La Belle Des Années Folles - Chapitre 5
Suite du ch4 : Référence : 26144-a2353
Larrivée au ''Carré de dames ''
Pour Jeanne la soirée se prolonge dans sa tête, bien au-delà de la semaine
Elle nen revient pas de cette découverte. Au point que 3 semaines plus tard, elle abandonne son couple de vieux parisiens après leur avoir dit quelle avait trouvé un autre travail ailleurs
Bien entendu il ny a rien de vrai dans cette déclaration. Mais elle en a assez du train-train et désormais le sexe lui trotte dans la tête
Elle en arrive à se masturber plusieurs fois par jour, même en pleine journée dès quelle se sent un peu seule
Une fois même, la petite vieille lui tombée dessus alors quelle sétait retroussée debout devant lévier, et quelle se caressait le clitoris avec le manche de lécumoire
Heureusement la grand-mère qui ne voit pas trop clair, na pas eu le temps de voir ce quelle était en train de faire
Bref, elle prend son congé et la voilà partie chez la fleuriste en bas de la rue où elle se propose pour faire des livraisons
Après quelques jours de ce travail, la voilà qui devient vendeuse-livreuse dans une épicerie Place Clichy, juste à côté de la boîte à partouses où quelques semaines plus tôt, elle a découvert le sexe libéré et à plusieurs
Là, dans son nouveau job, elle voit passer les putes qui font les cent pas devant le magasin toute la journée. Lorsquelle sort de lépicerie pour aller livrer la clientèle, elle les frôle et les côtoie, ce qui ravive ses souvenirs de baise intense et la fait fantasmer énormément. (Photo 1)
Un jour alors qu'elle faisait une livraison dans un bar, elle est remarquée par la patronne. Qui lui propose de lembaucher dans son établissement.
A 19 ans et demi, presque 20, après ces petits boulots, la voici donc entraîneuse dans un bar américain à Pigalle. Le bar s'appelle "Le Carré de Dames".
Il mérite bien son nom parce qu'il y a là 4 jolies femmes toutes entraîneuses pour faire boire le client et un peu plus certains soirs selon le désir de ces dames et la générosité des messieurs.
Ce bar est en réalité un bordel, disons-le clairement. Et pas une de ces "maisons closes" de haute volée, non. Comme nous allons le voir, il sagit plutôt dun bordel de bas étage. Presque sordide. Bien tenu et propre certes, mais dont la clientèle reste un peu quelconque, voire vulgaire !
Voyons dun peu plus près les pensionnaires du moment
La Léopoldine d'abord, une grande fille de la banlieue, qui dépasse le mètre soixante-douze ce qui n'est pas fréquent à lépoque. Elle approche la trentaine, bien faite, une grande bouche toujours peinte en rouge éclatant, une jolie poitrine, de belles jambes longues et élancées dont elle était très fière. (Photo 2)
Et surtout lorsquelle nest pas déshabillée pour des raisons de travail, elle est toujours accoutrée d'un costume de marin qui lui donne un caractère très particulier. Ce costume d'homme, en tout point celui d'un marin avec batave à pompon rouge, col marin à rayures blanches et bleues, lui donne de prime abord un aspect masculin caractéristique. Le pantalon à pont, de marin lui aussi, présente un petit détail dont il sera question plus loin.
Léopoldine, une petite dizaine dannées avant la guerre de 14, a fait des photos coquines avec des photographes professionnels qui se mettaient alors dans le porno, dont la mode se lançait juste avant la guerre. Une mode qui ira ensuite croissant : avec les duretés de la guerre et les horreurs du front, les jeunes hommes qui revenaient en perm, avaient bien besoin de ces photos pour trouver le repos du guerrier. Léopoldine a donc acquis à ce titre, une grande expérience des poses et na plus aucune pudeur pour montrer tout ce qui peut exciter les hommes
Cest la vraie parisienne, gouailleuse, forte en gueule et qui n'a pas froid aux yeux avec les clients et qui va aussi de temps en temps avec les filles, notamment la petite Joyeuse avec qui elle s'occupe volontiers les soirs de disette.
