La Belle Des Années Folles - Chapitre 6

Chapitre 6 - Les spécialités des pensionnaires du " Carré de Dames "…

Pour la Fernande, sa grande spécialité est de se faire lécher la craquette, allongée sur la banquette ou sur la table. En fin de soirée, il lui arrive de tenir ainsi 2, voire 3 clients, pendant plus d'une heure à lui lécher la vulve et à lui branler longuement l'entrejambe. Pouvant soutenir plusieurs orgasmes de suite, elle peut décharger abondamment en réclamant à boire…

Son clitoris constitue à lui seul une attraction. Lorsqu’elle a bien bu, comme c'est souvent le cas, elle s'en sert d'une façon très spéciale comme nous le verrons plus loin. Lorsqu’elle est saoule et qu'elle s'est faite longuement '' allumer '', elle demande à se faire '' fister '' le trou à bites par une large main d'homme (photo 1) et là, c'est alors l'arrosage assuré à la ronde tant elle décharge puissamment. Parfois au cours de ces séances, quelques doigts, voire une main, s'égarent dans le petit trou de derrière, ce qui a pour effet de la faire jouir et de la faire arroser encore bien davantage…

La petite Joyeuse elle, est plutôt du genre à embrasser les hommes en se laissant peloter partout, le corps, les jambes, la chatte aussi qu'elle garde assez poilue. Elle aime beaucoup aussi de faire sucer les seins, puisqu'elle est capable d’atteindre facilement l'orgasme par leur seule succion et par leurs caresses prolongées… Elle adore plus que tout masturber un beau membre entre ses seins qu’elle a bien fermes et joliment pointés. (Photo 2).

Joyeuse invite les hommes, les aguichant et les provoquant pour qu'ils passent leurs mains sous sa jolie robe de poupée. Les hommes ne se privent pas de la peloter et de lui enlever sa fine culotte de soie. Et lorsque sa fente est à nue et accessible, elle se fait longuement lécher, le plus souvent assise sur la table en face des hommes, en appui sur ses avant-bras et les jambes relevées, de façon à livrer sa chatte largement ouverte aux lèvres mâles et avides…

Parfois en fin de soirée quand le contrat de consommation de la tenancière est rempli, elle ne répugne pas à se laisser aller et à se frotter le gland des bites bien dures et bien bandées sur ses pointes de seins.

Cela l'amène invariablement à des jouissances très fortes et très bruyantes, qui constituent la plupart du temps, un spectacle !… Souvent aussi, selon l'humeur, elle va finir la nuit dans sa chambrette au troisième étage de l'immeuble avec un ou deux beaux hommes qui vont s’en occuper le reste de la nuit.

Il faut comprendre que ces pensionnaires sont logées sur place, comme qui dirait par '' nécessité absolue de fonction ''. Cela fait partie de leur salaire ou plutôt des ''avantages en nature'', si l'on peut parler ainsi, car en réalité le loyer leur est retenu sur leurs gages et augmente avec le nombre de passes ; du moins pour celles dont la patronne a connaissance…

Léopoldine quant à elle, a la langue bien agile et bien pendue. Que ce soit pour rouler des patins aux clients généreux et entreprenant, ou plus encore pour les sucer sous la table. Elle n'aime rien tant que de passer sous les tables pendant que les clients, à peine installés lésinent sur la commande des consommations… Défaisant habillement les braguettes, elle fait saillir hors des linges des membres de toute forme et de tout calibre, des plus gros au plus maigres en passant par les plus noueux, les plus velus, les plus dodus, les plus tordus, les plus ventrus, les plus pointus, les plus… Elle s'en empare avec une dextérité sans pareil, à laquelle ne peut résister aucun quidam normalement constitué… (Photo 3).

A coups de langue experte, son but à ce moment-là est de faire passer la commande en arrière-plan des préoccupations, ce que la patronne ne manque jamais de mettre à profit… Puis, se prenant au jeu, elle met tant de cœur à ses turlutes, qu'au bout d'un moment elle réclame son dû en nature : une forte décharge de foutre dans la bouche ou sur le visage… Friande de sperme chaud, elle reste ensuite un long moment à sucer la bite qui s'amollit doucement dans sa bouche, en se léchant les babines et en se nettoyant le visage avec le doigt qu'elle suce ensuite consciencieusement… Il lui arrive aussi de faire décharger les types dans sa batave, souvent plusieurs à la suite.
Puis, elle lèche longuement et avec application le béret de marin imbibé de foutre visqueux.

