La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1091)
La Comtesse et son clitoris (Hors-série, la suite) - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE)
- Ahhhh Mon
sieur !... vais
jou
ir
Hummm !
Et Pan à nouveau sur le clito alors que jattendais le coup sur le téton. Le coup était si fort que je levais la jambe comme pour protéger mon intimité du coup suivant, je tremblais, en une sorte de danse incontrôlable et incontrôlée, attendant, espérant le coup suivant, offerte, suppliante. Le coup suivant fut terrible, si terrible que je fis pipi sous moi
- Cochonne, dit le professeur, tu ne sais même pas te retenir
Et à nouveau un autre coup en sorte de punition sabattit sur cet insatiable clitoris qui semblait apprécié ce traitement car à chaque fois, chaque coup porté le faisait vibrer comme jamais
Jattendais le coup suivant qui arriva simultanément sur chacun des deux tétons, coups si forts, que les tétons se plièrent. Ces deux coups bien frappés finirent de me mettre en transe orgasmique et ensuite, ce fut une danse interrompue de coups forts à très forts frappés sur le clitoris en un tempo diabolique et à chaque fois, ces coups me faisaient passer un palier nouveau me rapprochant de lexplosion finale. Les coups étaient réguliers, forts à très forts, tantôt téton gauche puis clito ou téton droit je ne savais jamais où allait frapper la cravache qui tombait de plus en plus lourdement, ce qui, à chaque fois me faisait danser, me tortillant en tous sens comme une chienne suppliant dêtre achevée
Cest ce qui arriva finalement en trois coups très forts me coupant presque le souffle, jexplosais par un orgasme puissant, dévastateur, explosif si fort que je sus ensuite, que les autres chambres dà côté suivaient attentivement ce qui se passait dans la nôtre
Tandis que je jouissais comme une femelle animale, tant la sensation métait à la fois totalement inconnue et violente, je ne fis pas attention à ce qui se passait dans la pièce mais sentit quelque chose pointer contre mon anus.
- Monsieur, dis-je
Pas de réponse et comme seule réponse, un fort coup de reins enfonça entièrement la bite dans mon rectum tandis quun autre puissant coup de reins enfonça une autre bite dans ma chatte en feu
Javais toujours les mains derrière la tête. Vous vous dites peut-être que je ne me posais pas de questions sur
ce second sexe ! Bien sûr, je ne suis pas sotte mais prise comme je létais dans ce déluge dorgasmes dont je vous prie de bien prendre conscience de la violence et du nombre, avec en plus, maintenant mon cul demandant sa part du festin, la volonté de comprendre le pourquoi des choses samenuise, pourvu que le plaisir soit là. Je me demandais, cest vrai qui était ce sexe qui maintenant me fourrait la chatte, et de quelle manière, sil vous plaît !
Cétait divin, complètement divin ! Les deux bites travaillaient comme les pistons du même moteur, en cadence, lune entrant quand lautre sortait et inversement en un ballet diabolique mais si terrible, si jouissif, que diable à qui appartient ce sexe nouveau
Le professeur, tout en travaillant mon cul, cognait si fortement ma rosette que je sentais ses couilles battre contre ma vulve, tandis que celui de devant en faisait de même
me prit mes mains, derrière la tête, les défit, les plaça le long de mon corps, tout cela avec, toujours des coups de reins ravageurs derrière et devant
des mains pelotaient mes seins, les soupesaient, les pressaient, le professeur me tenait les mains, les faisait pivoter paumes vers lavant et je sentis sur mes paumes brûlantes, deux bites se poser sur elles.
- Prends-les Isabelle !
La voix du professeur me rassura quelque peu et je refermais mes mains sur ces deux sexes inconnus, que je commençais à masturber, tandis que celui de devant jutait férocement en moi en des jets brûlants, saccadés et conséquents. Lhomme ralentissait ses va-et-vient, tandis que le professeur était, Lui, à fond. Devenue une véritable bête de sexe, jactivais mes deux mains, tandis quune multitude dautres mains touchait mon corps sous toutes ses coutures. On me caressait le visage, des doigts entraient dans ma bouche, mes seins, mes tétons, même mon clitoris était à nouveau sollicité, tripoté en tous sens. La verge de devant se retira, et celui que javais dans la main gauche senleva aussi et entra à son tour dans ma chatte, remplacé dans la main par un autre sexe
Le professeur se vida en de longs râles de plaisirs, je le sentais se vider en mon cul tandis que le nouveau, dans la chatte accélérait à mille à lheure
Le prof se retira, la queue de la main droite se retira immédiatement et entra sans résistance remplaçant la bite du professeur
Ce manège dura une bonne partie de laprès-midi, sans aucune pause, je ne peux dire combien de personnes étaient présentes, combien mont pénétrée, combien ont usé et abusé de mes orifices demandeurs de plaisirs
Jétais devenue un vide-couilles et heureuse de lêtre
Alors que je pensais laffaire approchant de la fin, on me fit mettre à quatre pattes, cuisses écartées, et la séance reprit à nouveau
Je narrêtais pas de jouir, des jouissances non-stop, ce qui, finalement me faisait accepter ce qui se passait
Tandis que jétais prise par en dessous, (la chatte), et le cul en même temps, des sexes se présentaient à ma bouche et sans fausse honte, je suçais, je pompais, javalais tout ce qui se déversait en elle, jusquau moment ou un autre sexe se présenta à moi.
