Les Bonheurs De Sophie(2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
La mise à nue
Phil est un bon cavalier. Il sadonne à sa passion à raison dune ou deux fois par semaine. Sa tenue est toujours prête dans la penderie de lentrée. Pour lheure, il na nullement besoin de toute la panoplie. Moins dune minute lui est nécessaire. Et il revient dans le salon en faisant claquer contre sa jambe la lanière de cuir de sa cravache. Il a lhabitude de manier la badine au manche en bois souple. Il aime la faire siffler.
Sophie a compris, a pâli.
« Monsieur
- Saches que dores et déjà tu as mérité deux coups de cravaches ; un sur chaque sein ! Je ne fléchirai pas.
- Monsieur
. Non
- Alors enlève ce pull ».
Elle tente encore de négocier :
- Mais pourquoi ? Monsieur, pourquoi ? Sil vous plait !!!
- Parce que je lexige. Ce que je veux, tu le veux. Cest, plus que ton intérêt, la seule condition de ton épanouissement. Tu le comprendras bientôt. Tu me remercieras. Mais tu as dabord besoin dapprendre. Tu en veux plus ? Quatre coups de cravache.
- Monsieur !!!!
- Je te jure que bientôt tu me remercieras ».
Elle esquisse le geste, commence à soulever son pull, sinterrompt encore. Il parle avec assurance et calme, sans aucune agressivité. Son intention nest pas dinstaurer de la peur mais de la confiance.
« Ce que je te demande est tellement dérisoire ! Tu ne veux pas que je te sauve ?
- Ôh si Monsieur ! Mais
Je
- Et tu penses que ta libération peut advenir sans effort ? Sans abnégation ? Enlever ton pull est un acte tellement anodin. Tu me déçois Sophie. Tu veux que je te renvoie, que je tabandonne, que je te laisse croupir dans ton enfer ?
- Non Monsieur. Je
- Cest toi seule qui tinflige cette épreuve. Six coups de cravache
»
Vaincue, les mains tremblotantes, elle soulève et fait passer son pull par-dessus sa tête, le vêtement dévoile son ventre, son torse, puis, inutile, il choit sur le sol, lâché à contre cur par les doigts fins de la beauté.
« Tout ça pour ça ! Allez, Sophie, la suite ! Le soutien-gorge ! Dépêche-toi !
- Nonn, je ne peux pas plus !
- Tu ne peux pas plus que trois fois rien ?
- Ôh Monsieur !!
- Tel est ton état actuel dinsignifiance. Je vais taider à atteindre progressivement labsolu. Les premiers pas sont les plus difficiles. Huit coups de cravache. Jusquà combien comptes-tu aller ? Tu préfères rester ce que tu es ? Si tu ne veux pas être sauvée, rhabille-toi et déguerpie. »
Il a scandé sa réplique en tapotant la cravache contre sa cuisse. Elle reste figée.
- Je pourrai tattacher, tarracher ces vêtements ridicules. Mais je ne te forcerai jamais. Tu es libre de ne pas consentir mais tu en assumes les conséquences et tu resteras à tout jamais inaccomplie. Telle est ta volonté ? Réponds Sophie !
- Non Monsieur.
- Met tes bras le long du corps.
Elle obéit.
Il veut lui montrer quil na aucune intention de la faire souffrir. La lanière de cuir sabat doucement sur la corbeille en tissu qui enrobe et couvre la mamelle droite. Il évite le téton. Le contact ne procure certes pas une caresse, mais cest à peine plus quun effleurement. Et pourtant, elle pousse un cri de douleur. Elle exagère ! Il comprend quelle joue la comédie ! Les larmes emplissent les yeux dun soudain voile automnal qui trouble sans laltérer le rayonnement des deux magnifiques soleils bruns.
« Dix coups de cravache ?
- Ôhhh Mon Dieu !!! Nonnnn Monsieur !!! ça fait trop mal ! »
Elle a besoin de ce subterfuge. Il retient un sourire. La situation nest pas anecdotique. La responsabilité de Phil est énorme. Présentement, elle a besoin pour progresser de sappuyer sur une autorité.
