et on sest endormi.
Quand je me suis réveillée, jentendais la douche couler. Je lai rejoint et il ma accueilli avec un grand sourire. On sest lavé plutôt sagement mais son sexe sest redressé très vite, extrêmement appétissant. On sest séché et je lai entrainé aussitôt au lit. Je lai allongé et jai couvert son corps avec le mien avant de bouger mon bassin le plus sensuellement possible. Son sexe frottait les lèvres de mon sexe qui shumidifiait rapidement.
Jai bougé jusquà ce que son gland soit au bon endroit et je me suis empalée lentement, par de petits mouvements de bassin. Son sexe a envahi le mien. Je me suis redressée un peu et langle a permis à son gland de progresser là où aucun homme nétait jamais allé en moi. Jai crié de surprise et de plaisir.
Marc caressait mes cuisses, mes hanches, mes seins, me laissant totalement maître de mes mouvements.
Jai dabord fait entrer et sortir son sexe en soulevant mon bassin. Marc avait les yeux rivés sur mes seins, comme hypnotisé et jétais très fière de le voir me regarder comme ça.
Une idée ma traversé lesprit. Je voulais lui offrir un spectacle qui le rendrait encore plus accroc à moi et à mon corps. Il fallait quil ne voie que moi quand les bimbos de la salle de sport chercheraient inévitablement à lattirer dans leurs filets.
Jai pris ses poignets pour les placer au-dessus de sa tête, lui faisant comprendre quil ne devait pas les bouger. Je me suis redressée, passant mes mains sur ses pectoraux, son ventre ferme, griffant légèrement sa peau. Je le sentais vibrer sous moi. La position a fait pénétrer son sexe au plus profond de moi, mon clitoris au contact de son pubis. Jai passé mes mains dans mes cheveux, dévoilant encore plus la courbe de mes seins, mes tétons tendus dexcitation.
- Mon dieu ! Si profond !
- Oh ! Julie ! Quest-ce que tu me fais ?
- OOHH ! Tu aimes me voir comme ça ?
- Jure-moi que jamais aucun autre homme ne te verra comme ça !
- Jamais
. Tant que jamais aucune autre femme ne profitera de toi !
- Je suis déjà à toi.
Je lui ai souri et jai passé mes mains sur mon corps, augmentant encore mon excitation en le voyant me regarder avec des yeux fous de désir.
Marc était dur comme du bois en mois. Jai commencé à onduler du bassin sur lui, créant des décharges de plaisir immédiatement dans tout mon corps. La sensation de son sexe tout au fond de moi et les frottements de mon clitoris mont fait chavirer dans un orgasme dune force incroyable.
Juste au moment où mon orgasme baissait dintensité, jai vu que Marc allait jouir.
Jai soulevé mon bassin et son sexe est sorti de moi.
Marc a poussé un gémissement de frustration en criant « NON » Mais il sest tu quand jai pris son gland dans ma bouche tout en le branlant dune main.
Ses gémissements de plaisir ont repris et il sest vidé dans ma bouche par longs jets de sperme. Mon dieu que jaimais le sentir jouir ! Le corps de Marc se contractait au rythme de son plaisir. Jai continué à aspirer son sexe et à le lécher sur toute la longueur un bon moment, prolongeant ainsi son extase.
Marc ma attirée à lui et ma embrassé avec passion, dévorant ma bouche. Par moment, il sarrêtait et me disait « Merci » ou « je taime ». On aurait dit un adolescent ayant découvert le sexe.
Après avoir eu sa fille au téléphone, on est passé par chez lui pour quil se change puis on est allé manger à la terrasse dune petite brasserie et on sest baladé. Il devait retrouver ses amis et collègues vers 18h00 pour boire un verre et ma demandé de laccompagner.
Vers 18h00, Marc ma emmené avec lui dans le bar où ils se retrouvent de temps en temps. Jétais habillée dune robe dété légère et jai fait beaucoup deffet à ses collègues à majorité masculins. Ils ont été très chaleureux et ont beaucoup charrié Marc. Cétait vraiment bon . Une de ses collègues a réussi à mattirer à part un moment et ma serré dans ses bras. Elle ma dit quelle navait pas vu Marc comme ça depuis la mort dEve. Elle ma ensuite demandé si cétait sérieux entre nous. Je lui ai répondu que je pensais que Marc et moi étions fait pour vieillir ensemble et elle ma encore serré dans ses bras. Je pense que jai passé le test dentrée dans la bande de collègues de Marc.
