Humiliée Vraiment Pour Un Contrôle De La Médecine Du Travail ?
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
On trouve souvent des confessions relatives à la médecine du travail , j'ai gardé un très mauvais et bon souvenir à la fois d'une visite de contrôle qui remonte à une vingtaine d'année. J'était alors chef de service dans un laboratoire pharmaceutique très connu dans une des filiales en province et je devais me soumettre tous les deux ans à une visite de contrôle. Ces visites qui se déroulait à l'extérieur auprès d'une association agréé se déroulait désormais au sein même de la société qui s'était agrandie avec un département médical.
Le jour de la convocation j'avais une certaine appréhension car il y avait désormais une commission avec plusieurs membres qui validait ce contrôle. Je n'avais aucune idée de son déroulement. Normalement il y avait un questionnaire de santé et l'on devait apporter un certificat médical récent mais la procédure ne comportait pas normalement d'examen comme m'avait confié une de mes collègues féminines.
Le contrôle se déroulait dans un bâtiment à part. La personne qui me reçut m'emmena dans une grande pièce avec grande table et des chaises au fond , il y avait une chaise face à cette table et sur le coté des appareils tel un pèse personne et sur une table roulante des ustensiles comme un stéthoscope. Je fus prié de m'asseoir sur la chaise au milieu.
Comme il faisait bien chaud dans cette grande pièce, j'ai enlevé son manteau pour le poser sur le dossier de la chaise. C'était l'hiver, et j'étais habillé chaudement . Je portait une robe cintrée en jersey , toujours attentive alors a être élégante.
C'est alors qu'entrèrent une demi douzaine de personnes , des hommes et une femme qui prirent place derrière la table , de mémoire quatre ou cinq hommes. J'ai blêmis car deux des hommes travaillaient dans mon service .
C'est la femme du groupe qui prit la parole se présentant comme la nouvelle médecin rattachée à l'entreprise.
C'est alors que la doctoresse prononça cette phrase :
"je vais à présent vous examiner aussi voulez-vous bien commencer par vous déshabiller"
Je crois qu'à ce moment là je n'ai pas saisi et lui ai fait répéter :
"Oui, madame vous déshabiller pour que je puisse vous ausculter"
D'un coup et me suis levé :
"Vous plaisantez, pas question, d'autant qu'il y a là des hommes et de plus deux d'entre eux sont dans mon services, qu'est-ce que c'est que ces façons de faire !"
La doctoresse répliqua sur un ton ferme : "je peux comprendre votre embarras, mais cette commission a été élue et mandaté par la direction. Ses membres sont tenus au secret médical ne vous inquiétez-pas !"
"Mais il ne s'agit pas de secret médical mais de dignité de pudeur madame, de plus devant deux collègues " répliquai-je, désignant les hommes en question "je côtoie ces messieurs tous les jours et vous comprendrez qu'il est tout a fait déplacé que je me déshabille même partiellement devant eux !"
La médecin cette fois très énervée me déclara sèchement que je n'étais pas une exception et c'est un des hommes se présentant comme adjoint à la direction du personnel qui me menaça alors à propos de mon emploi. Je connaissais ce cadre de vue, un homme bedonnant dont le visage trahissait surtout l'envie de me voir me dévêtir.
J'ai commencé à paniquer , ne sachant que faire. Et c'est voyant la médecin se lever et venir vers moi en disant fermement : "Assez perdu de temps, je vous demande déjà d'enlever cette robe !" que les larmes aux yeux presque inconsciemment je me mis à défaire le premier bouton de ma robe qui s'attachait jusqu'au col.
Je me souviens que je tremblais nerveusement, évitant de regarder les hommes devant moi, devinant leur satisfaction. J'aurais du refuser et partir. C'était confus dans ma tête parce que je me suis mis à penser à ce que je portait dessous. Comme il faisait froid, j'avais mis un fond de robe plutôt qu'une combinaison. Alors je prenais soin de porter de jolis dessous mais pour mon plaisir et pour entretenir le charme avec mon mari.
Mécaniquement finalement près avoir défait tous les boutons jusqu'à la taille et ouvert le haut de la robe pour la faire glisser à mes pied je sentis que mon fond de robe blanc satiné incrusté de dentelles ne laissait personne indifférent. La doctoresse s'était planté les bras croisés à coté de moi et me jaugeais des pieds à la tête.
