Surprise Au Réveil !

Comme chaque année ou presque, j’avais loué à la fin du printemps une chambre dans un gite pour passer quelques jours à la campagne, généralement en altitude… Les sorties en randonnée, seul ou en groupe, allaient me faire du bien après les miasmes de la région parisienne !

La veille, après presque 700 kilomètres de route, j’étais arrivé tardivement… La maitresse des lieux m’avait servi un en cas à base de jambon de pays, charcuteries diverses et salades dans ma chambre pendant que je déballais mes affaires…
En me quittant, elle précisa :
• Le petit déjeuner est servi en salle entre 7 h 30 et 9 h 30 mais si vous le souhaitez, pour le premier jour, on peut vous le servir dans la chambre… Comme cela vous pourrez vous reposer encore un peu… Demain après une matinée maussade, il devrait faire beau l’après midi.
• Oh oui, cela m’intéresse… Je veux bien… Est-ce que je pourrais être servi après 9 h 30 ?
• Oui sans aucun problème !
• C’est Sabrina qui fera le service pendant que mon mari et moi serons descendus dans la vallée pour l’approvisionnement !
• Merci…


Une douche rapide et je me glissai avec bonheur dans des draps frais… Je ne tardai pas à m’endormir et pour une fois, les insomnies récurrentes dont je souffre m’ont laissé dormir jusqu’au petit matin.
Je sommeillais à moitié tout en regardant les infos de la nuit sur mon téléphone… Rien de bien folichon avec cette menace perpétuelle d’attentats, de problèmes de circulation en ce début de weekend…
Soudain des coups discrets ont été frappés à ma porte, ce devait être Sabrina qui m’apportait le petit déj’ :
• Entrez, la porte est déverrouillée !
Sabrina est entrée, les bras chargé d’un plateau abondamment garni, café, lait, jus de fruits, confitures maison, toasts grillés…
Je l’observais pendant qu’elle disposait tout cela sur la petite table devant la fenêtre : une jeune femme d’environ 25 ans, des cheveux noirs relevés en chignon sur la nuque, vêtue d’une jupe cloche assez courte qui laissait entrevoir le haut en dentelle élastiquée de bas à couture quand elle se baissait un tant soit peu et d’un sweat-shirt noir également… et par-dessus le tout un mignon tablier blanc qui lui faisait le look de soubrette sur lequel pas mal d’hommes fantasment, moi le premier.

Dès le réveil, une vision enchanteresse qui n’a rien fait pour calmer la bandaison naissante habituelle chez moi le matin.
J’avais rejeté la couette et seul le drap couvrait mon corps…
Lorsque Sabrina s’est tournée vers moi pour me demander si j’étais satisfait, elle n’a pas pu ne pas remarquer la bosse que mon sexe désormais bandé à fond pouvait faire…
• Mais oui, je suis satisfait… … … … Une vision de rêve dès mon réveil… que demander de plus !
• Merci… mais je distingue quelque chose qui me fait dire que vous n’êtes pas entièrement satisfait !
• Vous croyez ?
• J’en suis sure ! Il n’y a qu’à voir ce qui pointe sous le drap…
Décidément cette Sabrina n’avait pas froid aux yeux… Alors que je la voyais pour la première fois, notre conversation prenait carrément une orientation SEXE !
• Oh non… ce n’est pas ce que vos croyez… Je bande comme cela tous les matins…
• A d’autres… … … je connais le fantasme de la soubrette chez les hommes !
• Et quel est-il ?
• Et naïf avec çà !... …. . Bien sur, culbuter la soubrette pendant que les patrons sont absents !
En disant ces derniers mots, Sabrina, qui s’était approchée du lit, s’est saisi du drap et l’a rejeté à mes pieds. Suivant mon habitude, j’avais dormi entièrement nu… et j’ai couvert mon érection des deux mains.
• Oh non… Pourquoi ? A ton âge, un sexe aussi triomphant le matin, je ne vais pas me contenter de le regarder !
• Et que vas-tu faire ?
• Ben… … … le branler tout d’abord…

Je suis passé d’emblée au tutoiement… J’ai largement plus du double de l’âge de Sabrina…
• Et après… … … Tu vas m’exciter et me laisser en plan ?
• Mais NON… les patrons ne sont pas là… Tout le monde est parti en rando’ ou ailleurs… çà fait une semaine que je dois me contenter avec un gode… Je ne vais pas te laisser en plan !
• Ok… c’est comme tu veux !
• Regarde !

