La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1095)
La Comtesse et son clitoris Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
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Tu devrais passer, jai trouvé une femelle
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- Viens je te dis
(Il raccrocha) - Du vin ordonna-t-il !
Je le resservais encore et encore mais javais limpression quil le buvait comme si cela avait été de leau
Il marchait droit, sans aucun problème. Tout dun coup, il vint vers moi, et dit :
- Viens membrasser cocotte !
Il sentait fort le vin, et comme je ne venais pas assez vite à son goût, en une seconde, je vis la main se lever, je me protégeais de la gifle qui arrivait mais cest sur mon sein que son énorme « paluche » sabattit, le faisant tomber sur le bas de mes côtes. Comme je criais :
- Tais-toi donc la femelle, tas pas compris que tu dois obéir ? Et vite en plus
Ici ce sont les mâles qui commandent
Alors que je touchais mon sein meurtri, je ne pouvais faire autrement que de lembrasser sur la bouche quand il attrapa, de sa grosse main, mon menton pour accoler ses lèvres buccales aux miennes
Pouah !, me pensais-je
Il était bien plus grand que moi aussi je dus me mettre sur la pointe des pieds pour arriver à sa bouche, tandis que lui, me saisissant les tétons, les étirait vers lui ou alors, les enfoncer profondément en mes seins, les lâchant ensuite le temps quils ressortent et ainsi de suite
- Tu as un beau cul, ma salope
- Merci Monsieur, répondis-je tentant naïvement de lamadouer
- Viens par ici ordonna-t-il !, Lève tes bras, salope !
Je levais mes bras et les gardais ainsi
Il allait et venait, repartait, revenait semblant chercher quelque chose, mais quoi ? Enfin revenu, je ne bougeais toujours pas et alors que jallais tourner la tête vers lui, deux puissantes mâchoires sabattirent sur ma tête, cétaient ses doigts qui mimmobilisaient me faisant comprendre de ne pas bouger.
- Cest toi, Jules, tu as bien fait de venir
- Cest elle ?
- Ben oui, qui tu veux que ce soit ? Jtai dit que javais trouvé une femelle
Le Jules en question (daprès sa voix) devait être plus jeune et tournait autour de moi, sa main touchait mes fesses en passant
- Mince, tu las bien marquée, dit-il
- Ouais ! Je lai travaillée un peu la belle, ça lui ramolli le cuir
Tes venu seul ?
- Non, les autres arrivent
- Ah, super, on va bien rigoler
(Les autres, me disais-je
imaginez la suite de mes pensées
)
- Elle est pas mal la petite, ajoutait Jules, qui déjà se frottait à moi
Mais pourquoi tu las attachée, Simon ?
- Pardi, pour pas quelle séchappe et pour te faire une surprise aussi
en plus javais envie de la caresser un peu comme tu vois
- Tu devrais la détacher
- Tu crois ?
- Oui
Lhomme, Simon donc, défit la corde et mes poignets, et Jules enleva le bandeau.
- Tu es belle, la miss
- Merci Monsieur répondis-je.
- Demande-lui si elle suce bien la garce, reprit Simon
Je ne répondais pas, et passant à côté de moi, une formidable gifle sabattit à nouveau sur moi
- Simon, ce nest pas comme ça quon parle aux dames, dit Jules
Et il ajouta - Montre-moi comment tu suces la belle
Malgré mes yeux implorants, je compris que cétait peine perdue, aussi je me mis à genoux tandis que Jules dégrafait son pantalon exhibant une superbe bite, de belle taille et dune raideur prometteuse, le tout surmonté dun gland volumineux et bien décalotté. Je commençais à approcher ma bouche, à lécher ce sexe, à tenter de le prendre en bouche, pour cela il me fallut ouvrir plus grand les lèvres, et je commençais une fellation comme je savais les faire avec mon peu dexpérience en la matière
Lentement, avec méthode, je descendais de plus en plus sur la tige, avalant de plus en plus profondément la bite dans la bouche, tandis que ma langue la plaquait contre mon palais. Je pompais ce sexe qui sentait bon lenvie, et peu à peu, les mains de Jules posées sur mes joues, me caressaient avec gentillesse et respect
Alors que je pompais allégrement cette grosse verge, la porte dentrée souvrit et 4 hommes ou plus firent leur entrées, tous des chasseurs, me pensais-je en écoutant poser fusils et besaces et à les entendre parler quils étaient tous parés pour la battue aux sangliers au petit matin. A peine arrivés, ils soccupèrent de moi, nullement surpris par ce qui se passait. A lévidence, Jules les avait mis au courant et demandé de venir chez Simon le plus tôt possible avant la battue, quil y avait déjà une petite femelle à soccuper...
