Les Bonheurs De Sophie (3)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Maintenant, Sophie est debout, nue à lexception de sa petite culotte et des collants noirs qui jouent parfaitement leur rôle dattributs aphrodisiaques, au milieu du salon, inquiète, mais aussi de toute évidence, les sens échauffées. Cette atteinte à la décence déroute la vertueuse. Remuée, émoustillée, par intermittence, elle jette des regards à la cravache qui, sur la table, attend son heure. Ignore-t-elle que le vibromasseur qui est juste à côté de la badine complète parfaitement le programme annoncé ? Phil, lui, anticipe la suite : que la soumission soit jouissance et non traumatisme. Donc, il va la rassurer.
Elle a perdu tous ses repères. Elle est à sa merci. Quelques centimètres à peine les séparent. Il hume lodeur de femelle brune transpirante de peur, une exhalation piquante, la peau caramélisée est recouverte dun léger voile, luisant, de sueur. Aux avants postes, les tétons sont comme les sémaphores dun havre de jouissance à investir, à mettre en branle, et, sous le coton, le con et le cul rebondi nont jamais été aussi peu protégés. Lhomme prend la carafe de menthe à leau, en remplit un verre, lapproche de la bouche de sa prise complice. Elle va pour prendre le verre dans sa main, dun regard il lui fait comprendre quelle doit garder les bras le long du corps. Pour affermir encore son emprise, il linfantilise, lui donne à boire. Docile, les lèvres savancent, sentrouvrent et reçoivent le liquide, elle a de si mignonnes quenottes, la souris déglutit, un peu de menthe coule de la commissure des lèvres, sur son menton. Il lui parle avec tendresse :
« Chutt. Lààà. Tout doux. »
Après quelques gorgées, il accorde une pause, fait preuve de patience et puis labreuve encore, penche progressivement le verre, ladorable chose boit jusquà la dernière goutte.
« Voilà cest bien. Tu avais soif dis donc. »
Elle mendie du regard dautres paroles réconfortantes.
« Nai pas peur, Sophie. Je suis sévère, mais pas cruel. Tu as pour toi linnocence et lignorance. Je ne te ferai pas mal. Mais accepte la punition. Dis-toi que cest pour ton bien.
- Monsieur
Ne me faites pas mal.
- Tu choisis quoi ? Eternellement honteuse et inaccomplie ou quelques malheureux coups de cravache amplement mérités ? Je veux te lentendre dire ? Allez ! Je técoute quel est ton choix.
- Les
- Dis-le distinctement ! Sinon je passe à douze coups !
- Les
les coups de cravache.
- Bien. Tu deviens raisonnable. Dernier point : après chaque coup, tu comptes. Si tu oublies de compter, le coup ne compte pas. Tu as entendu ?
- Oui
Monsieur. Mais alors
- Quoi ?
-
Pas trop fort
- Douze coups !
-Ôooohh nonn !
- On ne marchande pas avec moi. On consent et on remercie. »
Respiration haletante, Sophie appréhendait-elle le cravachage des tétons ? Elle ne cessait de se tortiller, espérait-elle ainsi se dérober à la punition ? Au moment fatidique, elle se protégea ; une garde de boxeuse plus que maladroite, une andouille qui ne serait jamais montée sur un ring, ainsi malgré ses bras pliés et resserrés contre le torse, les proéminences de chair roses étaient une cible évidente pour la lanière de cuir, impossible de ne pas mettre dans le mille !
Et vlan !
Il use de la cravache avec délicatesse. Elle devrait être rassurée. Mais voilà quelle titube, se dandine, en comprimant les jambes. Il comprit alors que la vessie pleine, elle était sur le point de se pisser dessus.
« Compte Sophie !
- Hhahhh
Unnnnn. Monsieurrrr. Arrêtez, il faut que jaille faire
- Les mains sur la tête ! Sinon tu triches !
