L'Excitation N'A Pas D'Âge.
Cette aventure avait débuté lors dune réception, dont javais la charge sur son bon déroulement. Je me garderais bien de dévoiler le pourquoi de ce rassemblement. Tout de fois, il y avait pas mal de monde. La collation était à la hauteur de lévénement. Buffet froid, avec pétillant à volonté. Les convives allaient et venaient autour des tables, se goinfrant à sen faire péter la ponce. La cérémonie battait son plein, avec une ambiance bon .
Dans un coin, se trouver Lucette, une habituée dans ce genre de parade. Elle était en train de discuter avec mon collègue Bruno, assise sur une chaise capitonnée. Une coupe de champagne dans sa main droite une assiette de friandises en équilibre sur ses genoux gainés de bas clairs.
Je lavais bien repéré à son arrivée, elle et son visage à la peau burinée, très ridée, avec son regard de vieille vicieuse. Juchées sur des escarpins noirs à talons hauts qui renforçaient le galbe de ses jambes, et allongé de quelques centimètres sa silhouette.
Ils se disaient delle, quelle croquait du jeunot comme dautres croquaient des pommes.
Tiens ! Remarquais-je pour moi-même, elle avait changé de coiffure. Au lieu davoir ramenés ses cheveux en chignon comme elle le faisait tout le temps, ce soir là, ils tombaient librement sur ses épaules. Cela lui donnait un certain charme à sa figure pointue. Fort de constater quelle nétait pas si laide que ça. Elle avait profitait de la douce tiédeur de latmosphère à ce moment de lannée, pour choisir de mettre en valeur sa poitrine haute et pointue au moyen dun chemisier blanc. Un fin collier de perles ajoutait encore une touche de raffinement au buste racé de la mamie. La jupe droite bleu marine lui donnait une allure de première communiante ou décolière attardée.
Pour ne pas passer pour un goujat, je fis les quelques pas qui nous séparé, pour aller la saluer. En lui faisant la bise je me suis permis de me pencher au-dessus de son décolleté.
Le brouhaha des conversations faisait un fond sonore engourdissant. Personne ne prêtait attention à nous. Une discussion réfléchie sen suivis, qui fit très vite place à une autre plus polissonne. Ce qui chez elle était un rituel. Et comme pour donner plus ampleur à son excitation orale, elle se saisissait dun mini éclair au chocolat posé sur son assiette et le porta à sa bouche. Je pris plaisir à voir la pâtisserie entre ses lèvres. Jimaginais mon sexe à la place.
Et pourquoi pas ? Passer du fantasme à la réalité. Ma résolution était prise. Jallais débaucher cette mamie. Juste pour refaire tomber la pression de la journée. Je pris Bruno à lécart et lui proposais un deal.
- Tu veux ta journée de demain ? Lui proposais-je.
- Oui
En quelques mots je lui expliquais ce que jattendais de lui.
- Un quart dheure, tu entends ? Pas plus, pas moins
- Oui me fit-il, en prenant le chemin de la sortie.
Alors quil disparaissait, je me suis approché de nouveau de Lucette. Toujours assise confortablement sur sa chaise
- Le collègue a prit congé, me fit-elle.
- Oui ! Juste pour un moment. Lui répondais-je, ma braguette à hauteur de ses lèvres ourlées de jeunette dans sa tête de mémé. Seconde après seconde, naissait en moi une envie irrépressible de jouir là, tout de suite, au milieu des invités. Le genre denvie qui vous, dévore, qui vous ferez faire nimporte quoi. La même qui illumine vos séances de plaisir solitaire. Lessentiel était quelle ne refuse pas ce que jallais lui imposer. Pas le temps dapprofondir la question que déjà le noir se fit autour de nous. Bien jouer Bruno !
- Ne bouger pas monsieur et mesdames, la lumière va revenir.
Pas le temps de divergé, les minutes métaient comptées. Mon cur cognait dans ma poitrine, Je la pris par les cheveux et lattirai à moi pour quelle me lèche le sexe. Elle ne me prit même pas entre ses doigts. Elle alla directement chercher mon gland avec sa bouche. Jouvrais mon pantalon, le baissais dun coup, le slip avec. Mon cur battait plus fort. Sa bouche était bien chaude, ma queue palpitait entre sa langue et son palais. Elle me prit les couilles entre ses deux mains. Les soupesa, les malaxa, les sentant tourner dans mon sac poilu. Javais limpression dêtre dans une chatte. Une chatte avec une langue. Elle sappliquait. Elle laissait glisser ma queue entre ses lèvres. Mon gland buttait au fond de sa gorge. Elle me donna des petits coups de langue sur le méat, je sursautais.
Pris dune exaltation extrême, je plongeais ma main dans son décolleté. Memparais dun sein que je me mis à pétrir, le pressais vigoureusement. Savourant leur fermeté. Écrasant les pointes bandées entre le pouce et index. Les faisant rouler sous mes doigts. Tout en balançant mes reins au-devant de la bouche gourmande.