« Débarrasse ma vue de ce soutien-gorge ridicule ! Ce geste sans conséquence téloigne de la condamnation, de la damnation. Abrège tes souffrances, avance vers la félicité. Allez ! Fais-moi confiance
»
Les doigts tremblotants de la jeune fille dént et narrivent pas à dégrafer le carcan qui emprisonne ses seins. Elle renifle, ravale sans doute un peu de morve, leau perle sur les rives de ces paupières. Le pincement de ses lèvres par lanxiété rétréci, un plissement sur son front qui émeut sa jeunesse, leffort semble énorme, ainsi quel soulagement quand les bandes de tissus se défont enfin. Les bretelles glissent sur les épaules, les basques libèrent les rondeurs et leur sommité de chair à vif ; la séparation avec le soutien-gorge relève du déchirement mais le sous-vêtement labandonne néanmoins, livrée à elle-même, les bras en paravent devant ses seins pour masquer ses mamelons.
« Autant dhistoires pour si peu ? Quelle importance démesurée accordes-tu à tes deux petits seins de rien du tout ? Es-tu si imbue de toi-même ? Tu te crois importante ? »
Elle baisse la tête.
« Pour linstant tu es juste inexistante. Mais, je sais que tu dois faire un énorme effort sur toi-même. Pour te prouver que je suis compréhensif, je tautorise à garder ta petite culotte.
- Ôhh Nonnnnn
Non je ne peux pas.
- TU ne peux pas garder ta petite culotte ?
- MOnsieurrrrrr.
Elle trépigne, on dirait presque une capricieuse.
« Mais pourquoi !!!!
- Tu ne peux pas comprendre, Sophie. Cela te dépasse. Tu es trop ignorante. Sache jusque quil ny a pas dautre voie possible. Cest lunique. Ardue au début, elle se révèlera paradisiaque.
- Monsieur !!!
- Dix coups de cravache ! Je ne fléchirai pas. Cest toi qui plieras. Et tu le sais ! Tu progresseras ainsi en surmontant dautant plus facilement les épreuves que la douleur minime cèdera vite la place à lextase. Je taiderai, je taccompagnerai. Allez enlève ta jupe
Allez Sophie ! Allez ! Voilà, comme ça, cest bien
»
Précipitamment, comme on se jette du haut dune falaise, elle a baissé sa jupe, ses mouvements sont brusques et terriblement maladroits, en voulant faire vite, elle semberlificote les jambes, elle tire, mais, ne veut pas trop lever la patte, danse sur un pied, chancelle, se retient de justesse à une chaise, et se libère enfin du vêtement qui choit à son tour sur le sol.
La voici dans la splendeur de ses 18 ans, le port altier mais dépossédé de toute assurance, tel un I frémissant qui risque constamment de ployer ; les bras tendus devant le torse, serrés pour dissimuler ses tétons, elle a joint les mains en protection devant sa culotte blanche ; les jambes jointes, lamplitude corporelle ainsi réduite au minimum, elle cherche à offrir le moins de prise possible au regard.
Mais Phil nen apprécie pas moins la perfection des proportions : la ligne du cou salanguit sur celle des épaules, mais sans aucune nonchalance, au contraire, subtiles et raffinées, elle lépouse avec une incroyable dignité ; malgré une petite taille, les jambes sont élancées et les cuisses galbées gainées dans les collants, elle remporterait aisément le concours de la femelle la mieux racée ; quant au bassin dune étroitesse de jeune fille, il sévase pourtant, sans lombre dun doute, vers une forme de féminité accomplie.
« Autant dhistoires pour si peu ?
- Je
»
Il sapproche lentement. Elle recule à mesure, mais est vite acculée contre le mur. Il feint dignorer ces manifestations de crainte, et, après avoir posé la cravache sur la table - juste à côté du vibromasseur - leur oppose une voix chaleureuse, réconfortante, encourageante.
« Et bien ! Ce fut laborieux. Tu vois ce nest pas si terrible que ça. Tu vas vite thabi.
- Que voulez-vous de moi ?
- Dans limmédiat, un café.
- Quoi ?