- Monsieur, je vous en supplie. Je dois
Je vais
- Si tu continues comme ça cest vingt coups que tu recevras ! Les mains sur la tête !
- Pitié
Je vais
Et vlan ! sur lautre nichon.
- Hahhhnnhh »
Le tissu de la culotte sauréolait déjà. Elle poussa un gémissement de détresse.
« Compte Sophie !
- Deuxhheuuu »
Elle ploya les genoux, se tortilla de nouveau en serrant encore plus fort les cuisses, symptomatique de la vessie qui lâche. Linondation commençait.
Et vlan, vlan, vlan, trois coups daffilée sur le même téton pour quelle ne puisse pas se retenir.
« HHHAAäâäaaaa HHAAANNahaah
- Compte !
- Troisss
Quatre
. Aiieeee
Quatre
Mon dieu nonnnn
Je arrêtezzzzz
. »
Elle se liquéfiait, pissait un peu des yeux et énormément de la chatte. Son visage était inondé de larme pendant que lurine débordait le coton et fuitait abondamment le long de ses cuisses salissant irrémédiablement les collants.
Vlan, vlan, sur lautre sein, pour être sûr quelle se vide entièrement.
« Hahhhhh nonnnnn houiiiiieyyeee
. je nen peux plus
.. »
Elle était tombée sur les genoux, dans la flaque de pisse, les mains en conque devant sa culotte pour masquer linondation. Le brun des mamelons, le rose des tétons sagrémentaient dun rouge sang affleurant.
Il saccroupit à ses côtés, lui caressa avec affection la tête. Et la tendresse dans la voix :
« Lààà cest rien. Tout doux, tout doux, Sophie. Ça va aller. Lààà, lààà calme toi, calme toi
- ouillououyyyeeee, ohhhhh, oohhhh, jai tellement honte.
- Mais non, ma petite pisseuse, nai pas honte de ce que tu es. Je taccepte dans ton intégralité. Dans ton intégrité.
- Ohh Monsieur
.
- Allez lève-toi ! Voilà comme ça. »
Il laide tout en la maintenant à distance pour ne pas se salir. Il évite tout contact avec les jambes maculées de pisse. Il est cependant obligé de lui tenir le bras car elle vacille. Il ne dissimule pas une grimace de dégoût tellement elle pue.
« Ohh Monsieur, il faut que
- Quoi ?
- Mais que je me change !
- Or de question ! Je ne transigerai pas là-dessus. Assume !
- Ohhh Mon Dieu, cest pas possible !!!!
- On a presque fini la punition. On en était à combien de coups ?
- Ohh nonnnnnn. Je ny arriverai pas. Sil vous plait !!!
- Â ne recommence pas à faire des histoires ! Sois un peu courageuse ! Il reste huit malheureux coups de cravache.
- Huit !!! Mais non !!!!
- Tu tes arrêtée de compter à quatre, Sophie. Allez ! Il reste quatre coups de cravache sur chaque téton !
- Monsieurrrr
- Si tu te conduis convenablement, après tu auras une récompense. Tu mentends ?
- Ouiii. »
La voix est aiguisée, excitée. Il lève la cravache :
« Oui qui ?
« Ouii Monsieur.
- Alors au travail. »
Il enchaînera très vite la flagellation, huit coups secs à la suite, quatre par tétons, dosés pour ne pas la faire souffrir. Elle sest dandinée, puis tordue dans tous les sens, ses genoux ont ployé, elle a poussé des cris stridents, mais de toute évidence, ce nétait que comédie. Lintensité dune exaltation. Maintenant, telle une Pietà, elle a les bras croisés devant ses seins à peine endoloris, les mains reposent sur les clavicules, les doigts fins sarrêtent juste là où commence la délicatesse des épaules ; licône de la virginité dans sa culotte souillée par la pisse, geint, mais sil y a plainte, cest dun manque de caresses. Elle sinterrompt juste pour renifler. Un filet morveux caresse lourlet boudeur de sa lèvre supérieur.
