La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1090)
La Comtesse et son clitoris (Hors-série, la suite) - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
Javais grandi. La danse était terminée pour moi à cause de cet accident de voiture stupide, genoux abimé ! Je nétais pas encore devenue mannequin, je souhaitais faire des études de médecine. Jen étais là de ma vie de jeune fille, mais comme tous les soirs, javais rendez-vous avec mon très cher ami, mon clitoris qui, je lavoue, me comblait tous les soirs. Une véritable relation sensuelle sétait formée entre lui et moi et je découvrais de multiples manières de lui parler. Cest de lune de ces manières dont je vais vous parler maintenant. Javais, depuis longtemps remarqué que le nez clitoridien était particulièrement sensible, (en tous cas chez moi) aux tapotements. Jen avais établi toute une panoplie, allant du simple tapotement anodin, presque caresse douce, à la tape plus forte, avec les bouts de mes doigts, en passant par de petits coups de règle
A chaque fois, je réagissais fortement et avec volupté.
Javais été initiée, à un rapport sexuel par un de mes professeurs et cest au même prof que je dus de connaître une autre sensation clitoridienne. Je retrouvais ce professeur à la Fac dAssas, par hasard, dans lun des nombreux amphis de la Faculté. Pourquoi était-il là ? Je ne sais. Quoiquil en fût, il me reconnut tout de suite, et toujours aussi sympathique que quelques années auparavant, cest sans méfiance de ma part que jacceptais daller boire un verre, après les cours, en ville, avec lui. Javais grandi, étais plus formée, devenue presque femme mais plus tout à fait gamine. Lui, avait pris quelques kilos, ses cheveux étaient devenus grisonnants, et je le taquinais gentiment sur ses changements. Je me sentais très à laise en sa compagnie et en plus, très contente de le revoir. Vers la fin du repas quil mavait offert dans un petit restaurant local, entre la poire et le fromage, il me dit sans ambages :
- Te souviens-tu de la dernière fois, Isabelle ?
Alors que je portais à la bouche ma fourchette, celle-ci fut stoppée illico par la demande.
- Oui Monsieur, répondis-je le nez dans mon assiette.
- Pourquoi rougis-tu, Isabelle ? me demanda-t-il
- Euh
euh
je ne sais pas, Monsieur.
- Tu avais aimé ?
Je ne pouvais dire autre chose que :
- Oui bien sûr !
- Je vais te dire quelque chose que tu dois savoir Isabelle. Tu es très douée pour les questions sexuelles. Je ne te dis pas cela par avantage ou espérant quelque chose, mais parce que je lai bien vu la dernière fois. Tu en feras ce que tu veux bien sûr, ton corps tappartient, mais moi, je voulais que tu le saches. Je me souviens par exemple de la réactivité de ton petit clito
Ah ! Voilà le mot fatidique et mon très cher clito entendant quon parlait de lui, qui tendit non seulement loreille mais réagit immédiatement comme pour dire :
- Oui Monsieur, je suis là !
Le traitre, me dis-je en serrant les jambes. Mal men prit car le bougre aimait ce geste qui le comprimait ce qui me faisait changer le croisement de mes jambes, tant et plus que le professeur sen rendant compte ajouta, perfide
- Tu te branles, Isabelle ?
- Oh Monsieur, rouge vif, cramoisie même, dêtre découverte alors quhabillée cétait comme si jétais nue en face de lui. En plus, il mavait déjà vu nue donc
- Tu sais, ajouta-t-il doucement en me caressant tendrement les doigts, tu as encore beaucoup de choses à découvrir sur toi et ne me dis pas le contraire, tu aimes que je te parle comme en ce moment.
Je ne répondais rien, serrant les dents et les cuisses. Lui, avait reculé de la table, et adossé à sa chaise, regardait le manège de mes jambes fines et parées de bas. Javais aux pieds des chaussures à petits talons, qui mettaient en valeur la finesse de mon coup de pied. Sous le coup de lémotion je ne me rendis pas compte quil regardait avec insignifiance, mes jambes
qui, changeaient de pose toutes les minutes. Tantôt la droite sur la gauche, puis la gauche sur la droite, mais très serrée lune contre lautre à chaque fois, au point que je faisais passer le pied libre autour du mollet posé à terre.
- Si tu continues ainsi, Isabelle, tu vas jouir toute seule !
Même sil lavait dit doucement, la table dà côté avait entendu et les hommes qui y étaient me regardaient maintenant fixement.
