Punition Ou Les Fantasmes D'Une Quadra....
Adepte de la randonnée, jai rencontré au cours de lune delle, une jeune quadra avec qui jai tout de suite sympathisé. Non que jaie eu des intentions de drague (à lépoque jétais en couple) nous avons rapidement échangé des confidences de plus en plus intimes pendant que nos deux chiens batifolaient autour de nous. Cest ainsi que jai pu reconsti ce récit
quelle raconte.
Agée de quarante ans, je vis avec Hervé, un homme dune dizaine dannées mon aîné qui est fondé de pouvoir dans une entreprise à taille humaine de la région. Il est très amoureux de moi et jestime bien le lui rendre
Nous avons connu lun et lautre des échecs conjugaux et nous apprécions beaucoup ce bonheur partagé depuis trois ans.
Après avoir travaillé à temps partiel dans un commerce dalimentation, je dirige désormais un petit restaurant dans une région très touristique de la Belgique. Cela me laisse pas mal de temps pour moccuper de moi et des fleurs de mon jardin. Je fais aussi de longues promenades en forêt avec mon chien et comme jai encore un peu de temps libre, je fréquente deux fois par semaine une salle de fitness.
Mon homme est très fier de mon allure et, pour notre satisfaction mutuelle, il nhésite pas à macheter plein de lingerie et des vêtements sexys que jaime porter soit dans lintimité de notre logis soit quand nous sortons de temps à autre...
Lorsque je sors seule ou avec mon mari, les hommes se retournent facilement pour madmirer.
Jaime le soleil, et dès les premiers rayons ma peau prend une teinte de miel doré due au hâle qui arrive vite de par mes origines latines
Blonde aux cheveux frisés mi longs, je suis assez grande et sans me vanter, je possède une belle poitrine aux seins ronds et volumineux haut placés. Jen suis particulièrement fière et je sais la mettre en avant et ma silhouette se complète par des belles hanches galbées sous une taille mince et souple.
Dernièrement pour mon anniversaire, Hervé ma conduite dans une boutique de lingerie de Bruxelles où il ma acheté un ensemble en dentelle blanche, soutien gorge à demi bonnets qui, lors de lessayage relevait encore mes seins et laissait voir les tétons par une petite ouverture rebrodée, un string très réduit, un porte-jarretelles et des bas assortis. Cétait très coquin !
Profitant de la fermeture hivernale du restaurant, le samedi précédent, nous sommes sortis en boîte de nuit avec un couple damis pour danser. Lorsque nous sommes rentrés à la maison et arrivés dans notre chambre, Hervé a entrepris de me déshabiller amoureusement comme il le fait chaque fois que nous sortons ainsi et dautres fois aussi.
Quelle na pas été sa déception quand il a vu que je ne portais pas lensemble quil mavait offert récemment.
Dun ton autoritaire que je ne lui connaissais pas, il a commencé à me faire des reproches à ce sujet et aussi parce quil trouvait que le mari de ma copine navait pas arrêté de me faire les yeux doux à linsu de celle-ci au cours de la soirée.
Je le savais possessif mais jamais il navait fait preuve de jalousie.
Je ne lui en donnais dailleurs pas loccasion car depuis notre rencontre, je lui étais fidèle malgré les sollicitations dont jétais lobjet.
Jétais tellement surprise que je restai tétanisée et nue devant lui debout au bord du lit. Soudain, il me repoussa et je tombai à la renverse en travers du lit, il me prit les bras pour me retourner à plat ventre en me disant quil allait me montrer qui commandait à la maison.
Clac ! Clac ! Hervé venait de masséner une claque sur la fesse droite puis sur la gauche. Jai subi une fessée comme je nen navais jamais reçue. Lorsquil sest arrêté, javais les fesses brûlantes et je vis dans un miroir quelles étaient rouge vif. Je métais mordu les lèvres pour ne pas exprimer ma douleur. Mais je suis entrée dans son jeu (du moins cest ce que je croyais) car nous avions déjà évoqué ensemble des pratiques légèrement sadomasochistes.
Hervé me dit sèchement en me relevant que cela nétait pas fini, que je devais me mettre à genoux devant lui et le sucer comme une pute ! Je me précipitai sur le tapis et jouvris mes lèvres pour sucer le gland de sa bite sortie précipitamment de son pantalon. Houlà ! Quelle était grosse ce soir ! En plus les couilles étaient dures. Il continua sur le même ton autoritaire :
Au fond de ta gorge salope ! Cela tapprendra à ne pas me faire plaisir en ne portant pas ce que je viens de tacheter.
En même temps je reçus une paire de claques sur les joues. Hervé savait que je naime pas trop cette caresse. Autant cela marrive de le sucer pour faire monter sa bandaison lorsque nous souhaitons enchaîner plusieurs baises, autant je naime pas la prolonger jusquà léjaculation dans ma bouche. Mon homme était très excité, sa bite dressée, grosse au point que javais des difficultés à la faire passer entre mes lèvres, mais il nen avait cure, il effectuait les mouvements de va-et-vient en me tenant la tête, une main agrippée dans ma chevelure. Il me baisait littéralement la bouche. Je la sentis soudain envahie par un flot de sperme qui me lève le cur.
