La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1096)
La Comtesse et son clitoris Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
Quand Simon dit, à son tour :
- Si on lemmenait au mas du Grand Bois, ils sont équipés là-bas ! Ils ne diraient pas non, eux et surtout Lui !
- Ouais, supère idée !, Oui Il sera content, répondirent les autres
Nous voilà revenus dans la ferme, un moteur de voiture démarrait, on ouvrit le coffre :
- Grimpe là dedans, ordonna Simon
Je montais dans le coffre qui se referma sur moi
Les portières claquaient, la voiture se mit en marche. Nous roulions depuis longtemps et je commençais sérieusement à minquiéter
Quand enfin la voiture ralentit
puis le moteur sarrêta. Jentendais des voix nouvelles, des pas qui couraient, et le coffre souvrit enfin ! Jécarquillais les yeux, passant de la pénombre à la clarté des projecteurs inondant lendroit de leurs lumières
On me faisait sortir du coffre, javais les cuisses luisantes de foutre, un homme que je navais jamais vu prit la laisse et me fit sortir
- Ah oui, superbe cocotte ! On dirait une belle salope !
- Ouais, quelle poule, dit un autre
- Ah enfin ! Une femelle avec des seins menus, comme je les aime, dit un troisième
- Simon
Merci pour le cadeau, on va sen occuper tu verras, tu restes avec nous bien sûr ?
- Ouais, les mecs, on reste bien sûr
Une voix plus puissante se fit entendre :
- Amenez-moi la femelle !
Les voix se turent ! Seule La Voix emplissait lendroit ! Quelquun prit la laisse et me tirait comme sil ne fallait pas faire attendre la Voix ! Je tentais de suivre, mes petits seins ballotaient, ma vulve perdait les foutres qui ostensiblement coulaient encore entre mes cuisses
Les projecteurs me suivaient tandis que dautres se fixaient à lentrée de la majestueuse demeure, fortifiée. Jétais surprise du nombre de personnes présentes, beaucoup dhommes, mais des femmes aussi
Alors, quentourée par cette meute, tirée pas la laisse, javançais, deux gros chiens arrivaient vers nous, mentourèrent, me reniflaient entre les jambes, et nous accompagnèrent jusquà la Voix.
- Amenez-là, devant moi ! (Poussée, tirée me voilà devant lhomme) - A genoux salope !...
Il se leva lentement, le silence se fit
Il vint vers moi, posa son index sous mon menton pour me faire relever la tête vers lui
Il me fixait intensément !
- Toi, dit-il
toi
je te veux
- Préparez-là ordonna-t-il !
Immédiatement je fus emmenée vers un poteau, attachée bras en lair et deux hommes aux airs de sadique arrivèrent, torse nus, armés chacun dun fouet. La troupe entourait la scène, et les fouets entrèrent en danse
.. Ce fut un très long moment de fouet, sur lensemble du corps, je dansais, tentant déviter les coups mais ny arrivant pas, tantôt sur un pied, tantôt sur lautre, les coups arrivaient toujours à leurs buts
Je sentais mon corps brûlant de partout, lexcitation menvahissait totalement autant que la douleur du fouet
Je mouillais beaucoup mais je ne tenais plus sur mes jambes, ma chatte dégoulinait de cyprine. On me traina ensuite, presque portée vers une cave, plus geôle quautre chose, au centre de la cave, un appareil dont je comprenais immédiatement lusage
- A quatre pattes la salope de chienne !
Immédiatement jobéis, très excitée et on plaça des godes lun sur mon anus, lautre à la chatte, tandis quau clito était fixé un vibro. La machine se mit en marche, le vibro entra en action, doux au début puis rapidement plus fort, lanus était tandis que la chatte coulait encore. Les deux godes, mus par la machine ? commençaient leur uvre, en cadence. Quand lun entrait, lautre sortait, tandis que de temps en temps, les deux, en même temps senfonçaient en moi synchronisés, puis en alternance et ainsi de suite. Travaillée comme je létais, sans aucune humanité, avec la séance de fouet, mes forces déclinaient rapidement, mais cela nempêchait pas mes instincts de salope lubrique de massaillir vigoureusement, encore et encore.
- Je crois quelle est à point, dit un homme venu vérifier comment jétais excitée
Je suis alors relevée, abandonnant les ustensiles de dressage, tenue par le collier, je suis emmenée, trainée devrais-je dire, devant celui qui semblait le chef, le gourou devrais-je dire, tant il me semblait quen sa présence, le reste de la troupe lui manifestait une quasi dévotion.
