La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1098)

La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -

J’étais devenue une véritable salope et je me sentais surtout salope et si heureuse de l’être …

- Décidément, tu n’es pas n’importe qui, toi, dit la voix masculine qui me conduisait…

C’était une voix rocailleuse, je sentais la main qui me tenait par le collier, main puissante, large qui me menait sans ménagement.

- J’ai l’impression que tu en veux encore… répond, cria la voix qui m’asséna une gifle que je ne pus éviter étant donné que je voyais rien…
- Oui, Monsieur, oui j’aime ça, oui j’en veux encore.
- Et ben, la salope, tu vas être servie, ici on sait contenter les femelles comme toi… Décidément Simon a bien fait de t’amener au Maître…

Nous avons marché ainsi pendant quelques minutes, et l’homme m’attacha à un piquet me liant les mains derrière le dos et dit :

- Attends que j’amène la bétaillère…
- La quoi ?, me dis-je mentalement ? Il a dit « bétaillère » !

Quelques instants plus tard, effectivement, j’entendais le bruit d’un moteur qui se rapprochait. Des bruits de cliquetis, des voix qui se parlaient :

- Non pas comme ça, Michel, il faut l’attacher, sinon elle tombera au premier virage…

Puis, la main détacha la longe qui me tenait par le collier au piquet, et me tira vers… un plateau incliné, sur lequel je marchais maintenant, comprenant que j’entrais dans la bétaillère…

- A quatre pattes la jument, cria la voix,

Je me mis à quatre pattes et dans cette pose, on me fit tourner dans l’autre sens, tête vers la sortie, cul vers le fond de la bétaillère. Je fus attachée par des cordes autour de la taille jusqu’aux côtés de la remorque, tandis que l’homme dit :

- Pousses-toi, la chienne, tu vois pas que tu me gênes ?

A qui parlait-il ? Y aurait-il quelqu’un d’autre comme moi ? Je tentais de réfléchir, lorsqu’une autre corde attrapa mon collier et fut attachée à une autre ridelle.

Puis, enfin, en plus du bandeau sur les yeux, un sac de toile se posa sur ma tête la recouvrant complètement. J’entendais l’homme descendre, le plateau se refermer sur moi…. Enfin le véhicule se mit en marche. Quatre pattes, sur les genoux et les mains, tenue par les cordes me voilà partie vers mon destin… Soudain j’entendis une respiration forte à ma gauche…

- Il y a quelqu’un dis-je timidement ?
- Oui, je suis à coté de toi, dans l’autre sens…
- Tu t’appelles comment demandais-je
- Emilie et toi ?
- Isabelle
- Tu es ici toi aussi ?

J’appris que la jeune femme avait 20 ans, que cela faisait un an qu’elle vivait ici, que c’était une communauté de Domination/soumission dirigée par un Maître disait-elle…

- Mais comment as-tu atterri ici ? demandais-je à Emilie
- J’y suis venue toute seule attirée par la vie de la Domination/soumission…
- On nous emmène où, demandais-je ?
- Je ne sais pas, dans une dépendance je pense mais je sais ce qui s’y passe par d’autres esclaves qui y sont allées…

Tandis que la voiture cahotait sur les chemins défoncés, nous, dans la bétaillère, cahotions dans un sens et l’autre…conduites comme des bêtes vers… Au bout d’un temps qui me parut fort long, on arriva me semble-t-il puisque le moteur s’arrêta, les portières claquaient, des voix nouvelles se faisaient entendre… Enfin le plateau s’ouvrit… un air vif entra dans la bétaillère, les cordes étaient détachées et je me mettais debout quand :

- Reste à quatre pattes la jument, ici, tu n’es qu’une esclave, tu vas l’apprendre…

Immédiatement je repris ma pose, et c’est tirée vers l’avant que j’avançais, descendait du plateau, arrivant d’après mes genoux, sur un terrain herbu… et je fus attachée à un pieu, tandis qu’Emilie était sortie à son tour….

- Si vous voulez pisser les femelles, c’est le moment dit une voix masculine…

En effet, le froid me donnait envie de faire pipi et nous voilà, Emilie et moi, s’accroupissant en se laissant glisser sur le pieu, cuisses écartées en train d’uriner comme des femelles.
J’entendais le jet d’urines couler…puis :

- Si vous avez soif, voilà les gamelles…

Le sac sur ma tête fut retiré, et une main appuyait sur ma tête, vers la gamelle d’eau… je lapais l’eau fraîche, comme le font les femelles animales (et cela m’excitai grandement, je dois bien l’avouer). J’entendais Emilie en faire de même… Les hommes parlaient entre eux… Puis, on me détacha et c’est à quatre pattes que nous allâmes sur le chemin, tirées à l’aveuglette par les hommes. Nous entrions dans un bâtiment glacial… Les dalles avaient remplacé l’herbe mouillée… A nouveau, Emilie et moi, furent attachées à un anneau fiché dans un mur, comme des juments attendant la suite… On vint chercher Emilie qui fut donc la première à partir… Une heure passa ainsi, des mains venaient me toucher les fesses, tandis que les hommes parlaient entre eux de prairies, de choses de la terre, de semis, avec de temps en temps, des remarques sur moi :

