Connexion...
Charlotte est grande. Avec de longs cheveux noirs et des yeux bruns. Cela fait peu de temps qu'elle est à Bordeaux pour finir ses études supérieures. Un changement total dans son mode de vie. Fini papa et maman. Premier appartement. Premières libertés...
À 23 ans, elle sort d'une relation compliquée et pour le moment ne veut pas s'attacher. Seulement s'amuser, vivre, sans prise de tête.
Seulement, elle ne connaît personne dans cette grande ville, hormis quelques connaissances de faculté. Alors elle s'est inscrite sur un site de rencontre géolocalisé a la mode, juste pour s'amuser, car c'est une hypersexuelle.
Deux semaines sont passées, avec beaucoup de "matchs" mais rien de concret. Jusqu'à ce soir et ce "like" sur Marie.
Une complicité s'est installée rapidement entre les deux filles. D'autant plus qu'elles se découvrent la même orientation sexuelle :
Marie n'est pas bi-curieuse ou bi- homo refoulée, mais une vrai homosexuelle, une "gouine" comme elle. Et ses 38 ans, ne sont pas une entrave pour Charlotte qui est sans tabous. Puis, n'est-ce pas "dans les vieux pots que l'on fait la meilleure confiture ?" badine-t-elle intérieurement.
Comme la géo localisation montre qu'elles sont proches l'une de l'autre. Charlotte décide d'accepter l'invitation de Marie à prendre un verre dans un bar lesbien du vieux Bordeaux. Et ainsi, pense-t-elle avec humour, de vérifier si le proverbe est toujours exact...
@@@@@
Dans le tramway qui l'amène ver son rendez-vous, Charlotte est excitée, elle est déjà humide et bande des tétons à l'idée de cette rencontre qui s'annonce pleine de promesses, tant les sous entendus furent nombreux lors des dials...
Charlotte arrive la première. Le temps passe. Marie est en retard., "Et si elle ne venait pas ?", s'inquiète-t-elle. Enfin ! La porte du bar s'ouvre... Et elle la reconnaît tout de suite. Aussi belle que sur sa photo, avec sa chevelure blonde qui lui tombe sur ses épaules, ses yeux bleus et des courbes parfaites comme elle aimerait tant en avoir, elle qui est plutôt filiforme.
Charlotte se lève pour l'accueillir, elles se font la bise. Marie s'excuse pour son retard en attendant les deux cocktails qu'elles ont commandés.
La connexion est rapide, elles parlent, rient, se sourient, comme de vieilles amies. Puis, après le deuxième cocktail, l'alcool aidant, la conversation laisse place aux confidences.
Et de confidences intimes, en confidences coquines, un lien se tisse.
Tout en parlant, de façon anodine, Marie prend la main de Charlotte dans la sienne, elle a envie d'elle, cela se voit dans ses yeux. Charlotte ne retire pas sa main, elle désire cette femme aux mains fines, coiffée à la lionne, maquillage discret, chemisier très fluide qui mets en évidence des seins et des tétons prometteurs qui pointent sous le tissu.
"elle ne porte pas de soutien-gorge" se dit Charlotte intérieurement... Perdue dans sa rêverie coquine, elle est éveillée par Marie.
- Alors qu' en penses-tu?... On va plus loin ?
. Oui !... Répond Charlotte qui anticipe avec délices et envie sur ce " on va plus loin".
Elles se dévisagent sans un mot. Leurs regards expriment leurs envies, l'instant s'érotise. Marie lâche la main de Charlotte pour se pencher vers elle et l'embrasser tendrement sur les lèvres, avant de proposer l'intimité de sa voiture pour se découvrir un peu plus...
Dans le véhicule, elles sont enlacées, fébriles, impatientes, pour un premiers vrai baiser de gouine, long, profond, saliveux, les langues qui se bataillent, se caressent, se sucent. Un baiser qui fait gémir Charlotte et frémir Marie quand une main passe sous sa jupe et remonte lentement le long de sa cuisse.
Au fur et a mesure qu'elle fait son chemin vers son minou leurs respirations s'accélère, Marie halète. Au moment ou elle atteint le bord de sa culotte, qu'un doigt va s'insinuer dessous pour caresser la fente sur la longueur et peut être titiller le bouton, un coup de klaxon les fait sursauter et les ramène à la recherche d'un endroit plus intime pour ce qu'elles entreprennent.
