Une Semaine Particulière (3Ème Jour)

Mardi 21 novembre 2017

Nouveau jour, nouvelles épreuves? Mon réveil a été surprenant : une érection matinale d’une intensité inconnue depuis longtemps. L’excitation, la frustration, sûrement. Le désir vient du manque.

9 heures - J’arrive au bureau. Sarah débarque dix minutes après moi. Elle est à tomber. Elle porte une légère robe noire, découvrant ses longues jambes galbées à mi-cuisses. Je fixe ses jambes. Je suis tellement absorbé que je ne vois plus qu’elles. Je tente d’imaginer ce qu’il y a en dessous de cette dentelle. Elle passe nonchalamment devant moi, me fait la bise et m’enivre de son parfum. Ma chasteté e me fait retenir les moindres détails, comme si mes sens étaient décuplés.
« Tu as passé une bonne soirée? » me demande-t-elle.
« Spéciale. Très spéciale… Et toi? »
« Je me suis bien amusée…et j’ai réfléchi à notre journée d’aujourd’hui. »
« Je suis toute ouïe… »
Nous avons du travail ce matin. Je jette de temps en temps des regards à Sarah. Elle reste concentrée sur son dossier. Pour ma part, je ne peux m’empêcher de regarder sans arrêt mes mails. Pourtant, pendant deux heures, elle ne m’écrit pas. Ça m’énerve. Ça me stresse.

10h50 lucas.xxx@conseilxxxx.com
Tu m’as oublié?
Réponse immédiate : non…tu veux ta fessée?
« Arrête : j’ai l’impression d’être une souris et toi le chat. J’ai l’impression que tu attends pour me manger… »
« C’est un peu ça. Tu vas faire un truc pour moi ce matin. Juste un, je n’ai pas trop le temps. »
« D’accord. »
« Ok. Tu vas aux toilettes. Tu te déshabilles complètement. Tu te branles une minute, très doucement. Ensuite, tu te rhabilles, mais sans ton boxer ou ton slip, je ne sais pas ce que tu portes. Tout ce que je veux, c’est qu’à ton retour, tu me glisses ton sous-vêtement dans le tiroir. »

Je ne m’attendais pas à ça. Où ira-t-elle chercher ça? C’est vicieux.
Et comme j’en ai l’habitude désormais, j’obéis.

Rituel : toilettes. Nu. Je bande immédiatement. Ses jambes, je pense à ses jambes en me touchant, avec juste deux doigts. Je branle ma verge dure et gonflée. Une minute. A regrêt, j’arrête une fois le temps écoulé. La frustration devient douloureuse. Je remets mes vêtements. Deux minutes plus tard, mon boxer est fans son tiroir.

11h30
« C’était bien? » me demande-t-elle.
« Tu me s. »
« Ce n’est que le début…ça ne ballote pas trop? Tu sens le frottement de ton pantalon sur tes parties? Tu vas passer la journée comme ça mon petit Lucas.. »
Je ne réponds pas, je détourne le regard, gêné.

Pause-déjeuner. Je finis par m’habi à ne pas porter de boxer.

15 heures sarah.xxx@conseilxxxx.com
Lucas, à 15h30, à ton bureau. Tu baisses ton pantalon et tu restes la bite à l’air tant que je ne te dis pas autre chose. On va aussi la comprimer un peu : tu vas prendre deux élastiques, ceux en caoutchouc qu’on utilise pour nos dossiers. Tu entoures ta queue et tes couilles avec. Je veux que le tout soit bien serré, comme si je prenais ton paquet et que je le pressais dans ma main. Je serai à mon bureau pour regarder le spectacle.

De mieux en mieux : de l’exhib au bureau. A l’heure dite, Sarah me fixe. Je soupire et après quelques instants à surveiller que personne n’arrive, je baisse mon pantalon. Sarah sourit et me dit :
« Bravo Lucas, je suis fière de toi. Tu es un bon petit soumis. Maintenant les élastiques.. »
J’ouvre mon tiroir et y trouve deux élastiques. Ma queue se dresse toute seule désormais. Sarah ne la voit pas. C’est encore plus excitant.
Je les glisse, un par un, à la base de ma verge. Mes couilles sont serrées et comprimées. Je sens un serrement constant. Comme une emprise sur moi. Comme si j’étais attaché…
« Mets en un troisième. » me dit-elle.
Je m’exécute.
« Encore un. »
Ça en fait quatre. Ça me serre fort, mais je m’habitue à la sensation.
« C’est pas assez, on continue.
J’imagine que ta bite est dure, pour moi, rien que pour moi. On joue avec : un élastique encore, à la base. Fais autant de tours que possible.
« Tu y vas fort ». Je suis obligé de lui dire que ça commence à me faire mal.
« Ne discute pas, obéis. »
J’arrive à faire quatre tours, mais ça me comprime trop la queue.
« ça me fait mal Sarah. »
« Ah oui? Très mal? »
« Oui quand même…ça me coupe la circulation. »
« Bon, enlève un tour alors. »
« Voilà. C’est mieux. »
« C’est bien mon petit chien. Tu as quelque chose d’urgent à faire? »
« Non, pourquoi? »
« Alors mets-toi à genoux. »
Je descends de ma chaise et j’obéis.
« Tu es mon petit chien, viens jusqu’à moi, à quatre pattes. La bite à l’air, bien sûr. »
« Sarah! Et si quelqu’un arrive? »
« Ils sont tous en rendez-vous extérieur cet après-midi…Viens ici! »

