On The Floor

Oui, certes des fois, je n’écris pas pendant un moment, mais quand l’inspiration est là, le retour se fait au galop… Samedi soir, petite soirée tranquille entre filles autours de quelques bouteilles de vins. Quand soudain, une amie, déjà maman de deux petits bouts me dit « allez, on sort !!! » Je ne me suis pas fait prié car ayant les hormones sans dessus-dessous, sortir chasser, je ne pensais qu’à ça… On retrouve donc un groupe d’amis dans notre QG, et hop, une bouteille de téquila, je ne bois pas trop car je n’aime pas trop ça et surtout je suis en mode chasse. Mode naturelle, petit jean noir serré, un petit débardeur court sport avec un petit haut fluide relevé sous les seins rose fluo, de quoi être à la fois naturelle tout en étant sexy… mon ami gay, m’enlève mon chignon. On danse sur du reggaeton tout se passe bien, mais dans cette boite dont l’entrée est gratuite, il n’y a rien à chasser…

On décide donc d’aller dans une autre boite un peu plus huppé, bien évidemment on y recroise d’autres amis, on entre donc gratuitement… Et là, attention, la boite est énorme, mes yeux fustigent la salle quand tout un coup, aux tables VIP, mon regard se pose sur un beau brun au regard mystérieux. Lui aussi, il m’a vu, on s’observe en esquivant un léger sourire, il y a eu un clic et il ne semble pas être saoul à la différence du reste de la salle… Je rejoins mes amis, et là je vois un frenchie aux tables VIP, sans perdre un instant je vais le saluer, et bien évidemment, il m’invite à sa table… Je suis plus proche que jamais de ce beau ténébreux, va-t-il venir me parler ? Il me regarde, il a l’air timide, pas sûr qu’il fasse le premier pas…en attendant, profitons de la fiesta. On danse, on rigole et d’un coup qui apparait à mes côtés, le beau brun. Mexicain, sans aucun doute, petit pantalon serré, chemise noire légèrement entrouverte, un sourire à couper le souffle, les cheveux mi-longs, noir, une barbe d’un ou deux jours pas plus, il est à tomber.

Il se présente tout de suite : « Hey, je suis Rafa, je t’ai vu entrée et j’ai craqué. En général, je n’aborde jamais les filles en boite, je n’aime pas ce genre d’endroits mais avec toi, je ne sais pas j’ai senti un genre de connexion ». En fort intérieur, “Humm, chiquito, claro, aquí estoy, toda para ti si gustas…” Le ton est donné, il est romantique et mystérieux, waoouuu j’adore… La discussion est intéressante mais la chimie est là, et le désir monte entre chaque chanson. Je commence donc à me frotter discrètement, ses grands yeux bruns me dévorent littéralement, je sens que je pourrais me perdre dans son regard. Je regarde ses lèvres, elles sont parfaites, ses dents d’une blancheur exquise, je n’ai qu’une envie l’embrasser à pleine bouche, je me retiens et le désir monte… D’un coup, je n’en peux plus, et je lui cale un petit smack. Il me dit : « oulà, ça c’est direct ». Je m’excuse, je rougis, merde, j’aurais dû me retenir encore un peu…

Mais à ma grande surprise, je l’ai excitée, avec douceur, il me prend par la taille, et m’embrasse très sensuellement. Après ce premier baiser, je suis complètement sous le charme, hormis le cadre, j’avais l’impression d’être dans un rêve. Les chansons s’enchainent, les baisers aussi, le désir monte, je craque et je lui dis : tu viens chez moi ? Il ne se fait pas prier et on part directement chez moi. Nous entrons, je suis un peu perdue dans mes pensées, il se rapproche de moi, m’embrasse tendrement dans le cou. Malgré son jeune âge, qu’il n’a voulu me donner, je sens qu’il est mature, son regard est imprégné de virilité. Je ne crois pas avoir déjà vu un homme aussi sexy. Je vous assure que nous les femmes nous sommes toutes aussi réceptives aux atours d’un homme : sa posture, son maintien, son odeur… Il m’a regardée droit dans les yeux, comme pour observer son offrande, cet objet tant convoité qui venait de l’inviter chez elle… « 

Sa voix m’intimidait tellement car elle était si sexy, sans la musique de la boite de nuit, je me rendais compte de tout le potentiel de cet homme que je venais de ramener. Avec ces mots, je pourrais déjà m’envoler…Je l’embrasse avec passion. Lui donner du plaisir était la chose qui me semblait la plus importante en ce moment même.

