Fiction Érotique : Dégats Des Eaux
Dégâts des eaux
La pluie tombait depuis bientôt trois semaine . Pendant cette fin dhiver particulièrement pluvieuse Jynna comptait les jours de pluie les uns à la suite des autres car cela la fascinait. Aujourdhui était le 20ième,peu ordinairement , cette année durant laquelle les crues noyèrent de nombreux départements en France.
Cétait pendant quelle se masturbait dans le lit de sa chambre dappartement de la petite ville Sens-Douèmerie quelle appris par la radio que lalerte inondations fut déclarée par les autorités météorologiques et régionales car la petite voie fluviale qui serpentait dans la campagne nordique commençait de déborder. De plus ce confluant qui se nommait La Sambre , sectionnée en écluse sur toute sa longueur , était retenue en amont par un modeste barrage , qui était dans une situation critique. Dans le danger dune éventuelle fissure dûe à la contraction dun trop gros volume deau dans le large bassin artificiel , les contrôleurs prévenait dun niveau limite atteint puis ouvraient les vannes.
- Risque dinondation maximum , 70 cm deau prévus pendant cinq jour , dit le journaliste .
Elle avait un doigt dans lanus à ce moment là , quand elle écouta par hasard son radiophone dont le son faible grésillait entre son Pc et le rideau bleu-gris de sa fenêtre , de laquelle un ciel sombre et bas abreuvait à profusion les terres plates avesnoises.
Elle le retira et le suça avec de légers mouvements corporels. Ses hanches actives et énervées gesticulaient dans la couette encore peu froissée. Concernée par cette mini catastrophe elle songea à ses bottes ainsi quà son gros anorak chaud et imperméable qui attendait dans la penderie . Cet évènement malheureux qui détruisit le moral de la plupart des habitants n affaiblit pas Jynna dans sa vivacité naturelle .Dans son tempérament intempestif et jovial ,elle ne sattrista aucunement et samusait même du futur chao ambiant.
Elle imaginait une armada de pompiers, de cantonniers, de flics.Elle se retourna, saccouda dans la couette et calla sa tête dans son oreillers. Une fois agenouillée, le cul en buse , elle branla sa chatte frénétiquement ,sa chatte toute humide qui criait famine .Elle gesticulait encore et désirait quun bel homme lui enfonce une grosse bite pour la ravager. Elle pris son gode et sen servit pendant un gros quart dheure, dans le vagin et un peu dans le derrière , en sépuisant.
Elle jouit, après quoi elle enfila un survet et fit une sieste .
Deux semaines avant, Jynna se faisait larguer par une espèce rare de connard qui sans prévenir , l abandonna après onze mois de relation pour faire sa vie avec une fille plus jeune , plus riche quelle. Elle avait aussi une plus grosse poitrine et un voiture moderne. Très amoureuse de lui Jynna ne soupçonnait pas ces derniers trois mois d infidélité . Axel sétait montré imprévisible. Howk le surnommais-t- on depuis sa jeunesse.
Jynna , dans ses 28 ans avait une nouvelle fois perdue dans ce dur et long chemin de la vie tout au long duquel elle avait plus torché ses ex que penser réellement à elle. Son travail de consultante historienne lui convenait quà moitié car le quartier ou elle exerçait la livrait à un quotidien maussade , elle était lassée du sujet dont elle soccupait et lenvironnement humain devenait déplorable. Ceci-dit ,son CDD touchait à sa fin et projeta de bosser un autre thème , ailleurs , comme celui laprès-guerre dans le bassin minier francobelge.
La vérité était quelle excellait dans ces domaines détude , mais trop immature et trop franche elle ne se stabilisait pas et ne souhaitais dailleurs pas se poser avant davoir pris ses responsabilités en main .
Elle se masturbait parfois tous les jours , avait baisé avec son stagiaire ,avant de sortir avec Axel . Le sous- directeur du bureau lavait sautée un soir , quelques semaines après son embauche et lhomme de ménage y était passé aussi , un beau jour. Axel avait calmé son ardeur de gentille salope.
