Le Baiser De Tarentula - 6h45

J'aurais du me douter que cette journée allait être spéciale. Dés le réveil, à six heures et quarante cinq du matin, soit une demi-heure avant la sonnerie du radio-réveil, avec ma femme qui m'appelle doucement en  glissant sa main dans mon caleçon:
_ Chéri !
_ Humm, quoi ?

Elle me caresse. Mon sexe se tend. Je me tourne vers elle, agréablement surpris par cette initiative inhabituelle. D'habitude c'est plutôt moi qui la sollicite. Je soupire de plaisir. Je sens que je vais avoir droit a une petite pipe pour démarrer la journée. Rien de tel pour être en forme. Elle me connaît bien cette petite cochonne. Elle sait bien a quel point j'aime ça. Je suis content qu'elle prenne l'initiative alors qu'en général c'est moi qui demande. Son regard se fait coquin et elle me chuchote à l'oreille :
_ J'ai envie que tu me lèche.
_ hein ?

Elle sait que je n'apprécie pas particulièrement cette pratique. J'ai un petit mouvement de recul. Elle accentue la pression sur mon sexe.
_ Allez mon cœur, je demande pas souvent. J'ai trop envie. Je viens de rêver que tu me le faisait.
_ Écoute, je sais pas, comme ça de bon matin …
_ Allez mon cœur, pour une fois... dit-elle en me caressant les couilles.

Cette caresse m’excite davantage, je marmonne vaguement un « Ouais » plus pour le plaisir de ses caresses qu'a l'idée de la lécher mais elle prend ça pour argent comptant. Du coup, je n'ai pas vraiment le temps de réagir qu'elle a déjà retiré sa culotte. Elle retrousse sa chemise de nuit et vient s'accroupir au dessus de mon visage. Elle est de dos et entreprend de me masturber pendant que son sexe vient se positionner sur ma bouche. Dans la pénombre, je peux voir son anus à quelques centimètres de mon visage. Son odeur intime est très forte, entêtante. Sa chatte dégouline, elle la frotte sans retenue sur ma bouche et j'ai du mal à la lécher correctement. Elle sert très fort ma bite mais ne me branle pas.

Elle me dit :
_ Sors ta langue ! Allez ! Encore ! Encore !

J'ai l'impression d'être un sex toy. Son bassin trouve sa cadence. Elle est en train de se faire du bien sur ma langue. Ça me fait bizarre d'avoir cette impression qu'elle m'utilise. Je suis immobile, mon sexe tendu dans sa main, la bouche grande ouverte et la langue tirée. Soudain, elle s'immobilise, son sexe plaqué sur ma bouche. Je sens qu'elle va jouir et j'active ma langue sur son clitoris, certain de la faire jouir, un peu pressé d'en finir. Sa chatte dégouline de plaisir dans ma bouche. C'est vraiment très humide. Je n'ai pas souvenir de l'avoir sentie autant mouiller. Ça me dégoûte de me retrouver la bouche pleine de son « jus ». Au bout d'un moment, il a bien fallu que j'avale. Le goût était super fort. Ma femme haletait de plaisir et sa chatte continuait de « couler » dans ma bouche. J'avalais a nouveau. Soudain, je pris conscience qu'en fait c'était du pipi que j'avalais. Merde ! Qu'est-ce que c'était que ce délire ! J'essaye de lui dire d'arrêter mais, la bouche pleine, je fais : « Hon, hon ! ». Je voudrais la repousser mais elle pèse de tout son poids sur ma figure. Je me tortille. Elle serre ma verge de plus belle et me la tord. Je gémis de douleur alors que la pisse commence à dégouliner le long de mes joues. Elle me dit :
_ Allez avale encore. C'est trop bon.

J'essaye de me débattre mais elle s'en prend à mes couilles et commence à les serrer. Je n'ose pas résister et j'avale, la rage au ventre. Instinctivement, elle a senti que j'avais abandonné. Et soudain, j'ai senti le jet de pisse devenir beaucoup plus puissant. Plus de doute possible ! Elle se soulage dans ma bouche. D'ailleurs, ses gémissement de plaisir témoignent du bien que ça lui fait. Moi je pense a notre lit qui va être souillé. J'essaye d'avaler, mais il y en a trop. Le goût est infect. Je me promet de lui faire payer ça. Les gorgées s’enchaînent et elle commence à me branler. Mon sexe se durci à nouveau malgré moi.
Ce mélange de dégoût et de plaisir est étrange. Puis ça s'arrête. Dans un ultime cri de plaisir, je reçoit une dernière giclée dans la gorge. Elle se relève. Enfin libre, je sort du lit en criant :

_ Patricia ! Mais putain mais c'est quoi ce plan pourri ! T'est complètement tarée !
_ Quoi ! T'as pas aimé peut-être ?
_ T'est conne ou quoi ? Je suis pas un putain de pervers.
_ Allez c'est bon! Laisse tomber, moi je vais déjeuner.