Chaque ordre qu’elle me donne m’avilie un peu plus. Je me découvre des penchants que je ne me connaissais pas. Gauchement, je m’avance, à quatre pattes, vers son bureau. Arrivé à ses pieds, elle me regarde de haut et jette un coup d’oeil à ma queue prise dans les élastiques. Elle ne fait aucun commentaire.
« Passe dessous. »
J’évite sa chaise et passe sous son bureau. Pour être bien, je me retourne et j’appuie mon dos contre la paroi. Une fois en place, j’étire mes jambes de chaque côté de la chaise de Sarah. Pour le faire, je suis obligé de retirer mon pantalon.
« C’est bien Lucas, tu prends des initiatives. Je vais te récompenser » me dit-elle.
Me voilà, sous son bureau, la queue en l’air enserrée dans des élastiques, complètement à la merci de Sarah. C’est complètement dingue, je suis devenu son jouet.
Et là, elle écarte les cuisses. J’aperçois sa culotte, noire, en dentelle, raffinée. Elle me dévoile son intimité lentement, se délecte de ma position et de son pouvoir. Je peux voir à travers, sa chatte, pas complètement épilée, mais à la toison parfaitement entretenue.

« Profite mon petit chien. C’est un cadeau. »
Je ne dis rien, je ne maîtrise plus rien.
« Mon téléphone sonne, je vais répondre, ne bouge pas et ne dis rien s’il te plaît. » me dit-elle.
A ma grande surprise, elle répond au téléphone et me néglige, me laisse comme ça, comme si je n’existais plus. La conversation dure. Je ne sais pas quoi faire. Soudainement, alors qu’elle écarte et resserre ses cuisses à intervalles réguliers, elle tend la jambe et pose sa chaussure et son talon sur ma queue. Elle appuie fort et m’écrase les couilles, fermement et avec une forte pression.
J’ai un coup de chaud et une décharge d’adrénaline parcourt mon corps. Je n’ai jamais connu ça : je suis pour elle une chose, avec laquelle elle joue. Elle joue avec mon corps, avec ce que j’ai de plus intime. Elle joue avec mon esprit aussi. Elle me domine complètement. Son pied s’amuse. Je bande comme un fou. Elle ne me branle pas, mais c’est tout comme. Elle pourrait me faire jouir d’un claquement de doigt.
Elle fait des mouvements patients, s’arrête, reprend, fait glisser sa chaussure avec un savant dosage et me laisse excité et frustré, sans pouvoir atteindre une quelconque libération.
Elle raccroche.
« ça suffit pour aujourd’hui Lucas. A ta place. Rhabille-toi. Je garde ton boxer. »
Elle me regarde, fixe ma verge et mes couilles. Elle fait exprès pour me mettre mal à l’aise.
Je me relève, remets mon pantalon et retourne à mon bureau.
« Enlève les élastiques. Ce jeu te plaît? Dis-le moi. »
« ça me plaît Sarah. »
« Répète : J’adore être ton petit chien soumis. »
« Sarah, j’adore être ton petit chien soumis. »
Elle rit : « Moi aussi, j’aime ce jeu. Nous n’avons pas fini : il reste trois jours… »
« Je me demande ce que tu vas bien pouvoir encore inventer… »
« Cet après-midi, c’est fini. Tu auras d’autres instructions tout à l’heure. Maintenant au travail. Tu vas réussir à te concentrer? »
« Je vais essayer »…je réponds, malgré moi.


17h50 sarah.xxx@conseilxxxx.com
Ce soir, tu vas faire tes devoirs à la maison : tu seras nu et tu vas m’écrire une belle lettre manuscrite, vantant le pouvoir et les mérites de ta maîtresse. Parce que oui, je suis ta maîtresse et tu es mon soumis. C’est dit. Si ce que tu écris me plaît, tu auras une récompense. Sinon, tu seras puni. Bonne soirée Lucas…
PS : Ne touche pas ta queue. C’est toujours interdit.

22 heures - Je me déshabille. Un papier, un stylo.
Maîtresse,
Je vis des jours à la fois terribles et merveilleux. Etre soumis à vos désirs, à vos caprices et vous satisfaire occupe désormais mon esprit de manière pleine et entière. Je vous suis dévoué. Nu suite à vos instructions, j’écris ses lignes, juste parce que vous l’avez décidé. Ma queue est dure, elle n’en peut plus. La séance sous votre bureau a été aujourd’hui une révélation. Votre pieds, votre talon. Vous m’avez réduit à néant, à l’état de chose, à l’état d’esclave. J’ai clairement compris ma place. Je suis à vous. Je ne sais plus quoi penser. Ou plutôt si je dois l’avouer : je ne pense plus qu’à une chose, jouir. Vous seule décidez. Merci Maîtresse.

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