Elle envisageait de téléphoner à Virginie sa collègue ou bien Red man , cest-à- dire Corinthien son nouveau petit stagiaire ,pour les prévenir de son éventuelle absence en cas de sinistre .Cest ce quelle fit .Elle eu Virginie qui la rencarda pour un futur apéro.
Le jour se coucha sous des trombes interminables . Le vent froid pétrifia Jynna qui ferma ses volets sur la ville grise , noire et orange. A par leau qui se versait dans les rues et les champs avoisinant , seules des automobiles lentes et traumatisées animait un tableau malheureux , morne , dune petite populace écrasée sous l infame intempérie qui allait sous peu faire dégueuler lartère liquide qui juxtaposait au centre ville . Les rives déjà battues , conduisaient leau sur les autres bords vastes et la plaine vide. Cette calamité sans tonnerre, sans cri terrible de terreur moullait toutes les maisons et toutes les fesses , sur des dizaines de kilomètres ,courante comme une vague frêle sur les pâtures , ces sauvages et tyranniques bois-sans-soif.
Un vieux avec une canne, dans ses bottes noires parlait à des jeunes , non loin de là .
A sept heure du soir , le marchand de frites dégageait sa barraque avec un vieux Scenic, honteux de ne pas lavoir déjà fait.
Un type , se dépêchait plus loin , et la pizzéria nattendait pas beaucoup de monde ce Mardi soir.
Jynna dina des pommes de terre et une salade aux lardons, mis une chaine cinéma et fureta sur Meetic les mecs qui avaient une belle gueule.
Elle pris une douche et se promena nue dans son appartement, entre rangement et télé. Ses cheveux châtains clairs quelle laissait sécher recouvrait le haut de ses bras et de son dos . Ses seins moyens en forme de poire , pendaient un peu. Le sein gauche était tatoué dune fée rose et verte , ailée , dans une arabesque bien noire, sous laisselle. Ses yeux bleus pétillaient.
Elle songeait aux locataires de limmeuble , quallait il entreprendre dans la journée de demain ? Une peur simmisça et lexcita presque, insoucieuse. Elle fantasma sur le gars du premier étage qui était ouvrier ,en couple et dans linstance de vivre en ménage avec sa petite amie quil connaissait depuis plus dun an. Lui se nommait Eric, elle , aucune idée. Puis Madeline, en face, avec son seul fils , divorcée dun banquier alcoolique et au -dessus , une jeune étudiante de 22 ans, Tania ,dun coté , et Jean-pierre le technicien proche de la retraite que le sort avait séparé de sa femme dans un tremblement de terre durant leur vacances dété au Bangladesh il y a quatre ans , de l autre .
Apriori personne ne paniquait .Elle ne perçut aucun signe daffolement et ,au contraire même , on eut dit que l ambiance chaleureuse se prêtait à la camaraderie festive .
Apres tout ,se disait -elle, si tout va bien , joie dans nos cur ! Mais elle se retint de jubiler ,et avait envie de glisser son gode dans lanus. Elle ferma le vestibule ou elle avait mis son manteau sur une chaise et ses bottes. Elle eut envie de se faire enculer dans ses bottes mais les laissa pour plus tard. Elle sen alla s assoir sur son lit et caressa les poils de son pubis .
Elle se réveilla à 6 h ,angoissée. Après une toilette rapide , elle enfila un jean moulant et un gros pull violet clair qui lui allait à ravir puis attacha ses cheveux .Elle ouvra le volet droit et constata un déluge . Toute la ville et les alentours étaient inondées sous une nappe dégoutante deau grise d un demi mètre ou plus .
