Mélanie, Ma Belle Soeur, Sodomie 2/2

Cela fait tout juste 4 jours que ma belle soeur est chez nous, depuis elle a non seulement perdu sa virginité avec moi, le mari de sa soeur, mais nous sommes dans notre petit hôtel Mélanie est allongée sur le ventre, je pénètre sa chatte en levrette et en plus je suis en train de rentrer la troisième boule de geisha dans son cul qui est toujours vierge du sexe d’un homme. J’ai très envie de déjà lui faire sauté le petit verrou mais le fait de la faire patienter la rend encore plus excité et mouillée, alors je vais faire durer le plaisir. En plus j’ai envie de voir sa tête quand ma bite va pénétrer son cul, j’ai intérêt à bien l’ouvrir avant! Donc je continue à la limer violemment alors que je sens ça main frotter son clito et même descendre jusqu’à ma queue pour la caresser. Régulièrement je reste bien au fond d’elle pour lui permettre de me caresser les couilles qui viennent taper contre sa main.
Je fais de nouveau quelques allers retours et une fois bien planté en elle, je commence à introduire la quatrième boule. Son petit trou s’écarte sous la pression, les parois restent bien collé autour de la boule de plastique sur laquelle j’ai rajouté du lubrifiant. Je la maintient un moment immobile quand le diamètre le plus large de la boule la transperce. Je la fait même un peu ressortir pour encore mieux la rentrer. Puis je décide d’arrêter là le supplice et j’enfonce entièrement la quatrième boule dans son cul serré. Je reprends alors le pilonnage violent de sa moule, sa main qui ne caresser plus ni son sexe ni le mien se remet à bouger. J’accélère le rythme de mes rentrées et sorties et elle accélère le rythme de sa main. Je la lime plus lentement mais elle continue à masser aussi fort son clito. Je tire un peu sur le fil des boules de geisha pour commencer à en faire sortir une, quand je sens son vagin se contracter autour de ma queue. La salope à déjà son deuxième orgasme, alors je tire bien sur la ficelle et je retire complètement les deux premières boules qui sont dans son cul.

Son sexe se contracte encore plus fort autour du mien et elle sort un cri qui semble être un mélange de souffrance et de plaisir alors je ralentis le rythme de ma bitte et ne touche plus à son cul.

Une fois qu’elle complètement redescendu je me retire de son sexe trempé, je la retourne sur le dos, lui écarte les jambes et je vais lécher son con pour récolter le nectar de son plaisir. Je n’assèche pas totalement sa source, je me place debout entre ses jambes, que je pose sur mes épaules et je frotte ma bite contre ses lèvres et son clito ce qui me fait rebander immédiatement. Puis avec ma main gauche je tire doucement sur la ficelle des geisha pour faire ressortir une des deux dernières boules qui sont toujours dans son cul alors qu’avec ma main droite j’appuies mon sexe encore plus contre le sien. Je vois son visage s’épanouir, son corps bouger de droite à gauche, elle gémit de plaisir. Je tire un peu plus sur la ficelle et là je vois son visage se crisper, le milieu de la boule doit lui ouvrir son petit trou au maximum, mais son corps continue de bouger et elle gémit toujours même si à certains moments la douleur prend le dessus sur le plaisir. Plus je tire sur la ficelle et plus son visage s’épanouie. J’ai très envie d’être dans son petit cul serré alors je continue à tirer sur la ficelle, je frotte une dernière fois ma queue contre ses lèvres, je place mon gland à l’entrée de son vagin. Je la prends entièrement et tire en même temps d’un coup sur la ficelle pour libérer son cul. Comme tout à l’heure elle crie mais cette fois j’entends plus de plaisir dans sa voix que de souffrance. Je me retire aussi de son sexe et descend écarter ses fesses pour voir son petit trou ouvert. Mais il n’est pas encore assez élastique et se referme rapidement.

