Souvenirs - Souvenirs

- Merci Vincent chéri de m’emmener ce weekend à Royan
- Tu me bassine tellement avec ce lieu Julie que je suis obligé de céder
- J’y suis allée l’été dernier avec mes parents et j’en garde un souvenir inoubliable
- Tu me raconteras un jour ?
- C’est personnel…
- Un amoureux ?
- Non, une bonne copine de mon âge avec qui je sortais le soir …
- Tes parents te laissaient sortir seule à dix-sept ans ?
- Du moment que nous ne sortions pas du camping
- Huuummm, il s’en passe des choses même au sein des campings !
- Nous irons danser à la guinguette des jeunes ?
- Je compte sur toi pour me faire tout visiter
- Hoouuuaaais ! et nous nous baladerons dans le camping de nuit pour regarder les étoiles filantes
- Tu l’as fait l’an dernier ?
- Oui …
- C’était bien ? avec des garçons ?
- Je te dirais peut être tout si nous nous marions
- Que de mystères …
Si Vincent savait ce qui s’est passé cette nuit-là dans ce camping il ne m’y aurait certainement pas emmenée … mon cœur est gros lorsque nous prenons possession de notre bungalow pour seulement deux jours, je suis dans ma bulle, mon amoureux ne sait que penser de mon mutisme, je me déride seulement le soir lorsque nous allons vers la guinguette où je dansais avec ma copine l’an dernier …après deux danses et deux bières nous nous asseyons, Vincent semble ne pas apprécier les danses des années 80, trop de slow !
- Tu connais ce minet qui ne te lâche pas des yeux ?
- Où ça ? ah celui-là ? non, je ne le connais pas
- Pourtant lui semble te connaitre, tien, d’ailleurs il vient par ici …
- Bonsoir, je peux vous inviter à danser madame?
- Mademoiselle ! et elle est avec moi
- Oh, pardon …
- J’ai envie de danser Vincent aussi j’accepte l’invitation
Une étrange sensation m’a envahi lorsque j’ai vu ses yeux, sur la piste déjà comble il m’enlace d’office … je me sens bizarrement bien entre ses bras …je sais que Vincent ne nous quitte pas du regard mais je m’en fous !
- Vous vous demandez qui je suis n’est-ce pas ?
- Exactement, nous somment sensés nous connaitre ?
- Plus que tu ne le crois Julie …
- Vous connaissez mon prénom ?
- Tu ne te souviens pas il y a presque un an jour pour jour ici même ? tu dansais avec une fille
- Sandra ?
- Et à un certain moment dans la nuit elle a hurlé ton prénom …
- Peut-être .

..
- Vous étiez enlacée tellement amoureusement que nous pensions que vous étiez goudou
- Nous ?
- Mes copains et moi, nous étions quatre mais invisibles à vos yeux
- C’était mon dernier soir de vacances …
- Je sais... à un moment vous êtes sorties toujours enlacées pour aller vers les aires de jeux, par curiosité nous vous avons suivies, pas très discrètement, finalement vous avez accepté notre présence
- Je me souviens de chaque instant, chaque secondes …
- Alors raconte-moi la suite ?
- Après avoir dansé comme deux filles éprises nous voulions tester l’amour entre filles, les aires de jeux était juste ce qu’il nous fallait, éloignées des regards indiscrets, dans la pénombre et recouvertes de pelouse tendre où nous nous somment allongées
- De nature timides nous avons regardé sans nous approcher trop près, c’était tellement beau de vous voir vous embrasser et vous caresser les seins par-dessus vos vêtements
Je ne cherche même pas à m’écarter lorsqu’un bosse pousse sur mon ventre... sa jambe cherche à s’infiltrer entre les miennes, plus le ‘récit’ de cette soirée avance plus mon slip se mouille de ma rosée intime, j’en oublie que mon copain attend que je revienne vers lui
- Vous avez pris de l’assurance car vous vous êtes approchés de plus en plus près, un de ta bande s’est allongé derrière Sandra épousant ses formes sans qu’elle ne le repousse
- Oui et un autre a voulu faire la même chose avec toi mais tes ruades l’ont découragés !
- Je ne voulais pas, il était trop rapide … de même que l’autre d’ailleurs
- Et puis j’ai tenté ma chance …
- Tu étais différent des autres, plus doux plus tendre, je t’ai laissé m’enlacer par derrière
- Vous ne cessiez de vous embrasser avec Sandra
- C’était pour dissimuler notre embarras et notre envie, j’ai cri défaillir lorsque ta main a caressé ma hanche et fait remonter ma robe
- Sandra était déjà accouplée avec mon pote …
- Nous ne pouvions plus nous embrasser à cause des coups de reins qu’il lui faisait subir !
- Ma jambe s’est infiltrée entre les tiennes
- Comme maintenant … non ! ne te retire pas ! laisse ta cuisse frotter mon sexe …
- Ton sexe je l’ai caressé par-dessus ta petite culotte
- J’ai mis ma main afin que tu ne cherches pas à enfoncer un doigt car tu avais écarté mon slip …
- Je sais …fou de désir j’ai sorti mon membre raide depuis une heure !
- Je l’ai senti se faufiler tout près de ma chatte …
- Lorsque tes cuisses se sont ouvertes j’ai compris que tu te donnais à moi
- Je ne tenais plus ! j’avais tellement envie de toi
- Comme maintenant ?
- Comme maintenant …
- Je me suis enfoncé lentement et complètement dans ton sexe étroit
- Cette queue je la reconnaitrais entre mille car j’avais mis ma main à l’entrée de ma chatte, ta verge glissait entre mes doigts gluants, je l’ai trouvée très grosse !
- Si tu veux la toucher à nouveau je l’ai sortie !
- Mon dieu ! c’est donc bien toi qui m’as déflorée cette nuit-là ?!!!!
- Nous avons fait l’amour longtemps, très longtemps
- Tu as déchargé trois fois en moi et j’ai jouis trois fois aussi !
- Le même nombre de fois que Sandra a pris dans sa chatte part mes potes ! c’est là, en se faisant baiser qu’elle a hurlé ton prénom ! j’ai su le lendemain en voyant mon boxer rouge de ton sang que je t’avais dépucelée
- Et le mien je l’ai jeté aux orties pour que ma mère ne le voit pas, il est peut-être encore dans les fourrés de l’aire de jeux ! c’était complétement irréel, incroyable ! !
- Ce qui est irréel et incroyable c’est que nous nous soyons retrouvés ce soir, car le lendemain je t’ai cherchée partout hélas tu étais partie, pourquoi ne pas m’avoir averti que tu étais vierge ?
- Ça aurais cassé le charme de notre union, mon dieu, il faut que je revienne auprès de Vincent je vais me faire pourrir !
- Ooohhhhnnoooonnn ! ne fais pas cela !
- Ecoute, retrouvons nous dans une heure devant les aires de jeux ?
- Comment vas-tu faire ?
- Fais-moi confiance, a tout à l’heure mon amour !
- Je t’AIME ! mon prénom c’est DORIAN !