Nous avons prolongé la soirée en allant manger chez sa sur.
Sa sur était une femme, très gaie et assez exubérante. Elle était au courant du béguin de Marc pour moi depuis très longtemps et était très impatiente de me rencontrer. Sa famille était adorable. Là encore jai senti que jétais acceptée tout de suite.
Vers 22h30, jai passé ma main sur lentrejambe de Marc qui sest un peu crispé mais il a compris le message. On a pris congé de sa sur et on est allé chez lui cette fois.
Jaimais beaucoup sa maison, décorée avec goût. Il y avait à quelques endroits des photos de la mère de Léa. Léa était clairement une version miniature de sa mère.
Marc ma porté jusquà la chambre et on sest déshabillé lentement, comme pour se redécouvrir. Marc ma allongé et le ballet de sa langue a fait son uvre mais cette fois, il me laissait à chaque fois au bord de lorgasme, abandonnant mon sexe pour me donner son membre à sucer un moment tout en continuant de me caresser. Il ny avait aucune gêne entre nous, juste la volonté de donner un maximum de désir et de plaisir à lautre. Cétait incroyable.
Je nen pouvais plus. Je le voulais en moi. Je me suis mise à genoux sur le lit et penchée en avant.
- Prends moi Marc !
- Oui ma puce ! Oh quest-ce que tu es belle comme ça ! Tellement désirable !
Marc a profité de mes fesses offertes à ses caresses, à ses baisers et il a ensuite mis son gland à lentrée de ma chatte. Il a poussé et sest introduit en moi. On savourait tous les deux la progression de son sexe alors quil me ramenait vers lui avec ses mains qui enserraient ma taille.
En tournant la tête vers lui, jai pu nous voir dans un miroir. Il était magnifique comme ça. Nos regards se sont croisés. Il sest penché pour chuchoter à mon oreille.
- Désolé ma puce mais une femme aussi belle que toi doit parfois être baisée.
Jai été surprise et excitée comme une folle par ses paroles. Je nai pas eu le temps de réagir quil donnait un coup de boutoir, me faisant crier de surprise et dextase.
Il a affermi sa prise sur une de mes hanches et a saisi mes cheveux de son autre main. Il a accéléré ses coups de reins. La pénétration était profonde et lépaisseur de son sexe me comblait, frottant mon point G à chaque fois. Jétais prise par un mâle puissant, MON mâle. Jai cambré encore plus les reins, me faisant encore plus chatte, plus offerte.
Lorgasme a été dévastateur pour moi. Jai crié de plaisir, véritablement crié. Jamais je navais connu ça. Et lorsque mon orgasme sest calmé, ça a été pour repartir de plus belle.
- OH MARC ! MON DIEU OUI !!! BAISE-MOI MON AMOUR !!!! OUIIIIIIII !!!! OUIIIIIII !!!!! ENCOOOORE !!!!!
- Tes tellement belle comme ça ma chérie !!! Quel cul !
Dun dernier coup de rein, Marc sest planté au fond de moi et il a joui, déclenchant un autre orgasme pour moi. Jai mis un temps fou à men remettre. Je tremblais de plaisir. Jen pleurais.
- Mon dieu
. Mon dieu
Marc
. Cétait quoi ça ? Tu es fou de me faire ça !
- Javais trop envie !
- Tu sais, ce que tu mas dit tout à lheure
. Quune belle femme comme moi doit parfois être baisée ?
- Oui ?
- Eh bien tâche de ne pas loublier. Jai beaucoup aimé que tu me baises et tu as intérêt à recommencer régulièrement.
Marc reprenait son souffle aussi. Une fois un peu calmés, il ma repris dans ses bras.
- Si tu veux que ce soit régulier, le plus simple est que tu vives avec moi non ?
-
Oui
.. Cest vrai.
- Dans ce cas-là Julie, demain matin, si tu es daccord, on va aller chez toi et tu ramènes un maximum daffaires ici. Je ne veux plus passer une nuit sans toi dans mon lit
.. Et Léa tadore.
- Tu es sûr ?
- Oui, plus que sûr. Je taime et je veux vivre avec toi
. Et la maison est un peu plus grande que ton appartement.
- Bien sûr que je le veux.
On a passé plus dune heure à discuter de mon déménagement.
Marc mavait épuisée. Je me suis réveillée à 10h00 le lendemain. Et Marc sest réveillé en même temps que moi. On sest levé, on a déjeuné, tout était naturel entre nous. Je me voyais déjà ici pour toujours.