Comme elle est venue en tramway, Charlotte propose son chez elle comme "endroit tranquille". Ainsi elle sera sur place et n'aura pas, si l'heure est trop tardive, un soucis de correspondance, avec tous les risques que cela comporte pour une jeune fille seule.
Pendant le trajet, Marie a du mal à se concentrer sur sa conduite. Pour cause, la main de Charlotte continue de batifoler dans son entrecuisse, entretenant ainsi le feu dans sa culotte...
@@@@@
Vingt minutes plus tard, la porte de lappartement à peine refermée, elles se jettent l'une sur lautre pour une étreinte passionnée. Leur bouche se dévore, leurs mains partent à la découverte des corps.
Sans cesser de lembrasser, Charlotte qui aime dominer les ébats sexuels, débarrasse Marie de son chemisier et touche enfin ses seins qui l'ont tant fait fantasmer dans le bar. De son coté Marie la dépouille de son T-shirt sous lequel se cache une poitrine si menue que seuls les tétons dressés sont proéminents.
Marie s'arque et se tortille sous le plaisir que distille la bouche de Charlotte sur ses nichons.
Comme elle tourne le dos au canapé, Charlotte la force à s'asseoir et profite de sa position dominante pour finir de la déshabiller. Au moment de lui enlever sa culotte, elle voit une très grosse tache sur le gousset qui montre a quel point cette cochonne de Marie est surexcitée! Électrisée par cette vision et sa pensée lubrique, elle retire, avec empressement, son pantalon et son tanga aussi taché que le dessous de Marie.
Elles sont nues, face à face. Marie assise, cuisses largement ouvertes sur sa foufoune. Charlotte debout qui regarde avec gourmandise, cette chatte qui palpite et dégorge déjà de plaisir, avant de se mettre à genoux entre ses cuisses.
Quand sa bouche se pose sur cet abricot juteux, que sa langue le poignarde d'abord profondément pour la gouter avant de se mettre à lécher sa fente, Marie laisse échapper un long feulement en s'agrippant à la chevelure de Charlotte et pousser ses hanches en avant pour se coller à cette bouche tourmenteuse qui d'abord lèche, puis pince avec les lèvres le clitoris gonflé, avant de l'aspiré dans un bruit de succion.
Marie bouge, ondule, cabre, sous les caresses buccales de sa tortionnaire, qui maintenant titille son clito à grands coups de langue et se délecte de son désordre humide.
Marie prise dans un vertige charnel crie son plaisir de plus en plus fort tout en ondoyant du cul et en malaxant ses seins de façon désordonnés et fébriles. Charlotte sent qu' elle est au bord de l'orgasme et qu'elle n'attend plus que l'estocade qui la propulsera au nirvana. Et au premier contact de la pointe de la langue sur son clitoris :
- Oh, putain !... Charlotte, tu me fais jouir !... Arghhh !... Ne t'arrête pas, je jouis !... Ouuii !... Ouuuiii !... oh la la la!... Tu me tues !
La vague de plaisir jaillit de son bas-ventre. Son corps frémi et elle succombe à son orgasme. Un million d'étoiles dans sa tête, le plaisir qui sature son corps tremblant. Accrochée aux cheveux de Charlotte elle continue de spasmer et de convulser, tout en laissant couler son plaisir à flots .
Charlotte la voit perdre pied, jouir brutalement, longuement, bruyamment, inondant son visage d'un jus quelle lape avec avidité. Ses spasmes sont si violents qu'elle serait tomber du canapé si elle ne la tenait pas fermement par les hanches tout en se délectant de sa vulve devenue extrêmement sensible. Chaque fois que sa langue frôle son capuchon, Marie est traversée de spasmes légers
Redescendue de son nirvana, avachie sur le canapé, elle attire Charlotte et l'embrasse longuement, profondément, goûtant dans sa bouche ses propres humeurs féminines..
