Collection Histoire Courte. La Teuf (1/1)

• Mon chéri, depuis que ton père nous a quittés, j’ai toujours tout fait pour te guider dans la vie, s’il avait été là ce soir, c’est lui qui t’aurait mis en garde.
Je sais, on en a déjà parlé lorsque tu m’as dit que tu souhaitais aller à cette fête chez un de tes amis.
• Je sais, maman, ne pas boire de boisson alcoolisée, boire dans des boîtes ou des canettes que j’aurais moi-même ouvertes, ne jamais accepté la moindre substance que je ne connais pas, le moindre cachet, ce peut être de la drogue sous la coupe duquel je me trouverais.
Maman, je vais avoir dix-huit ans le mois prochain, c’est le moment de couper le cordon, j’irai même plus loin, tu ne me l’as jamais dit, mais papa l’aurait certainement fait, je dois mettre une capote si je tire un coup.
En passant à ce que mamy m’a dit un jour, avec lui tu avais oublié d’en mettre une, neuf mois avant ma naissance.
Mamy t’a dit ça, elle a beau jeu de me dénigrer, c’est vrai qu’elle s’est mariée avec une robe blanche, mais pour quel résultat, depuis elle a divorcé et habite avec Lucienne la buraliste de son village.
À votre époque, les filles ont à leur disposition tous les moyens qu’il faut pour éviter cet inconvénient, bien que je sois la maman la plus heureuse au monde d’avoir un fils comme toi.
Tu as réussi ton bac avec mention très bien, l’an prochain tu vas rejoindre la fac de Paris pour des études de médecine, tu as raison, part à ta soirée tranquille, je coupe le cordon.
• Merci maman, tu seras fière de moi, je ferais très attention, passe une bonne soirée de ton côté.
• Ça c’est moins sûr, mais dépêche-toi de partir, je veux éviter que tu ne me voies pleurer.

C’est bête d’être comme ça, ça fait quinze jours que je me prépare pour le moment où la porte se refermera sur le seul amour de ma vie et j’ai complètement foiré ce moment de lui faire voir toute la confiance que j’ai en lui.
Je regarde la télé, je suis folle, je regarde ma montre toutes les cinq minutes, il m’a promis de rentrer à minuit, on a même plaisanté sur Cendrillon, mince il n’est que 22 heures.


Minuit, il va rentrer, je vais pouvoir retrouver mon cœur et le serrer dans mes bras.
22 heures quinze, je commence à flipper, je décroche le téléphone pour appeler les urgences ou la police.
Je raccroche, je vois déjà mon petit couché dans un caniveau, bourrer ou sous dépendance de substance, la tête dans une mare d’eau de dix centimètres.
J’ai toujours fait attention au moindre trou d’eau dans sa jeunesse, combien d’s se sont noyés dans 20 centimètres d’eau, c’est vrai, je n’en connais aucun, c’est certainement parce que j’ai fait attention.

D’un coup je n’y tiens plus, je me souviens que le jour où nous avons parlé de cette teuf comme il m’a dit, il portait un jean, depuis, j’ai beau chercher, je ne le vois pas le remettre depuis et surtout, je ne me vois pas l’avoir lavé or, il m’a donné une adresse notée sur un bout de papier.
Je n’ai pas mémorisé sauf le prénom de Johnny un de ses amis, je fonce dans la chambre et la précieuse adresse est là.

« 32 square saint Cyr. 5e étage. »

Il me faut peu de temps pour être prête, d'autant plus que même si je me dépêche, il est 1 heure moins 10 quand je prends mon portable pour trouver un Uber.
Quand je monte, je suis rassurée, il n'y a aucun accident tout au long de la route.

• Bonsoir, messieurs, je suis bien à la fête ou mon fils se trouve.

Je suis sûr d’être à la bonne adresse, ça danse de partout, un point qui me chagrine, de nombreuses filles sont les seins à l’air.

• J’ignore s’il est là, j’ai été débordé, certains ont amené des copains et surtout des copines, entre et regarde si tu le trouves.

