La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1097)
La Comtesse et son clitoris Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
faisant souvrir encore plus mais très lentement mon trou du cul
Je suais à grosses gouttes, tandis que la bouche de dessous, mordillait maintenant le nez de mon clitoris ce qui me conduisait à des tremblements terriblement excitant sur toute mon échine. Une nouvelle chatte était à ma bouche, et je pense que cest la femme que je léchais qui sen prit à mes tétons, y enfonçant ses ongles profondément, étirant mes seins vers le bas, de plus en plus bas
Pendant ce temps, la bite monstrueuse nétait entrée quà mi gland et je sentais toujours, sous les poussées, mon cul proche déclater. La sensation est indescriptible, peur déclater, dêtre déchirée, et en même temps, la découverte de nouvelles sensations absolument terriblement jouissive, de se sentir pleinement remplie, baisée, possédée. Jen mouillais tellement, jentendis la voix de lenculeur dire
- Ca y est, elle cède, la grosse chienne
jy suis presque
Et en effet, je sentais le gland entrer en moi et ma pauvre rosette se refermer très légèrement sur la bite entourant le volumineux gland, sensation dantesque tandis que la tige glissait en moi, semblant ne jamais arriver au bout.
- Ouiiiiiii !, hurlais-je de plaisir me demandant quand elle aurait fini dêtre pleinement dans mon cul bien profondément, tant javais envie de cette saillie bestiale
Je sentais lénorme gland dilater mes entrailles
Enfin arrivé au bout, enculée jusquà la garde, javais limpression dêtre plantée sur un pieu qui au fur et à mesure quil senfonçait en mes fesses, me faisait me redresser mais aussi me rendait trempée, encore et encore
La bite était si raide quil me semblait que rien ne pouvait la faire plier
Elle resta longtemps en coït, immobile plantée au fond de mon cul quand elle se mit en action
lentement au début, ressortant tout aussi longuement que ce quelle était entrée, quelle sensation divine ! Puis, le gland cognant de lintérieur sur la rosette, la pénétration reprit son cours me faisant hurler denvies impossibles à gérer
Je navais jamais été enculée ainsi ! Humm ! Quel pied ! A nouveau, le recul puis lenfoncement plus rapide cette fois, et ainsi de suite pour bien dilater lintestin et la muqueuse, jusquau moment où le tube ayant bien alésé mon cul, les mouvements devinrent plus rapides, saccadés et forts
La puissance des coups de reins me faisait à chaque fois avancer et cest heureux quil me tenait par la taille
Jen étais là, prête à exploser de nouveaux orgasmes quand déjà quand un autre calibre du même acabit senfonça dans ma chatte, ou plutôt tenta de senfoncer !
Celle-ci déjà écrasée et donc diminuée par le pieu dans le cul, avait du mal à souvrir assez pour avaler ce qui me semblait être une bite aussi énorme que celle que javais dans le cul.
Heureusement que des étaux (les mains) me tenaient avec force par la taille, car je bondissais en tous sens, je poussais de petits cris de pucelle défoncée, et quand je sentis le gland entrer dans ma chatte très serrée par le pieu de derrière, je crus défaillir, hurlant mon rut de femelle, suppliant de me prendre encore et encore, de ne pas sarrêter
Les deux énormes tiges se touchaient en moi, séparées seulement par une membrane amoindrie par lécartèlement des muqueuses anales et vaginales
Incroyable sensation déclatement, de remplissage absolu, de possession totale, et quand les deux bites furent en action alors je reçus des myriades dorgasmes que je ne pouvais plus contenir
Cétait lapocalypse orgasmique, javais la chair de poule sur toute mon échine, dans le dos, les fesses, les cuisses, je tremblais de jouissances terribles, explosifs, qui me faisaient pousser des cris dorfraie
Je perdais la tête, mes seins ballotaient en tous sens, mes fesses écartées fortement semblaient ne plus mappartenir, tandis que ma vulve entièrement défoncée se livrait à des vibrations et des tremblements inouïs. Je sentais la bite de la chatte écraser mon col utérin, le comprimer, le tassant au fond du vagin complètement distendu.
Mes cheveux trempés de sueur collaient à mon front, mes yeux, révulsés me voyaient plus rien, et en plus le bandeau glissait à cause de la transpiration
que cela ne tienne, je ne voyais plus rien
Ma respiration semblait coupée en deux, je haletais comme après une course, et les deux pistons continuaient leur danse comme si de rien nétait
Pour parfaire le tout, quelques coups de cravache matteignirent sur le travers des fesses, ajoutant au rut immense qui était le mien.
