La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1099)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode N°1087) -
Puis chacun fut amené au poste quil devait occuper
Quand Monsieur le Marquis dEvans ouvrit la porte devant Son ami, dans ce premier Musée Mondial de la D/s tout était plongé dans le noir. Le Châtelain invita Wangdak à entrer. Au moment où ce dernier passa le pas de la porte, le couloir séclaira. Tout était magnifiquement décoré. Le sol était en une moquette épaisse bleu roi quadrillée aux liserés jaune or, moquette étouffant les bruits des pas. Les murs étaient couverts de riches tentures rouges bordeaux. Léclairage était fait par de magnifiques et volumineux lustres à pendants de cristal tels ceux que lon trouve, par exemple, à Versailles. Des cadres en bois précieux couverts de feuilles dor mettaient en valeur des peintures, des gravures, des dessins, des photos de toutes époques, de tous pays, de situations D/s. des sculptures étaient disséminées un peu partout, D/s ou simplement érotiques.
Quand ils avancèrent dans la galerie, des vitrines silluminaient au fur et à mesure de leur avancée et séteignaient lorsquelles étaient dépassées, laissant les visiteurs toujours dans la pénombre. La première vitrine sillumina sur une sorte de grande maison de poupées. A lextérieur se trouvaient autant de boutons que de pièces. Lorsque lon appuyait sur lun deux, la pièce concernée silluminait et des automates prenaient vie et vivaient un moment D/s. Dans une vitrine plus petite se trouvaient des jeux érotiques, comme un jeu déchec où chaque pièce représentait un acte D/s, des jeux de cartes et des jeux de dés coquins
autour dun magnifique siège damour fabriqué à Paris en 1890.
Un peu plus loin, il y avait une exposition impressionnante, fixe, de plugs, godes, vibrants ou non, en plastique, bois, métal. Il y avait même des pénis factices qui se remplissaient dun liquide blanchi et épaissi au couleur du sperme, et après un temps défini de masturbation avec, se mettait à « éjaculer ».
Wangdak avait droit à une visite guidée. Il restait silencieux et très attentif aux explications de Monsieur le Marquis qui, parce quIl connaissait le Musée quIl avait Lui-même mis en place, faisait le meilleur guide quil puisse avoir. Son ami et invité se montrait donc fort intéressé par tout ce quil voyait, et simaginait utilisant tel ou tel objet avec un de ceux qui lui appartenait. Par exemple, il simaginait bien utilisant le siège damour exposé avec sa chienne Sangmo. Cétait un objet destiné à prendre du plaisir des deux côtés, mais rien nempêchait dattacher sa soumise et future femme dessus pour sen servir en mode plus D/s
Le Châtelain le regardait en souriant, devinant sans trop de mal les pensées qui pouvaient traverser lesprit de son ami.
En effet, la vitrine qui sillumina lorsquils avancèrent était toujours une vitrine de présentation, mais pour mettre en valeur les différents objets, des soumis vivants avaient été disposés. La lumière en contre-jour, permettait aux visiteurs de voir ce qui se passait, mais à linverse, les soumis ne pouvaient pas voir ce quil y avait, et qui il y avait, derrière les vitrines. Certains deux présentaient des baguettes qui enserraient douloureusement des couilles, des pénis, des seins qui portaient également au bout de leurs tétons des chaines, des langues. La suivante vitrine exposait des cages de chasteté, toujours sur modèle vivant. Lune delle avait des pointes qui menaçaient le pénis qui aurait voulu trop grossir. Certaines semblaient inoffensives. Mais Wangdak repéra de nouveaux boutons, et après un regard à Monsieur le Marquis, qui lui répondit dun signe de tête en souriant, il appuya sur lun deux. Immédiatement lun des soumis tressauta et grimaça de douleur. Effectivement, cétait une ceinture électrifiée et le bouton envoyait des petites décharges dans le sexe quelle emprisonnait.
