La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1089)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
- Voilà, elle est à vous, poursuivit Maître à ladresse du gynécologue...
Je sentis le médecin coller sur moi, ses capteurs, sur mes reins, mes ovaires, en haut de mes seins. Jentendis quon déplaça un meuble à roulettes qui vint se placer juste sous mon clitoris, comprenant à quoi il allait servir
. Le gynécologue connectait tout cet attirail à son pc, me voilà devenue chienne de laboratoire maintenant. Sans savoir pourquoi et alors que rien mavait commencé, je commençais déjà à mouiller
(Peut-être la pose, la situation du moment
) Soudain le vibro placé sous mon clitoris se mit en marche, alternant les vibrations douces, moins douces et carrément puissantes. Immédiatement, je me cambrais, creusais les reins, offris mon cul de femelle en chaleur, tandis que les vibrations fortes se poursuivant, je commençais à dandiner chaudement de la croupe.
- Voilà, jenregistre, dit le médecin, cest parfait !
- Walter, fait venir Mes esclaves-mâles !, ordonna le Noble
- Bien, Monsieur le Marquis, jai cru bon de choisir les plus montés
- Excellente initiative, mon cher Walter, il lui faut à Ma chienne les plus grosses queues de Mon Cheptel !
Une fois les dix esclaves mâles entrés dans la pièce, Maître sadressa à eux :
- Mes chiens, votre mission consiste à faire craquer Ma petite chienne. Jexige que vous la pistonner le plus fortement que vous puissiez le faire sans vous arrêter jusquà jouissance autorisée, vous pouvez ainsi éjaculer votre foutre de chien mais impérativement après lavoir besogné le plus longtemps possible, je veux que vous fassiez tout pour que chacun de vous la baise de longues, de très longues minutes
(Puis sadressant à moi) Toi, Ma chienne, ta mission, Ma belle jument, est de te retenir le plus longtemps possible ! Tout le monde a bien compris ce quil a à faire ?
Les esclaves mâles et moi-même répondirent en concert :
- Oui Maître.
- Docteur, êtes-vous prêt ?
- Oui Monsieur le Marquis!
- On y va. Walter, au premier de Mes chiens !
Le Majordome désigna un esclave mâle qui bandait déjà à la perspective de me prendre. Il vint se placer derrière moi, posant son gros gland contre ma vulve pour véritablement me saillir. Dun coup de reins, il me pénétra profondément et commença ses va-et-vient ravageurs. Alternant les rythmes, les profondeurs des pénétrations, les rapidités de mouvements, il commençait sérieusement de mémouvoir tandis que le vibro placé sous mon clitoris travaillait celui-ci de façon aléatoire mais si efficace. Jarrivais rapidement au niveau du premier orgasme mais me contrôlait cependant tandis que lesclave mâle, sactivait, lui, de façon très puissante, me pistonnant à grands coups de boutoirs, lâchant des han à chaque poussée virile. Son sexe glissait très facilement en ma chatte inondée de cyprine, jondulais de la croupe comme une salope qui en demande encore plus. Mes seins ballottaient en tous sens, mais je tenais bon. Je me méfiais surtout de mon clitoris qui, Lui, ne lentendait pas de cette oreille et commençait très sérieusement à réclamer son du. Après de longues minutes à me besogner sans ménagement, le mâle ne tenant plus, juta enfin dans des râles dignes dun cerf en rut et je sentis ses jets chauds au fond de ma vulve, jets saccadés qui ébranlèrent ma force de résistance sans me faire craquer. Le médecin enregistrait la saillie et semblait, daprès ses dires, heureux de ce quil voyait sur ses schémas. Rapidement Walter fit sortir lesclave et en fit venir un autre tout aussi bien monté, qui, immédiatement prit la place du premier. Celui-ci fut plus canaille me prenant plus doucement mais avec une technique plus persuasive, jouant certainement sur la durée de lexcitation provoquée. Il me travaillait lui aussi moins violement mais avec autant de résultat denvies.
Mon clitoris continuait de recevoir les ordres du pc
Les va-et-vient de lesclave me travaillaient fortement, javais très envie daller plus loin, mais jarrivais encore à me contrôler relativement aisément.
- Cest extraordinaire, sécria le médecin, sa force de contrôle est hors normes
Cette deuxième saillie dura longtemps quand ce second mâle explosa à nouveau en moi en des jets saccadés plus longs que son compère. Jadorais cette sensation des jets de sperme cognant dans le fond de ma vulve, ou contre le nez de mon col utérin, sensation qui me faisait menfoncer encore plus sur la tige en train de se vider en moi
. Mais, cependant, javais réussi à ne pas craquer bien que les envies devenaient maintenant très difficiles à contrôler
- Si nous pouvions
commença à dire le gynécologue
Monsieur le Marquis comprit immédiatement ce que voulait dire le médecin et demanda à Walter de placer sous moi un autre mâle et un autre derrière moi. Deux mâles en même temps remplissant à la fois, vulve et anus. Très dociles, les deux mâles entrèrent en action presque en même temps. Quelle sensation alors que jétais déjà brûlante. Deux grosses bites bien dures entrant en même temps, se touchant presque lune lautre, séparées seulement par mes membranes intimes, deux tiges raides à souhait, travaillant en cadence mes deux orifices, une entrant quand lautre sortait, à moins quelles pénétraient toutes deux en même temps et senfonçaient le plus profonde possible. Parfois les coups de boutoirs étaient si forts quils me soulevaient de terre me renfonçant ensuite, encore plus profondément sur les bites déchaînées. Ma respiration devenait haletante, mes tétons pointés comme deux missiles, attendaient leurs mises à feu, ce qui arriva quand le mâle de derrière sen saisit tandis que celui sous moi, donnait des coups de langues sur mes seins. Mon clitoris continuait son escalade vertigineuse, travaillé par de maudit vibro
Tout mon ventre était devenu bouilloire, cocotte-minute sous pression en même temps que citerne à foutre.