- Elle suce divinement, la petite chienne !
Vous ne me croirez pas mais tant pis ! Entendre cette voix de femme avouer mes capacités de ma langue, me donna une telle sensation que je me remis à jouir comme une bête en chaleurs que jétais. Je faisais des bonds, je donnais des coups de pieds, des coups de reins, des queues en moi se trouvaient expulsées puis reprenaient fermement leur place comme pour finir leur sublime besogne. Tous ces mouvements, ces pénétrations, ces sexes qui jutaient sur mon dos, mon cou, mes reins, mes épaules et même mes cheveux, tout me rendait folle de rut, dun rut apocalyptique, démentiel. Je narrêtais pas de jouir mais nétais nullement fatiguée, mieux encore, jen redemandais encore et encore et ne pas savoir qui était là ajoutait encore à la sauvagerie de ma folie orgasmique. Laprès-midi se poursuivit avec la soirée, qui elle, en fit de même avec une partie de la nuit. La cravache avait repris sa danse, sur mes reins maintenant, mes fesses, mais les premiers coups me parurent des caresses tant jétais chaude, jusquau moment où les coups se firent plus durs, plus mordants, relançant de ce fait mes envies.
- Ce nest pas une femelle dit une voix masculine, cest une mante religieuse
- Elle est terrible la petite chienne, dit un autre
- Jamais vu une femelle comme ça, dit un troisième
Tout cela me faisait prendre conscience de ma personne, de qui jétais, ce que jentendis me faisait plaisir je dois le reconnaître en entretenait même en moi, voire, relançait à nouveau de nouvelles envies. Japprenais à me connaître
Les personnes parlaient entre elles, ne faisant plus attention à moi, toujours à quatre pattes, positionnée comme attendant dautres bites
une véritable salope ! Tandis que jentendais des cannettes se déboucher, une grosse bite tenta de senfourner dans mon anus, jécartais les cuisses un peu plus libérant mon ouverture anale
Le propriétaire devait être un nouveau car jamais encore je navais ressenti une telle grosseur.
Je me mis à remuer en tous sens à nouveau, comme prise de tremblements incoercibles, je donnais moi-même des coups de cul pour mempaler toute seule sur cette tige, que dis-je, tige, ce tronc qui maintenant glissait en moi me perforant littéralement
Cétait dantesque, ma chatte abandonnée bavait comme une véritable salope
ma bouche elle-même narrivait plus à retenir ma salive. Sous les coups de boutoirs, mes seins ballottaient en tous sens, mon ventre était devenu un cloaque immonde, tandis que je sentais le monstrueux piston aller et venir dans mon fondement de jeune fille
Il me labourait profondément et jaimais cette sensation terrible, cette impression dêtre prise totalement, sans ne pouvoir rien faire pour men échapper
Une fois bien en place, et sous les yeux admiratifs des autres personnes, jentendais les réflexions
- Tu as vu comment il est monté ?
- La petite salope, elle est bien remplie !
- Oui mais tu as vu comme elle la bien avalée aussi !
- Regarde-là, elle aime ça la garce !
- Il va lexploser, oui !
Toutes ces remarques ajoutaient à mes envies qui à nouveau étaient reparties de plus belle, comme linsatiable que je suis
Quand cet « extra-terrestre » que je ne verrai jamais, se mit à éjaculer en moi, jeus la même impression quun lavement, tant il jute en giclées saccadées en nombre, quatre à cinq fois il me semble, et à chaque fois, javais limpression très nette quen fait il urinait en moi tant ses jets étant longs
Je hurlais de rut, je criais de toute la force de mes poumons de femelle déchaînée, cette sodomie bestiale, cette saillie jusquà la garde restera définitivement en ma mémoire comme étant le summum de la jouissance culière que jeus à ce jour. Après avoir entendu la porte claquée, lentement mais toujours sans rien voir, je me suis retrouvée seule avec le professeur qui me retira le bandeau. Autour de moi, personne dautre que lui
je tremblais, mes nerfs lâchaient, il me prit dans ses bras, je me suis recroquevillée sur ses genoux, prise de froid, tandis que de ma chatte et cul, je me vidais sur son pantalon nous faisant rire tous les deux, comme deux gamins
Merci Monsieur le Professeur, je noublierai jamais cette rencontre. Ce fut la dernière fois que je le voyais, car 15 jours plus tard, japprenais à luniversité quil se tuait dans un terrible accident de la route en allant à ses cours.
(A suivre
)
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