La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1098)
La Comtesse et son clitoris Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) (suite) -
Jétais devenue une véritable salope et je me sentais surtout salope et si heureuse de lêtre
- Décidément, tu nes pas nimporte qui, toi, dit la voix masculine qui me conduisait
Cétait une voix rocailleuse, je sentais la main qui me tenait par le collier, main puissante, large qui me menait sans ménagement.
- Jai limpression que tu en veux encore
répond, cria la voix qui masséna une gifle que je ne pus éviter étant donné que je voyais rien
- Oui, Monsieur, oui jaime ça, oui jen veux encore.
- Et ben, la salope, tu vas être servie, ici on sait contenter les femelles comme toi
Décidément Simon a bien fait de tamener au Maître
Nous avons marché ainsi pendant quelques minutes, et lhomme mattacha à un piquet me liant les mains derrière le dos et dit :
- Attends que jamène la bétaillère
- La quoi ?, me dis-je mentalement ? Il a dit « bétaillère » !
Quelques instants plus tard, effectivement, jentendais le bruit dun moteur qui se rapprochait. Des bruits de cliquetis, des voix qui se parlaient :
- Non pas comme ça, Michel, il faut lattacher, sinon elle tombera au premier virage
Puis, la main détacha la longe qui me tenait par le collier au piquet, et me tira vers
un plateau incliné, sur lequel je marchais maintenant, comprenant que jentrais dans la bétaillère
- A quatre pattes la jument, cria la voix,
Je me mis à quatre pattes et dans cette pose, on me fit tourner dans lautre sens, tête vers la sortie, cul vers le fond de la bétaillère. Je fus attachée par des cordes autour de la taille jusquaux côtés de la remorque, tandis que lhomme dit :
- Pousses-toi, la chienne, tu vois pas que tu me gênes ?
A qui parlait-il ? Y aurait-il quelquun dautre comme moi ? Je tentais de réfléchir, lorsquune autre corde attrapa mon collier et fut attachée à une autre ridelle.
- Il y a quelquun dis-je timidement ?
- Oui, je suis à coté de toi, dans lautre sens
- Tu tappelles comment demandais-je
- Emilie et toi ?
- Isabelle
- Tu es ici toi aussi ?
Jappris que la jeune femme avait 20 ans, que cela faisait un an quelle vivait ici, que cétait une communauté de Domination/soumission dirigée par un Maître disait-elle
- Mais comment as-tu atterri ici ? demandais-je à Emilie
- Jy suis venue toute seule attirée par la vie de la Domination/soumission
- On nous emmène où, demandais-je ?
- Je ne sais pas, dans une dépendance je pense mais je sais ce qui sy passe par dautres esclaves qui y sont allées
Tandis que la voiture cahotait sur les chemins défoncés, nous, dans la bétaillère, cahotions dans un sens et lautre
conduites comme des bêtes vers
Au bout dun temps qui me parut fort long, on arriva me semble-t-il puisque le moteur sarrêta, les portières claquaient, des voix nouvelles se faisaient entendre
Enfin le plateau souvrit
un air vif entra dans la bétaillère, les cordes étaient détachées et je me mettais debout quand :
- Reste à quatre pattes la jument, ici, tu nes quune esclave, tu vas lapprendre
Immédiatement je repris ma pose, et cest tirée vers lavant que javançais, descendait du plateau, arrivant daprès mes genoux, sur un terrain herbu
et je fus attachée à un pieu, tandis quEmilie était sortie à son tour
.
- Si vous voulez pisser les femelles, cest le moment dit une voix masculine
En effet, le froid me donnait envie de faire pipi et nous voilà, Emilie et moi, saccroupissant en se laissant glisser sur le pieu, cuisses écartées en train duriner comme des femelles.