Certains soirs où elle est aussi passablement ivre, après avoir disposé sa batave pleine de sperme, bien étalée sur une table avec d'infinies précautions, se faisant aider pour grimper sur la table et là, moyennant quelques monnaies, largement accroupie au-dessus de la coiffure, elle pisse longuement dedans (ou plutôt dessus !), comme si le béret de marin était un pot de chambre. Evidemment pour le plus grand plaisir des hommes qui entourent l'opération et qui ne manquent pas d'y aller de leurs commentaires salaces et gouailleurs à l'égard de la grande Léo, ajoutant moult billets sur les demandes expresses de l’Adèle…

Léopoldine, elle aussi monte fréquemment '' en chambre '' comme elle dit, parfois accompagnée de La Fernande. Toutes les deux ne répugnent pas à s'offrir ensemble à un homme, pour peu qu'il soit généreux, bien monté et qu'il assure un maximum du côté des efforts à fournir, tant financiers que sexuels…

Quant à la patronne, ''l'Adèle'', comme on la nomme dans l'établissement, elle aime bien se faire passer la main sous la jupe, lorsqu'elle apporte le champagne aux tables. Est-ce de la stratégie commerciale pour forcer indirectement à vente, on ne le saurait dire. En tout cas, elle ne porte jamais de culotte sous ses jupes assez courtes et toujours amples, qu'elle fait tourner, frôlant les clients, en se déplaçant entre les tables, comme une invitation à passer la main dessous, ce qui évidemment arrive très fréquemment… Malgré sa cinquantaine et sans doute un peu plus, elle est encore très sexy et attirante : son métier lui a appris à bien mettre en avant ce qui séduit les hommes. Et, si elle n'a jamais de culotte, elle sait mettre de très jolis dessous coquins que ce soit pour mettre en valeur sa poitrine ou surtout ses jolies jarretières soutenant de fins bas de belle soie.

Lorsqu'il lui arrive de rester presque toute la soirée au bar, elle boit avec tous les clients, histoire de leur faire remettre les tournées, et bien souvent sur le coup des deux heures du matin quand la nuit s'avance, elle est '' à niveau '', pas complètement saoule, mais très excitée et avec des envies d'autant plus compréhensibles, que l'environnement est tout à fait propice à donner ce type d'envies.
Mais elle ne termine jamais la nuit avec les clients, même pour tout l'argent qu'ils pourraient lui donner. C'est une question de principe dit-elle :
-'' On ne peut mener une maison et se donner les libertés du personnel !".

Et, lorsqu’elle est ainsi, éméchée et pleine d'envies, derrière son bar elle se trousse et debout, elle s'appuie et se frotte la chatte sur ce qu'elle appelle ''son cheval de bataille''. En fait, il s'agit d'un astucieux dispositif : une sorte de mandrin en plastique creux, comme un gros doigt de gant, enfilé sur une des poignées à bascule des portes du placard sous le bar, poignée comme en voyait encore dans les années cinquante. Ainsi, de par sa hauteur, sa forme et sa position, cette poignée ''habillée'' imite un énorme braquemart dressé, invitant toute fente chaude et avenante à venir s'y enfiler… Le plus souvent accoudée au bar, tout en continuant de discuter avec les clients, elle se frotte le haut de la fente sur la bite artificielle ; et aussi le clitoris qu'elle a elle aussi, très développé. Elle se branle ainsi de façon lascive et lancinante jusqu'à la jouissance. Celle-ci peut venir au bout d'un long moment de ce manège et se concrétise presque toujours dans un déluge verbal de mots orduriers et blasphématoires et dans un déferlement de foutre et de cyprine chaude qui lui dégouline le long des jambes et s’étale en une mare sur le parquet, sous les clairevoies du caillebotis qui occupe le passage derrière le bar. D’ailleurs, le sol à l’aplomb de la poignée en garde les marques d’une fois à l’autre, tant il s’imbibe de la liqueur foutrale.

Ces jouissances, ajoutées à l'alcool, ont pour conséquence de lessiver '' la Belle Adèle '', qui trouve là le prétexte pour laisser aller son corps. Alors, elle se laisse glisser sur la '' fausse queue '' du bar où elle se baise pour de vrai… On verra plus loin que ces séances sont également l'occasion de moments très sympathiques pour la clientèle…

Bien qu’elle n’aille jamais jusqu’à se faire baiser, elle aime beaucoup exciter les hommes et particulièrement les petits jeunots qui fréquentent parfois son établissement.
Il lui arrive même assez souvent de se trousser, ou de se laisser trousser, et de se " montrer aux p’tits gars " comme elle dit, juste pour les faire bander. (Photo 4).

Et quelle est donc la spécialité de la belle et jeune Jeanne demanderez-vous ? Eh bien elle a elle aussi de bonnes dispositions dans des domaines intéressants pour les clients…

Ainsi, son truc à elle c’est surtout la danse et en particulier la danse de séduction. Son affaire c'est de séduire, voire de draguer les clients par la danse et par l'exhibition, de toutes les façons possibles… Comme nous allons le voir, ce petit jeu peut être poussé assez loin lorsque la soirée s'annonce chaude et que la clientèle n'est pas regardante sur les bouteilles de champagne…

Comme la patronne, Jeanne bien souvent ne porte pas de culottes, ou du moins elle lorsqu’elle en porte, celles-ci sont assez larges et hautes ouvertes en leur milieu. En réalité, elle les a beaucoup échancrées sur le haut ce qui fait que même le pubis et le haut de la fente sont libérés. (Photo 5).