Il continue sur le même ton en me traitant de salope, de putain, me disant davaler, que jétais une sale garce dallumeuse
Malgré ma répugnance à avaler, comme il maintenait son sexe dans ma bouche, je ne pouvais rien faire dautre que de déglutir ce quil venait de cracher au fond de ma gorge.
Les ordres claquaient sèchement
Maintenant, je devais monter sur le lit et me mettre à quatre pates les mains sur les barreaux
Je mempressai dobéir : Je navais pas envie dune nouvelle fessée. En moins dune minute, jai eu les deux poignets entravés, les bras écartés, le cul levé bien haut et offert, mes beaux seins pendant sous mon buste.
Hervé continuait de me diriger :
Alors, comme çà, Madame naime pas avaler le sperme ! Désormais tu avaleras à chaque fois ! Et pour tapprendre à ne pas mobéir, je vais te punir, espèce de garce dallumeuse.
Dans le même moment, il ma cinglé les fesses, le haut des cuisses et le bas du dos avec la cravache qui nous sert habituellement de jouet : Jamais il ne lavait utilisée pour me corriger, juste pour caresser des zones sensibles avec le bout.
Heureusement, les coups nétaient pas trop appuyés au début, mais à la fin, ils sont devenus si cuisants que je finis par hurler de douleur à chaque coup et en pleurant comme une gosse. Mes ruades pour tenter déchapper aux coups faisaient balancer mes seins dans tous les sens et les tétons frôlaient la courte pointe...
Hervé jeta la cravache sur le lit et quitta la pièce en me laissant attachée. Bien que la température soit agréable, au bout de quelques temps, des frissons me parcoururent le corps. Je passais par des alternatives de chaleur (là où jai été cravachée) et de frissons. Dans mon for intérieur, je mavouais avoir un peu peur de la suite des événements.
Quelle punition va-t-il minfliger ? Est-ce terminé ? Je nen sais rien. Et bien non, ce nest pas fini ! Je ne sais combien de temps sest écoulé mais Hervé revient avec deux pinces à tétons.
Il en a placé une sur chacun de mes tétons après les avoir pincés et roulés entre ses doigts pour les faire saillir. Oh que çà faisait mal ! Jen avais les larmes qui reviennent. Où était-il allé les chercher ? Où étaient-elles cachées ?
De nouveau une série de claques est venue frapper sèchement mes fesses en réveillant les sensations de brûlure dues à la première fessée et aux coups de cravache.
Javais trop peur de contrarier Hervé qui continuait une sorte de monologue qui sadressait à moi
Il me traitait de « cavale rétive » quil allait « faire de moi une soumise » que « désormais, je ne ferais plus que ce quil me dirait. »
Au travers de mes larmes, je concédai à mi voix que je ferais tout ce quil voudrait, que je lui obéirais
Il énonça alors ses exigences :
Pour commencer, tu iras au travail sans string ni culotte.
Hervé est alors monté sur le lit. Il sest placé entre mes jambes et dun seul trait il ma prise. Heureusement que, par je ne sais quel phénomène, ma chatte était lubrifiée car sa pénétration aurait été douloureuse. Il ma coïtée longtemps. Je retenais ma jouissance pour partir en même temps que lui mais cela ne lui suffisait pas encore. Ecartant les globes fessiers, il a introduit un Plug allongé dans mon cul en me disant :
Sens comme cest bon de se faire prendre les deux trous en même temps, salope que tu es !
Que répondre
sinon aller dans son sens !
Oui Hervé chéri, fais de moi ce que tu veux, je suis ta putain, ta salope, je suis ta chose.
Cest à ce moment même quune jouissance terrible nous a emporté lun et lautre, Hervé déchargeant dans ma chatte une nouvelle giclée de sperme abondante au point que je la sentis sécouler au dehors quand il se retira.
Après quelques temps de récupération, Hervé libéra mes poignets. Jai enfin pu me coucher à peu près normalement. Sur le dos, je sentais les coups de cravache. Sur le ventre, je supportais à peine le drap sur moi. Couchée en chien de fusil, je pensais enfin trouver le sommeil, mais Hervé ne lentendais pas ainsi. Il se plaça derrière moi dans la position de la cuiller. Il bandait encore. Il me pénétra la chatte dune seule poussée en écartant mes fesses endolories.
Javais peur quil me sodomise : La taille de son sexe impose que je my prépare avant avec un Plug pendant au moins trente minutes pour ouvrir le passage puis du gel lubrifiant au moment de la pénétration.
NON
Il resta ainsi de longues minutes avant de commencer les mouvements de va-et-vient qui nous conduisirent à nouveau vers une belle jouissance commune que je commentai ainsi :
Hervé, je promets de tobéir désormais en tout ce que tu voudras ! Je te suis totalement soumise. Je suis ta chose.
Nous avions assouvi notre fantasme, longtemps remis, dune relation un peu plus vive que nos habituelles séances de baise un peu trop conventionnelles. Mais désormais, je suis encore plus « SA CHOSE ». Désormais, il ny a plus de motif de punition : de temps à autre, cela fait partie de nos jeux érotiques, une fessée ou quelques coups de cravache pas trop appuyés suffisent à me mettre dans un état de réceptivité tel que les jouissances me font oublier tout ce qui sest passé avant.
Ce nétait quun jeu
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