Il a léché mes lèvres avec envie, savourant ce délicieux préliminaire comme une mise en bouche pour la suite. On s’est dirigé vers ma chambre et j’ai surpris son regard admiratif lorsqu’il a découvert mon corps…

Il m’a faite m’assoir sur le lit et m’a écarter les jambes. Il a collé ses lèvres dessus comme aimanté par son parfum entêtant. Il n’en perdait pas une miette, comme d’autres savourent de bons vins. Je sentais sa langue parcourir les moindres recoins de mon intimité.

C’était très troublant de se faire fouiller de la sorte par un total inconnu, comme si finalement, vous perdez une petite partie de vous-même, cette partie qui vous permet d’être dans la retenue, de maintenir les gens à distance, d’être dans le contrôle.

Cette partie-là, je devais l’abandonner. Rafa avait les pleins pouvoirs sur mon corps, il fallait que je réussisse à être dans l’abandon. Je sentais sa langue humide appuyer de plus en plus fort sur mon sexe. C’était très bon, cet homme dont je ne connaissais presque rien savait manifestement parfaitement comment fonctionnait le corps des femmes. Il maîtrisait mon sexe comme un musicien manie son un instrument de musique et ses variations étaient divines. Il commença à m’enfoncer un doigt dans la chatte qu’il porta ensuite à ma bouche. J’ai adoré goûter ma semence. J’en profitais pour lui enlever sa chemise et découvrir ce corps divin, musclé juste comme il faut. Je dégrafais aussi son pantalon et sorti son sexe de son caleçon. J’ai commencé par le masturber puis sans hésiter, j’ai commencé à lécher le bout de son gland et cracher sur son sexe. Le goût de son sexe était exquis tout comme l’odeur de son corps et de ses lèvres. Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il décide de me pénétrer. J’ai voulu fermer les yeux pour savourer encore plus ce moment magique mais il m’a dit « non, regarde-moi dans les yeux ! » J’ai obéi, soumise à ses désirs et à sa cadence. La bouche entrouverte, je le suppliais du regard de m’embrasser, mais nan, il me laissait là, baver de plaisir devant tant de sensations. Son regard pénétrant me laissait sans voix, et je sentais la cyprine s’écouler entre mes jambes, il me faisait un effet fou. Me sentant ainsi, il a finalement cédé et m’a offert ses lèvres, ce rapprochement m’a permis de reprendre le contrôle, car comme vous savez, j’aime dominer. Je sentais alors son souffle chaud dans mon cou, et je me noyais dans ses baisers. Un autre orgasme violent est venu s’emparer de tout mon être.

Il a alors décidé de me mettre à quatre pattes, je me suis cambrée pour qu’il puisse profiter de mes fesses qui en général rende plutôt fou la plupart des hommes. Il est entré en moi avec une facilité déconcertante.

Je faisais tout ce qui était en mon possible pour me détendre, et lui laisser le passage libre jusqu’au fond. Je devais lui être offerte, pas question qu’il se sente frustré. Je voulais qu’il ressente autant de plaisir que moi.

Il a passé sa main sur mes cheveux et les a enroulés autour de son poignet, et à tirer ma tête en arrière. De cette façon, impossible pour moi de lui résister, j’étais obligée d’encaisser comme je pouvais ses coups de butoirs. Il m’a ensuite prise par la taille pour pouvoir me pénétrer au plus profond de mon sexe. Le sexe est devenu hard mais toujours avec un romantisme certain, sans concession, en sueur, ensemble, j’étais incontrôlable il l’a senti et j’ai senti son sexe. je sentais qu’il allait jouir, sa bite se raidissait en moi de manière spectaculaire. J’ai alors décidé de reprendre le dessus, et je me suis enfourné sur sa bite pour pouvoir dominer. Il continuait de me regarder avec ses grands yeux bruns, - je mouille de raconter de nouveau cette histoire-, il me glisse de sa voix ultra sensuelle, qu’il adore me baiser, je sens que je m’envole et lui aussi, sa bite va exploser et ensemble on jouit en même temps, un orgasme fou. Comment est-ce possible qu’un homme presque inconnu rencontré en boîte arrive à un tel contrôle et à nous faire jouir à l’unisson… la nuit a été très courte et ses paroles continuent aujourd’hui encore à résonner dans tout mon être… à quand la prochaine fois ? je me meurs de désir…