Incroyable Mais Vrai 2

Incroyable mais vrai 2



- Alors, qui c’était ? Parle putain ou je te dénonce à ton mari. Ça vient ? Qui était-ce ?

- Un type que j’ai rencontré au casino hier après-midi. J’ai perdu une grosse somme au jeu, je me suis effondrée en pensant à la colère de Paul. Je lui avais juré de ne plus jouer. Ce Rodolphe a vu mon désarroi, a proposé de m’avancer une partie de mes pertes contre une faveur.

- Tu vends des faveurs, ah? Mais… mais…une avance contre quelle faveur?

-Tu as vu.

- Oh ! Tu es vraiment une putain. Ce type est en quelque sorte ton client. Et tu lui as promis combien de séances pour le rembourser en nature ?

- On n’avait rien précisé. Je ne sais pas. Tu ne lui as pas laissé le temps de prendre un autre rendez-vous. Qu’est-ce que tu es costaud, mon gros nounours.

Elle le flatte pour apaiser sa rage. Le gros nounours s’adoucit:

- S’il revient, conseille lui de t’oublier. Tu ne lui dois plus rien, il a été dédommagé en te prenant ne serait-ce qu’une fois. Désormais il risque de se faire massacrer. Je ne permettrai plus qu’on te touche. Tu as compris ?

- Oui, mon Jérôme. Comme tu voudras, mon chéri.

- Alors, j’avertis Paul ?

- De grâce, non! Je te l’ai dit. Je t’obéirai, je ferai tout ce que tu voudras, mais j’ai trop honte et je ne veux pas faire de peine à mon mari chéri.

Ce souci de ne pas blesser le mari par la révélation de ses activités l’honore et attendrit la brute plutôt disposée à passer à des choses plus intéressantes avec ma femme.

- Bon; tu es une brave fille. Va rincer ton zigouigoui, élimine les traces du gus et rejoins-moi au plumard, je dispose d’une demi-heure pour m’occuper gentiment de toi, pour caresser ta chatte et lui donner sa pitance. Ton cul est resplendissant, un rouge flamboyant. Tu ne risques pas de te faire emboutir avec ce feu rouge. Tu as un beau cul, tu sais !

N’est-ce pas émouvant, elle me trompe allègrement avec un prêteur, s'apprête à recommencer avec son cousin, mais ne veut pas me faire de peine.

Si elle voyait dans quel état je suis, elle saurait l'étendue de ma désillusion.

Voilà, il y a eu le client Rodolphe, pour camoufler les pertes au jeu. Il y a Jérôme ! Jérôme n’est pas un accident, mais un habitué des lieux comme il le laisse penser. Quand je travaille, je l’apprends, il assure une sorte de permanence amoureuse et sexuelle, avec ma femme et chez moi. Et pour le déloger, je devrais être plus fort que ce géant aux pattes de bûcheron. Chloé se rend, il va la prendre et je dois endurer, incapable de lui flanquer la raclée que je rêve de lui infliger et donc je suis cocu résigné bien que mécontent.

- Bon, ça vient? Grouille, le temps presse. Vite, apaise mes humeurs. Je bande, viens là, je vais te mettre. Tu oublieras vite ton jeune prêteur.

On passe à la suite. Elle accourt, une serviette entre les jambes, il la cueille à l’entrée de la chambre, l’allonge en travers du matelas, pieds tournés vers la porte.

- Je te sucerai une autre fois. A voir la couleur de tes fesses, tu dois avoir le feu dans le sang. Regarde, mon doigt sort trempé de ton con. C’est une fournaise, alors cuis mon petit pain. Donne tes pieds, fais-moi un collier avec tes jambes. Comme ça, je vois tes deux trous. Demain j’aurai plus de temps. On se fera un voyage en terre jaune.

Quoi encore ? Il annonce une sodomie. Elle ne dit rien par lassitude ou par habitude ? Elle prétend avec moi que c’est caca, berk ! Pour lui, une spécialité réservée en exclusivité ? Pour moi, c'est le refus indigné. Le deux poids deux mesures me froisse.

De mon observatoire je vois Jérôme pointer sa verge vers la cible rose entourée de son col de fourrure brune. Il s’amuse à taquiner les grandes lèvres et à exciter tout en haut le clitoris avec son gland. Moi aussi je vois la tache sombre du petit trou. Moi aussi, un jour je l'enculerai. Deux cocus, va, mais à égalité. Pour l'instant je suis étonné : le grand gaillard a une queue tout à fait ordinaire, presque une anomalie sur un corps aussi grand et aussi massif.
La brute adoucie par la vue de l’abricot mûr devient demandeur poli :

- Tu es prête, je peux commencer, ma chérie ?