Jynna fut sur le qui-vive. Une heure plus tard le voisinage sactivait dans les couloirs. Eric proposa un chocolat chaud quelle refusa , Jean-Pierre prévenait larrivée d une barque dans les deux heures pour évacuer le quartier , par groupe de huit personnes. Madeline poussait la petite blague bienvenue, quand à Tania , elle allait bien mais se plaignait de rater ses cours. Dans la foulée Sét appelait pour lui dire que sa femme lattendait.
8h. Elle téléphona au boulot Red man répondit au bout du deuxième appel. En fait, Virginie était en train de le sucer dans les toilettes . Les autres collègues étaient absents à cause du sinistre. Mais elle ne le savait pas de la bouche du jeune homme ,c est Virginie qui lui envoya un texto coquin par la suite.
Quelle manqua un ou deux jours de boulots ne fut pas un problème. Même la semaine manquée serait sans gravité.
A 9h 30,une barque avec deux sauveteurs arriva et emmena un premier groupe . Un zodiac de police surveilla surtout le centre ville, animant ainsi bon gré mal gré lactivité de ce mercredi. On vit même les gendarmes en zodiaque pareillement ,et un hélicoptère de journaliste qui interviewa des adjoints sur un autre immeuble vers la mairie. Vingt cinq minutes après le premier aller-retour , la barque revint et emmena un second groupe . Eric était du premier, Jean-Pierre , Madeline , son fils et Tania du troisième . Avec tous les locataires et les vieilles personnes prioritaires de la rue , Jyanna compta 9 voyages. Elle fut la dernière à etre récupérée . Elle eu le temps daller de soulager , vers les onze heures dans sa salle de bain car le sauveteur qui tenait le gouvernail du moteur à hélice avait draguer une quadragénaire en manque de baise et cela lavait de rire et exciter, puis, plus tard, un gendarme avait réceptionné une mère ronde , aux seins énormes qui manquèrent de l lorsquelle faillit chuter dans leau . Puis encore, un autre voisin lavait compressé entre dautres personnes dans lattroupement suivant .Elle sétait mise à mouiller en sentant les mains dun pauvre homme , inconnu, qui habitait semblait- t-il dans laile droite du bâtiment , au quatrième étage. Il était au chômage, avoua-t -il en sexcusant .Il était tout de même séduisant .Elle avait trempé sa culotte.
Entre midi et treize heure ,la barque vint la récupérer , avec elle , une vieille dame du rez-de -chaussée ,un couple ordinaire et leur fille unique .
Dans la singularité du moment elle faillit se toucher le clito devant les autres protagonistes mais se stoppa de justesse . Un fois sur un rivage ferme , elle remercia les deux hommes, un pompiers et un cantonnier ; en discutant avec eux quelques instants :
- Merci , bon courage ,leur lança- t- elle
- De même, dit le cantonnier.
- Combien de temps ça va durer ? questionna -t -elle.
- Peut-être cinq jours ou plus. La pluie ne cessera pas de tomber.
- Ok jen prends bonne note, merci encore dit-elle.
Puis elle sen alla chez son frère qui habitait le bourg dà côté , derrière les futaies de la colline. Elle fit du stop. Elle remercia le ciel de ne pas avoir de voiture et de navoir qu un vélo, rangé dans le parc de limmeuble pour se déplacer . Elle na rien perdue.
Pourtant elle fallut retourner dans son appart le jour suivant pour retrouver un cv dans son bureau, avec lequel elle postulerait pour une place au centre de documentation de Ouir-la-vallée, centre de renom. Elle avait chopé lannonce sur Pole-emploi.
Elle retrouva le cantonier avec qui elle avait fait causette , il se dénommait Hedel , prenom peu courant mais charmant.Il avait de la classe dans son franc parler, jugea -t- elle . Et son regard intriguait la jeune femme . Il était seul cette fois car tout le monde était evacué, le pompier n était pas nécessaire pour des rondes de surveillance.