Charlotte maîtresse du jeu se dégage de son étreinte, la couche en travers sur le canapé pour se mettre en missionnaire entre ses cuisses et frotter sa chatte sur son pubis. Mais la position est incommode, le canapé est trop petit. Alors d'un mouvement rapide, elle oblige Marie a se coucher au sol, sur le dos. Lui soulève une jambe qu'elle tire en arrière, et à califourchon, emboîte en gémissant, sa fente mouillée sur la vulve qui se trouve sous elle, dans une position de tribadisme parfaite.
Clito contre clito. Nymphes connectées, elles gémissent en accord, se frottent en harmonie. Les hanches de Charlotte se déplacent en cercles et meulent de plus en plus vite la chatte de Marie qui se remet a râler de plaisir, ses gros seins ballottant à l'unisson.
Dans un bruit de ventouse, elles bougent, brament comme des démentes. Leurs yeux expriment l'extase. La cyprine qui s'échappe de leurs puits a plaisir se mélange pour couler sur leur petite rondelle et barbouiller en même temps sexes et cuisses . Pendant que les mains pétrissent un sein ou triturent, pincent, un téton ...
- Je vais jouir !... Bafouille Marie.
- Moi aussi, je viens !... Je suis au bord... Putain c'est trop bon !... Annone Charlotte qui râle de plus en plus fort.
Les clitoris se pressent l'un contre l'autre. La mouille se transforme en une pègue blanchâtre, qui au fur et à mesure du contact frénétique des deux chattes provoque un clapotis humide.
L'orgasme des deux filles se construit, de plus en plus vite. Elles savent toutes les deux que leur délivrance est proche, le point de non-retour est atteint.
- Ça y est !... Seigneur !.. ... Je... Je jouis ! Haa...Haaa...Ouuuiiii.. Haaaaaaa !...
Braille Charlotte, cramponnée à son amie d'un soir, le corps secoué de soubresauts. Ce qui a pour effet immédiat de provoquer l'orgasme de Marie qui jouit pour la deuxième fois.
Et c'est vulve contre vulve que les deux amantes jouissent ensemble, longuement, dans un déchaînement de spasmes, de contractions et de cris...
Épuisées, décoiffées, collées l'une à l'autre, elles reprennent leurs esprits en silence en s'embrassant et en se caressant tout en profitant de la sensation bienfaisante de l'après-jouissance...
Puis elles se sont levées. Bue un verre d'eau, avant que Charlotte prenne Marie par la main pour la guider jusque dans sa chambre et la couchée sur son lit. Sortir un gros gode rose du chevet et lui expliquer que cétait avec ça quelle se donnait du plaisir quand elle était seule.
Et elle allait lui montrer comment elle s'en servait...
Tout en lui masturbant le clito d'une main, pendant que de l'autre elle la baisait avec le gode ; Marie est venue une troisième fois, sans pouvoir se contenir, ni même atténuer ses cris de jouissance au moment de l'explosion orgasmique !...
Puis ce fut au tour de Marie de soccuper delle en imitant ses gestes pour amener Charlotte là où sa propre sensibilité érotique l'avait guidée sur elle. Réussissant à son tour à lui arracher des cris d'extase et un orgasme faramineux...
Ce n'était que les prémices d'une nuit féerique et multi-orgasmique dans le lit de Charlotte...
@@@@@
Le lendemain matin, au moment de se séparer, Marie à sollicité Charlotte pour qu'il y ait une prochaine fois :
- c'était merveilleux !... Il y a bien longtemps que l'on ne m'avait gouinée et fait jouir ainsi !... Pour remettre ça, c'est quand tu veux !... Je suis prête à faire tout ce que tu voudras... Lui dit-elle avec des yeux et un sourire qui en disait aussi long que ses mots !...
Avant de lui répondre, Charlotte attrapa Marie sous le menton, l'attira a elle et l'embrassa en mettant une langue qu'elle voulut très cochonne.
- À une condition !... Se sera quand je veux et comme je veux"!... Tu m'entends ?"
- Oui Charlotte, je serais soumise... Promis-t-elle joyeusement en posant un baiser sur ses lèvres !
Un frisson s'empara de Charlotte en pensant à tout ce qu'elle pourrait lui faire lors de leur prochaine rencontre, ce qui la fit mouiller instantanément...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!