- Oui, vas-y, puisqu’il le faut.

Elle se signe et murmure :

Mon pauvre mari, j’ai honte. Heureusement, Paul ne se doute de rien.

- Oh! Fais pas la difficile, mets-y un peu plus d’enthousiasme. Tiens, prends ça et dis-moi que tu n'aimes pas!

Il s’est affalé sur Chloé, l’écrase sous son poids, des bras entourent sa tête, son torse pèse sur les seins, les ventres sont collés. Les fesses seules sont en mouvement avec l’épée qui entre et sort du fourreau incandescent en cadence. Il a la délicatesse de demander si c’est bon. La réponse est à peine audible. Il pousse ; il l’attaque, à grands coups de reins. Chloé est clouée sur le matelas, encaisse la charge, ne peut pas bouger, paralysée par la masse puissante. Et comme elle est chaude de la session précédente, elle ne tarde pas à entamer des bruits de soufflet, elle halète de plus en plus fort, encourage le sabreur :

- Oh! Oui, c’est bon, vas-y, je sens que ça vient. Cogne plus fort, bien au fond. ouihihi

La même ritournelle démarre, les mêmes sons rauques annoncent une jouissance nouvelle. Elle a changé de mâle mais ne change pas la chanson. Cette chanson je la connais bien. Me semblera-t-elle toujours aussi excitante à l’avenir ?

- Attends, je reprends mon souffle. Qu’est-ce qu’il fait bon dans ton ventre, j’adore. Ah! Si j’étais le bienheureux époux. J’en veux à tes parents. Heureusement qu’on peut s’aimer régulièrement. Tu prends toujours la pilule? Je te ferais volontiers un mouflet, un gamin solide et costaud comme moi. Allez, je t’envoie au septième ciel. Han, han, han !

Elle répond, han, réclame des coups plus violents, han, annonce son plaisir, hoan !. Le marteau frappe l’enclume, le foret creuse son trou. Les jambes de ma femme remontent, encerclent les reins, glissent sur les fesses, remontent, battent l’air, s’accrochent; la chanson enfle.
Cette fois j’en ai marre, je retourne à la buanderie et pour mettre fin à l’adultère dégradant j’appelle haut et fort:

- Chloé, mon amour, es-tu là? Tu m’entends, où es-tu? Attends, j’arrive dans une minute.

Comment ai-je réussi à prononcer « mon amour » ?Je suis curieux de connaître leurs réactions, je leur laisse un peu de temps, pas assez pour qu'ils continuent, assez pour qu'ils se désunissent avant d'atteindre le summum du plaisir. L'interruption au moment choisi par moi pour un brutal "coitus interruptus" me procure une grande satisfaction parce qu'’elle les frustre de l'aboutissement recherché.

La voix étranglée, submergée par le déferlement du plaisir, Chloé me répond. Que dit-elle ? C'est difficile à interpréter. La dalle tremble sous des pas lourds et précipités. Je ferai semblant de ne pas avoir entendu le juron de frustration de Jérôme au moment où il a été obligé de quitter brusquement la chaleur du ventre, avant d’avoir pu éjaculer toute sa bouillie. J'insiste mais je ne cours pas.

- Chloé, allo! Mon amour, j’arrive.

Je traîne. Elle apparaît au-dessus de la rampe, en peignoir à peine fermé. Derrière elle, elle a tiré la porte de la chambre. Ça se comprend. Jérôme est pris au piège. Je vais le prendre en faute et le cuisiner.

- C’est toi, Paul ? Mais qu’est-ce que tu fais là ? Tu m’as effrayée, je dormais si bien, en pleine sieste.

- Tu ne travailles pas cet après midi ?

- Non, je me sentais très fatiguée, j’ai téléphoné pour prendre un congé. Et toi ?

Elle ment : je mens :

- Comme toi, je me sentais l’estomac barbouillé. Je me suis dit qu’un peu de repos me ferait du bien, alors me voilà. On va au lit, mon amour ? J’ai envie de toi.

Je m’attends à un refus bien normal après les deux exercices de baise précédents. Je veux la provoquer pour l’amener à trouver une bonne raison de repousser mes avances.