Je jouissais non-stop, comme une bête avide de sexe, encore, encore et encore
Les tam-tams semblaient être pris de frénésie, tant les rythmes étaient endiablés, et les deux pistons les suivaient en cadence. Je transpirais tant, que je glissais sur mes genoux
Les mains des hommes me ramenant à leurs tiges et me tenant fermement pour que je ne méchappe pas
usant, limant, travaillant mes deux trous comme des experts le feraient
Jétais dans lincapacité totale de leur échapper, à leur merci
.et ils sen donnaient à cur joie, allant et venant, dilatant, perforant ce cul offert à leur luxure
La nuit se déroula ainsi, au cours de laquelle, tous les mâles désignés me baisèrent, menculèrent, chacun à leur tour et recommencèrent
Après ces pénétrations énormes, mes orifices, distendus, dilatés, restaient ainsi, lamentablement ouverts, à la disposition de qui voulait encore me prendre ! Et je fus prise ! Mainte fois encore et encore par tous mes orifices dans une overdose dorgasmes foudroyant
Ce fut alors la « foire » aux bestiaux
Les mâles suivants, montés plus normalement, menculaient ou me baisaient en introduisant leurs queues, deux en même temps, mes orifices étant largement ouverts
Et me voilà, sodomisée en même temps par deux mâles déchainés par lambiance, les deux bites se touchant mutuellement en moi me donnant à nouveau de curieuses sensations de bestialité totale. Je sentais les deux glands me pistonner, tandis que dans la chatte, dansaient en même temps, deux autres tiges, plus menues
Un véritable lunapark de cul qui à nouveau, à cause ou grâce à tous ces mâles en rut, relançaient en moi les frissons de nouvelles envies
Mes tremblements, à la fois de fatigue mais également dorgasmes sannonçant, faisaient que, trempée de sueur et de foutre, je glissais entre les huit mains qui me tenaient, un autre mâle me tenait fermement par le collier pour ne pas méchapper des tiges qui étaient sur le point de se vider dans la citerne à foutre que je devenais
Les quatre bites me travaillaient avec force, tandis que lhomme qui me tenait par le collier, se faisait sucer la queue par ma bouche.
- Elle aime ça en plus !
Effectivement, sans explication de ma part, je me mettais à aimer sucer, et avaler sans plus aucune retenue. Les hommes qui passaient, ne se gênaient pas pour venir se faire sucer entre deux éjaculations dans dautres culs de femelles
je découvrais quelque chose de puissant qui montait en moi : Lutilisation e et brutale, sans rien voir, de mon corps, poussé à bout, inondé, saturé dorgasmes, épuisé même, mais comme mue par une seconde nature, entièrement désinhibée, devenue une véritable chienne non encore assouvie, tandis que mes cavités sexuelles se remplissaient, le suçais, je pompais, je buvais à la source même de ces queues exigeantes
Cest ce ressenti de salope totale, se faisant à excès fourrer à la fois, cul et chatte dilatés par deux bites à la fois, avec en plus, ma bouche avalant tout ce qui se présentait à elle, qui relançait en moi comme dans une seconde nature, de nouvelles vagues orgasmiques. Soudainement, alors que je sentais les bites juter pratiquement en même temps en mon ventre, je me mis à hurler de plaisir. A moi toute seule, jarrivais à contenter cinq mâles à la fois
et cette idée, me traversant lesprit, fit de moi, à partir de cette nuit, la salope absolue que je suis maintenant.
De nouvelles qualités dorgasmes se présentaient à moi, comme des vibrations corporelles menvahissant entièrement, venues de mon ventre, se répandant dans lintégralité de mon corps me permettant de dire que je jouissais, pour la première fois, de lensemble de mon être. Jacceptais tout, comme si cétait naturel après tout, mieux encore, ma bouche libérée, sans rien voir, je la tournais à droite puis à gauche, ouverte ma langue tentant dattr une autre bite qui passait par là, et quand, une se présentait, ma bouche se jetait sur elle comme une morte de faim, lavalant entièrement jusquau fond de la gorge, la recrachant pour mieux la reprendre, la pomper la vider au plus vite pour goûter le sperme.
Citerne, oui, je devenais citerne à foutre, et jétais, en plus, très fière de me sentir devenir ainsi. Déchaînée, obsédée, je faisais feu de tous mes trous en redemandant encore et encore, insatiable, inépuisable
Recevoir du foutre devenait mon obsession
Enfin, au petit matin, tandis que sur le pré, tout le monde se livrait à des accouplements bestiaux, une main magrippa et
- Viens ici la chienne !
Bousculée, tirée, poussée, à coups de cravache, de gifles même, on me tirait par le collier comme une vulgaire bête de somme et cela mexcitait grandement dêtre aussi traitée de la sorte. Et cest ainsi quon memmenait vers le bâtiment. Jétais crasseuse, sale, souillée, les foutres coulaient de mon cul, de la chatte, en lourds paquets, tant javais été remplie
Je me léchais encore les lèvres comme si je dégustais des crèmes au goût si exquis
Aucune honte, aucun tabou, que de la fierté et surtout, jen voulais encore
Jétais devenue une véritable salope et je me sentais surtout salope et si heureuse de lêtre
(A suivre
)
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