En jouissant, je me retins dexprimer mon bien être. Je vous laisse deviner pourquoi ! Elle prit soin dacheva son travail en nettoyant la base de ma queue avec la pointe de la langue. Saoulé de plaisir, je me rajustais, tout en la remerciant pour sa parfaite contribution.
- Il faudra quun de ses jours je te rende lappareil
- Mais quand tu veux ! Si tu ne le sais pas encore, je tapprends que jai toutes mes portes ouvertes pour toi.
La lumière revint pour le plus grand soulagement de toute la salle, qui le fit savoir en applaudissant. Ce que je reconnu étant une ancienne collègue de Lucette passa près de nous, et vint nous faire la causette. Comme par hasard la conversation se fit plus amicale, plus sage.
- Tu as raison, mon garçon, la nature est belle pour celui qui sait la découvrir, avec passion et délicatesse
il faudra quand se revoie pour approfondir la chose. Tu ne crois pas ?
- Je suis à ta disposition. Tu sais où me joindre ?
- Tinquiète, compte sur moi, je le ferais. Je te souhaite une belle fin de soirée.
Les jours passaient et enfin, elle daignait mappeler. Dune petite voix timide, elle me dit :
- Si cela est possible, jaimerais bien te revoir !
- Mais quand tu veux
je désespérais à ne pas avoir de tes nouvelles
- Cest que ses derniers temps
enfin ! Si tu viens ce soir, fit-elle, reprenant le tinte de voix que je lui connaissais. Sache que tu dois mobéir sans hésiter ! Je tattends chez moi, ce soir à 20H00. Jespère que tu ne seras pas trop sage avec moi
jai comme un besoin dêtre comment dire : profané, oui cest ça
pro
fa
né.
- Je viendrais, disais-je.
Jétais inondé de bonheur alors quelle raccrocha. Je restais figé, lappareil à la main. Javais vécu le restant de la journée juste pour ce moment que jallais passer avec Lucette. Javais encore en mémoire son dernier mot, quelle avait bien épelé :
- Pro
fa
né
Comme si elle voulait que ces trois syllabes soient gravées dans ma mémoire. La scène de la réception me revint à lesprit et ça jusquà arrive lheure dit. À lendroit indiqué je sortais de ma voiture et courais jusquà lentrée.
Elle occupait un grand appartement. Trop grand pour une femme seule comme elle létait. Il se situait dans un quartier cossu. Je traversais un hall assez vaste doù partait un escalier en bois dont la rampe était en fer forgé. Qui se mettait à craquer à chacun de mes pas.
Elle me reçut dans une jupe rouge vif, et un corsage blanc. Aux pieds des escarpins vernis.
- Excuse-moi
fit-elle, en sécartant. Je suis trop excitée ! Je ne sais pas ce qui ma pris. Je te jure, cest la première fois que cela marrive.
- Oh ! Ne texcuse pas, Lucette, je suis moi aussi très excité
Lui désignant la bosse que faisait mon érection sous la toile de mon jean.
- Alors ne perdant pas de temps. Il faut battre le fer quand il est chaud. Passant dans la chambre, si tu veux bien, nous y serons mieux
Que fus ma surprise en y entrant de trouver sur le couvre lit normand en menuisier, une cravache et deux sangles déjà arrimées aux pieds du lit, se terminant par des menottes.
- Cela te dit de jouer avec moi ?
Prenant le temps de répondre, je caressais ses genoux joints, ma main remontait le long des cuisses serrées et effleurais le slip humide. Je pressais la vulve à travers le fin nylon.
- Tu tombes bien
je suis moi-même du genre aventurier
Me saisissant de sa main droite.
- Je pense quil faut que je tattache à ce que je vois
- Tu nes pas obliger. Mais bon ! Je préférerais
Avec le premier bracelet, jemprisonnais le poignet de la mystérieuse Lucette. Effectuant la même manuvre pour le second. Elle se trouva en un clin dil immobilisé au pied de son lit. Delle-même, elle se pencha en avant, lestomac reposant contre le devant du lit, mobservant par le biais du reflet du miroir.
Je soulevais lourlet de sa jupe vers le haut, la remontant jusquà la taille, découvrant complètement ses grosses cuisses. Elle portait en dessous une culotte jaune paille, décorée de volutes brodées en relief, qui alternaient avec des surfaces en fines mailles transparentes. Le slip, assez échancré, laissait échapper deux ou trois mèches de poils frisés. Ses cuisses nues étaient dune blancheur éclatante et pas du tout enlaidis par la moindre parcelle de cellulite, ou si peu.
Mes doigts sintroduisaient sous lélastique de la culotte quils firent glisser jusquà ses pieds. Son excitation avait délicatement taché le fond de son slip, de jaune tirant sur le beige. Comme je laurais fait avec un trophée, je lui brandis sous le nez.
- Sens-moi ça ! Dans quel état tu las mis cette sage petite culotte
cochonne !