« Tu vois Sophie, ce nest pas si terrible que ça. Souffle. Là
Voilà. »
Ladorable est trop subjuguée pour ne pas obtempérer et docilement, elle se laisse moucher.
« Tu as un peu mal ? »
Dun mouvement de tête, la douce acquiesce.
« On va soigner ça. Tu vas voir. Va chercher le bol de glaçon.
- Hein ?
- Le bol de glaçon sur la table, à côté du vibromasseur. Va vite.
- Vous
Vous
- Quoi ma chérie ?
- Vous allez encore me frapper ?
- Mais bien sûr que non. Que tu es stupide de penser ça. Au contraire, je vais soigner ce petit bobo et après tu auras une récompense. Je te lai promis et je tiens toujours mes promesses. Allez dépêche-toi.
- Mais
»
Il lui suffit de prendre un air sévère :
« Sophie ! »
Et ladorable obtempère.
Bien sûr quelle est un peu inquiète. Il y a la cravache, comme une menace, posée sur la table juste à côté du vibromasseur dont elle ignore la fonction ce qui renforce lincertitude : quest-ce que lhomme va encore inventer. Il sabsente un moment. Revient. Ohh mon dieu, qua t-il dans les mains ? Un tube ?
« On va commencer par la glace. »
Le cravachage des seins, sa tenue humiliante, sa chatte toute mole dans linconfort de la culotte dégoutante, lurine tiède qui sest répandue sur ses cuisses, qui dégorge de ses collants, lodeur de la souillure qui agresse ses narines, ces dégradations déjà consenties, lassigne à la soumission, lui ôte toute possibilité de contestation. Il tient coincé entre deux doigts un glaçon et il de ce prétexte, pour sadonner à des attouchements sans équivoque. Elle tressaute quand la glace brûlante patine sur laréole, fond contre le mamelon, « chuttt ma puce, tout doux, tout doux, lààà voilà, tu vois comme ça te fais du bien
» et en effet la sensation danesthésie agit, sollicite en elle, alors que la douleur disparait complètement, quelque chose comme du plaisir. Ses tétons contentés, la trahissent, ils se dressent ostensiblement et pas rancuniers, remercient celui qui, il y a quelques minutes à peine, les flagellait.
Phil renouvelle lopération et sapplique à provoquer une érection maximale des papilles mammaires. Interdite de parole, mais voulant quand même montrer quelle nest pas consentante, Sophie se dandine pour quil arrête.
Et lui très satisfait du résultat :
« Ça va déjà beaucoup mieux. Mais, tu as encore mal nest-ce pas ? Je vais passer une pommade magique. »
Et joignant le geste à la parole, il enduit copieusement ses doigts dun baume régénérateur et apaisant quil étale sur les éminences. Il pommade généreusement les pointes et avec toute la délicatesse requise, les sculpte sans relâche, sans se presser ni les presser, sans les étirer ni les traire, juste longuement, de bout en bout, il joue avec ces bouts érogènes ; les tétines rougeoyantes ainsi pénétrées de soin deviennent toutes luisantes ; la crème en couche saccumule et progressivement, il étend son geste pour masser sans gêne aucune toute la superficie des seins ; à pleine main il épouse le galbe, soupèse la charnelle rondeur et même la soulève et constate à quel point, elle savère ferme au touché. A mesure que dure les palpations inconvenantes, Sophie se confond dans la honte. Quest-ce quelle est troublante quand elle est troublée.
Elle ne peut pas indéfiniment accepter une telle négation de sa pudeur. Elle se doit de réagir :
« Monsieur
- Quoi encore ?
- Sil vous plait arrêtez
»
Loin de sinterrompre, il reprend le tube, presse une copieuse dose de gel sur ses grosses paluches et les doigts huileux à souhait pelotent et repolotent encore les pis de lexquise génisse.
