La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1093)

Conte d'Halloween au Château – Ecrit par Baka15 - (texte amélioré par MDE) - (suite de l'épisode précédent N°1092) -

… matière à multiples orgasmes…

Le lendemain matin après son petit déjeuner, toujours prêt à prendre dans les cuisines, elle repart dans la Grande Bibliothèque, découvrant sur le bureau le même livre qu’elle avait emporté la veille et qui normalement était resté dans sa chambre. Sur ce livre, une note écrite encore à la plume d’oie posée dessus :

‘‘ Continuez à lire cet ouvrage, vous allez continuer à aimer, j’en suis certain…"

Intriguée par le fait que le livre se retrouve au même endroit que la veille où elle l’avait découvert, elle s’interroge pour finalement obtempérer et donc au lieu de retourner dans sa chambre, elle s'assoit devant le bureau, profitant de la clarté qu'offrait à travers les grandes fenêtres, le soleil blanc resplendissant de ce mois d'octobre… Durant plusieurs heures elle savoure page après page l'histoire que lui conte cette formidable Saga, elle se régale surtout des épisodes d’Emma de Fontanges en 1784... Ne pouvant s'empêcher au bout d'un moment de se caresser, et de se donner du plaisir, ses gémissements de bien-être résonant dans l'immense Château par ses cris jouissifs puissants. Durant plusieurs jours elle savoure ainsi l’épais livre que son Hôte invisible lui impose de lire. Jusqu'au jour où à la place du livre qu’elle venait juste de finir tardivement la veille au soir avant d’aller se coucher, elle découvre une note qui lui propose de vivre réellement ce genre de situations D/s. Lui offrant de suivre le plan fourni au dos. Bien qu'hésitante, et comme transportée par ses instincts naturels, elle suit alors les indications, se retrouvant dans le Salon Privé, découvrant plusieurs accessoires de flagellation suspendus à des patères contre le mur, mais aussi une croix de Saint-André, un pilori et multiples instruments de ‘‘’’. Un feu brûlant dans l'âtre de l’imposante cheminée avec devant une véritable et ancienne peau de bête au sol parfaitement conservée.

Un fauteuil Louis XVI en forme de trône se trouvait face à la cheminée avec posée sur son assise une nouvelle note qui cette fois, décrit des ordres :

‘‘Choisir un martinet à poser sur le trône, se mettre totalement nue, puis à quatre pattes, les yeux bandés et se laisser faire, jusqu'à entendre le son d'une cloche‘‘.

Très intriguée, mais avec un feu brûlant naissant au tréfonds de son entre-jambe qui la fait obéir aux exigences de la note. Après avoir choisi un martinet, elle se déshabille entièrement et se place à genoux, nue devant l'âtre. Puis non sans craindre se bande les yeux et se met à quatre pattes. Percevant que le bruit de son cœur battant fortement dans sa poitrine, elle reste aux aguets du moindre bruit trahissant la présence d'une autre personne. Quand soudain, elle sent comme la paume chaude d'une main se poser sur son dos. Aussitôt, instinctivement et apeurée, elle retire le bandeau en se retournant... mais pour ne découvrir personne. La pièce était aussi vide qu'à sont entrée. Il y a qu’elle. Carole se lève ouvre la porte donnant dans le couloir, mais là encore personne. Pas le moindre bruit, si ce n'est les siens. Elle referme la porte, demeurant immobile observant la pièce, se demandant enfin si son Hôte est réelle ou est-ce un fantôme, comme elle le suppose de plus en plus... Partir ?, rester ? ... Elle ne sait plus... Après avoir bien réfléchi, finalement elle semble avoir pris sa décision, se disant que si c’est un fantôme, il ne lui veut visiblement aucun mal, sinon il y a longtemps qu’il lui en aurait fait. De plus celui-ci, l’a nourri et hébergé sans jamais l’agresser ni lui faire peur à la faire fuir... Alors, elle retourne vers la cheminée et reprend sa place à quatre pattes, les yeux bandés, non sans un dernier regarde scrutateur dans la pièce.

À nouveau au bout d'un moment, elle sent de nouveau comme une main douce, caressante, presque rassurante se poser sur son dos. Sauf que cette fois-ci, bien que tremblante, elle ne se laisse pas guider par sa peur, et tout en serrant les poings, se force à demeurer immobile.
La main baladeuse, lente, se met à caresser sa peau en glissant doucement de son dos vers ses fesses. Mais au moment où elle allait atteindre son sexe déjà excité, elle ne peut se contenir plus longtemps et retire son bandeau, se découvrant à nouveau toute seule dans la pièce… La peur l'emportant finalement, elle agrippe ses affaires et sort en courant regagnant le Grand Hall. Sur la porte elle trouve un mot, toujours à la plume d’oie à l’écriture magnifiquement bien formée.