Les yeux toujours baissés pour ne pas regarder l'assistance j'entendais le mouvement des chaises comme si les hommes assis devant moi se déplaçaient légèrement pour mieux voir.
Sans ma robe que je tenais encore à la main , je me sentais perdue, dépourvue de toute résistance. Dans me tête je me répétais : tu viens de retirer ta robe devant ces hommes, ce n'est pas possible ! Sans les voir, je sentais les regard appuyés sur ma lingerie qui me moulait au plus prés et j'imaginais que ma poitrine plutôt développée qui tendait la maille satinée attirait toutes les attentions.
Un coup d'il finalement a l'assemblée me montrait effectivement des hommes goguenards écarquillant les yeux tandis que la doctoresse affichait un sourire cynique. Je voyais bien sûr que ces regards masculins se portait sur les transparence de mon fond de robe sous lequel je portait un soutien-gorge à armature couleur chair et mon collant noir.
"Continuez..." dit la doctoresse en allant prendre le stéthoscope. Horriblement gênée, debout et après avoir posé ma robe sur la chaise. j'essayais "Vous pourriez m'examiner ainsi , s'il vous-plait "
"Surement pas, vous enlevez ça , les visite se font en culotte et soutien-gorge mais vous pourrez garder vos collants !"
Son ton n'appelait aucune contradiction , mais je n'ai pu m'empêcher de dire :
"Je vous en prie, vous êtes une femme, vous pourriez comprendre combien ma pudeur .
"Cessez ces simagrées , madame, c'est une consultation médicale et je répète, vous ne serez pas une exception."
Je perçus alors quelques ricanements devant moi, mes hésitations et ce supplice pour ma pudeur devait encore plus les émoustiller . L'idée de m'offrir en sous-vêtements et en particulier à ce Franck et Gérard avec qui je travaillais m'était ment insupportable,. Combien de fois passant dans le service puisque je suis toujours en jupe ou en robe ai-je senti que j'étais déshabillée du regard. Seule femme du service à part une secrétaire de direction proche de la retraite. Comment aurais-je pu deviner ce matin en me rendant ici subir un tel affront et leur offrir ce que seul mon mari pouvait voir.
Pourtant prenant ma respiration, je les ai toisé tous les deux l'air de dire : - et bien cette fois vous n'aurez pas besoin d'imaginer, vous allez vraiment voir - me baissant pour attr la lisière ouvragée de mon fond de robe, car pas d'autre moyen pour le retirer, je me troussais devant eux pour le passer par dessus ma tête.
Un moment aveuglée par le tissus je retrouvais les deux hommes et leurs voisins bien concentrés en train de détailler à loisir mes dessous, mon soutien-gorge chair en dentelle forale et sous mon collant la démarcation qui dissimulait à peine ma culotte gainante assortie au soutien-gorge . Finalement après avoir lâché le fond de robe , debout, mes bras le long du corps je détournais la tête pour ne pas leur montrer le trouble qui me brûlait les joues.
La médecin me demanda d'aller me peser puis me plaçant bien devant la table m'ausculta. Je ne pus m'empêcher de lui dire : "Vous le faites exprès que je sois là devant". Elle n'apprécia pas et répliqua :
"N'insistez pas où je vous fais enlever votre soutien-gorge pour un examen mammaire"
Et la crainte qui me traversa l'esprit se concrétisa aussitôt. La cadre bedonnant qui me scrutait derrière ses lunettes expliqua tout de go que ce serait l'occasion d'entériner un protocole d'examen dans le cadre de cette nouvelle commission de santé au travail qui pourrait concerner les femmes proches de la cinquantaine.
"Et bien vous avez compris , il faut en passer par là.."
J'ai failli m'effondrer au point d'oublier que j'étais en sous-vêtements depuis quelques minutes déjà.
"Vous ne pouvez-pas me demander ça ou alors il faudra me forcer !"
Je fus la première étonnée de la phrase que je venais de prononcer. Un de mes phantasme bien plus jeune était d'être maintenue et parcourue par des mains avides de jouer avec mon corps. Et là exposée en petite tenue j'imaginais d'un coup que c'était bien le désir des hommes certainement en face de moi . Mais n'en avais-pas trop fait ...
