La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1092)
Conte d'Halloween au Château Ecrit par Baka15 - (texte amélioré par MDE) -
En ce 31 octobre à la nuit tombée, le Châtelain eu une idée des plus insolites. Il avait envie de narrer une histoire aux habitants du Château, à loccasion d'Halloween et ainsi marquer cet évènement. Cest pour cette noble et généreuse raison que ses proches et tous les esclaves étaient réunis dans la Grande Salle autour de Monsieur le Marquis d'Évans assis sur son trône, pour l'écouter raconter l'une de ces histoires sulfureuses :
« Nous retrouvons le Château en des temps lointains, la Demeure semble délabrée et à l'abandon depuis fort longtemps. Une nuit lugubre de pleine lune, trois jeunes personnes pénètrent dans le grand hall par effraction et par jeu, curieux de découvrir lintérieur de cette bâtisse poussiéreuse squattée par les innombrables toiles daraignée. Il y a là un jeune homme dénommé Jack, sa copine Sandra et une fille plus jeune et craintive, Carole. Cette fille ayant accepté par besoin d'être la soumise des deux autres. Excité par les lieux, Jack, ordonne à sa soumise de se laisser prendre en levrette sur le carrelage poussiéreux, tandis que Sandra se fera lécher la chatte par Carole. Après lavoir bien baisée, et que tous ont bien joui, Jack lui lance :
- C'était merveilleux, ma petite chienne, dit-il.
Il dit cela tout en se relevant et se rhabillant suivi de sa copine Sandra, laissant la soumise Carole toute nue gémissant encore de plaisirs par terre. Mais quand le jeune homme veut partir, il découvre un mot sur la porte qui étrangement reste verrouillée. Il y est écrit à la plume doie, ces mots ci :
Merveilleux ? un gâchis d'amateurisme ! Avant de vouloir et surtout de pouvoir partir, emmène la jeune soumise dans les cuisines, elle y trouvera un matelas où se reposer... conduit-toi comme un vrai Maître pour une fois et pas comme un vulgaire queutard."
Le jeune homme invective, injure le supposé voyeur, sans résultat tout en se demandant qui peut bien lui faire ce genre de blague, alors que visiblement il ny a personne, le Château étant abandonné depuis déjà longtemps .
Sandra s'assoit près d'elle et la prend dans ses bras, montrant de l'empathie. La jeune fille se calme et exténuée par ce qui lui est arrivé s'endort dans des bras réconfortant. Sandra et Jack la laisse à nouveau, retournant vers la sortie, trouvant cette fois, à leur grande surprise, les fenêtres brisées comme avant et la massive porte grande ouverte. Sans se retourner ils filent tous deux dans la nuit brumeuse où lon entend une chouette hululer lugubrement
Pour fuir ce sinistre lieu, courant dans le grand parc sombre où seule la pleine lune éclaire les vieux marronniers centenaires, ils sont pris dune peur sans nom quand ils entendent un rire gras et lugubre derrière eux, et se retournant pour en savoir lorigine, ils aperçoivent devant la porte du Château, sur le perron, une silhouette ressemblant à si méprendre à un spectre entouré dune forte lumière blanche, presque aveuglante.
Le lendemain matin, Carole se réveille seule sur le matelas dans les cuisines du Château, ses vêtements pliés sur le sol avec à côté un mot, toujours écrit à la plume doie :
Tu dormais si bien que je n'ai pas voulu te réveiller. Il y a du café chaud dans le thermos pour toi sur la table
Bien que nullement signé, elle pense naïvement que c'est Jack qui la laisser là pour elle, même si elle trouve bizarre cette belle écriture stylée. Une fois rhabillée et deux tasses de café avalée, elle quitte le Château retrouvant son scooter pour aller retrouver ses deux supposés amis... Arrivée à la ville la plus proche, Villefranche-sur-Saône, elle pose son scooter et va marcher dans la rue en direction du lycée mais avec cette impression d'être suivie et observées, se retournant plusieurs fois, mais ne voyant jamais personne. Carole attend sous la pluie à l'abribus que sonne la fin des cours devant la porte de létablissement scolaire. C'est transie de froid qu'elle voie enfin les lycéens sortir. Elle court brusquement, traversant la rue manquant de se faire écraser par une voiture freinant et klaxonnant. Sans sarrêter, elle se dirige vers Jack et Sandra, bras dessus-dessous qu'elle vient d'apercevoir. Ceux-ci se montrent indifférents et méchants envers la jeune fille, lui disant même que si elle est restée la nuit au Château, cest parce quils navaient pas envie de la porter parce quelle dormait profondément et que cétait bien fait pour elle.