Elle s'est barré et m'a laissé comme un con. J'ai vite filé sous la douche, impatient de me nettoyer de cette souillure. La douche m'avait fait du bien. Je pris le temps de faire ma toilette avec soin, dévisageant mon reflet dans le miroir. J'appréciais mon image. Mon regard bleu acier, ma chevelure blonde un peu trop clairsemée. Mes dents blanches, bien alignées. Je me rasais lentement, prenant soin de ma peau encore bronzée de nos dernières vacances en Australie. J'aimais bien ma mâchoire, carrée et virile. Pas le genre de tête de quelqu'un qui subi ce genre de perversion. Qu'est-ce qui lui était passé par la tête a cette idiote ? J'ai choisi une chemise, un costume et, après m'être habillé, je l'ai rejoint à la cuisine. Elle finissait son café. J'étais un peu calmé. Elle a posé sur moi un regard tranquille et doux, désarmant toute agressivité. Comment cette femme si gentille et si douce avait pu faire un truc pareil ? Ma femme, c'est le prototype de la parfaite petite épouse. Elle est belle, blonde au yeux bleus, toujours bien conservée. Il faut dire qu'elle n'est pas usée par le travail ou par les s (on en a pas). Avec le train de vie que mes revenus lui permette, elle passe son temps à s'entretenir : coiffeur, esthéticienne, gym machin, gym truc, zumba chaipasquoi, yoga, taï chi, ji kong, sans compter son psy, bref, tout un tas de conneries que je lui paye. Quand j'y pense, elle a pas à se plaindre. En tout cas, tout ces trucs lui on permis de rester belle. Son cul m'excite toujours autant et elle suce sans rechigner.
Elle qui est d'un naturel si docile ! Qu'est-ce qui lui a pris de faire une chose pareille ? Je lui lance :

_ Il faut qu'on parle, tu crois pas ?
_ Oui bien sûr. A-t-elle répondu avec calme et assurance.
_ Qu'est-ce qui t'as pris bordel ?
_ Au risque de te surprendre, j'ai simplement fait quelque chose de naturel. J'ai pris mon pied.
_ Tu te rend compte de ce que tu m'a fait quand même ? Tu m'a pissé dessus bordel !
_ Et alors ? Ça t'a pas plus ?
_ Non mais tu me prend pour qui ? Tu le saurais depuis qu'on est ensemble si j'aimais me faire pisser dessus.
_ Tu le sais toi depuis qu'on est ensemble que te sucer de bon matin ça me dégoûte ?
_ Quoi ?
_ Tu vois ! On en apprend tous les jours. Imagine que tous les matins tu ai droit au même traitement.
_ Mais c'est pas pareil...
_ A non ? Explique-moi la différence.
_ Ben... C'est pas sale une pipe.
_ Ok ! Alors si tu devais te retrouver avec du sperme plein la bouche de bon matin ça ne te dégoûterais pas.
_ Tu peux pas comparer.
_ Pourquoi ?
_ Ben... Merde ! C'est quoi cette discussion pourrie. Ça fait des années que tu me suce ça ne t'as jamais posé de problème. Qu'est ce qui t'arrive ?
_ Tu sais quand j'étais jeune, je pensais que c'était « normal » de sucer, que c'était quelque chose de « naturel » et que si je ne le faisait pas ça faisait de moi une mauvaise compagne. Avec les années, j'ai surmonté mon dégoût et j'ai même cru que j'aimais ça alors qu'en fait je m'étais simplement habituée. En fait ce que j'aime c'est simplement toi. Enfin, l'idée de te donner du plaisir, de t'être agréable. Mais depuis quelques temps je me dis qu'il est temps de prendre mon pied aussi.
_ En me pissant dessus ?
_ Si c'est ça qui me fait jouir : oui !
_ Attend attend, c'est pas si simple. Ce matin tu m'a eu par surprise mais il n'est pas question qu'on recommence.
_ Pourquoi tu est si réfractaire ? Avec le temps tu pourrait bien finir par y prendre du plaisir.
Ce matin tu t'est bien laissé faire et t'as l'air d'oublier un peu vite que Popol il battait la mesure. Toi aussi tu peux prendre du plaisir à m'en donner comme moi j'en ai pris pendant des années à te faire jouir.
_ Oui heu... comme ça, ça a l'air compliqué. Tu peux pas me forcer à aimer un truc aussi dégueulasse. Et puis ça te viens d'où ce délire ?
_ Tu sais les fantasmes au début on en a pas ment conscience et puis un matin, ça s'impose à toi. Ma psy m'avait bien dit que ça arriverai et que quand ça serait le cas que je devrais les respecter et ne pas les repousser. Et que, si tu m'aimais vraiment, tu les accepterais toi aussi. Alors au final la question c'est : Est-ce que tu m'aimes vraiment ?
_ Sérieux Patricia ! Depuis le temps, tu sais bien que je t'aime. Ta psy elle t'a fourré des idées tordues dans la tête. Tu ferais peut-être bien d'en changer. De toute façon, si c'est pour te faire faire des trucs comme ça, je crois que j'ai mon mot à dire. C'est quand même moi qui paye ! Comment elle s'appelle déjà ?
_ C'est Sophie DENNAC. Pour info, c'est la meilleure psy de la ville.
_ Ça reste à voir. Si un jour je la croise j'aurais deux mot à lui dire à celle-là !
_ Et ça te ferais beaucoup de bien ! Bon je file à la douche, je dois être partie dans une heure.
_ Tu fais quoi ce matin ?
_ Je vais à la salle de sport.
_ Putain, la vie est belle !
_ Oui c'est ça ! Passe une bonne journée toi aussi mon chéri et travaille bien.

