Question De Diplôme 2
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Dès laube, je travaille et il nest pas sept heures du matin. Mais un peu avant de commencer, je dépose un grand seau plein de pince à linge en bois, un rouleau dune large et solide toile adhésive, un méchant martinet acquis peu après le départ de Martine ainsi qu'une grosse boite de punaises multicolore à trois pointes. Sur le bureau, je dépose la suite et la fin de mon règlement ainsi quune liste des punitions en cas de faute. En plus, au bas de la liste des sanctions, jai ajouté les tenues que je lui autorise et celles que je ne veux plus jamais la voir porter. Encore une fois, je mets que si elle nest pas daccord, elle connait le chemin de la sortie.
Alors que jen suis à mon second café, bien avant huit heures, Martine arrive. En robe, elle savance vers moi, ses mains tendues. Je lui tends la mienne quelle prend, embrasse longuement avant daller travailler en retirant sa robe.
Jai oublié de préciser, jai aussi mis le travail écrit que javais eu pour mes examens, il ne comporte que les questions. Martine devra semployer à y répondre avec pour seule échappatoire, deux fautes sur les cinquante questions. À lexamen, on nous autorise que cinq fautes pour valider lexamen. Il se fait un peu à la manière du code de la route. Assise, Martine lit mes règles, les signes tout en me fixant. Une fois terminé, elle vient me les apporter en sagenouillant à mes pieds. Dans mon unique vêtement, mon short, cest léquivalent dune cocotte-minute. Je bande si dur que jen ai mal.
- Plairait-il à Monsieur que je le soulage de cette belle tension ?
- Toi, ma propre sur, me sucer ?
- Il me plait de le faire. Après tout, ce ne serait quun pâle remerciement pour me remettre dans le droit chemin.
- OK, suce-moi alors.
Mon sexe dans sa bouche, jimagine la tête de nos parents sils venaient à débarquer sans prévenir.
- Cela vous a-t-il plu Monsieur ?
- Cétait plus que parfait. Vas faire cet examen. Rappelle-toi que tu nas droit quà deux fautes.
- Alors monsieur doit se réjouir, il va lui falloir très certainement me punir et durement.
- Nous verrons bien, file maintenant !
Je reste nu. Et vu la température ambiante, cela vaut mieux désormais. À son bureau, Martine pioche quelques pinces à linge, me faisant encore face, elle se les pose sur ses seins tout en se les caressant sensuellement. Enfin, elle se met au travail et javance le mien. Après une heure, vient le moment de contrôler ce travail. Devant moi, à genou, elle me tend son contrôle.
Il y a déjà deux fautes, les deux dernières questions ne comportent aucune réponse. Plus je corrige, plus je découvre des erreurs, en tout, onze fautes. Beaucoup sont impardonnables. Je gifle ses seins garnit de leurs pinces. Là, Martine grimace et déjà les larmes pointent.
- Tu connais le tarif, vas me chercher le seau et ladhésif. Demain, avant de venir, tu iras me chercher un seau complet de gros gravier, je sais quil y en a sur le chantier au bas de chez toi.
- Bien Monsieur.
Je bâillonne sa bouche de mon adhésif, jattache ses mains dans son dos avec ce même adhésif. Puis, pince après pince, je garnis ce corps tout entier, même son dos et ses bras.
Dorénavant, elle va travailler debout, près de moi. En arrachant sèchement ladhésif de sa bouche, jexige quelle lise à haute voix tout ce quelle doit impérativement savoir pour ses examens.
Dix heures, cest lheure de sa pause. Je lautorise à retirer les pinces. Seulement, je ne le lui permets de le faire quen tirant dessus chacune des pinces sans les ouvrir. Je ne la quitte pas du regard. Je prends même un malin plaisir à la ralentir dans ses mouvements. Son corps ondule, cest de toute beauté. Devant moi, Martine se met à danser lascivement. Cela rend ma sur si sensuelle quelle mériterait que je lui fasse lamour. Mais seulement voilà, elle est punie. Parfois, je m'en veux de la punir au lieu de la baiser.
- Tu vois, si tu me faisais cette danse sans avoir fait de fautes, je te coucherai et te ferais lamour, même si tu es ma sur. C serait une jolie récompense, tu ne trouves pas ? Enfin, je doute maintenant que tu puisses être autre chose que ma petite salope bien docile que ma sur.
Martine comprend alors que si elle me veut en elle, elle va devoir cravacher ferme pour ne plus commettre la moindre erreur.
Après sa pause, debout près de moi, elle met toute sa ferveur dans son apprentissage. Avant midi, nouvel interrogatoire. Je sais déjà quelle a tout donné pour tout mémoriser. Je connais la valeur de ses efforts. Seulement, dès la première question, cest la catastrophe. Je suis obligé de sévir une fois de plus. La boite de punaise est répartie sur ma chaise de bureau et celle sur laquelle elle va prendre place pour manger. À lheure du repas, je veille à ce que tout son poids soit sur ces punaises. Pour lui compliquer la tâche, je lui attache ses mains dans le dos. La soupe, sans une cuillère, cest juste un peu plus difficile à boire. Ma soupe avalée, je vais prendre le martinet. Sur son dos, les lanières ont tôt fait de rougir sa peau.
