Dimanche Matin... (Suite De Mon Week-End En Famille)
Le lendemain matin (dimanche), ma femme et moi nous sommes levés pas trop tard non sans avoir fait lamour auparavant. Non pas que ma femme soit déchaînée à ce niveau-là mais le changement de lieu booste toujours un peu sa libido. Pas daffolement, rien de bien excitant à raconter, je passe.
Ma belle-mère était levée bien sûr et tous les s aussi. Ma nièce sétant levée tôt, ma belle-sur sen était occupée avant daller se recoucher. Après un petit déjeuner copieux, Il fut décidé de repartir au parc avec les s. De mon côté, je prétextais avoir encore un peu de boulot à finir pour lundi afin de rester dans lappartement. Comme la veille, tout le monde sest préparé rapidement pour partir, sauf ma belle-sur encore couchée.
Sitôt toutes les casse-pieds dehors, je me dirigeais vers la chambre de ma belle-sur, non sans avoir verrouillé la porte pour être un peu plus tranquille. Je rentrai dans sa chambre plongée dans la pénombre et la vis dans son lit, visiblement endormie sur le ventre. Ne pouvant y résister, je me déshabillais en silence et me glissais dans son lit, déjà en érection.
Elle commença alors à bouger un peu et me tourna le dos. Je me collais contre elle, la queue entre ses fesses, mon torse collé contre son dos. Là, cela suffit à la réveiller totalement. Elle poussa un cri et se retourna vers moi, lair offusqué.
_ Hé ! Je ne tai pas donné la permission ! Que fais-tu ici ?!
_ Les autres sont parties, je me suis dit quon pourrait en profiter, non ? Regarde comme tu me fais bander ! (Jécartais le drap pour lui montrer ma tige tendue. Jen profitais pour découvrir sa chatte touffue dun peu plus près
)
_ Ca nempêche ! Tu nas pas à faire ça. Qui ta dit que jen avais envie ?
_ Toi hier. Vu comment tu as joui et vu comment tu as sucé ma queue pleine de foutre après tavoir enculée
Vas pas me dire que tu nen veux pas plus.
_ Méfie-toi ! Je pourrais bien tout dire à ma sur tu sais !
_ Non.
_ N
Non
dit-elle, visiblement estomaquée.
_ Alors tu vas me laisser faire ce que je veux. Et ne tinquiète pas, je ne ferai rien qui ne te fasse plaisir.
_ Et quest-ce que tu veux ? Tu as déjà eu mon cul
_ Justement, je veux ta chatte !
Je lui pris alors les jambes pour la mettre sur le dos, les jambes levées et écartées. Je me penchais alors sur sa chatte et la lui broutais sauvagement, introduisant ma langue dans sa fente, léchant son clito, le pinçant entre mes lèvres
Je tendais en même temps les bras et prenais sans ménagement ses seins que je malaxais généreusement.
Je ne métais pas trompé sur elle
En quelques secondes, elle se mit à jouir fortement, gueulant son plaisir, plaquant des deux mains ma tête contre sa chatte et dégoulinant de mouille dans ma bouche. Jessayai, en vain, de tout boire. Mais il y en avait trop, beaucoup trop.
Je continuai à la lécher, la doigtant en même temps, dilatant sa fente bien parfumée, jusquà ce quelle jouisse à nouveau.
_ Baise-moi ! Mets-moi ta queue, je veux ta bite !
Il ne fallait pas me le dire deux fois. Me redressant, je mallongeai sur elle, ma queue entrant sans aucune difficulté dans sa chatte humide. Ne perdant pas de temps, je commençais à la baiser avec énergie. Elle était tellement mouillée, tellement ouverte que je la sentais à peine. La veille, jétais si serré dans son petit cul
Quel contraste !
Du coup, javais limpression de pouvoir tenir une éternité à la baiser de la sorte. Jen profitais pour lui donner de violent coup de reins, sortant de sa chatte pour mieux y entrer.
Elle continuait à hurler des horreurs sans se soucier du bruit. Il ny avait quà espérer que les voisins se montrent discrets et que ma femme ne revienne pas trop tôt du parc. Mais jétais tellement excité que jétais incapable de marrêter.
Finalement, elle se releva, visiblement épuisée.
_ Je vais te finir à la bouche, je nen peux plus, je suis crevée ! Et puis tu vas jamais tarrêter il me semble
Tes infatigable !
Elle me prit alors mon dard trempé de sa mouille et lavala en entier pour me le nettoyer et le sucer comme il faut. Je lui pris alors sa tête pour la maintenir et commença à lui baiser la bouche. Elle protesta faiblement avant de se laisser aller totalement.
Je continuais ainsi à la baiser, dautant plus excité quelle avait parfois quelques hauts le cur. Je sentais ma queue grossir, se tendre. Je menfonçais alors jusquau bout dans sa gorge, bloquant sa tête des deux mains et déchargeais en elle.
_ Mmmm
Avale, salope, avale tout !
Elle déglutit tout avec difficulté mais aucune goutte de sperme ne sortit de sa bouche. La libérant, elle me tira la langue pour que je puisse vérifier son exploit, comme dans les meilleurs pornos.
_ Mmm
quelle salope tu fais ! Que cétait bon ! Ça ta plu alors ?
_ Tu en doutes ? Après tout ce que jai pu couler ?
_ Non, pas vraiment.
_ Et toi ? Tu as autant aimé que je limagine ? Je suppose quon continuera à loccasion ?
_ Oui
Tout à fait. Par contre, un truc.
_ Oui ?
_ Faudra me raser tout ça. Cest la forêt vierge, là
Nous nous sommes alors levés. Je me suis remis au travail (après un petit peu de toilette), elle prit son petit déjeuner. Le reste de la famille rentra du parc. Pendant que ma belle-mère préparait le déjeuner, ma belle-sur prit une douche bien longue
Quand elle sortit de la salle, tout le monde se moqua delle et du temps passé à se faire belle
Moi le premier.
Mais pendant le déjeuner, alors que les autres ne regardaient pas, elle écarta les jambes dans ma direction. Elle portait une jupe mi longue qui me permit de voir quelle ne portait pas de culotte. Et surtout quelle navait visiblement plus un poil sur le sexe...
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