Collection Candaulisme. Vitre Bloquée (1/2)

Depuis dix ans que nous sommes mariés avec Alice, l’envie d’un peu de piment dans notre vie, non, dans ma vie se fait jour.
Nous avons un garçon, Lionel qui a huit ans, à chaque vacances, il prend le train avec mon père ou ma mère qui monte le chercher en région parisienne, pour l’emmener dans leur maison à côté de Bordeaux.
Il adore jouer sur la plage même l’hiver où il court pendant des heures, à la fin du séjour, retour comme à l’allée, surtout mon père qui en profite pour retrouver deux ou trois collègues de beuverie.
Ils travaillaient à la SNCF dans un aiguillage de la gare de Lyon pour les uns ou étaient conducteurs sur trains régionaux pour les autres comme mon père.
Ils étaient tous entrés en même temps dans cette illustre institution après leur service militaire, mais comme roulant il était parti plus tôt en retraite et avait des voyages gratuits.
Mes parents s’étaient mariés sur le tard, j’ai même eu des bruits, on en entend toujours dans les familles qu’il était un queutard, tous les week-ends des filles différentes qui immanquablement finissait dans sa chambre sous les toits.
Il se dit même que mon père dans ces années-là aurait engrossé plusieurs filles et se serait tiré refusant de reconnaître ce qu’il avait fait.
Dites-moi pourquoi dans ces cas-là, il aurait reconnu sa paternité une nuit du 14 juillet ayant levé ma mère dans un bal des pompiers à la caserne de Saint-maur.
Soit elle lui plaisait plus que les autres, ce qui est fort possible à son âge elle est encore fort présentable, soit ce n’était pas le salaud que certains décrivaient.
J’ai toujours entendu dire que la première fois où ils ont baisé la déflorant, j’étais né neuf mois plus tard et que sans rechigner, il l’aurait épousé.

De notre côté avec Alice, c’est dans une fête chez un couple qui fêtait leur première année de mariage que nous nous sommes connus, j’étais loin d’être le tombeur de ces dames qu’était mon père dans sa jeunesse.


Tout au plus trois liaisons, non quatre, j’oubliais la voisine qui m’avait dépucelé le jour où ma mère m’avait demandé d’aller lui payer le prix de la baguette qu’elle lui avait rapporté des courses la veille.
Elle n’avait pas de monnaie et en avait récupéré le matin même.

Moi ce que j’ai récupéré ce sont ses nichons aussi gros que des montgolfières et sa culotte de taille 60 au moins.
Pour avoir un gros cul, elle en avait un, il était énorme, quand j’ai glissé ma verge en elle, j’ignore si je suis réellement entré dans sa chatte ou si mon gland a frotté dans sa graisse, contrairement à Alice, dans laquelle j’ai eu du mal à entrer étant très serré, de plus quand je suis ressorti, ma capote était maculée de sang.
Grâce à cette capote, c’est en pleine connaissance de cause que je me suis agenouillé pour la demander en mariage, elle m’avait fait voir que j’étais le premier et aussi m’avait évité le polichinelle intempestif.
Lionel nous avons décidé ensemble de le mettre au monde, j’ai tout bien fait jusqu’au cordon, mais c’est là dans cette salle d’accouchement que j’ai eu mon premier fantasme concernant Alice.
C’était au moment ou un médecin accoucheur est venu voir ou en était le travail, quand il a été devant sa chatte, j’ai senti en moi que cet homme regardant l’intimité de ma femme me faisait bander.
C’était con, ce n’était qu’un professionnel faisant son travail, mais j'étais marqué, j’avais compris que j’aimais voir ma femme dans des situations insolites.
J’ignorais dans ces temps-là que cela s’appelait du candaulisme, je l’apprendrais plus tard dans ma vie grâce à Internet.
J’ai réussi à refréner ces pulsions surtout qu’Alice est assez stricte concernant le sexe, nous baisons régulièrement une à deux fois par semaine, mais elle m’impose d’être dans le noir.
Seul l’été je distingue mon sexe entrant et sortant quand j’arrive à lui faire l’amour le soleil passant par les volets.
Bref, à trente ans, un jour où elle met fait son cinéma, j’ai craqué.


• Alice, je pense à divorcer.

Elle m’a regardé d’une façon montrant son incompréhension, je suis certain que pour elle tout allait bien, il est vrai que nous ne nous engueulons que très rarement et jamais quand notre fils est à la maison.
On dit toujours qu’un peut être marqué parce qu'il entend ou ce qu’il voit, je l’avais été, car pas un jour mes parents ne hurlaient pas l’un contre l’autre.
Souvent c'étaient les infidélités de mon père qui était la base de la dispute, je l’avais vu, un jour entrer dans un hôtel au bras d’une fille assez jeune et qui devait être une pute.
J’ai eu un manque de clairvoyance quand j’en ai parlé le lendemain à table, j’ai cru qu’elle allait le quand elle a pris un couteau de cuisine qu’elle a fini par lui planter dans la main.
Hosto, point de suture des deux côtés, la lame effilée avait traversé et comme elle était posée sur la table, c’est trouvé cloué.
J’ai cru que ce jour-là, tout allait s’arrêter entre eux, mais je me trompais, leurs engueulades ont redoublé et chaque fois mon père remettait le couvert sur sa main transpercée.