- Bouge ton cul, salope, branle-toi seule quon te voit à luvre, dit lun des gars sitôt arrivé, tout en se déshabillant
Je suçais Simon et Jules en même temps.
Des queues sortaient, des braguettes, agitées par les propriétaires, les bites se frottaient sur mes joues, mes épaules, tandis que je poursuivais accroupie, mes mouvements déhanchant mon bassin tout en me branlant et suçant. Peu à peu, mes envies commencèrent de massaillir, un gars se coucha par terre, entre mes jambes et commença de me lécher, mordiller, aspirer le clitoris, ses gestes me donnant un fameux coup daccélérateur orgasmique. Enjambant son corps, je mempalais alors sur cette verge dressée au plafond, mes coups de reins devinrent plus vigoureux, Simon jutait comme une citerne qui se vide dans ma bouche à ce moment-là
Dun coup de pied rageur, il me repoussa ce qui me fit choir sur le sol, perdant le manche dans ma chatte
Un gars me prit par le bras, me leva et me posa sur la table, cuisses relevées très haut, que je devais tenir moi-même. Mes fesses sur le bord de la table, étaient présentées à la vue des hommes. Un des hommes se jeta sur moi, mempala sur sa grosse verge dune incroyable épaisseur et longueur et commença un ramonage (cétait son mot) en règle de mon cul par de puissants coups de boutoirs très virils à grands coups de reins
Une véritable saillie anale et bestiale
Les autres se branlaient sur moi
- Elle aime ça la salope ! Dis-le que tu aimes ça !
Des claques tombaient sur mes fesses, mais cette bite qui avec art me travaillait le fondement, me mettait en rut, je devais lavouer et le fit sans retenue.
Des oh ! des ouiii ! commençaient démerger de ma bouche tandis que je me trémoussais sur la table, je pris même au hasard deux bites proches de ma main, les attirant à ma bouche goulue, en suçant une puis lautre
Je devenais une salope au sens réel du terme, et cette bite qui continuait de me travailler si merveilleusement, en profondeur mon cul en feu
cette bite pas pressée de se vider
Soudain, surprise, lhomme qui me baisait se retira, laissant la place à un de ses copains que je branlais
et qui entrant en mon anus dilaté, je mexclamais, comme affamée de sexe :
- Ahhh ouiiii encore !
Encouragée par mes aveux, la nouvelle bite se mit en action et à nouveau, je me mis à perdre la tête, me lâchant complètement
Les six mâles (Simon, Jules et les quatre autres chasseurs arrivés après Jules) me prenaient les uns après les autres, je branlais, suçais, avalais, recevais, et jaimais ça
Puis, lun dentre eux dit :
- Et si on la sortait dans la forêt
!
Là, la peur me prit, mais comme je voulais le dire :
- Ta gueule la salope, tu nas pas voix au chapitre
Sitôt dit, sitôt fait, en lespace de quelques secondes, je me suis retrouvée la laisse rattachée au collier et me voilà, poussée, tirée vers la cour de la ferme, les pieds nus sur les gravillons, alors que je perdais du foutre entre les cuisses, nous avancions dans un chemin de terre, jusquà un petit bois ou je fus attachée par les poignets, suspendue à une branche darbre.
(A suivre
)
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