- Hé bien Julie tu drague ce mec ou quoi ??
- Boff il est collant ce type, si nous rentrions au bungalow ?
- Pour quoi faire ?
- Devine ? inconsciemment il m’a échauffée les sens et c’est toi qui va en profiter !
- Dans ce cas allons-y vite !
Me donner encore une fois à Vincent c’est le prix à payer pour retrouver l’homme de ma vie, comme à son habitude aussitôt après avoir éjaculé il tombe dans un sommeil de plomb … j’enfile simplement sa chemise pour aller retrouver Dorian qui doit faire les cent pas
- Tu as réussi à t’éclipser ? mais tu as mis sa chemise ?
- Oui et nue dessous ! j’en ai payé le prix fort, excuse-moi mais je dois m’essuyer, j’ai son foutre dans la chatte et plein les cuisses …
- Pas le temps !allons-nous allonger sur la pelouse qui nous as unis l’été dernier
- Je serai bien partout avec toi mon chéri !
Dorian bande déjà comme un âne, il ne fait pas le difficile devant mon sexe rempli du sperme de son ’rival’ il veut accomplir les préliminaires qu’il n’a pas eu le temps de faire l’an dernier … par souci de bien être pour moi il s’est allongé sur le sol et me fait assoir sur sa figure, sa bouche plaquée sur ma fente encore dilatée de la précédente pénétration, je sens mon vagin se vider des substances sexuelles mêlées dans sa gorge
- Mange-moi chéri et donne-moi ta pine à sucer!
Notre premier soixante-neuf est un pur délice, ma choune débarrassée des traces de mon accouplement et son éjaculation avalée j’exécute un demi-tour pour me retrouver bouche contre bouche et sexe contre sexe, je frotte longuement mes lèvres sur ce manche qui a perforé mon hymen, Dorian essaie de me pénétrer en ondulant du bassin, pour mettre fin à ses souffrances je guide sa verge sur mon trou a bite où il s’enfonce dans un râle de délivrance ,je me redresse et entame une sarabande à faire pâlir un puritain, mon amant tire sur mes bouts de seins accentuant mes sensations libidineuses, je jouis bien avant lui , alors il me soulève littéralement plusieurs fois pour me laisser retomber lourdement sur ses couilles pleines, Dorian gicle longuement dans mon ventre, puis sans se soucier de mon confort il me retourne à genoux, je devine aisément ce qu’il veut …
- Encule moi, je suis encore vierge par là aussi !
- Si tu restes avec moi je vais faire de toi une poupée gonflable, disponible à loisir !
- Je veux être ta pute, si tu vois toujours tes copains j’aimerais qu’ils me passent dessus, nous retrouverons aussi Sandra rien que pour toi et moi mon amour
- Je vous baiserais tour à tour pendant que vous vous caresseraient
Ses amis ? Nous les avons rencontrés un par un et ensuite tous les trois ensemble… Sandra aussi, mais rien que pour nous deux, d’ailleurs nous nous revoyons régulièrement, Vincent ? je ne l’ai jamais revu, il est reparti seul le lendemain… nous avons aussi retrouvé mon slip dans les buissons à moitié rongé par la nature, il est accroché dans notre chambre comme un trophée !