Mince, j’avais vu des seins, mais là sur ce canapé, ce couple nu tous les deux baisent carrément devant les autres dont certains regardent, il y a un des garçons qui se masturbe, l’autre décharge et il prend sa place.
Une partouze, mon fils est venu faire une partouze, ou est nos bonnes boums du passé ou un baiser dans la soirée était déjà une victoire pour un garçon, il est vrai que c’est souvent là que les accidents et les naissances se faisaient.


• Tu trouves ton rejeton, tiens prend ce verre.
• J'espère que ce n’est pas de l’alcool.
• Non, du jus de fruits.

C’est vrai, c’est frais, je regarde jusque dans la cuisine, un couple baise là aussi la fille assise sur la machine à laver, c’est drôle de la faire tourner à plus d’une heure du matin, pourtant les cris qu’elle pousse devraient me dire à quoi ça sert.

• Tu le trouves.

C’est l’homme qui m’a ouvert et offert un verre qui me rejoint, en temps normal, si je n’avais pas autant d’anxiété, je l’aurais regardé avec envie.
D’ailleurs, mon intimité me travaille, est-ce l’amour que ces couples font devant moi qui m’existent, il est vrai que depuis que mon mec s'est tiré, je suis resté chaste, je me voyais mal laisser mon fils tout seul pour aller draguer.

• Que m’as-tu fait boire, je suis toute excitée, je n’ai jamais été dans cet état.
• Rien que du jus de fruits avec une pointe de rhum et de la poudre de perlimpinpin qui annille les inhibitions tient prend ce cachet, les effets vont se dissiper rapidement.

Je continue à chercher, mais mon état a tendance à s’aggraver, sur les platines le D.J. mixte un morceau endiablé, l’envie irrésistible de me trémousser me prend, je suis au centre de la pièce et rapidement un garçon ayant environ l’âge de mon fils vient se coller à moi.
Ma chatte est en feu, surtout quand je sens sur mes fesses la verge du garçon qui semble être bien monté, j’ai un déhanché effréné.

• Es-tu allée voir dans les chambres s’il y est, la soirée s'avançant, certains préfèrent la quiétude d’un tel endroit pour s’ébattre.

Il me prend la main m’éloignant de cette verge que j’aurais bien vue en moi, je ne me contrôle plus, le garçon la verge au vent qu’il frottait contre moi a déjà trouvé un autre centre d’intérêt dans la personne d’une petite grosse qui est elle-même toute nue.

• Regardons là, tu le vois dans ce fatras de jambes de seins et de bras sans oublier les verges et les chattes certaines entièrement épilées.


Incroyable, j’ai perdu les valeurs que j’inculque à mon fils, je suis en train de regarder des couples faisant l’amour, une fille se fait prendre à quatre pattes tous en suçant la verge d’un noir encore mieux monté que le garçon qui se frottait à moi dans le salon.

• Je ne le vois pas.
• Viens à côté, il y est peut-être.

En état normal, ce que je ne suis pas à ce moment, j’aurai vu qu’il tapait un code pour entrer dans cette chambre où il n’y a personne.

• Je donne souvent des soirées j’aime retrouver ma chambre en l’état à la fin de la nuit, j’ai fait mettre ce système pour garder mon intimité.

En même temps qu’il me dit, il me plaque contre lui et me prend la bouche, si ma chatte était excitée, d’un coup elle dégouline, en quelques secondes, j’ai un furieux besoin d’avoir cette verge que l’homme vient de sortir en moi.
Comment ses vêtements et mes vêtements s'envolent-ils ?
Je constate dans un moment de lucidité que la verge qu’il me présente est bien plus grande que la seule que j’ai connue, un besoin impétueux qu’il me baise monte en moi.
Je n’ai aucun mouvement de recul lorsqu’il entre en moi, me faisant pousser des cris de plaisir dès le début.
Il me prend dans de multitudes positions, plus il me pénètre et plus j’ai envie qu’il le fasse, c’est moi qui pousse mon cul vers sa verge quand m’ayant mis en levrette il me prend par mes seins qu’il tire à lui pour me pilonner encore plus fort.

• Baise-moi, je suis ta chienne, je t’attendais depuis si longtemps, je suis à toi fais ce que tu veux de moi.