"Vous ne voulez quand même pas que je demande a ces messieurs de vous tenir pendant que je dégrafe votre soutien-gorge!"
La médecin ne s'attendait à la phrase que je lui lançait dans la foulée :
"Essayez toujours !"
Et elle me prit au mot sortant c'est vrai du cadre de cette consultation qui avait de toute façon trop dérapée à mon goût. Mais là je reprenais la main. Et figurez-vous qu'elle demanda précisément à mes deux collègues ravis de venir me tenir les bras. Et là peut-être à contrecur car jouant avec ma propre réserve je me suis mis à jouer la comédie.
Alors que les deux , qui s'était précipité, me tenait chacun un avant bras mais se positionnant pour bien mater ma poitrine encore protégée, la doctoresse passa dans mon dos.
Moi je me mis à pleurnicher en me débattant mais pas trop :
"Non pas ça, pas ça , je vous en supplie, pas le soutien-gorge...pas devant eux !"
A la vue de leurs sourires et de ceux des trois encore derrière la table je voyais bien que ça les excitait encore plus.
L'attache de mon soutien-gorge défaite, le doctoresse libéra ma poitrine en tirant le soutien-gorge le long de mes avant-bras , mes seins sortir des bonnets et se balancèrent sous mes contorsions et sous les yeux pétillants des cinq hommes présents à commencer par mes deux collègues qui faillirent même me lâcher devant ce spectacle. J'avais une poitrine bien lourde , certes tombante mais des globes bien ronds aux larges auréoles. Je sentais une excitation piquante dans mon entre-jambe au point que les pointes de mes seins se durcirent aussitôt . J'espérais qu'ils mettent cela sur le compte de la honte plutôt que du plaisir que je prenais a être ainsi partiellement dénudée de force. J'aurais tellement aimé être doigtée par la toubib à ce moment là, toujours maintenue et offrir à ces hommes le plaisir que je sentais imminent sous ma culotte et le collant avec le frottement de mes gesticulations.
Comme Franck à ma droite avança une main pour toucher mon sein, je me cambrai désireuse de sentir cette caresse avide mais la médecin qui me regardai fixement dû comprendre à ce moment là que j'avais joué une drôle de comédie et qu'elle était allée trop loin. En m'humiliant d'abord puis en devenant complice du basculement perverse qui avait été le mien, seule une femme pouvait démasquer ce manège et elle a dû sentit combien j'aurais aimé qu'elle me donne du plaisir devant tous ces hommes, seul excipent à la honte provoquée d'être exposée seins nus et en collants.
"Lâchez-la, nous sommes allées trop loin" voilà ce qu'elle dit puis : "Messieurs je vous demande de sortir, l'examen est terminé, Madame B.... va se rhabiller. Tout ce qui s'est passé ici restera strictement confidentiel, dans le cas contraire je ferais un rapport qui vous impliquera tous et je démissionnerai "
Personne ne répliqua mais en sortant plusieurs regards de ces hommes allèrent de nouveau dans ma direction. J'étais resté debout à côté de la doctoresse, mon soutien-gorge avait glissé à mes pieds, je ne bougeais plus comme groggy.
"Qu'est-ce que vous attendez pour vous rhabiller" me souffla t'elle comme si elle était plus gênée que moi. Mais était-je désormais gênée ?
Dans mon service, les deux compères ne réapparurent que le lendemain et baissais les yeux en me croisant. L'un des deux demanda une mutation rapidement. Seul le cadre des ressources humaines jetait des regards libidineux sur moi les rares fois où je l'ai croisé, mais six mois plus tard l'occasion m'était donné de le rencontrer dans son bureau. En fait j'avais trouvé une meilleure place ailleurs en raison notamment de mes excellents états de services notifiés en cette fin d'année là. Cosignés par l'intéressé en retour à n'en pas douter de ma discrétion comme demandé par la toubib. Et face à lui, la veille de mon départ, je lui lançais :
"Votre femme est loin d'imaginer le nombre de branlettes que vous vous êtes faites en cachette en vous rappelant cette matinée, non ?!"
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