Venait alors une salle « dexpositions ». Des soumises étaient exposées derrière une vitrine, couchées, attachées et maintenues écartelées jambes et bras en croix avec le sexe écarté bien voyant plaqué contre la devanture. A cet emplacement une ouverture était prévu afin que le visiteur excité puisse à souhait, simplement enfiler sa verge dans cette ouverture et ainsi pénétrer la soumise offerte pour se vider les couilles.
Il y avait également un tréteau avec un côté creux, lautre avec une ouverture pour la tête, les bras et les jambes, un soumis se retrouvait à devoir tenir sur une planche en pente, sans devoir toucher le sol. Et pour finir cette salle, une boite pour voyeur/exhibitionniste. Cette boîte contenait de petites ouvertures permettant de voir à lintérieur, où il se trouvait un lit couvert de draps de satin. On pouvait donc être voyeur et voir ce qui sy passait, exhibitionniste et être en train de se montrer en train de dominer ou de baiser.
- Mais je ne suis absolument pas exhibitionniste, mon cher ami !
- Il ny a pas dautres visiteurs que Moi, et je Vous promets de ne point Vous déranger pendant Vos ébats ! Mais je vous en prie, laissez-vous aller à vos envies, vos pulsions, cest aussi un des buts de ce Musée D/s!
Wangdak nhésita pas longtemps, et alors que Monsieur le Marquis séloignait discrètement, il pénétra dans la boîte. La soumise arrêta ses caresses et se prosterna attendant de savoir ce que lon allait exiger delle. Il lui ordonna de continuer ce quelle était en train de faire et elle sexécuta tandis quil sortait son sexe déjà en demi érection de son pantalon et quil commençait à sa branler en la regardant. Quand il fut bien gonflé, il se dirigea vers la chienne soumise, la fit mettre en levrette et la besogna sauvagement, étant déjà proche de lexplosion, et il se vida en elle en de longs jets de spermes épais et chauds, dans une femelle surexcitée, mais nayant toujours pas eu lautorisation de jouir. Après quelle lui eut nettoyé sa verge qui navait pas tout perdu de sa vigueur, Wangdak sortit de la boîte, puis dans le couloir où il continua à avancer, seul, de quelques pas. Il retrouva son ami un peu plus loin, devant une nouvelle devanture.
Et venait enfin « la salle des machines » ! Salle de s, de plaisirs, dentrainements
suivant le point de vue de qui la regardait ou qui était dedans à subir les divers mécanismes. Il y avait un appareil devant lequel était trois soumis, chacun ayant le sexe accaparé par une partie de la machine. Lun se faisait branler indéfiniment par une main mécanique, le second lavait enfoncé dans une vulve qui le pompait, et le troisième dans la bouche dune tête féminine qui le suçait. La machine pouvait être autant un objet de plaisir que de , car si les trois males avaient le droit déjaculer, la machine ne sarrêtait pas tant que le Maître ne décidait pas dappuyer sur le bouton quil fallait. Il y avait une planche sur laquelle un soumis se tenait penché en attrapant des anneaux dans le sol, et une tapette large lui appliquait une fessée mécaniquement. Dans le couloir, plusieurs boutons servaient à commander la vitesse et la force de frappe et le Tibétain samusa un moment à surprendre le pauvre chien dont le derrière lui cuisait, mais qui était un mâle entrainait et qui donc ne laissait échapper aucun son. Deux soumises, allongées sur le dos chacune sur une table, subissaient les assauts mécaniques dune main qui leur faisait vivre, pour lune un fist vaginal, pour lautre un fist anal.