Je suis dans l’impossibilité de finir ma phrase, une verge noire comme celle de la chambre voisine entre dans ma bouche, je la pompe et la prends dans ma main afin de la masturber, je suis au paroxysme de la jouissance, mon ventre, mes reins, ma chatte tous sont en feu, je n’ai jamais rien ressenti de tel.
Une fraction de seconde, le souvenir de pourquoi j’étais là atteint mon esprit, mais la fille que je vois se glisser sous moi pour alternativement sucer mes seins et mon clitoris qui me semble énorme me ramène vers ce lit de tous mes dépassements.

Combien de temps, je me mélange, le propriétaire de ces lieux ayant déchargé dans sa capote, je me trouve chavirer et le grand noir investit ma chatte à son tour, dans ma bouche il est remplacé par une chatte qui vient se présenter à mes lèvres.
Qui m’aurait dit quand tout à l’heure je quittais mon appartement pour chercher mon fils qu’une jeune femme déverserait dans ma bouche des petits jets de cyprine, j’ignorais même qu’une femme pouvait faire sortir autant de liquide de son corps or urine.
Quelle heure est-il quand j’émerge après avoir été prise de longs moments, même de longues heures.

• Tu pars, donne-moi ton numéro de téléphone, j’aimerais que l’on se revoie.
• 06 20 .. .. ..

Sans m’en rendre compte, je viens lui donner mon numéro de portable.
Dans le taxi tombant de sommeil et la chatte toujours en feu que je caresse discrètement pour que le chauffeur ne me voie pas, je repense à mon fils que je n’ai pas trouvé.
Incroyable, j’ai fait exactement ce que j’ai préconisé à mon fils, la boisson devait contenir des produits aphrodisiaques et le cachet était certainement ce que l’on appelle de l’ecstasy.
Je ne dois pas me tromper, je suis tellement en forme que je demanderais bien au chauffeur de me reconduire au 32 square saint Cyr, quand j’ai quitté l’appartement raccompagné par Michel qui avait toujours flamberge au vent, j’ai vu quelques sexes toujours prêts à l’emploi.
Nul doute que j’ai partouzé, moi, la femme si prude d’habitude.

C’est en traînant mon sac derrière moi que j’arrive sur mon palier.

• Maman ou étais-tu, il est onze heures, nous sommes assis devant la porte depuis une heure du matin, excusez-moi de t’avoir menti.
Jennifer était seule chez elle, ses parents étant partis en vacances, nous voulions nous donner l’un à l’autre, mais j’ai loupé l’heure de nous quitter et je suis arrivé en retard.
• Vous savez, Madame, nous nous aimons, maman m’a donné la pilule quand je lui ai présenté votre fils.
• Et j’ai mis des capotes.
• Si je comprends bien mon grand, je vais être obligé d’acheter un lit à deux places, mademoiselle mon fils a bon goût, vous êtes ravissante.

Les s, car pour moi, ils le sont toujours ne m’ont posé aucune question sur ce que j’avais fait et pourquoi j’avais envie de danser.
Ce qui est sûr, c’est que si je n’ai pas dormi, j’ai joui retrouvant ce que je faisais jeune fille quand mon intimité à commencer à me titiller.
Pendant ces longues heures où la forme m’a tenu, j’ai entendu Jennifer chanter au moins deux fois, mon fils semble savoir y faire avec cette jeune femme.

Le calme revenu, le samedi suivant les s partis sans que je ressente la moindre inquiétude, inutile de dire que toute cette semaine, j’ai prise de très bonnes résolutions, impossible que j’accepte de recommencer une telle nuit de débauche.
Il est 20 heures quand mon portable sonne.

• C’est Michel, tu te souviens, chez moi la semaine dernière nous nous sommes éclaté, je vais à une soirée ce soir, tu m’accompagnes.
• Oh ! oui, je serai prête dans 30 minutes.
• Tout doux ma belle, je passe te prendre à 22 heures 30, tu sais dans notre milieu, nos soirées commencent à 23 heures.

Je crois que je viens de franchir un cap dans ma vie.

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