Claire3, Le Mec De Cité

A 36 ans, il m’est arrivée une aventure que je n’aurais pas imaginée. Toujours en couple avec Vincent et toujours autant amoureuse, nous étions dans une période calme. Quand je dis calme, ça veut dire que nous faisions l’amour qu’une ou deux fois par semaine. Nous étions au printemps mais le temps était au beau fixe. Je venais d’apprendre le décès d’un collègue d’un accident de moto.
Le midi, lors de la pause déjeunée, j’allais dans le parc en face du bureau m’assoir sur un banc. Il m’arrivait de pleurer en pensant à lui. Ce jour-là, un jeune homme du quartier est venu m’accoster. Pour moi, c’était un gamin d’un genre que je ne fréquente pas. Jogging, maillot de foot, casquette, l’archétype du mec de cité. Il m’a d’abord demandé une cigarette que je lui ai donné, puis s’est assis la fumer à côté de moi. Il a entamé la conversation mais je ne l’écoutais que d’une oreille. Je voulais être seule. Voyant que je ne m’en débarrasserais pas facilement, j’ai tourné la tête vers lui et pris part à la conversation. C’était drôle sa façon de me draguer comme si j’étais une nana de son âge. Il a réussi à me divertir, me sortir de cette tristesse qui m’envahit depuis quelques jours, j’ai même ri.
Pour lui ça signifiait sûrement la possibilité d’une ouverture.
Je n’ai pas réagi lorsqu’il m’a caressé la joue mais l’ai repoussé lorsqu’il a tenté de m’embrasser. J’ai été surprise que cela ne me déplaise pas d’être draguée par un jeune homme à peine majeur. Il changea d’attitude. Maintenant il me faisait du rentre dedans en posant sa main sur ma cuisse. J’ai laissé sa main car ça me chauffait le bas ventre. Puis subitement, il m’a pris la main et m’invite à marcher un peu. Il insiste pour me tenir par la main. Je cède puisque ça n’engage à rien mais je sais bien ce qu’il a derrière la tête. En ¼ seconde, mille choses me traversent l’esprit. Ce qui en ressort c’est le besoin d’évasion de ce monde cruel qui m’a retiré un collègue, un ami.

Je l’ai alors suivi sans aucune résistance.

En quelques minutes, me voici dans sa chambre. L’ayant suivi sans protestation, j’ai cédé à son baiser. Il a baissé son jogging et posa ma main sur son sexe qui me parue d’une belle dimension e. Je l’ai branlé le temps qu’il me retire mon haut. Puis il m’a regardé et m’a appuyé sur les épaules pour que je m’agenouille.
« Aller la bourgeoise suce moi »
Avec ma jupe moulante, il a fallu que je la remonte pour pouvoir me baisser. Je n’ai pas résisté à le prendre en bouche, à le lécher puis le sucer. C’était la première fois que je taillais une pipe à un mec circoncis. J’ai plus d’expérience des nanas qu’il se tape d’habitude et il me disait qu’il appréciait.
« Putain, tu suces bien. Ouais, vas-y, continue »
Ensuite, il m’a couché sur le lit en retroussant ma jupe. Entre mes cuisses, il a écarté ma culotte et m’a léché. Ce n’était pas divin mais suffisant pour me faire mouiller.
« Eh ben, tu mouilles ma salope ».
Il a mis un préservatif et avec un grand sourire s’est allongé sur moi.
« Je vais bien te baiser maintenant »
Il a pris en main son sexe et à peine mit à la bonne place, s’enfonça de toute sa longueur. Je poussais un cri de surprise puis ses va et vient me firent décoller. Il baisait vraiment bien pour son âge
« Tu vois, t’aime ça ».
Lorsqu’il changeait de position, avant de me reprendre, il se faisait lécher la bite, les couilles et moi je voulais lui rendre le plaisir qu’il me procurait. Plus il me disait qu’il me défonçait, que j’étais une bourgeoise bien salope, plus j’éprouvais du plaisir. Il me maltraitait mais j’aimais ça.
Il me prit en levrette et c’est là qu’il mit un doigt dans mon anus.
« Une belle salope comme toi va aimer que je te mette ma bite dans ton cul ».
C’est bien ce que j’attendais mais j’ai fait celle que ça rebutait. Je lui alors demandé de ne pas faire ça.
« Parce que tu crois que je vais me gêner ».

Il s’est introduit délicatement et fait 2, 3 lents va-et-vient Puis, il a accéléré pour finir par ne pas me ménager. Mes plaintes m’ont trahi et il a pu s’apercevoir que j’aimais ça.
Il a libéré mon anus, ôté son préservatif et remis son sexe dans ma bouche.
« Maintenant que je t’ai bien défoncé, tu vas me finir avec ta bouche ».
J’ai la bouche ouverte, la langue tirée et lui se branle au bord de mes lèvres. Lorsque le premier jet jailli, j’ai baissé la tête et me suis tout pris sur le visage.
« Putain, les bourgeoises sont moins prout-prout que les minettes du quartier. T’es vraiment bonne et si cochonne. Je remettrai bien ça, moi. »
Il fallait que je retourne bosser. J’ai fait un brin de toilette avec des lingettes, me rhabilla et le laissais sans même connaître son prénom. Le soir j’ai tout avoué à Vincent qui a mis 3 semaines à me retoucher. C’était pour moi, la pire des punitions.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!