Dautres étaient attachés à des chaises et des pompes à seins, à clitoris les faisaient gonfler jusque ce soit douloureux, avant de relâcher la pression et de recommencer. Dautres étaient reliés à des pinces, des plugs ou des godes branchés à des batteries qui sactionnaient toujours depuis des boutons se trouvant dans le couloir et permettant aux visiteurs de samuser avec les mannequins humains du musée. On y trouvait aussi deux vélos fixé au sol, un modèle féminin, où un plug anal et un gode sactivait au mouvement du pédalier dans la chatte et lanus de la femelle qui le montait, et un modèle masculin, où le gode avait été remplacé par une main qui branler la queue du mâle installé dessus
Et enfin venait le dernier appareil, celui où je me trouvais être. Debout sur deux pédales fixées au sol, les bras étendus vers le haut, accrochée par les poignets à des chaines qui pendaient du plafond, je me retrouvais les trois orifices encombrés, par des godes en bois de bonnes tailles, que le pédalier faisait aller et venir dans mes trous. Sans action humaine, autre que la mienne, seules mes jambes influaient sur la vitesse de mouvement. Mais Wangdak trouva vite les manettes permettant de la faire varier. Jeus très vite envie de hurler ma jouissance. Je bavais comme une chienne sur le morceau de bois qui moccupait la bouche. Ma cyprine dégoulinait sur celui qui me pilonnait la chatte. Je sentais mes sphincters se contractaient autour de celui qui me labourait profondément le cul !
- Eh bien cher ami ! Votre Cheptel est sans aucun doute très endurant ! Ne les récompenserez-Vous pas pour cela ?
- Je le puis effectivement ! Il y a un panneau de commande qui permet dactiver lallumage de panneau sur lesquels peuvent apparaître lautorisation de jouir. Je peux soit en allumer un à la fois, soit plusieurs, voir même tous. Avec également lindication de jouir en silence ou la possibilité de laisser éclater leurs cris.
- Hummm, je ne serais pas contre un petit concert de jouissance, alors, si Vous le voulez bien !
- Ce sera un plaisir pour moi également !
Il se dirigea alors vers un petit placard et appuya là où il le fallait. On ne tarda pas à entendre de toute part des cris plus ou moins bestiaux dorgasmes retenus depuis plus de deux heures quavaient duré la visite des deux amis. Les cris durèrent jusquà ce quils sortent du musée et quils en verrouillent laccès principal, ce qui eut pour effet de stopper net toutes les machines, tous les mécanismes et également les panneaux dautorisation à la jouissance. Plusieurs domestiques les aidèrent à sextraire des machines et ils furent tous emmenés, lorsquils eurent récupérer un peu, dans la cuisine où les attendait une collation revigorante.
- Eh bien, Vous Vous êtes surpassé encore une fois, mon Cher Edouard ! Toutes ces époques présentes, tous ces matériaux, tous ces objets, divers et variés
Vous avez une magnifique collection ! Et cette idée de pouvoir interagir avec les appareils, sans que les soumis et soumises puissent voir et donc prévoir quoique ce soit est tout simplement génial ! Je Vous félicite bien sincèrement !
- Je Vous remercie, Vos mots me touchent ! Pour un premier Musée mondial de la D/s, je ne voulais pas bâcler le travail, et je suis heureux que cela ait pu Vous plaire ! Voulez-vous observer où en est Votre chienne favorite ? Depuis mon bureau, grâce aux caméras de surveillance, vous pourriez suivre son entraînement.
- Je Vous suis avec plaisir. Vous le savez, il y a de nombreuses années maintenant que je suis Dominant. Jamais je naurai pensé que je pourrais éprouver de tels sentiments pour une chienne qui mappartiendrait. Et pourtant
Jattends avec une vive impatience notre mariage, qui fera delle ma propriété absolue, même aux yeux de la loi ! Jamais aucune chienne ne maura fait tant battre le cur, ne maura fait tant bander également, je puis bien Vous lavouer ! Jai mis du temps à me lavouer et encore plus à le lui avouer à elle, mais je ne peux nier les sentiments profonds damour que jai pour elle !
Monsieur le Marquis sourit tendrement en attendant son ami parlé. Il ne le jugeait pas, bien au contraire, et Il lui souhaitait sincèrement dêtre le plus heureux possible dans sa future vie maritale, qui pourtant ne ferait jamais disparaître le Maître qui savait être intransigeant, quil était, ni la chienne soumise que Sangmo ne cesserait jamais dêtre
(A suivre
)
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