L'Histoire De Lexi
A la suite de ma première expérience avec Eric, les érections intempestives s'enchainaient. Il suffisait que je repense, même furtivement, à ce qui s'était passé au cinéma pour que ma verge s'enfle dans le pantalon de treillis. Idem lors de la toilette. Y compris aux douches, pourtant froide !
Le surlendemain, le lieutenant Nicolas me convoqua à son bureau. Après un garde à vous impeccable et une présentation dans les règles, il mordonna la position du repos. Sans rien dire, il me regarda longuement, de la tête aux pieds. Sil eut un regard pour mon entrejambe, il ne sy attarda pas. Après un temps qui me parut long, il lâcha enfin : « Lexi, vous partez outre-mer, en groupement nomade autonome ». Je connaissais vaguement lexistence de ce type dunité, souvent perdu dans le désert tchadien, djiboutien, mauritanien ou autre. Je savais que les groupe partaient des semaines daffilée dans le désert sans y rencontrer beaucoup de civilisation. Cela correspondait assez bien à mon envie daventure. Quelques secondes après, le lieutenant enchainait « puisquune nouvelle ne vient jamais seule, je vous informe également que vous avez réussi votre peloton sous-off. Avec de très bons résultats je dois dire ». Houa ! le compliment nest pas à négliger venant de lui.
Ce faisant, le lieutenant sétait levé et approché de moi : « Il en est de même pour Eric. Jai eu une conversation avec lui et vos activités. Si je comprends bien, vous avez encore pas mal à apprendre pour faire face à toute els situation dans votre prochaine affectation ! ». Après quelques instants, il repris : « Je vous attends ce soir chez moi, on prendra lapéro, compris ! ». Plus quune question, il sagissait dun ordre. Tout en acquiesçant, je pensais « Ça devient intéressant ! ».
Le soir, je me présentais chez le lieutenant François à lappartement quil avait dans la vielle ville. Demblée, il me met à laise « Ici, cest François pour moi et toi cest Lexi, pas de grade entre-nous dans cet appartement ».
Je suis bientôt torse nu et lui le pantalon sur les chevilles. Dun mouvement sec et ample à la fois, il se débarrasse de son futal, dans la foulée il éjecte son slip. Il me dévoile une belle bite dau moins vingt centimètres de long, présentant un bel ovale sur toute sa longueur. Une bite épaisse, bien raide comme mes doigts qui sen saisissent immédiatement le constatent. Moi je suis torse nu, pour quelques instants seulement. Pendant que sa bouche aspire mes tétons avec gloutonnerie, ses mains sactivent à achever de me dévêtir.
Dans la foulée, il mentraine sous la douche, chaude, ce qui me change de celle de la caserne qui est toujours froide. Il me savonne, ses doigts rendu glissant par le cométique glisse sur ma peau avec plaisir. Je sens ses doigts passer dans le sillon de mes fesses, séloigner, revenir et sattarder. La pomme de sa main englobe mes couilles avec douceur. Larrondi de ses doigts épouse la forme de ma verge pour laccompagne sur sa longueur dun doux et tendre mouvement coulissant. Je suis dans un état second. Je ne bouge plus, je me laisse posséder. Petit à petit, ses doigts, un, puis deux, puis trois sans doute, pénètrent mon intimité annale avec douceur, constance insistance, dans une démarche de plus en plus intrusive.
Dans la foulée, il sallonge sur la descente de bain, un grand drap épais, toujours en me tenant fermement. Je suis maintenant à califourchon sur lui sans pour autant être libre de mes mouvements. Je dois dire que je me comporte en amant soumis, plus soucieux dépouser ses intentions que de dicter les miennes. Et ses intentions son simple, après un long moment sans bouger autrement que de mêler nos langues et lui sucer les seins, il laisse sa bite en moi bien raide, bien dure, se faires a place. La douleur, forte au départ sestompe rapidement. Ce nest d ailleurs pas un problème. Je sens petit à petit le plaisir monter en moi. Jusquà une giclée de sperme qui jaillit
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