Elle est partie se préparer pendant que je m'envoyait le petit dej' en vitesse. Non que j'étais pressé d'aller à l'usine, (J'arrive quand je veux c'est moi le patron) mais parce que j'avais envie de me tirer vite fait pour changer d'air. J'étais vert. Qu'est-ce que c'était que ce délire. Elle croyait sérieusement que j'allais accepter ça ?


Plus tard, dans ma voiture, en allant à l'usine, je repensait à ce qu'elle avait osé me faire et avec quel aplomb elle avait assumée. J'allumais une clope, espérant que ce sale goût dans ma gorge finirait par partir. J'avais eu beau me brosser les dents et déjeuner, j'avais toujours des relents de pisse qui me remontaient dans la gorge. Putain ! Et elle croyait recommencer ? J'ai pas épousé une femme comme elle pour me faire traiter comme ça ! Voilà que je songeais à me séparer d'elle. Merde ! Quelle guigne ! Jusqu'à présent tout ce que j'avais entrepris m'avais souri. Une entreprise prospère, un mariage réussi, belle maison, belle bagnole,... belle femme ainsi que des « a cotés ». D'ailleurs j'avais encore les couilles pleines. A mon tour de prendre mon pied. Cette garce de Patricia ne m'avait même pas fait jouir. La petite Sylvie allait y avoir droit. Ma jolie secrétaire. Petite blonde, assez effacée mais toute mignonne. Elle n'avait pas résisté longtemps à mon sens de la persuasion celle-là. Aujourd'hui, elle suçait sur demande. Je commençait déjà à bander en songeant a la grosse éjaculation que j'allais lui envoyer au fond de la gorge. Je devrais peut-être me laisser aller à lui pisser dans la bouche à elle aussi. A cette idée là ma bite se fit encore plus dure. Au fond peut-être que de tout ça allait ressortir quelque chose de pas mal ? Ça devrait-être bon de se soulager sur la figure de cette petite salope de Sylvie. Patricia, malgré ce qu'elle m'avait fait, j'avais du mal à m'imaginer le lui faire, comme si c'était devenu impossible, complètement incongru. C'est marrant, alors que j'aurais du avoir envie de me venger, j'étais incapable de m'imaginer lui pissant dessus, comme si elle était devenue plus grande dans mon estime. Sylvie par contre.... Ouais la petite Sylvie si douce et timide. J’allais lui présenter la chose comme une punition, je trouverais bien un prétexte. Avec le travail, je trouverais bien un truc. Et puis il y avait cette chienne de Gaëlle. Celle-là, elle était prête à tout pour me plaire. Sur les trois c'est bien celle qui me suçait avec le plus d'entrain. Je l'avais logée dans un de mes appartements pour un loyer dérisoire. 39 ans, divorcée, espérant que je quitte ma femme pour elle. Elle pouvait bien croire autant qu'elle voulait cette idiote. En attendant, elle se pliait en quatre pour me satisfaire même si, ces derniers temps, elle se montrait un peu revêche. Elle avait dû capter que je ne me mettrait jamais en couple avec elle quand bien même je quitterais ma femme. Mais j'étais sûr qu'elle aimait ça, que je la traite comme une pute. Une pute gratos ! C'est bien ce qu'elle était est au fond. Avec un beau petit cul en prime. Ce cul, bordel ! Avec elle j'avais découvert les joies de la sodomie. Elle ferait pas la difficile bien longtemps. J'allais me soulager sur son joli minois en la traitant de salope ! Ça serait bien fait pour sa gueule, ça lui apprendra à être aussi conne et a croire qu'un mec comme moi puisse se mettre en couple avec elle. Je me laissait aller à mes rêveries érotiques, m'imaginant libéré de ma femme et jouissant pleinement de la vie. J'arrivai ainsi à l'usine, dans un bien meilleur état d'esprit qu'en quittant la maison, s'il n'y avait encore eu ce sale goût...

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