- Je sors Monsieur, répondis-je vexée, comme on peut jouer à lêtre à cet âge avec un Monsieur qui aurait pu être mon père. Dun air de dire « je ne suis pas celle que vous pensez... »
Me rattrapant dans la rue, mon manège de femelle outrée le fit rire franchement ce qui me désarma au point que jéclatais de rire en même temps que lui. Pour le coup, nous riions tous les deux, cela faisait du bien
Enfin le calme revint et quand il me prit dans ses bras, de fait jétais déjà conquise
Serrée contre lui, il me regardait dans les yeux, ne disait rien, il me pressait contre lui, mes tétons durcissaient, mon clitoris, refroidi par la fin brutale du restaurant, sétait retiré, mais subitement reprenait de la vigueur à nouveau.
- On y va, dit doucement le professeur ?
- Oui Monsieur, répondis-je doucement
Il me prit par la main et nous nous dirigeâmes vers lhôtel le plus proche. Les formalités remplies, nous voilà dans la chambre où nous nous jetâmes lun sur lautre en un baiser torride.
- Déshabille-toi entièrement, dit-il, soudain !
Je fus surprise de ce que je me dis être de la brutalité, mais le connaissant jobtempérai. Jallais retirer mes chaussures et mes bas lorsquil ajouta :
- Non, reste ainsi, tu es si
belle, mais écartes bien les jambes et place tes mains derrière ta nuque. (Jobéissais !) - Ferme les yeux, ordonna-t-il !
Un bandeau se posa sur mon regard, et le professeur faisait un nud serré. Il se mit à la hauteur de mon clitoris déjà dressé, et soufflait dessus, doucement mais régulièrement.
- Tu perles Isabelle, ta petite moule devient bien humide
(cela finit par me rendre très chaude)
- Ahhh ! dis-je, Mon
sieur, Hummm jai envie !
Le souffle sarrêta aussi brusquement quil avait commencé. Mais un vif petit coup sec frappa mon nez clitoridien, ce qui me surprit, puis un second, plus fort, un troisième, encore plus fort, et à chaque fois, mon fameux clitoris réagissait de plus en plus violemment. Puis ce furent des tapes, carrément des tapes, de plus en plus fortes, qui faisaient se plier mon clito sur lui-même, mais sitôt la tape donnée, le clito abaissé, il se redressait immédiatement comme pour dire : encore. Javoue avoir découvert un nouveau moyen de communiquer avec mon ami le clito mais jétais loin de connaître la suite. Délaissant mon clitoris à mon grand désespoir, le professeur commençait les mêmes gestes sur chacun de mes deux tétons. Ceux-ci non habitués à ce traitement, réagirent violemment à ma grande surprise et à chaque tape sur un de mes tétons, mon clitoris réagissait immédiatement. Etrange comme sensation, mais délicieuse.
- Hummm, cest bon Monsieur dis-je dans un souffle.
- Tu aimes ?
- Oh ouiiii, mais pas lhabitude
- Je men rends compte en effet, dit le prof
Puis plus rien, aucun attouchement, rien. Pas un bruit et moi chatte coulante, clito et tétons érigés
- Monsieur, dis-je !
Pas de réponse. Soudain, un coup sec atteignit le nez du clitoris, mais le coup nétait pas du toucher de doigts, plus sec, plus dur aussi. Surprise, je me cabrai :
- Ahhhh (Un autre coup, aussi sec arriva) - Ohhhhhh
Un autre à nouveau encore plus fort me fit presque jouir et ainsi de suite, les coups étaient portés avec régularité, de plus en plus forts, mais parfois avec des coupures me laissant sans air comme attendant, espérant le suivant
Je tremblais denvies, ma chatte vibrait, bien ouverte maintenant, je filais en gros paquets de glaire
puis
- Pan !
Un coup bien plus fort matteignit qui me fit plier le clito en deux, le rabaissant méchamment.
- Ahhhhhh hurlais-je non pas de douleur, encore que, mais surtout denvies devenues de plus en plus incontrôlables
Mon dieu, que cétait bon !
Et pan, un coup très sec sur un de mes tétons, puis lautre, et à nouveau le premier, le second, le premier à nouveau, le second et subitement un coup très fort sur le clito :
- Ouiiii, hummm ! cest
bon
encooore !
Et à nouveau le téton gauche, coup très sec qui le rabaissa fortement et lautre téton subit la même chose et pan encore plus fort sur le clito qui me semblait avoir été arraché :
- Ahhhh Mon
sieur !... vais
jou
ir
Hummm !
(A suivre
)
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