Là-dessus Sabrina m’a tourné le dos, elle a troussé sa jupe courte sur ses fesses et fait descendre un string en dentelle blanche. Cette coquine a ajouté :
• N’ai-je pas un beau cul ?
• … … …
• Regarde comme il est bien fendu !
• Certes, tu as deux beaux hémisphères !
• Alors je te rejoins sur le lit… tu vas me baiser en levrette dans mes habits de servante ! Je sais que cela te fait envie !
• Mais sacrée coquine, comment as-tu deviné que la levrette est ma position favorite ?
• Ne me fais pas rire…… je connais assez les hommes et leurs envies…… Couvres-toi et baise moi… c’est tout ce que je demande ! Fais moi reluire… j’en ai assez de me masturber tous les soirs en pensant aux mecs qui m’ont sautée pendant le weekend précédent !
• Ok… si un jeune sexagénaire te convient… je suis ton homme !
• Je sais que les hommes plus âgés sont de bons amants… les plus jeunes n’ont qu’une envie : me sauter et prendre leur plaisir sans ment penser au mien !
En disant cela, Sabrina s’est installée, les deux mains appuyées sur le pied du lit…
Elle me tourne le dos… Ses fesses face à moi m’invitaient… Je me suis redressé, je me suis couvert et je me suis approché d’elle, la bite dressée devant mon pubis…
Cette jeune salope me faisait envie… et j’allais lui montrer ce qu’un homme d’expérience allait lui donner !
Je me suis positionné entre ses jambes, j’ai fait aller et venir ma bite entre ses lèvres intimes puis j’ai placé mon gland à l’entrée de sa chatte dans laquelle je me suis introduit lentement une première fois…
Je me suis retiré juste assez pour que mon bout soit à l’entrée de son vagin et d’un seul coup, j’ai éperonné la fille en faisant claquer mon pubis contre ses fesses rondes.
• Waouh… j’ai cru que tu me déchirais !
• Mais non… j’avais pris mes marques avant !
• çà n’empêche…… qu’est-ce que t’es gros !
• C’est meilleur qu’un gode ?
• Oh oui… T’es même plus gros que mon mec qui pourtant est déjà bien monté !
• Alors profites en bien… il n’en saura rien !
• Bof… J’m’en fous ! Il se tape la voisine pendant mes jours ici !

J’ai entrepris les mouvements alternatifs dans le vagin de Sabrina qui de temps à autre couinait un peu quand j’étais allé trop fort au fond de sa chatte… Mais sans me vanter, il y a assez peu de femmes qui ont pu absorber les presque 20 cm de ma queue et son volume quand elle est bien bandée comme en ce moment…Sa taille m’interdit toute sodomie ! Elles prennent toutes peur quand elles découvrent l’ampleur de la « chose » !
Je continuais le va et vient dans la chatte de Sabrina que je devinais de plus en plus humide et décidément cette nana était vraiment réceptive… quand j’étais au fond de son vagin, elle massait le bout de ma queue avec ses muscles internes… je ne me privais pas de cette sensation que relativement peu de mes maîtresses savaient distiller…
Mais hélas, tout à une fin… Je ne pouvais plus retenir ma jouissance et les gémissements et encouragement de Mélissa me faisaient comprendre qu’elle aussi était proche du plaisir…
Quand elle a senti les giclées au fond de la capote, elle a joui aussitôt, poussant un grand cri de délivrance.
• Waouh… J’aurais jamais cru que tu me ferais reluire comme çà !
• Pourquoi ? T’es une meuf bandante et tu avais envie…
• Oui… mais qu’est ce que tu as lâché ! Ok… maintenant il faut que j’aille bosser !
• Reviens quand tu veux…

Et toutes les nuits où elle était présente, Sabrina est venue me tenir compagnie…
Je ne vous fais pas de dessin… elle savait pourquoi elle venait me retrouver…
Chaque nuit, je la baisa is au moins deux fois… si bien que lorsque es vacances se sont terminées, j’étais plus fatigué qu’à mon arrivée !