Jai fait la connaissance de ses parents quand ils ont ramené Léa vers 15h00. Sa mère a été surprise, et du coup un peu distante, protectrice envers son fils mais je pouvais comprendre.
Au fur et à mesure de laprès-midi, Marc a fait comprendre à Léa que jallais vivre avec eux. Elle était visiblement contente.
Notre vie à deux a commencé, pleine damour, de rigolade. 3 mois après mon installation avec eux, un matin, jai déposé Léa à la crèche. Lauxiliaire de puériculture qui la accueilli lui a demandé qui venait la chercher le soir. Léa a répondu directement sans même me regarder « Cest ma nouvelle maman »
Mes yeux sont devenus humides en un instant. Jai fait un énorme bisou à Léa. La dame a compris tout de suite que cétait une première pour moi et elle ma fait un grand sourire.
A peine sortie de la crèche, jai appelé mon patron pour lui demander ma journée et je suis retournée chez nous rapidement.
Marc allait rentrer dun instant à lautre après une nuit de garde à la caserne mais je savais que ça avait été une nuit sans trop de sortie. Je me suis dévêtue et je lai attendu au lit. Je voulais fêter cette nouvelle avec lui de la meilleure des manières pour nous 2.
Il est rentré et il ma appelé. Il avait ment vu ma voiture.
- Je suis dans la chambre
Il est monté et il est resté bouche bée devant le spectacle que je lui offrais. Jétais à genoux sur le lit, face à la porte, mettant en valeur mes beaux seins fermes, jambes légèrement écartées.
- Tu nes pas au travail ? Quest-ce qui me vaut cet accueil ?
- Jai eu une très bonne nouvelle ce matin et je voulais la partager avec toi.
- Ohh ! Dis-moi tout !
Il commençait déjà à se déshabiller.
- Léa a dit ce matin à la crèche que cétait sa nouvelle maman qui venait la chercher ce soir.
- WAOUH !
Javais une nouvelle fois les larmes aux yeux.
Marc ma enlacé, embrassé, partageant mon bonheur. Il ma regardé un instant et sest levé.
- Attends-moi deux secondes !
Il est allé nu en bas et est remonté rapidement.
Il avait les mains derrière le dos.
- Julie, je ne ferais pas lerreur de ton ex.
Il a tendu la main au-dessus de la corbeille à papier près du bureau dans notre chambre. Il tenait dans la main ma plaquette de pilules.
- Est-ce que tu es prête à ça ? Moi oui ! et vu ce qua dit Léa ce matin, elle aussi sans doute
Pour seule réponse, jai fondu en larme et jai couru vers lui, jetant moi-même les pilules à la poubelle. On a fait lamour passionnément, jouissant tous les deux exactement au même moment, ce qui nest pas toujours facile. Après une courte douche, on sest recouché, parlant de tout et de rien, de lavenir ensemble. Puis lexcitation est revenue, son sexe a repris de lampleur dans mes mains puis ma bouche en même temps quil me léchait. On prenait notre temps. Jai eu une idée mais jai mis du temps à me décider. Cest quand jai compris à quel point lidée mexcitait que je me suis lancée.
- Marc, que dirais-tu dessayer quelque chose de nouveau aujourdhui ?
- Quest-ce que tu as en tête ?
- Je
Je nai jamais essayé
. Tu sais
.
Il ma regardé avec un grand sourire. Assez content de me mettre mal à laise.
- Non, je ne sais pas du tout. Quest-ce que tu nas jamais essayé ? Dis-moi !
- Cest juste que je veux tout connaître avec toi et que je suis très excitée à lidée de le faire avec toi.
- Allez ! Dis-le ! Quest-ce que tu veux ?
- Je veux tavoir en moi, partout en moi
.. Et dans mon sexe et ma bouche, cest déjà fait
. Tu veux essayer dans mon petit trou ?
- HMMMM ! Ce serai très excitant en effet ! jaimerai beaucoup menfoncer entre tes magnifiques fesses.
- Tu las déjà fait ?
- Oui.
- Tu aimes ça ?
- Oui. Jadore ça ma puce.
- Tu ne me las jamais dit !
- Je trouvais que ça devait venir de toi
. Et saches que si tu naimes pas, il faudra me le dire ! Je peux vivre sans ça sans problème. Tu me combles déjà !
- Merci. Je taime Marc.
On a recommencé à se caresser. Cette fois, les doigts et la langue de Marc se sont aventurés sur mon anus, envoyant des frisons de désir et dexcitation dans tout mon corps.