Une fois en barque , elle papota et se mis à mouiller. Elle contemplait ce gars seul et bien en chaire la dévisager et mener à bien sa mission. Elle lui appris le pourquoi de sa venue et su de Hedel même quune personne de son entourage travaillait au centre ,ce qui la stupéfia particulièrement . En effet cétait sa tante qui était directrice du personnel de létablissement qui recrutait un personne compétente. Jynna agréablement surprise par cette coïncidence apprit donc à Hedel le pourquoi de son retour , que son contrat à Sens-Douèmerie ne débouchait pas ,quelle cherchait à exercer ailleurs et qu elle venait récupérer un Cv pour postuler . A bon port, elle sortit du canot et enjamba des planches qui gênaient le passage jusquà la passerelle de fortune construite jusquà l escalier. Elle trébucha et mis le pied à leau puis se releva.
- Pas de mal ma petite dame ? interrogea Hedel.
- Ça va, répondit -elle.
Elle monta , accéda à son appart .L endroit sec et protégé la rassura. Elle pris ce dont elle avait besoin et par la fenêtre regarda la ville morte. Pas un chat . Le zodiac de police n était pas en fonction dans les environs, leau plane vibrait sous la pluie qui clapotait . Le cantonnier en bas patientait, tranquillement. Elle linvita en criant par la fenêtre
- Montez boire un café !
- Vous êtes sur ,dit -il mal aisé, il n a plus délectrcité !
- Oui montez , on est pas pressé ! J ai des sodas.
- Daccord jarrive .
Hedel accrocha la barque à l aide dune corde , éteignit le moteur et escalada les tréteaux .
Apres avoir monté l escalier , il se mis devant lentrée de lappartement , la porte était entièrement ouverte et déclipsa les pressions de son imperméable . Il hotta ses bottes et de son pantalon sec brillait des bandes fluorescentes , typiquement aux vêtements ouvriers communaux. Il garda son bonnet bleu mate et zippa la fermeture de son pull au col roulé. Il enleva ensuite limper et l accrocha à une rampe , dans le couloir de manière à le laisser sécher. Puis il rentra chez Jynna . Toute tiède, elle venait de se parfumer et , délicate comme un chatte, elle plaisanta avec son invité.
Ils burent leur boisson courtoisement mais Jynna agitée comme dhabitude, perdis ses moyens .
Hedel dit :
-Vous aurez certainement la place, vous semblait super calée, ça se voit rien quà vos yeux.
Jynna souria affectueuse et proposa un second verre . Hedel refusa mais pris son téléphone et composa le numéro de Anne-Marie sa tante .
-Hallo repondit-elle
-Oui ! Hallo ! Bonjour Anne-Marie cest Hedel
-Bonjour, tu vas bien ?
-Oui, bien merci , je te téléphone pour te parler du poste que tu proposes au centre de documentation
-Oui ? questionna-t-elle
-Jai une charmante personne en face de moi qui termine un petit contrat de trois ans au conservatoire historique de Sens. Et elle recherche spécialement une place dans ce domaine , pour létude de laprès-guerre franco-belge.
-D accord.. .ok.. je vois.. . Comment est-elle disponible ?
-Toute la semaine, dit il.
Jynna rougit peu , elle était un peu dépassée par la situation .
-Demande lui de se présenter à mon bureau Vendredi matin , avant onze heure, je n ai pas beaucoup de candidat étant donné ce déluge
finit-elle par dire.
-Ok ,elle est en face de moi, je le lui dit,merci, à bientôt Anne-marie !
-Merci , à bientôt.
Il raccrocha , s apprêta de sen aller avec Jynna quand elle le remercia sans savoir quoi dire ,elle ramassa ensuite, les verres et devant lévier fit tomber une cuillère .
Hedel qui choirait , les idée perdues dans la fenêtre entrouverte , pivota la tête et vit le sublime cul de Jynna , en buse , qui tendait le jean jusquà le faire crissé. Il voyait la forme de la moule , amflée et odorante . Elle se redressa, croisa ses jambes pour taire son vagin affamé ,sans succès.
