Deux Amis
Deux amis
.Alors que nous jouions ma femme et moi, avec un autre homme, elle a voulu que je le suce, avant de moffrir à lui ; ce sera loccasion de conter lhistoire, mais surtout, cet événement ma remis à lesprit une aventure de jeunesse.
Nous étions deux amis deux jean, très complice dans notre vie ; sport, loisir, sortie la nuit, et même copine commune éventuellement.
Murielle, pas farouche demoiselle, nous accordait ses faveurs et nous avions déjà eu loccasion de passer une soirée, tous les deux avec elle, la possédant à tour de rôle (à lépoque, nous ne pratiquions pas la double pénétration). Ce soir là, nous avions rendez-vous avec elle, chez mon copain et nous savions que nous allions passer une très bonne soirée ; dès son arrivée, nous lavons entrepris, la caressant, lui triturant les seins, bandant, à lidée de la posséder ; cest alors que limprévu est arrivé : ces règles étaient là, imprévues, mais réelles ce qui à mis une fin à nos jeux ; nous étions là , hyper excités, mais sans nana. Avant de nous quitter, elle nous a dit, coquinement « désolée, il ne vous reste plus quà jouer ensemble » et avec un grand rire, elle sest enfuie.
Si je connaissais jean sous toutes les coutures, même sa queue bien raide baisant notre copine, je ne lavais jamais touché, et de nous voir ainsi, bien raides dans le caleçon, a déclenché un bon fou rire et
jean , se caressant : « on a lair fin , mais jai trop envie, fais comme moi » et sortant sa queue, il sest mis à se caresser ; une belle queue, au moins 18 cm, un peu plus que moi, mais surtout très épaisse, une goutte de sperme perlant au bout de son méat ; après tout pourquoi pas et sans hésiter, à mon tour , je me suis branlé ; assis côte à côte, nous nous astiquions le chibre, quand soudain, il posé sa main sur ma cuisse, puis sur ma queue « fait comme moi, branle moi, ce sera plus excitant «
Cétait la première fois quun homme me toucher intimement, et il a vu mon hésitation « tu sais , jai déjà fait lamour avec un homme et jai envie de toi, laisses moi faire et si tu veux arrêter, je le ferais » non seulement, il a emprisonnai ma queue, mais prenant la main, il la posé sur la sienne ; moment de flottement, mais la sensation de sa branlette était assez agréable, et me glissant sue le bord du fauteuil, je me suis offert à ses envies ; se mettant entre mes jambes, il a continué à me branler, sarretant quand il sentais mon plaisir trop fort, puis doucement, il a gobé mon gland ; jai toujours aimé me faire sucer, mais à ce contact, une décharge a traversé mon corps ; sa bouche autour de mon chibre me transportait vers le plaisir ; enfonçant complètement, il me triturait les couilles et me caressait le sillon ; sous cette double caresse, je nai pas tardé à sentir monter ma semence, et jai voulu me retirer ; il a vite compris et magrippant, il sest maintenu sur ma queue et quand mes jets ont fusé, accompagnés par mes gémissements de plaisir ; il les a avalés goulument, puis se retirant , il ma embrassé, me rendant un peu de ma semence ; contrairement à ce que je pensais, loin de me dégouter, jai apprécier le gout de mon sperme et à mon tour, je lai embrassé, ma langue allant à la recherche de ma semence
Alors que je mapprêtais à lui rendre la pareil, il ma pris par la main et ma emmené dans sa chambre ; le sexe toujours bandé, il ma couché sur son lit, à genou ; ainsi mon fessier lui était offert, et très rapidement sa bouche sest posée sur mon sillon, sa langue me fouillant lanneau ; puis un doigt a essayé de me pénétrer ; à son contact, je me suis braqué, et la réaction de jean a été immédiate : une grande claque sur la fesse, et dans la foulée, son doigt ma pénétré, puis crachant sue lanneau, il a commencé à me sodomiser, pour rapidement ajouter un deuxième doigt ; je sentais mon anneau souvrir mais jappréhendais son chibre « arrête tu es trop gros, tu vas me déchirer »
« laisse toi faire, de toutes les façons, tu vas mappartenir, je vais te sodomiser, tu vas devenir ma petite femme, ma petite salope, jai trop envie de ton cul » soudain cest son gland que je sens se frotter sur lanneau ; mais le passage est encore serré et quand il pousse sa queue dans mon conduit, la douleur et foudroyante ; je crie, je rue mais rien ny fait ; je suis sous son emprise et dune poussée plus forte , il me perfore, faisant céder la résistance de mon anneau ; je hurle ma douleur, mais il nen tiens pas compte et se retirant, il recommence à me percuter, senfonçant cette fois dune seule traite ; nouvelle douleur, mais petit à petit alors quil me pourfend vigoureusement, mes gémissements changent ; en effet la douleur fait place à un certain plaisir et je bande de nouveau ;
il sen aperçoit et memprisonnant la queue et accentuant ses coups de pistons, il me dit« je viens de te dépuceler et je vois que tu aimes cela, tu es une petite lope, dorénavant , tu seras ma femme, ,je vais me vider en toi, remplir ton petit cul » en effet très rapidement, il se cambre et de nombreux jets, puissants et chauds viennent me frapper la prostate, déclenchant une nouvelle vague de jouissance ; il se vide , mais ne ressort pas, il continue à bander et sa queue me remplit toujours ; maintenant mon plaisir est complet, mon anneau dilaté encaisse les percussions et je lencourage à me défoncer.
Nous avons plusieurs fois revu Murielle, pour nos jeux à trois et bien entendu, jean ma sodomisé devant elle, pour mon plaisir et le sien, car si jai continué à la faire jouir, de nombreuses fois, elle a elle aussi pu, grâce à ses godes, me posséder. Malheureusement les études nous ont éloigné, aussi bien jean que Murielle et il a fallut de nombreuses années avant que je ne retrouve le plaisir avec un homme
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