- Sers-moi un café. Obéis sans te poser de question. Je vais te montrer où est la cuisine. Avance. »
Elle nest pas aussi prompte quelle le devrait. Mais elle sexécute. Et Phil déguste du regard ladorable petit cul, musclé et haut perché, qui trottine gentiment vers la cuisine. Le contraste aphrodisiaque entre la cambrure profonde et la courbe inversée dune croupe rondement potelée est du meilleur effet. Les collants noirs sarrêtent en haut des cuisses comme pour sublimer encore lérogénéité du postérieur. Ça donne un petit côté pute-vierge du meilleur effet. Il sassoit à la table de la cuisine et observe le petit cul vaquer. Même si sa culotte en coton est dune sobriété exemplaire, même si Sophie retient pudiquement ses gestes, chaque mouvement lassigne à la féminité. Le piège serait de ladmirer. Au contraire, pour justifier sa domination, il va la déconsidérer, réduire cette divine humanité à ses attribue physiques, à un état sexué, rien de plus quune jolie petite nichonne. Dailleurs, il a hâte de prendre à pleines mains les douces dunes rondes, au jugé un 90B, elles sont à la mesure exacte de ses grosses paluches et les tétons roses indiquent fièrement la direction à suivre ; la modestie de la jeune femelle est tout autant contredite par le balancement hypnotique de sa croupe insolente. De face, la culotte blanche parfaitement opaque ne laisse pas deviner le dessin du con, mais un renflement trahit non seulement labricot mais aussi une touffe de brune qui à nen pas douter sannonce assez drue. Et le noir des collants souligne crûment lexhibition. Quand elle soulève le bras gauche pour attr la tasse dans le placard, Phil note que la pucelle au naturelle ne sépile pas non plus sous les bras. Il faudra remédier rapidement à ça. Sophie réduit sa gestuelle au maximum, mais la plasticité adopte cette chair si souple, le cul omniprésent, omnipotent, mène la danse ; dans le sillage de cet arrière train denfer, les seins, eux aussi, soffrent en toute fermeté aux caresses de lair, ils suivent lexemple des deux pointes érogènes, plantées en leur sommet et qui, au vu et au sus de tous, insultent lapesanteur.
Il adorerait pouvoir lire dans les pensées de la vierge. Il devine la honte excitante de sexhiber les mamelles à lair avec pour toute protection une culotte en coton et de vulgaires collants. Elle suit ses instructions et lui prépare un Nespresso.
« Un Roma, Sophie. Sans sucre. »
Un semblant de contenance retrouvé, elle pose la tasse de café devant lui sur la table de la cuisine. Elle va pour poser son ravissant derrière sur une chaise. Il la regarde sévèrement :
« Je tai autorisé à tassoir, Sophie ? »
Elle se lève, nose pas contester, juste objecter :
« Mais ?
- Tu nas pas fini de me servir. Apporte une carafe et un verre deau. »
Elle sexécute à contre cur. Va-t-elle se rebeller ? Elle ne prend pas se risque mais la carafe deau atterrit sèchement sur la table. Cette posture réfractaire est anecdotique, lessentiel est ailleurs : sans même sen rendre compte, elle a commencé à shabi à déambuler devant lui dans une quasi nudité. Létat desprit se conformera rapidement à cette dépossession.
« Mets des glaçons dans un bol ! Le bac à glaçon est dans le congélateur. Dépêche-toi Sophie, n pas de ma patience ».
Elle prend la menace au sérieux. Elle sexécute mais toujours en affichant de la mauvaise volonté. Le spectacle est cependant plaisant à observer car elle doit saccroupir, sa cambrure de rein se prononce en lhonneur de ses hanches et, son bassin ainsi abaissé, tout son centre de gravité semble se concentrer sur sa croupe pleine et si copieusement sexuée. Mon dieu quel cul sublime ! Elle remplit le bol, puis redresse souplement ses courbes, se tourne, avance, pose négligemment le bol sur la table. Il croit lire dans le regard lesquisse dun défi dorgueil. A-t-elle décidé de tester les limites de Phil ?
Lenjeu, trop important, exige de la gravité. Il convoque le silence. Limpose. Il ne sest jamais senti aussi fort. Ses yeux bleus se rétrécissent, saiguisent comme une lame de rasoir. Alors, dun ton glacial :
« Tout ça manque de respect et de dévouement. Je ne peux pas accepter un tel comportement. Une telle nonchalance. Approche !
Elle se fige. Une ombre ténébreuse sétend sur la face tendre. Son vain sursaut de vanité va être sanctionné. Elle le sait. Elle tente quand même de négocier. Une petite voix de fillette pour lattendrir et sa bouche en cur :
« Je ne le ferai plus Monsieur
»
Lempathie serait un signe de faiblesse :
« Approche !
- Monsieur
Sil vous plait.
- Au plus tu tergiverses, au plus tu aggraves ton cas. Approche ! »
Elle fait un pas.
« Plus près »
Encore un pas.
« Tu devrais te précipiter, devancer mes désirs, craindre par-dessus que je me lasse de toi.
- Vous nallez pas me frapper ? »
Il a tous les droits mais pas celui dexercer la violence. Pour la crédibilité, il est quand même obligé de laisser planer le doute.