«
Cest très gênant Monsieur. »
Et lui, dans un soupire sa désapprobation :
" Tu es vraiment ingrate Sophie ! Tout le mal que je me donne pour toi ! Je ne sais pas si tu mérites la récompense. Mais bon, je te lai promise et je tiens toujours parole. »
Elle redoute autant quelle convoite. Il retourne vers la table et exhibe fièrement le manche en plastique de forme oblongue dont le terme est composé dun embout rond en mousse lui-même hérissé de minuscules petites pattes flexibles et souples. Il a dû appuyer sur le commutateur car lengin se met à vibrer légèrement, puis plus fortement ; sans doute le vibromasseur est-il doté dun potentiomètre. Phil teste ainsi quelques secondes le jouet avant de léteindre, pour ne pas user inutilement les piles.
« Cest de loin le modèle le plus efficace ! Tu vas te régaler Sophie. »
Panique à bord :
« Mais quest-ce que cest !!!!
- Cest un vibromasseur ma puce. Ne me dis pas que tu nen as jamais vu ! Celui-là est dune telle efficacité quil procure lorgasme en quelques minutes. »
- Mais nonnn
. »
Elle ignore la nature de lobjet mais na aucun doute sur sa fonction. Alors elle sest accroupie, cuisses soudées avec lintention de ne les écarter pour rien au monde.
Et elle part dans les pleurs :
« Nonn, pitié, ne me z pas
Monsieur
Pas ça. »
« Mais es-tu stupide à ce point ? Ce démon que tu redoutes tant, on va lextirper. Il est tapi à lintérieur de ton sexe, de ton ventre, de ton être. Nous allons le débusquer, le faire sortir
- Je veux pas !!!
- On dirait que tu ne tes jamais branlée ?
- Mais nonnnn.
- Tu ne tes jamais branlée ? Pourtant, la nuit, tu mouilles régulièrement tes draps. »
Outrée :
- Monsieur !!! »
Il prend la cravache en main. Elle se décompose, recule.
« Jure que tu ne tastiques jamais la chatte ?
- Mais non !!!
- Mais cest incroyable ! Pourquoi ?
- Mais parce que !!! »
Il fait siffler la badine dans lair.
« Pourquoi Sophie ? Répond ou tu vas être corrigée.
- Mais
Mais
cest sale... Sil vous plait !!!
- Qui tas dit que cétait sale, Sophie ?
- Maman
Monsieur le curé
- Ils te mentent. Tu ne te débarrasseras jamais de cette envie naturelle, tu dois juste la libérer pour ensuite lapprivoiser.
- Cest pas bien, cest un péché.
- Il ny a pas pire péché que la frustration. Je vais te guider vers le divin.
- Mon Dieu.
- Oui Sophie, je connais la voie qui mène au divin.
- Vous mentez !
- Tu seras punie pour ton insolence ! »
La crédibilité lexige : il lève la cravache. Cest un passage obligé. Elle se tasse, ploie les genoux, se recroqueville comme un embryon, les pieds dans la flaque de pisse.
« Non Monsieur !!!! Pitié !!!
- Qui vas-tu prier pour ne pas être flagellée ? »
Shhiiiiii, Shiiiiiii, Shiiiiii, la cravache cingle lair violement à quelques millimètres des mamelons. Elle est quasi accroupie, bras levés, coudes pliées, mains ouvertes pour se protéger, entre les doigts écartés ses magnifiques yeux implorent la clémence du maître.
« Monsieurrrrrr nonnnnn
« Qui supplies tu ? Qui a tout pouvoir sur toi ?
- Vouss
Ne me frappez pas !!!
- Qui crains-tu par-dessus tout, Sophie ?
- Voussssss
.
- Je suis ton seigneur et maître ?
- Oui
Sil vous plait !!!
- Dis-le !
- Monsieurrrrr.
Dis-le !
- Vous êtes
mon
mon seigneur et maître. »
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