" Pardon ! ... Je ne voulais pas vous effrayer ! ... S'il vous plaît, restez, je ne vous veux aucun mal ! Je devine que vous l’avez compris et que votre peur est plus forte que votre compréhension, mais restez … "

Mais trop affolée, apeurée par ce fantôme, Carole prend à peine le temps de se rhabiller, avant de fuir dehors traversant le grand parc en courant jusqu'à l'autre bout de l'allée avant de s'arrêter à bout de souffle, se retournant vers le Château aux airs grandioses et majestueux, mais assurément hanté. Tremblante autant de froid que de peur… Elle retrouve son scooter comme par enchantement au même endroit que la première fois où elle l’avait laissé. Arrivée à Villefranche/Saône, Carole marche toute la journée dans la ville, s'abritant sous un porche d'une maison quand une averse éclata. Passant devant une boulangerie, son ventre gargouille et elle se rappelle des excellents croissants qu'elle découvrait chaque matin avec bonheurs dans la cuisine du Château. Elle resserre son manteau éprouvant l'humidité et le froid ambiant, regrettant presque la douce chaleur dans le Château. La nuit tombante, elle se blottit contre un arbre. L'idée de son lit moelleux qui l'attendait au Château, la décide finalement d'y retourner autant que de se rappeler avec certitude que le fantôme ne lui veut aucun mal et que d’avoir écouté sa peur n’a pas été la meilleure chose faite. Alors, c’est décidé, qu’elle y retourne au lieu d’aller chez elle se coucher. La nuit de l'extérieur le vieux Château semblait encore plus lugubre.
Elle pousse doucement la porte d'entrée et avance dans le Grand hall. Refermant la porte elle voit une note.

" Merci... Un copieux repas et des vêtements secs vous attendent dans votre chambre... Je savais que vous reviendriez… Et vous savez, que je ne vous veux aucun mal…"

Sans un mot, Carole monte jusque dans ladite chambre, trouvant repas et nouveaux vêtements soit une fine chemise de soie et des dessous très sexy. Elle ne quitte pas sa chambre de toute la nuit et après avoir bien dormi, elle reste aussi toute la matinée dans son lit moelleux, réfléchissant à la situation. Ce n'est qu’en fin d'après-midi qu'elle descend se sustenter aux cuisines, où comme les autres jours un bon repas chaud l'y attendait. Elle se rend ensuite instinctivement dans le petit Salon Privé, comme si une voix intérieure lui commandait de s’y rendre. La pièce était telle qu'elle l'avait laissée, le martinet choisi toujours sur le trône, tout comme le feu dans l'âtre toujours allumé d’une impressionnante bûche de chêne et dont les flammes donnaient au Salon mille silhouettes qui se reflétaient sur les murs. Carole se déshabille complètement et invite son hôte à revenir s'occuper d'elle, cette fois en toute confiance, sans plus aucune peur, en se plaçant ensuite à quatre pattes devant l'âtre nue et les yeux bandés.

Mais cette fois pas de main baladeuse et douce sur son dos, mais une odeur du cuir, puis une caresse sur les paumes extérieures de ses mains des lanières de cuir. Elle tremble encore plus que la première fois, mais plus de peur mais d’excitation pure, sentant son bas-ventre s’humidifier grandement mais aussi percevant les lanières du martinet glisser doucement sur ses épaules, son dos, ses fesses, dans son entre-jambes. Un coup léger percute ses globes charnus, elle pousse un cri plus de surprise, que de douleur. Mais comme si l'être invisible avait eu peur de lui faire mal, plus rien ne se passa pendant un moment. Quand Carole ne put s’empêcher de dire :

- Je vous en prie, continuez.
.., clama-t-elle, s’il vous plait !

Et aussitôt un nouveau coup claque sur ses fesses, suivi à peu d'intervalle par deux autres. Carole gémit sous l'impact et la chaleur qui en résulte sur sa peau douce. Suite à ces trois coups l’excitant grandement, elle ressent à nouveau la douce main se poser sur son dos, et glisser vers sa croupe aux sublimes formes arrondies, puis plus doucement encore vers son mont de vénus, déjà tout humide…

(A suivre…)

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