Elle fit une rapide vaisselle puis sapprocha dHedel.
-Merci ,dit-elle, lair prostré, comment vous remercier ?
-De rien , cest naturel , je fais suivre un bon filon pour vous ,cest une heureuse coïncidence , ma tante vous et
il balbutia.
-C est génial , merci
mais vous tremblez ?
Il ne tremblez pas mais Jynna en chasse , rusait .
-Vous navez rien oubliez ? On va y aller
dit Hedel dans ses réserves.
Elle porta sa main sur le visage du cantonnier qui ne savait se défaire dun air de chien battu . Elle le caressa avec le pouce , puis avec lautre main, tira son visage jusquà elle .Sa bouche embrassa les lèvres dHedel qui la laissa faire .
Elle se serra entre ses épaules et eu un mouvement sexuel très suggestif .
Elle trouvait que linstant avait du charme et ne résista pas à lenvie de faire lamour bien qu elle cru que Hedel aurait interprété cette pulsion sexuelle comme une réponse à un récent chantage . Elle laurait allongé même sans cette histoire de boulot. Elle le leva et lui offrit le lit . Elle l enfourcha et hotta son gros pull. Son corps exaltait , un nombril mignon , deux seins alléchant et une tête concentrée dans son repas , vorace dhommes et assoiffée de jouissance. Lui hotta le sien et son débardeur , puis le nez entre ces beaux nichons, dégrafa le sous-tif . Elle deneuta ses cheveux qui vinrent caresser les bras musclés de Hedel qui mania la jeune femme avec expérience . Elle se leva , tout deux enlevèrent leur pantalon et leur sous vêtements puis elle sallongea sur lui , enveloppant le corp éprouvé du cantonnier dune douceur incomparable .Il la caressa sans arrêt , en retour et Jynna avant quelle ne fut terrassée par son homme , suça sa bite bien dure. Apres lavoir engouffrée au fond de la gorge elle la relâcha et s allongea encore sur Hedel qui lenroula dans une étreinte merveilleuse . Plus rien ne comptait dautre que de jouir ensemble. Elle voulut se laisser faire mais sentait que Hedel souhaitait sa place de dominé pourtant les rôles se perdirent et Hedel la pris en missionnaire . Il mordillais ses tetons, sa bouche , claqua son bas-ventre contre le vulve chaud et lâche . Sa carrure physique vainc la femelle qui ne se départit pas de son initiative et , avec ses malices sensuelles retourna le corp de bête et chevaucha lamant avidement. Elle se retourna à son tour et pencha son dos vers lui puis continua dassouvir sa chatte trempée.
Elle cria : hah, hah, hah ,
Le membre de Hedel lu fit un bien fou. Elle tira la verge jusquà éclater de plaisir dans ses râles de jouissance, puis elle céda sous la sensation puissante de lorgasme qui montait , acéré et prégnant .
« Prends moi par derrière » lui dit- elle . Il la pris donc en levrette , ses fesses claquèrent promptement . Il doigta lanus de Jynna qui acquiesça et pie ,elle lui écarta son trou pour quil rentre dedans . Il légua sa verge à larrière-train qui voulait le faire glisser en elle . Elle qui aimait , parvint aux anges et atteint lorgasme quand il rentra de nouveau dans sa foufe juteuse. Il répandit son sperme dans Jynna qui fut conquise . De concert , ils s embrassèrent et s enlacèrent .
Apres cela, Hedel raccompagna Jynna sur la colline quelle parcourra pour passer la nuit chez Sét .
Ils se revirent le lendemain. Le vendredi, Jynna se rendit au rendez-vous et obtint le poste facilement . Elle fut une bonne historienne et réussi ses projets professionnels. Elle se maria avec Hedel , fit quatre s , eu une vie épanouissante sexuellement et psychologiquement et, grâce à elle , permis le même destin à Hedel qui découvrit alors dans un bonheur inestimé les joies d une vie heureuse .
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