Joyeuse, elle, si elle n'est pas la plus jeune avec ses 24 ans, elle est de loin la plus petite avec son mètre cinquante-six. Un tout petit gabarit mais superbe : bien proportionnée et faite à peindre avec un joli et fin minois. (Photo 3)
Habillée comme une poupée de porcelaine, avec une jupe ou une robe assez courte, mais toujours ample sous laquelle dépasse toujours une large main de dentelles. Joyeuse a quelque chose à la fois d'in, d'innocence, et aussi de très prometteur. Une sorte d'invitation à passer la main sous la jupe
On ne la connait au ''Carré de Dames'' que sous le nom de ''Joyeuse''. Sans doute a-t-elle été appelée ainsi, à cause de son sourire charmant, dont elle ne se sépare jamais.
Il y a aussi la Fernande, celle-là par contre, la quarantaine bien sonnée, ressemble plutôt à un cheval de trait dans les labours qu'à une fille dont le métier est de plaire aux hommes. Peu distinguée, large et assez rondelette, les hanches fortes et le fessier très large. Elle a un relent de la fille de ferme mal dégrossie. (Photo 4)
Pourtant elle plaît beaucoup, à la clientèle du lieu, habituée à des filles un peu rustres et sans chichi. Elle a ce pouvoir d'écarter les cuisses au point que plus rien n'existe plus pour les hommes. Il faut dire que la taille de son clitoris (plus gros que le bout du pouce !) en fait une curiosité
La Fernande a pour particularité davoir servi la patrie comme elle dit. Trois ans de guerre, à larrière certes, mais quand même et pas loin des tranchées et du front. Nous y reviendrons plus loin
Adèle, enfin, la patronne qui déborde largement la cinquantaine et n'est pas la dernière à mettre la main à la pâte d'une façon que nous verrons, mais sans jamais ''monter '' avec les clients, même quand la soirée a été chaude et que le personnel est un peu débordé... Il faut dire qu'ayant commencé dans le métier assez tôt, vers les 13 14 ans, elle compte maintenant pas mal d'heure de vol au compteur et a décidé depuis quelques années déjà '' de ne plus embarquer de passagers '' comme elle le dit, même pour des '' vols intérieurs ''
(Photo 5)
Et puis, depuis peu dans le cercle du bar, il y a la dernière recrue : Jeanne avec ses 19 piges et sa belle tournure de jeune femme épanouie
Rien qu'à la voir, du premier coup d'il, on peut mesurer l'ampleur de sa sensualité et la promesse d'une sexualité rare
Un corps superbe et une poitrine opulente bien faite, sans être trop lourde
De jolies jambes dont la coquine est très fière, et en haut des cuisses, une peau si fine, si lisse, si soyeuse et si délicate, qu'y porter la main c'est à coups sûrs se damner et se condamner à ne plus vouloir toucher à autre chose
Une peau comme il est difficile d'en voir et d'en palper de semblable dans une vie d'homme
Son visage, fin et régulier présente de très beaux yeux clairs qui tout de suite vous accrochent le regard et promettent des nuits sans lendemain
Son ''intimité'', comme lon dit, et que lon devine avenante, la démange bien souvent depuis quelques années et notamment depuis qu'elle s'est fait prendre, bien malgré elle dans le fossé d'un petit bois alors qu'elle avait 14 ans.
Ainsi avec l'arrivée de Jeanne le ''Carré de Dames'' compte désormais cinq femmes. Cest désormais plus quun carré et on devrait lappeler la ''Quinte de Dames''
Dans cet environnement plus débauché que romantique, Jeanne fait figure d'une belle jeune femme, la plus jeune avec ses dix-neuf ans, un regard et un corps que personne ne peut égaler en grâce et en forme, dans ce carré de dames ! Il faut dire que les soirs où elle est en forme et où, comme l'on dit : " les choses partent vite ", plus rien ne l'arrête et elle rivalise aisément avec les spécialités des autres animatrices du lieu.
Cest que nous allons voir au chapitre suivant
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