• Tu veux me quitter, mais que vais-je devenir avec ton fil, je n’ai aucun revenu.
• C’est une partie du problème, tu ne fiches rien et en prime j’ai un piquet dans mon lit.
• Un piquet !
• Quand nous faisons l’amour ton exigence d’être dans le noir et de te faire baiser en position du missionnaire me faisant gerber, j’aimerais une chaudasse, une salace dans mon lit et ce n’est pas ton cas.
• Explique-moi, je suis prête à faire des efforts, je croyais que chaque fois que nous faisions l’amour, tu y trouvais ton compte, chaque fois tu jouis.
• Tu rigoles, je veux bien essayer de te garder, mais il faut que tu fasses les efforts que tu viens de me proposer.
• Que dois-je faire ?
• Nous allons commencer par une chose simple, va mettre ta jupe courte en cuir noir avec ton chemisier blanc et tes talons hauts rouges.

• Tu sais que je les ai achetés, mais j’ai pris conscience que j’étais impudique et je ne les aie jamais remis.
• Cette seule fois, à te regarder, j’ai bandé, va t’habiller et revient me voir.

Elle quitte le salon et va dans notre chambre.

• Tu me veux vraiment comme ça !
• Surement pas, tu as mis un soutien gorges, je veux voir tes aréoles en transparence, si d’autres hommes te voient, cela doublera mon envie que tu sois à moi.
• Je crois que nous sommes bons pour divorcer, je n’arriverais pas à sortir habiller comme tu le veux, c’est plus fort que moi.

Je n’ai nullement envie de divorcer, mais là, il va falloir mettre un cran supplémentaire.

• Si nous divorçons, je partirai avec Lionel et tu ne le reverras jamais.
• Tu es un monstre, tient, je l’enlève.
• Soulève ta jupe, j’en étais sûr, enlève cette culotte, nous allons sortir faire nos courses.

Cassée la nana, elle la baisse et la laisse tomber au sol.
Nous prenons notre voiture et nous allons dans notre super marché.

• Mon chéri, c’est drôle, je n’aurais jamais imaginé que d’être nue dans ce magasin me procurerait une telle sensation.
• Tu commences à être une petite femme intéressante, sens-tu comme notre vie se pimente.
• Rouge les piments tellement mon entrejambe s’échauffe.
• Viens, je vais éteindre le feu qui couve en toi.

Nous sommes dans la galerie, les toilettes sont à deux pas que nous franchissons sans qu’elle rechigne, nous entrons chez les femmes, j’ouvre ma braguette et je sors ma verge.

• Suce-moi salope, après je vais te clouer sur ce mur.

Elle a la bouche pleine et ne peut me répondre, elle me regarde et je vois que ses yeux sont remplis d’amour, j’ai été con, il suffisait de lui faire franchir le pas, j’ai perdu dix ans.
Quand j’en ai assez d’être sucé aux portes de l’éjaculation, je l’aide à se relever et je l’embrasse comme jamais je ne l’ai fait, il faut que j’évite de lui faire voir des faiblesses, je suis en train de devenir son mâle dominateur.

Je la retourne et je la plaque au mur comme je lui ai promis, je soulève sa jupe, quelle bonne idée de lui avoir imposée de sortir sa chatte à l’air, ma verge est tendue après la fellation, d’un coup sec, je l’emmanche, à partir de ce moment elle crie sans discontinuer sans ce souvenir que nous sommes dans les chiotes d’un super marché.

Tout va bien, sauf que c’est moi qui lui ait fait des choses alors que je voudrais la voir dans cette cabine sous la verge d’autres, la vision à la maternité a imprégné mon cerveau, je connais un endroit ou je vais lui faire franchir cette étape.

• Monte derrière, on va faire une promenade en voiture.

Je l’arrête à la croisée de plusieurs chemins en terre que nous venons de remonter, j’ouvre la vitre arrière.

• Mets-toi à quatre pattes sur le siège et sort ta tête par la portière.

Je vois tout par le rétroviseur.

• Chéri, il y a des hommes qui approchent.

J’appuie sur le bouton de la vitre, elle remonte, lui bloquant la tête au niveau de sa gorge.

• Maintenant, tu es prise au piège, tu vas sucer tous ceux qui se présentent.

Au spectacle, je suis au spectacle, combien vont venir dans sa bouche, voyant tout par ce petit carré de glace, ils viennent se masturber dès qu’elle a resserré ses lèvres autour de leurs verges.
J’en vois même une qui est d’un noir profond, j’avais entendu dire que ces mecs étaient souvent bien montés, celle-ci ne dérogent pas à la règle quand il éjacule, il expulse tellement de sperme que je le vois couler de sa bouche bien qu'elle ait dégluti.
C’est le dernier qui profitera de sa bouche au grand dam de deux autres gars qui voit leur proie leur échapper quand je mets le contact et que je démarre ma femme toujours la tête prisonnière de la vitre.
Quand nous arrivons au bout du chemin, j’arrête la voiture et je monte à l’arrière, j’ai déjà sorti ma bite et dès que je suis derrière elle, je la pénètre, je n’ai jamais autant bandé…

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