Cela laisse discrètement la totalité de la fente très accessible et très à la portée des plus audacieux qui, l'ambiance et le champagne aidant, osent s'aventurer plus avant en direction des intimités de la Belle. Son truc, c’est aussi de se caresser debout le long du bar, à la fois discrètement et très distraitement – ou plutôt de façon faussement discrète ! - mais très ostensiblement.

Jeanne est très exhibitionniste. Sûre de son charme et de sa beauté, elle aime montrer jusqu’à son intimité. Elle fait en sorte d'être vue pour exciter la gente masculine qui fréquente l'établissement. C'est là une de ses qualités : le faire sans en avoir l'air, tout en faisant ce qu'il faut pour être remarquée.

Elle porte parfois des robes très courtes pour l'époque, au-dessus de la mi-cuisse, ce qui laisse voir ses jambes superbes. A d’autres moments et c’est le cas le plus souvent, des tenues très longues pour mettre toute sa silhouette en valeur. Ses robes sont conçues de telle façon que sous un repli bien étudié, vous avez libre accès à l’intimité de la belle, alors que n’y parait de prime abord… De toute façon elles sont en soie ou tissu très fin, donc très légères et vaporeuses, accentuant encore la sensualité de son corps et de son port gracile.

A travers ce fin tissu, elle fait aller et venir son doigt sur la motte, l'index effleurant juste le clitoris très doucement d'abord, de façon presque imperceptible, puis en insistant, augmentant l'intensité de la pression et l'ampleur du mouvement tournant juste sur le haut du pubis...

De plus, Jeanne a cette particularité quand elle se caresse : elle titille bien sûr le clitoris, mais plus que le clitoris, et plus finement encore, elle caresse d’une façon bien particulière la naissance des petites lèvres, juste en dessous du clito proprement dit. Cette caresse plus subtile la met toujours en transes. En allant au bout de la caresse, elle se fait jouir ainsi, debout le long du bar où sur la piste de danse.

Parfois lorsqu'elle est bien en forme, elle '' lâche tout '', ne pouvant plus se contenir, elle décharge comme une gueuse, debout, inondant le parquet… Ce qui laisse imaginer l'état dans lequel se trouve alors sa jolie chatte ; ses cuisses ruissellent de cyprine. Bien souvent cette jouissance libère chez les clients l'excitation et l'hystérie contenues depuis un long moment… Nous en reparlerons…

Il arrive aussi, et ce n'était pas rare, que certains d'entre eux prennent en main la fin de la manœuvre, c'est le cas de le dire, ce qui ne calme rien, on s'en doute… Lorsqu’elle en a un petit coup dans l'aile, comme l'alcool la désinhibe des bonnes convenances et des tabous, elle prend beaucoup de plaisir à se dévoiler dans des stripteases lascifs et suggestifs, qu’elle fait autant pour elle que pour les hommes qui la regardent en la dévorant des yeux…

Dans ces intenses moments alcoolisés, sous conditions que des bouteilles de champagne supplémentaires aient bien été commandées à l'Adèle, il lui arrive de venir se jucher sur le bar, de poser ses fesses nues sur le bord du zinc, les deux pieds sur les hauts tabourets, face à la salle. Et là, les jambes et les cuisses largement ouvertes, elle écarte de ses doigts les lèvres de son joli minou et elle invite d'un signe de tête ou d'un regard prometteur un ou deux hommes de l’assistance à s’approcher pour bien voir les détails de son joli con avenant et mouillé.

Les types très vite, en arrivent à se branler devant elle en contemplant le spectacle. A son tour, excitée par la vision des mecs en train de s'astiquer la pine, elle jouit et décharge en jets brusques et intenses qui sortent de sa fente et arrosent à l'aronde…

Cela ajoute à l'excitation des hommes qui alors de se mettent à décharger partout sur la belle Jeanne, sur ses jambes et dans ses cuisses ouvertes, sur ces seins, et aussi sur son ventre et sur sa chatte ouverte, et même jusqu’à l'entrée de sa jolie vulve. De sentir ainsi le foutre chaud sur sa muqueuse, la met dans un tel état qu'elle en décharge de plus bel…

La belle Jeanne ne va donc jamais jusqu’à baiser avec les hommes, allez-vous penser ? Si bien sûr, mais comme pour toutes les autres pensionnaires, du " Carré de dames ", la baise est interdite tant que le quota de bouteilles de champagne servies n’est pas atteint !...

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