- Regarde, je bande en te voyant.
Tu es si excitante, écarte, montre-moi minette. Allez, chérie. Tu n’es pas heureuse de me voir ? Réjouis-toi, je me sens beaucoup mieux lorsque je vis près de toi. C’est un retour à la forme olympique, je vais te baiser jusqu’à la nuit. Au lit, vite, mon amour.

A l'entendre, la sieste trop longue lui donne des maux de tête. Elle m’invite à prendre un café au salon. Je dois lui laisser le temps de se réveiller complètement. On verra après pour les jeux érotiques et la bagatelle... On croirait qu'elle n'apprécie pas le sexe. Que j’aille m’asseoir, elle amène la cafetière et va me servir.

Ce n’est pas un refus franc, c’est une esquive avec tentative de changer de sujet de conversation. Elle connaît mon goût pour le bon café. Mais comment un café pourrait remplacer un rapport sexuel? Chloé embarrassée s’égare. Tout en parlant d’une voix encore saccadée, elle resserre la ceinture de son vêtement enfilé en hâte et tente de me sourire pour m’engager en direction du salon. Je sais qu’elle veut m’éviter de rencontrer le gentil cousin qui vient lui tenir compagnie quand elle s’ennuie. Elle sait que j’aurais du mal à avaler qu’il lui tenait la main pendant sa sieste.

- Va, j’arrive, prépare les tasses, le café est prêt dans deux minutes.

Elle entre à la cuisine et reparaît pour s’assurer que je suis ses recommandations. Erreur! Eh! Non, je me dirige vers ma chambre, toujours mû par le désir de clarifier la situation. Une bonne discussion avec Jérôme, pris en flagrant délit d’adultère, lui rappellera qu’il n’est pas chez lui ici. Or Chloé ne veut pas de cette rencontre. Elle veut m’éloigner :

- Mon amour, ça ne va pas ? Viens je vais t’accompagner jusqu’au canapé.

A voix haute je déclare que je serais mieux au lit.

La panique la paralyse, elle tremble, sa voix s’enroue. J’ouvre la fameuse porte. En face, la fenêtre est grande ouverte. J’entends un cri de douleur, je fais semblant d’être sourd. Chloé se mord la main. Comme moi, elle jette un regard dans les coins, laisse tomber un mouchoir, le ramasse, jette un œil sous le lit, se relève avec un large sourire. Je ferme la fenêtre. Jérôme n’a pas crié pour rien. S'il est sorti en sautant par fenêtre, il ne pourra pas remonter par ce passage. S’est-il fait mal ? Qu’il se démerde… c’est son problème. Je ne peux pas deviner qu’il a mal, je ne suis pas sensé savoir qu’il occupait ma chambre. Il a sauté par la fenêtre ? Je trouverai une autre occasion de le confondre. Le béton de l’allée est dur. Avec son poids…c’est du solide, il se remettra de la chute.

- A la réflexion, Chloé, je prendrais bien un café avec toi. Où vas-tu? Ne descends pas, j’ai fermé toutes les portes à clé. Combien de fois devrai-je le répéter : Tu n’es pas assez prudente. N’importe qui pourrait entrer pendant que tu dors et pourrait te violer. Pendant un moment, j’ai cru que tu avais de la visite, j’entendais grincer le sommier.

- Oh! J’ai dû me retourner dans le lit.

- Approche, viens tout près de moi, regarde l’heure.

Elle fait demi-tour pour consulter la pendule. J’en profite pour soulever l’habit et découvre les fesses marquées par les grands doigts du délicieux cousin. Interdite elle me laisse regarder.

- Tu as des traces de doigts, des doigts beaucoup plus grands que les miens. Ah! Oui, je ne réussis pas à couvrir leur surface avec les miens. C’est étrange.

Le contact la fait bondir, la blessure est encore fraîche. Tout effleurement la blesse, l’oblige à bondir..

- Ça ressemble aux doigts de Jérôme. Tu te souviens des pattes du boulanger… Que ferait sur tes fesses le dessin des mains de ton cousin…C’est idiot…

Je fixe son regard pour attaquer sous un autre angle avec des questions directes:


- Il n’était pas content le cousin pour te mettre une fessée qui marque autant ton cul de femme? Dis, comment as-tu fait pour lui déplaire ? Hum ? Jérôme n’aime pas Rodolphe ? Allons mon amour, bois ton café, il va refroidir.