Le lendemain matin, la jeune Carole se réveille sentant son sexe trempé mais aussi avec un certain ravissement ponctué dinterrogations car elle se trouve dans un lit à baldaquin moelleux et bien chaud. Elle comprend de suite quelle nest pas chez elle, alors elle va vite à la fenêtre pour se si et découvre avec étonnement le parc du Château quelle reconnait demblée. Elle est donc au Château, ce qui la laisse perplexe ! Comment est-elle arrivée là ? Qui lui avait retiré ses vêtements ?, pour cette chemise de nuit en dentelle fine laissant apparaitre sa nudité, chemise dune autre époque à en voir la coupe travaillée. Pourquoi ne s'est-elle pas réveillée ? Temps de questions qui la fait paniquer, se rhabillant en vitesse, sortant de la chambre, descendant les marches menant au grand hall dentrée bien décidée à fuir cette maison. Mais arrivée dans le hall, elle perçoit de suite une bonne odeur de nourriture. Son estomac se rappelant à elle, c'est à petits pas, qu'elle gagne la cuisine ou l'attend un repas de roi. Prudemment elle s'avance, attrapant au passage un couteau, le tenant devant elle menaçant l'air proche, comme pour se rassurer. La faim étant plus forte que la peur, il finit par s'asseoir, tout en se jetant de bon coeur sur la nourriture, mangeant plus que de raison. C'est la première fois qu'elle mange aussi bien.
Ayant fini, elle se lève et clame un "merci", à l'attention de celui ou celle qui lui avait offert cela, précisant toutefois qu'elle ne resterait pas. Alors, elle se dirige, le couteau toujours à la main, vers la porte d'entrée.
- Bon, je reste... pour l'instant du moins... mais je vous préviens que si vous tentez quoi que ce soit, je... je vous plante avec ce couteau...
Seul l'angoissant silence lui répond. Elle a cette sensation dêtre de nouveau observée, épiée... A lévidence se dit-elle, je ne suis pas seule dans cette vaste Demeure... A moins quelle soit hantée ? sinterroge-t-elle
Non pas possible, je déraisonne se dit-elle comme pour se rassurer
Alors elle veut fuir de nouveau, et tant pis pour le froid, mais cette fois, il lui est impossible douvrir la grande porte qui se trouve verrouillée, les fenêtres comme blindées
Alors ce nest pas rassurée, quelle gravit quatre à quatre l'immense escalier et regagne la chambre où elle s'y enferme, poussant l'un des meubles devant la porte. Elle n'en sort que bien plus tard dans la journée. Toujours armée du couteau, elle trouve comme au matin une collation qui l'entendait dans la cuisine. Elle parle à la supposée personne dans le Château, mais personne lui répond tout en s'aventurant plus en avant dans le Château. C'est ainsi qu'elle découvre la Grande Bibliothèque du Château et ses nombreux ouvrages, des manuscrits très anciens, aux romans et d'histoires sulfureuses dédiées aux relations D/s par de très nombreux ouvrages poussiéreux, ils sont là depuis des lustres par milliers, comblant sur dimpressionnantes étagères montant jusquau haut plafond sur les quatre faces murales
Elle parcourt les rayons, prenant un livre au hasard de-ci delà pour le feuilleter avant de le remettre en place, avant de tomber sur le seul livre posé sur une grande table et qui retient son attention. Visiblement cest un vieux livre très ancien qui doit avoir plusieurs siècles et dont le titre est évocateur Les Origines de la Saga des esclaves au Château de Monsieur le Marquis dEvans par Monsieur le Marquis Charles-Edouard dEvans 1785 Et en sous-titre sur cette luxueuse reliure de cuir travaillé, il est écrit : Coécrit avec le Monsieur le Marquis de Sade
Intriguée que cet écrivain célèbre ait participé à cet ouvrage, elle l'emporte regagnant sa chambre et se plonge vite dans lecture qui commence par la sortie de la prison de Vincennes du Marquis de Sade pour se rendre dans le Château des Evans (NDLA : lire le premier épisode des Origines de la Saga). L'histoire est sublimement bien écrite et D/s à souhait
Plongée dans sa lecture excitante, elle ne voit pas le temps qu'elle y passe une bonne partie de la journée, s'endormant même le soir venu jusqu'au petit jour, comme si on voulait la faire dormir par une fiévreuse d'excitation émanant de son bas-ventre trempé par la lecture
où avant de sendormir, elle na pas manqué de se caresser maintes fois à se faire jouir encore et encore trouvant, en ces Origines de la Saga, matière à multiples orgasmes
(A suivre
)
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