« Avance ! »
Encore un pas. Ça y est ! Elle est à portée. Toute fragile, toute menue, cinquante-trois kilos de femelle livrés au pouvoir discrétionnaire dun ogre.
« A genoux !
- Mais ??? »
La voix tonne :
« A GENOUX SOPHIE ! »
Elle obtempère, tremblante. Il se dresse pour lécraser encore plus de sa taille - une montagne dun mètre quatre-vingt - de sa carrure -une masse de cent kilos - et de sa puissance détalon, puisque le visage de la petite nichonne est idéalement positionné, la bouche juste face au gourdin qui déforme le pantalon. Le mâle ne dissimule pas son rut, il le contrôle affirme sa maîtrise sur la pucelle inquiète. Elle baisse la tête, nuque ployée sa crinière noire soyeuse, soignée, est séparée par une raie qui court sur le crâne et cet ordonnancement délimite aussi la future propriété de Phil ; sa possession arbore dinnombrables atouts dont il usera bientôt par consentement mutuel ; il inspecte les deux collines parfaites avec leurs éminences dressées uniquement pour le plaisir réciproque, les deux clitoris roses sont cernés par des aréoles qui tirent sur le brun et ce dégradé rappelle le ton des lèvres dun con et cette essence vaginale, inaboutie à cause dune éducation fallacieuse, aspire à lépanouissement, lassignation sexuelle ainsi justifiée, il poursuit linventaire du domaine féminin inaliénable - mais merveilleux pour celui qui gagne le droit de pénétration - la convocation se poursuit donc, se déploie, atteint son apogée alors quil se repait des cuisses, gainées de noir, pliées, serrées, unies par une carnation que lon devine si lisse et si onctueuse ; cuisses qui sécarteront volontiers pour lhomme parce que la nature en a décidé ainsi.
Il saccorde une longue plage sans un mot, pour quelle simprègne pleinement de son infériorité : à genoux devant lui, autant dire à ses pieds. Il est parfaitement calme et posé. Il ne veut pas la terrifier juste la soumettre :
« Tu dois apprendre à obéir et à me craindre à chaque fois que tu dévies du droit chemin ».
Elle ose une question :
« Le droit chemin ? », en rentrant la tête dans les épaules, craignant un coup en guise de réponse.
Il répond magnanime :
« Je te guiderai. Noublie jamais que je suis le seul garant de ton épanouissement ou de ta déchéance. Moi seul sais ce qui est bon pour toi. Allez debout ! »
Elle se lève.
« Maintenant au salon pour recevoir ta punition ! Avance ! »
Elle a encore une hésitation. Encore une ! Ils savent tous les deux quils sont sur le tranchant des événements et pour basculer vers lirréversible, sans prévenir, il lui décroche une baffe. Mais une claque pour de faux, comme au théâtre. Cest la première fois quil porte la main sur une femme. Il ignorait quil en serait capable. Il en jouit. Même sil a retenu le coup, la légère marque sur la joue prouve quils jouent tous deux avec le feu. Elle reste bouche bée de surprise.
« Tu las cherchée, Sophie ! Si tu veux faire ta connasse, dis-le tout de suite que je ne perde plus mon temps. »
Linsulte stupéfie la jeune fille. Phil est lui-même surpris de franchir aussi facilement les limites de la respectabilité. Le plaisir est quand même gâché par la culpabilité. On ne se valorise pas en rabaissant lautre. Mais, lui aussi est pris dans lengrenage :
« Je me demande vraiment si tu mérites tout le mal que je me donne ? »
Sophie, tête baissée, les yeux pleurnicheurs tournés vers le sol, renifle et sans doute par son silence admet à sa propre démission. Mais Phil veut une proclamation :
« Une bonne fois pour toute, désires-tu croupir dans les bas-fonds de la déchéance ?
- Non
. »
Et une petite baffe supplémentaire, pour la forme, sur ladorable joue ronde, la droite, celle qui a été épargnée par la précédente baffe :
« Non qui ?
- Non Monsieur. »
Elle ne cherche pas à se protéger. Elle accepte cette répartition des rôles. Il entérine cette bonne nouvelle avec une nouvelle petite claque, un minuscule, mais humiliant, point dexclamation. Un vertige supplémentaire :
« Plus fort, Sophie ! Je nentends rien !
- Non Monsieur. »
- Allez prend le bol de glaçon et avance ! Dépêche-toi que lon en finisse. »
Le magnifique petit cul trottine devant lui. Elle se retourne de temps en temps, le regard craintif.
« Allez avance. »
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