- Oh ! Oui, excuse-moi
je suis une cochonne
je mérite bien une petite correction, non ! Tu ne crois pas ?
- Je pense que oui
Je lui fourrais sa culotte dans sa bouche. Jinsinuais une main entre les cuisses, trouvais le clitoris et le frottais, observant le visage de Lucette dont le regard chavirait. Puis je me penchais pour me saisir de la cravache. Je fis claquer les lanières sur le bord du lit, avant de lui assainir le premier coup peu appuyé, qui la fit tout de même sursauter.
Vissant les fesses et les cuisses je me mis à frapper à une cadence rapide. Elle étouffa un cri dans sa culotte quelle mordait à pleine dents.
- Sale petite cochonne
je vais tapprendre à faire des cochonneries dans ta culotte
Je te jure que je vais te faire perdre lenvie de la salir. Elle se crispa. Les coups devenaient désordonnés, plus violents aussi.
De mon autre main je me saisis de son sein à travers le tissu, il était dur comme du marbre.
Je le lui en fis part. Elle essaya tant bien que mal dy répondre, mais à cause de sa culotte qui obstruer sa bouche ses paroles étaient illisibles. Je pris alors la peine de le lui retirer et ses paroles fut des plus clair.
- Je te disais que : oui, je bande des seins.
- Et sais-tu pourquoi ils bandent si dur tes seins ?
- Ils bandent parce quils ont envie que tu continus à me punir.
- Et ton clitoris, il bande lui aussi dur ?
Pour le contrôler je glissais ma main le long de son ventre. Elle sécarta du meuble pour me laisser le libre accès.
- Mais oui il bande lui aussi et tu mouilles, comme une cochonne. Fis-je, en lui pinçant son clitoris. Elle avait du mal à respirer.
- Il tarrive souvent de te branler ? La questionnais-je tout en lui touchant les grandes lèvres, puis la fente molle.
Elle sagitait, sa respiration saccélérait.
- Quelquefois
arriva-telle à répliquer, dune voix rauque
- Mais dis-moi, tu as un amant ?
- Je men fou ! Oui, comme ça, comme ça
encore plus fort !
- Tu as un amant
oui ou non ?
- NON
cria-t-elle
Et je me remis à faire pleuvoir des coups de cravache sur son cul déjà strié de rouge. Linsolite passivité de la femme donnait aux coups de cravache un côté excitant qui me rendait fébrile. Sen suivit delle, une jouissance brève mais violente qui la traversait comme une secousse électrique.
Je fus presque suffoqué dêtre témoins dune telle jouissance alors que des coups sabattaient sur son postérieur. Après avoir jeté la cravache sur le lit, je caressais ses fesses boursouflées davoir été si maltraitées. Minsinuait entre elles, dans le sillon poilu brûlé par les coups, descendant encore, pour passer de lautre côté, atteignant de la forêt de poils dans laquelle, je fouillais de nouveau.
- Baise-moi maintenant
je veux que tu me baise
tu entends que tu me baises
- Je préfère ton cul si tu veux savoir
- Oui, si tu veux
encule-moi si cela te fait plaisir. Fais-moi tout ce que tu veux mais fais-moi jouir
Elle poussait si fort que son anus se révulsait entre les poils.
Jempoignais les hanches, avançais mon visage, ouvrais la bouche et plongeais ma langue au milieu des poils noir. Durant un bon moment, je léchais à grands coups la mouille au goût durine, qui coulait en abondance. Je lentendais respirer par saccades, en se trémoussant sur place. En me poussant sa vulve dans ma bouche, pour me gaver de sa chair.
Puis ma bouche gravi létage supérieur. Là où se trouver le petit il ridé. Longtemps, je le pourléchais. Comme toujours le goût mémue. Le sphincter peu à peu sassouplissait sous les percées de ma langue. La vicieuse était cependant plus réceptif de ce côté, mencourageant de sa voix de poursuivre ma caresse buccale, frottant son cul contre ma bouche.
Une jouissance plus tard, je la pénétrais avec douceur et amour. Son cul était très accueillant. Le meilleur endroit de la terre pour mon y loger mon pénis. Le faisant aller et venir dans le boisseau de Lucette. Appréciant chaque frottement. Chaque centimètre carré de sa chair intime, chaque instant passé en elle. Dégustant les vagues incessantes de plaisir que cela me procurer.
Je perçus des petites contractions qui agissaient comme des caresses. Ses soupirs se muèrent en gémissements qui me rendaient fou. Jallais et venais de plus en plus vite dans son anus devenu praticable sous mes ruades. Elle accompagna chacun de mes mouvements pour mieux sempaler sur mon sexe brûlant. Une contraction plus forte me mordait ma verge. Comme laurait fait une bouche édentée.
Jadmirais ma verge qui rentrait et sortait dentre ses fesses. Chaque impulsion mapprochait de la jouissance. Jai joui en regardant ses fesses danser dans le reflet de la glace.
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