- Mettez cette salope en position ! ordonna le Maître des lieux
Immédiatement, plusieurs hommes, aux torses nus, pantalons de jeans, bottes, crâne rasé, se saisirent de moi, et me firent me mettre à quatre pattes, sur une espèce de scène
Le chef, assis sur son trône, regardait lassemblée, tandis que les « fidèles », attroupés et respectueux, chantaient des mélopées
Sur un claquement de doigts, une vingtaine dhommes, nus se présentèrent, sous les cris des spectateurs déchainés, et une dizaine de jeunes filles arrivèrent par la suite, nues également et portant toutes collier et laisse. Un bandeau fut posé sur mes yeux, me plongeant dans le noir absolu
Excitée par les appareils, je mouillais encore comme une truie en rut, de ma chatte écartée, sécoulait des paquets de cyprine, en longs filaments translucides, qui finissaient par tomber entre mes jambes
Clitoris sorti de sa gangue, complètement décalotté, il remuait tout seul, tant javais envie de jouir
Même mon cul, ouvert, semblait appeler les queues comme suppliant de le prendre
javais le cul en feu et mouillé de surcroît
Une partie du groupe de la communauté, tapait sur des tam-tams, et le rythme des tambourins devenait lancinant, envoutant même, et propice aux débordements sexuels. Tandis que je ne voyais rien, je sentis en revanche, beaucoup de mains qui touchaient mon corps, mon dos, mes reins, tandis que dautres me pressaient les tétons, les étiraient vers le bas, les allongeaient, dautres encore, entraient dans ma vulve, sans précaution aucune, me fouillant honteusement jusquau fond de ma chatte, ressortaient, sessuyaient sur mes fesses, dautres entraient dans mon cul aussi profond quils le pouvaient, faisaient des cercles élargissant ma muqueuse anale
Soudain un claquement de mains
plus rien.
Bien limé, mon anus qui sétait adapté au fort calibre, vibrait comme jamais encore, le sexe coulissait dans son conduit
Mes sens en exergue de plus en plus sollicités, les tam-tams en cadence, la bite dans le cul, les coups de reins, je mouillais de plus belle
Soudain lhomme accéléra en même temps que les tambourins et finit par juter en de longs jets saccadés, il se retira lentement, tandis quun second prenait sa place immédiatement après et pour la première fois, celui qui venait de sortir, me prenait par la chatte, légèrement en travers
. Les deux bites se mirent en action en même temps et dans cette position, ma sensation fut incroyable. Lénorme tige de celui qui venait de menculer me dilater totalement la vulve, et entrant légèrement en travers, sa grosseur en dilatait encore plus louverture.
- Ahhh, criais-je
Lenvie furieuse de jouir me taraudait alors je laissais échapper mes orgasmes explosifs à nen plus finir en criant comme une folle mes jouissances extrêmes ressentant des décharges électriques fulgurantes de plaisirs orgasmiques
Alors que je jouissais encore, je sentis, alors un sexe se plaquer sur ma bouche
Cétait un sexe féminin, que je commençais de lécher de haut en bas
Les tambourins reprenaient de la vigueur, les bites suivaient le tempo, la femelle à ma bouche ondulait denvies non dissimulées, elle couinait, elle bavait, tant et si bien que je ne savais plus où donner de la langue.
- Ouiii, hurlait la femelle à ma bouche en craquant littéralement sous ma langue, menvoyant des jets durines sur le visage
- Ahhhh, hurlais-je à mon tour, tandis que la personne sous moi avait avalé mon ami, mon cher clito qui nen demandait pas moins
Les deux bites navaient pas encore juté, tandis que mon clitoris en feu était lobjet de toutes les attentions dune langue experte
Je dandinais du cul, me trémoussais comme une salope en rut, une autre chatte sétait présentée à ma bouche
je faisais feu de toutes parts, mais jassurais cependant
Les tam-tams accéléraient leur cadence, les bites suivaient, jallais exploser je le sentais quand, les deux bites jutèrent en même temps
La sensation des jets simultanés en moi me firent donner des coups de reins et cul si puissants que jéjectais les deux bites en même temps. Un violent coup de cravache me cingla à hauteur des reins, me faisant me cabrer, abandonnant la chatte que je léchais et marrachant de la bouche qui en faisait de même avec mon clito. Un second coup de cravache matteignit en travers du dos, tandis que les deux bites entraient à nouveau en mes orifices...
Je levais mon cul pour leur faciliter la tâche comme une véritable furie de cul dune femelle en chaleurs
La bouche reprenait mon clito abandonné ce qui me fit glousser comme une damnée
Quelquun versait sur mon dos et épaules de la cire fondue, tandis que je recevais des jets de foutre dans les cheveux, le cou, les épaules, sous le rythme maintenant endiablé des tam-tams. Les bites jutaient à nouveau et se retiraient très vite
Jétais de nouveau au bord de lexplosion finale car la bouche, sur mon clito ne me lâchait plus, la personne ayant passé ses mains au-dessus de mes reins me plaquait sur sa bouche
En cet instant, javais le cul et la chatte libre, mais un baobab se présenta à lanus. Je dis baobab car jamais encore je navais senti de tentative dintroduction aussi monstrueuse. Même et surtout les yeux bandés, je navais que mon ressenti pour imaginer et ce que jimaginais me paraissait terriblement excitant
- Encule-la cette salope, hurlait une voix, tandis que les tam-tams frappaient encore plus vite.
Derrière moi, celui qui poussait mavait attrapée par la taille et en poussant, ses mains faisaient linverse mattirant à lui. Je sentais son gland monstrueux, un gland dune bite que je devinais énorme, était posé sur ma rosette pourtant ouverte, forçait sous les coups de reins et la force dattraction des mains, faisant souvrir encore plus mais très lentement mon trou du cul
(A suivre
)
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