- Mon Dieu, Rodolphe, la fessée; mais cela signifie que tu sais tout. Allez, frappe-moi, je le mérite.

- C’est une manie, tu aimes les coups ? Je connais un connaisseur pour les fessées, une sorte de spécialiste. C’est Jérôme, le type qui a sauté par la fenêtre de notre chambre. Veux-tu que je le rappelle ? Tu vois, je sais tout…Va chercher la pommade, je vais te soigner en bon mari. Ma main sera douce à tes fesses endolories. Attends, sur le lit nous serons mieux. Jérôme a interrompu ton plaisir, j’ai interrompu le sien. Deux fois tu as été frustrée, je te dois une et même deux compensations.

- Ne te moque pas de moi. J’ai honte, tellement honte. Je te demande pardon.

- Aime-moi, tu ne peux rien faire de mieux. Moi je t’aime. Chut…, embrasse-moi. Personne ne nous dérangera

- OH ! Mon mari adoré, que tu es bon. Tu pardonnes et tu veux que je t’embrasse. Viens, serre-moi contre toi, prends ma bouche, elle est à toi, comme toute ma personne. Tu es mon seul amour. Toi je t’aime. Vite, viens au lit je t’en fournirai la preuve.

Que ne ferait-elle pas pour couper court . La conversation serait plus que gênante sur le thème du défénestré volontaire. Simplement ralle ne s’en tirera pas aussi facilement

- Chloé, tu te moques de moi. Tu viens de vivre des orgasmes bruyants, à percer les tympans. Trois fois je t’ai entendue jouir sous ou sur Rodolphe, puis après une fessée jouissive tu as remis ça avec ton cousin Jérôme… De grâce ne proclame pas que je suis ton seul amour. Je parlais de sentiment, pas de sexe. Mais c’est encore une erreur. Une femme qui s’envoie en l’air avec deux étrangers, comme tu viens de le faire, n’a plus ni respect ni amour pour son mari. Comment oses-tu affirmer que tu m’aimes? Je me rends à l’évidence. Comment peux-tu m’inviter à venir tremper ma verge dans les jus de tes deux amants ? C’est dégoûtant. Va plutôt te nettoyer le vagin et prends une douche, tu pues le foutre et la transpiration.

- J’y cours. Mais, tu sais, Rodolphe c’était la première fois.

Elle dit ça comme si c’était sans intérêt, anodin et à oublier ou comme si elle redoutait de ne plus pouvoir recommencer.

- Oui, mais combien de prêteurs as-tu remboursés en nature ? Tu me caches ton addiction pour les jeux du casino, tu y vas en cachette, tu perds par habitude….

- Oui, mais un jour j’emporterai le jackpot !

- Bien sûr ! Tu as l’intention d’y retourner malgré tes promesses. Ne m’avais-tu pas juré de ne plus mettre les pieds au casino ? A quoi bon tes promesses ? Tu ne les tiens pas ! Dans le fond, je crois bien que je ne t’aime plus. Il y a une heure, je me félicitais de t’avoir épousée et soudain tout est fichu, mes illusions à ton propos s’effondrent.

- Je te jure que c’était la dernière fois. Et …

- Je reprends, tu perds aux jeux, tu acceptes des avances d’argent et ensuite tu te laisses joyeusement troncher dans notre lit par un type plein de fric. Ton cul vaut de l’or pour lui, tu le prêtes sans savoir combien de fois tu devras passer à la casserole pour rembourser ta dette. C’est à se demander si tu ne perds pas exprès pour pouvoir forniquer.

Jérôme l’a crié, tu es une putain. Tu as mis au point une nouvelle façon de racoler. Non, n’approche plus. Notre demeure est devenue une maison de passes à mon insu et ton cousin Jérôme en est le tôlier chargé de terroriser tes clients qui fuient ses coups et oublient leur créance.

- Non, ce n’étais pas prévu comme ça. Tu me rejettes ? Tu inventes des histoires. J’ai emprunté une seule fois pour payer mes pertes. Je ne recommencerai plus. Je le jure. Calme toi, mon chéri.

- Il est inutile de jurer puisque tu rêves d’empocher le jackpot. Bon, va te laver. Ne compte pas sur moi pour te sauter après tes deux lascars dans des draps tachés de leur sperme. Je ne consomme pas les restes.

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