Marc ma ensuite placée sur le dos, les fesses justes au bord du lit. Il sest mis par terre entre mes jambes. Il sest mis à me lécher, le sexe, le clitoris, et de plus en plus fréquemment mon anus. Sa langue se faisait pointue et pressante et pénétrait légèrement mon cul. Jétais excitée comme rarement, poussant des gémissements.
Il a dû saisir le gel lubrifiant dans la table de nuit sans que je men rende compte car à un moment, il sest concentré sur mon clitoris et un doigt totalement lubrifié est entré en moi. Il a travaillé mon anus en douceur un long moment.
Après un orgasme très fort avec sa langue et 3 de ses doigts dans mon anus, il sest relevé. Il branlait doucement son gros sexe. Il a versé dessus une bonne dose de lubrifiant.
Marc na pas eu besoin de me le demander, je me suis retournée pour lui offrir mes fesses. Il a fait couler un peu de liquide dans la raie et a tout de suite positionné son gland. Jappréhendais un peu mais lexcitation était bien plus forte. Jai bougé un peu mon bassin pour lui faire comprendre que jétais prête et il a poussé.
Le sexe de Marc est vraiment épais et jai clairement senti mon anus souvrir et sétirer pour laisser passer le gland. Une fois le gland en moi, Marc na pas lâché mon regard dans le miroir que nous avions en face de nous. Il ma laissé mhabi un peu puis il a commencé à bouger en moi très doucement. Jaimais voir son visage, voir son désir et son plaisir.
Au début, jai ressenti comme une gêne mais elle sest très vite dissipée. Marc ma parlé pour la première fois depuis un bon moment.
- OH Julie. Javais envie de ça depuis lune des premières fois où je tai vu faire du fitness dans tes leggings moulants
. Et chaque fois que je te prenais en levrette ensuite
.. Ton cul est tellement beau, tellement bon.
- MMMMHHH ! AAAANNNHH ! Encules-moi chéri ! Baises-moi ! OOOHHHH ! JE
. JE VAIS JOUIR !
Je sentais tellement bien son mandrin coulisser en moi.
- Jaime ta queue mon amour
OOHHH ! OUIIIII !
Je nen revenais pas. Jaimais les sensations. Mais je crois que jaimais encore plus laspect relationnel de la chose. Je donnais à lhomme que jaime du plaisir dune manière moins conventionnelle, comme pour lui montrer encore plus mon amour.
Marc ma enculé dans plusieurs positions, jouant parfois avec mon clitoris. La combinaison des 2 stimulations mamenait systématiquement à lorgasme. Certains bruits nous faisaient parfois éclater de rire mais peu après le plaisir reprenait le dessus.
Finalement, Marc sest lâché dans mon fondement, dans une jouissance très forte. Jétais vraiment fière de lui avoir donné autant de plaisir.
Je suis allée chercher Léa à la crèche. La dame ma vu arriver et ma souri en criant « Léa, ta maman vient darriver »
Léa ma couru dans les bras. A partir de ce jour, Léa ma appelé maman à chaque fois. 2 semaine plus tard, en weekend tous les trois sur la côte, Léa ma donné quelque chose au creux de la main en me disant « Cest un secret ». Quand jai ouvert la main, cétait une bague de fiançailles.
A peine un mois plus tard, je me suis levée avec une douleur inconnue dans la poitrine. Elle était très sensible. Jai aussitôt su que jétais enceinte. Je le sentais.
Le test de grossesse a bien sûr été positif. Cette nuit-là, Marc ma fait lamour avec une tendresse infinie pendant longtemps. Lorgasme a grandi en moi petit à petit, pour finir par être dans ma mémoire le plus émotionnel et intense que jai jamais connu.
Quelques mois plus tard, avant de mendormir, jai fait un tour des changements dans ma vie. Javais changé de ville et javais de nouveaux amis, de vrais amis, laissant derrière moi ceux qui nosaient pas vieillir. Javais trouvé un homme exceptionnel, stable, beau et adorable, sachant me faire lamour comme dieu.
Jétais la nouvelle maman dune petite fille que jadorais, que jaimais déjà et une très heureuse future maman du bébé grandissant dans mon ventre.
Je me demandais ce qui pouvait me rendre plus heureuse quand Marc est rentré dans la chambre et sest mis au lit après sa journée de travail, que son corps nu et splendide sest collé contre moi et que ma main sest refermée sur son membre pour linstant encore souple
.
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