Tandis que son épais gland violacé entrait enfin en moi et quil commençait de glisser en mon cul, celui de dessous, lui, me lançait de véritables missiles par ses puissants coups de reins ravageurs par sa grosse queue longue et volumineuse, vous imaginez aisément le ressenti. Je sentais les deux bites se toucher en moi et cette sensation dêtre pleine me fit perdre le contrôle de lorgasme sous leurs va-et-vient dune incroyable intensité cadencée. Jexplosais enfin, assaillie de partout à la fois, chatte, cul, tétons, seins, clitoris, tout en même temps en une explosion atomique continue.
- Ca y est, nous y sommes, cria le gynéco, Votre chienne jouit, enfin ! Regardez lamplitude de ses orgasmes, cest démentiel, disait-il au Maître
Les deux étalons étaient déchaînés mais contrôlaient leur éjaculation et poursuivaient méthodiquement leurs courses infernales en moi.
- Cest prodigieux sexclamait le médecin, tout simplement prodigieux, elle jouit non-stop, regardez ! Il interpelait le Maître. Cest du jamais vu
Lorsque les deux mâles jutèrent enfin tels des lions rugissant, je reçus leur foutre si haut vu la longueur de leur verge que jen ressentis une nouvelle sensation me faisant me comparer à une citerne à foutre, ce qui déclencha immédiatement une explosive salve dorgasmes nouveaux et me voilà repartie en une danse effrénée
Complètement déconnectée, comme e
Les deux mâles sortirent et jen fus frustrée, mes cris étaient très clairs à ce sujet.
- Noooon ! Ahhhhhh ! Encooore !
Je me tortillais encore et encore, mais nétais plus là, dans un autre monde, et ne revins que parce que je sentais à nouveau quelque chose me remplir encore, me faisant dire !
- Ouiiiiiii ! Hummm !
Je sus plus tard que le gynécologue regardait son écran, yeux hagards, vérifiait ses capteurs comme ny croyant pas dautant que les deux suivants (jen étais à huit étalons) étaient déjà en action, chauffés quils étaient par le tableau placé sous leurs yeux depuis le début. Il avait fallu six excellents étalons pour me faire exploser plus un vibro déchaîné, mais maintenant je jouissais non-stop ce qui constituait, aux yeux du gynéco, un autre prodige selon lui.
- Il est impensable de jouir autant et en continu disait-il, co
comment fait-elle et où trouve-t-elle lénergie physique pour le faire ?...
Monsieur le Marquis fit un signe à Walter qui senquit dune cravache, se mit de travers, perpendiculaire à mon dos et masséna un terrible coup sur les reins, coup que je ne vis pas venir. Immédiatement je réagis en rugissant, me soulevant du sol me désaccouplant des deux mâles, puis retombant sur mes genoux en poignets, le second coup arriva en travers de mes fesses déclenchant un orgasme dune violence inouïe telle que je me mis à hurler, non pas de douleurs mais de plaisirs orgasmiques forts. Les deux mâles me reprirent à nouveau, tandis que la cravache tombait en coups rythmes mais forts, très forts, déclenchant à chaque coup de cravache/reins des mâles, maintenant des torrents dorgasmes dont la puissance extrême métait inconnue. Je tremblais de tout mon corps, mais je continuais de jouir, sans discontinu, sans interruption
mais avec de nouveaux orgasmes que je sentais nettement arriver les uns après les autres. Ma vulve commençait de me faire mal, en tout cas lentrée de la vulve par les coups donnés par les mâles en rut, ainsi que ma rosette écartelée
Je vis plus tard des bleus que je gardais plusieurs jours
Après que ces deux mâles eurent jutés à nouveau en moi, se présentèrent les deux derniers tandis que Walter plaçait devant ma bouche son propre sexe que je reconnus tout de suite, ayant arrêté la cravache. Ma bouche avala comme une morte de faim sa verge épaisse que je pompais avec lavidité dune assoiffée, tandis que les deux derniers étalons, chauffés à mort par la scène, très excités, sen donnaient à cur joie, me faisant poursuivre ma cure de jouissances qui ne cessait pas
Jétais devenue insatiable, dans lincapacité de crier grâce mais surtout javais encore assez dénergie pour déclencher mes envies de femelle en chaleurs. Lorsque je reçus le foutre du Majordome, ce fut pour moi une source infinie de joie, allez savoir pourquoi
Je reconnus son goût et javalais tout sans état dâme. Lorsque les deux esclaves se vidèrent en moi, Maître me prit ensuite, sauvagement par lanus tandis que le médecin présentait son sexe à ma bouche, et tous deux me mirent pas beaucoup de temps à se vider à leur tour. Plus personne ne se présentait à mes orifices béants, dégoulinant de foutres et men sentis délaissée. Je me mis à pleurer, toujours à quatre pattes, toujours réclamant dautres pénétrations
Javais déjà vécu des expériences similaires avec mes copines auparavant. Javais déjà passé des soirées de cul avec plus de dix mâles que javais épuisés alors quensuite, je les narguais encore leur disant
- Cest tout ce que vous savez faire Messieurs et quau petit matin je leur servais le café avec croissants en pleine forme, sans fatigue aucune
Je suis ainsi, jaime le cul, jaime jouir et le gynécologue avait maintenant de quoi alimenter sa connaissance
(A suivre
)
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