- Beau cul, celle-là !
- T’as vu ses nichons ?
- Moi ce que trouve pas mal c’est la largeur de ses fesses et la finesse de sa taille, ça met en valeur…
- Ouais, t’as raison, reprit un autre… (Une main soupesait mes seins, les pressait…)
- Ils sont petits, mais fermes dit la voix, j’aime ! Tu sais, faut pas se fier à la taille des pis, souvent les plus petits sont les meilleurs.
- Elle n’a pas encore vêlé, celle-là, dit une autre voix…
- Ca veut rien dire, crois-moi, en tout cas avec le bassin qu’elle a, elle n’aura pas de problème à porter un jour…
- Et si nous l’essayons, au lieu d’attendre à ne rien faire !
- Bonne idée ! Laisse-moi faire en premier, je vais voir comment suce cette chienne !

Je vis alors s’approcher celui qui venait de parler alors que son complice regardait la scène avec gourmandise. Arrivé près de moi, il baissa sa braguette pour me présenter sa verge à demi-molle près de ma bouche… Excitée de servir de vide-couilles, je décidais de poser ma bouche sur ce sexe et le couvre de simples petits baisers, ce qui le fit bander rapidement.
Puis je m’exécutais, je vis apparaître devant mes yeux une queue ayant vite doublé de volume, plutôt longue et d'une épaisseur impressionnante, un véritable taureau, à la vue de ses énormes couilles pendantes ! Cet homme bandait vite et d'un coup de reins sec et puissant, il enfonça son pénis entre mes lèvres, emplissant ainsi ma bouche et l'entrée de ma gorge... J'étouffais... mais peu lui importe, tant qu'il put ainsi faire aller et venir son gros sexe dans la gaine chaude et humide de ma bouche soumise... Sa main pesa lourdement sur ma nuque et j’étais dans l'impossibilité de résister... Je commençais à paniquer car j'étouffais vraiment. L'air manquait... mais c'est alors avec soulagement que je sentis assez rapidement un flot épais emplir ma gorge... Il vint d'éjaculer et sa semence abondante se répandit dans ma bouche de putain… Il m’imposa de tout avaler et de lui nettoyer son gland et sa hampe. Puis son complice s’approcha et je dus faire la même chose quand enfin, une autre voix se fit entendre :

- Tu peux l’envoyer c’est prêt !

La corde fut détachée et on me tirait… J’avançais suivant mon meneur ayant encore du foutre qui coulait de la commissure de mes lèvres buccales….

J’arrivais dans une sorte de box, dans lequel il me semblait qu’il y avait une litière de paille, on me fit tourner dans un autre sens, la sortie peut-être, et me revoilà à nouveau attachée à un anneau fiché dans le mur. La porte se referma sur moi, et on m’enleva le bandeau, enfin ! Le temps que mes yeux s’habituent à la lumière, je voyais en effet où j’étais… Une sorte d’étable ou écurie, dans un box effectivement… et la porte était celle des box des chevaux, avec une ouverture… Les mains étaient toujours liées dans le dos :

- Tu peux te mettre sur tes pattes si tu veux, mais fais gaffe me dit l’homme devant moi, quand tu entends entrer, tu te mets immédiatement à quatre pattes sinon tu comprendras pourquoi !
- Bien Monsieur, répondis-je !

Avec un sourire de carnassier, flattant un de mes seins, me fixant dans les yeux, il me dit :

- Toi ma belle, tu n’es pas comme les autres, je vais m’occuper de toi personnellement…

L’homme, vêtu d’une salopette à la mode paysanne, des bottes crottées aux pieds, était âge de plus de soixante années, barbe hirsute, la cigarette jaune ‘maïs’ au coin de la bouche, des mains si larges qu’on aurait dit des cuisses… un nez épaté… il était entouré d’hommes plus jeunes dont certains étaient beaux, sentant la vigueur des jeunes années…

- Tiens, c’est pour boire quand tu as soif me dit un plus jeune, m’apportant un baquet d’eau, la bouffe c’est plus tard…
- Merci, Monsieur, répondis-je par instinct de bien élevée…qui fut suivi d’un immense éclat de rires de ces hommes qui se tapaient sur les cuisses en une franche rigolade.

- En plus elle est polie la chienne, dit l’un d’entre eux, tu vois qu’elles aiment ça…

En effet, je ne pouvais pas nier que la situation me faisait mouiller d’être traitée comme un animal … comme une esclave …

(A suivre …)

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