- Si vous avez soif, voilà les gamelles
Le sac sur ma tête fut retiré, et une main appuyait sur ma tête, vers la gamelle deau
je lapais leau fraîche, comme le font les femelles animales (et cela mexcitai grandement, je dois bien lavouer). Jentendais Emilie en faire de même
Les hommes parlaient entre eux
Puis, on me détacha et cest à quatre pattes que nous allâmes sur le chemin, tirées à laveuglette par les hommes. Nous entrions dans un bâtiment glacial
Les dalles avaient remplacé lherbe mouillée
A nouveau, Emilie et moi, furent attachées à un anneau fiché dans un mur, comme des juments attendant la suite
On vint chercher Emilie qui fut donc la première à partir
Une heure passa ainsi, des mains venaient me toucher les fesses, tandis que les hommes parlaient entre eux de prairies, de choses de la terre, de semis, avec de temps en temps, des remarques sur moi :
- Beau cul, celle-là !
- Tas vu ses nichons ?
- Moi ce que trouve pas mal cest la largeur de ses fesses et la finesse de sa taille, ça met en valeur
- Ouais, tas raison, reprit un autre
(Une main soupesait mes seins, les pressait
)
- Ils sont petits, mais fermes dit la voix, jaime ! Tu sais, faut pas se fier à la taille des pis, souvent les plus petits sont les meilleurs.
- Elle na pas encore vêlé, celle-là, dit une autre voix
- Ca veut rien dire, crois-moi, en tout cas avec le bassin quelle a, elle naura pas de problème à porter un jour
- Et si nous lessayons, au lieu dattendre à ne rien faire !
- Bonne idée ! Laisse-moi faire en premier, je vais voir comment suce cette chienne !
Je vis alors sapprocher celui qui venait de parler alors que son complice regardait la scène avec gourmandise. Arrivé près de moi, il baissa sa braguette pour me présenter sa verge à demi-molle près de ma bouche
Excitée de servir de vide-couilles, je décidais de poser ma bouche sur ce sexe et le couvre de simples petits baisers, ce qui le fit bander rapidement.
- Tu peux lenvoyer cest prêt !
La corde fut détachée et on me tirait
Javançais suivant mon meneur ayant encore du foutre qui coulait de la commissure de mes lèvres buccales
.
Jarrivais dans une sorte de box, dans lequel il me semblait quil y avait une litière de paille, on me fit tourner dans un autre sens, la sortie peut-être, et me revoilà à nouveau attachée à un anneau fiché dans le mur. La porte se referma sur moi, et on menleva le bandeau, enfin ! Le temps que mes yeux shabituent à la lumière, je voyais en effet où jétais
Une sorte détable ou écurie, dans un box effectivement
et la porte était celle des box des chevaux, avec une ouverture
Les mains étaient toujours liées dans le dos :
- Tu peux te mettre sur tes pattes si tu veux, mais fais gaffe me dit lhomme devant moi, quand tu entends entrer, tu te mets immédiatement à quatre pattes sinon tu comprendras pourquoi !
- Bien Monsieur, répondis-je !
Avec un sourire de carnassier, flattant un de mes seins, me fixant dans les yeux, il me dit :
- Toi ma belle, tu nes pas comme les autres, je vais moccuper de toi personnellement
Lhomme, vêtu dune salopette à la mode paysanne, des bottes crottées aux pieds, était âge de plus de soixante années, barbe hirsute, la cigarette jaune maïs au coin de la bouche, des mains si larges quon aurait dit des cuisses
un nez épaté
il était entouré dhommes plus jeunes dont certains étaient beaux, sentant la vigueur des jeunes années
- Tiens, cest pour boire quand tu as soif me dit un plus jeune, mapportant un baquet deau, la bouffe cest plus tard
- Merci, Monsieur, répondis-je par instinct de bien élevée
qui fut suivi dun immense éclat de rires de ces hommes qui se tapaient sur les cuisses en une franche rigolade.
- En plus elle est polie la chienne, dit lun dentre eux, tu vois quelles aiment ça
En effet, je ne pouvais pas nier que la situation me faisait mouiller dêtre traitée comme un animal
comme une esclave
(A suivre
)
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