Alors je redonne quelques coups de langue sur son trou, je crache dessus. Je me lève, je crache aussi sur mon sexe tendu et je place mon gland à l’entrée de sa petite grotte. Avant de rentrer je lui dit:
« Tu en as toujours envie? »
« Oui mais vas y doucement j’ai peur d’avoir mal avec ta grosse bite! »
En l’entendant dire ça ma queue gonfle encore plus et je rajoute
« Essayes de ne pas te crisper sinon c’est comme ça que tu vas avoir mal.
Il faut que tu pousses avec tes fesses comme si tu étais au toilette, ça passera plus facilement »
Elle me fait oui de la tête, alors je commence à caresser son petit trou avec mon gland, je le sens qui s’ouvre de plus en plus à chacun de mes passages. Je verse du lubrifiant sur elle et moi puis j’enfonce doucement la tête de mon gland. Je sens ses sphincters s’ouvrirent alors j’appuies un petit plus mais lorsque la tête de mon gland passe, son cul se contracte sur mon frein. Je m’immobilise et lui dit pour la rassurer:
« Le plus large est passé, souffle bien et maintenant ça ne va être que du plaisir »
Pour la décontracter avec mon pousse droit je caresse son clito, ce qui l’a fait très rapidement gémir alors je commence à m’enfoncer un peu plus dans son cul avec des petits allers retours très doux jusqu’à ce que je sois entièrement en elle. Déjà quand je l’ai pénétrée pour la première fois vaginalement, et même encore maintenant, c’était excellent d’être dans un sexe aussi serré surtout comparé à sa soeur, mais là dans son petit cul je suis encore plus comprimé. Je commence à la ramoner très doucement parce que j’ai encore du mal à bien bouger et je ne veux pas lui faire trop mal, surtout que son visage est bien crispé. Je fais des petits mouvements au même rythme que mon pousse contre son clito. Son visage se détend et son cul aussi alors j’accélère un peu le rythme. Ca y est elle commence à aimer ça! J’abandonne alors son clito, je l’att par la taille et j’accélère encore plus mes allers retours en elle. Mes mouvements sont tellement amples maintenant que ma bite sort entièrement de son cul alors j’en profite pour écarter ses fesses au maximum et voir se petit trou qui n’est plus si petit que ça!
Avec ma main droite j’att ma queue je crache. Je me présente mon gland sur son oeillet et je m’enfonce d’un coup sec. Elle crie de nouveau. Je ne sais pas si elle a plus de plaisir ou de douleur mais maintenant je m’en fous. Je la pilonne comme un fou.
Je ne pense plus qu’à mon plaisir. Je ressors pour encore mieux la reprendre. Elle gémit et à des larmes qui lui coulent des yeux. Je me remets à la sodomiser violemment.
Il ne me faut plus que 5 min quand au milieu de ses gémissement, je m’immobilise au fond d’elle et je lui inonde son petit cul de 4 longues giclées de sperme en lui serrant fort la taille.
Je reste un moment en elle a profiter de son trou qui contracte toujours ma queue. Ma bite à commencer à dégonfler alors je me retire doucement de son cul. Une fois totalement sorti je vois que ma queue n’est pas seulement couverte de mon sperme mais qu’il y a aussi un peu de sa merde alors je m’essuies avec le drap du lit avant de m’allonger à cote d’elle et la prendre dans mes bras.

Nous restons un moment comme ça, je n’ose pas parler mais elle me dit:
« J’ai le cul en chou fleur! ».
Nous explosons tous les deux de rire. Une fois calmé j’ose enfin parler
« Tu as quand même aimé? »
« En fait c’était mais étrange. J’ai ressenti un mélange de douleur et de plaisir extreme mais j’ai aussi bien aimé l’un que l’autre. Il va falloir que l’on recommence mais pas aujourd’hui parce que j’ai un peu mal »
Nous restons l’un contre l’autre encore pendant quelques minutes, puis elle se lève et va vers la salle de bain, sa démarche confirme qu’elle a mal. Elle ferme la porte des toilettes et je l’entends déféquer.
Mon téléphone sonne, c’est ma femme
« Coucou ma chérie, ça va? »
« Oui et vous? Vous êtes où? »
« Moi ça va mais je crois que ta soeur est malade, elle n’arrête pas d’aller au toilette alors on va rentrer. Tu penses finir tard? »
« Ah mince, on a des médicaments dans la salle de bain. Je vais partir dans 1h, je pensais qu’on pouvait se faire une sortie mais ce n’est peut être pas le bon soir. Pour contre si elle se couche tôt on pourra enfin finir ce que l’on a commencé dimanche. »
« Humm tu sais bien que pour moi c’est quand tu veux.
 »
Je lui dit ça alors que je suis nu dans une chambre d’hôtel, ma bite commence à redurcir alors qu’elle est couverte de mon sperme et des sécrétions vaginales et anales de sa soeur.
J’ai à peine raccroché que Mélanie sort de la salle de bain elle est toute rouge. Son regard se pose sur mon érection et elle ne peut s’empêcher de me dire:
« Ah, non! J’en peux plus! »
Je lui souris et lui dit que ce n’est que parti remise alors par contre que l’on doit se dépêcher de se doucher et rentrer parce que sa soeur sera à la maison dans 1h15.
« Au fait, je lui ai dit que tu avais la diarrhée! », elle rougit alors je rajoute en la prenant dans mes bras « ça expliquera tes allers retours toilette et ta démarche! »…



Le soir ma femme m’a demandé, quand nous étions que tous les 2 si je ne trouvais pas que sa soeur avait changé depuis qu’elle est chez nous. Je lui lance « Peut être qu’elle est plus épanouie ici que chez vos parents! »
Cette nuit là nous avons fait l’amour deux fois, ce n’était pas arrivé depuis très longtemps. C’était passionné et fort. Je ne sais pas si c’est le fait d’avoir pensé à sa soeur, si c’est le côté tabou de ces derniers jours… mais ça c’est une autre histoire…

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