- Il nappartient quà toi de ne plus souffrir pour des bêtises quun étudiant de première année connait par cur.
Enfin, je lautorise à me sucer encore une fois. Dun coup sec, jarrache ladhésif qui recouvrait sa bouche. Sa langue senfile jusquentre mes fesses. Je crois que cette fois, elle a compris que je veux éjaculer sur son crâne.
- Vas me faire la vaisselle. Désormais, tu seras chez moi à six heures. Tu me prépareras mon déjeuner et tu me réveilleras par une fellation. Ensuite, de sept à huit, ménage, de huit à midi, étude, de treize à dix-sept heures, étude et examen. Si je ne suis pas satisfait, je te punis toujours plus sévèrement. Tant que tu nauras pas compris où se trouve ton intérêt, tu seras sévèrement punie. Voilà, vas-y et en silence.
Elle prit toute la vaisselle et me la fit nettement mieux que moi et dieu sait si jai de lexpérience. La voilà près de moi à étudier, parfaitement concentrée. Sur mon ordi, je termine mon travail avec ces derniers documents parfaitement remplit et sans aucune erreur.
Un peu avant dix-sept heures, je linterroge à nouveau. Et là, oh surprise, pas une erreur, que des bonnes réponses.
- Bravo, pour te récompenser, je te garde pour la nuit.
- Merci Monsieur.
- Vas te doucher, après quoi, tu me ranges tout ça dans le bureau et en ordre.
- Avec plaisir monsieur.
Ma sur devient une parfaite petite soumise. Pire que tout, elle prend beaucoup de plaisir à mobéir, même si elle na pas encore loccasion de prendre son pied, à moins que... Mais ça, ça ne serait tarder.
Mon salon bien ranger, idem pour le bureau, je lui demande de nous faire à souper. Pendant le repas, nous bavardons de son avenir. Quand elle me demande sil ne serait pas possible de travailler avec moi, je ne sais pas pourquoi, mais je ne suis pas surpris.
Puis, dans ma chambre, je la dépose sur mon lit. Aussi longtemps que je peux, je lui fais lamour.
Blottie contre moi, avant que nous nous endormions, elle me raconte comment elle en est venue à vouloir que je la fasse réviser. La connaissant, je sais quelle ne me ment pas. Surtout quand elle me détaille cette toute première fessée comme si cela avait été la révélation du siècle. Surtout quand elle mavoue avoir souvent regretté que je ne lui en administre pas une plus souvent. Cest vrai quà cette époque, je ne lui en avais donné quune seule jusquà avant-hier.
Au matin, mon déjeuner est prêt. Sur mon pénis, une bouche avenante va-et-vient, des mains caresses mon corps, mes couilles. Quand je jouis, elle me lèche encore partout, ne laissant aucune trace de mon éjaculation sur mon ventre. Puis, elle me sert mon repas du matin. Nue, elle sattaque au ménage pendant que je déjeune. Ce que je nai pas encore vu cest ce seau devant la porte du bureau et remplit à ras bord de gravier assez grossier.
Il est huit heures, lheure dun premier interrogatoire. Encore une fois, ma petite sur me donne toutes les bonnes réponses. Cela lui donne droit à une faute de plus au prochain écrit. Et puis, sacré bon sang de bonsoir, ce putain de téléphone qui sonne toujours quand il ne faut pas. Oups, cest notre mère, elle est inquiète de ne pas avoir eu ma sur hier soir. Je lui raconte quelle devait être sortie, après tout, cest normal, à son âge. Rassurée, elle me demande de mes nouvelles. Cest vrai quelle peine encore à comprendre comment on peut travailler depuis son appartement. Sur mes pieds nus, Martine lèche, suce. Sa bouche commence à remonter en direction de mon sexe. Et puis, voyant sa croupe onduler si sensuellement, je ne peux mempêcher de lui claquer son petit cul. Pour donner le change à ma mère au téléphone, je pousse un cri :
- Putain de mouche !
- Ça va ?
- Oui, cétait une mouche sur mon mollet. Elle ne viendra plus magacer.
- Ok, je te laisse, jai encore à faire. Si tu vois Martine, demande-lui de mappeler.
- Je ny manquerais pas, embrasse papa pour moi.
- Bisou, mon fils. À la prochaine.
Ouf, nous étions passés près de la catastrophe. Du coup, jenvoie Martine répéter encore et encore. Je veux, non, jexige quelle passe ses examens dans les dix premiers de sa promotion. Plus elle sera proche de la première place, plus elle sera gâtée. En toute hâte, elle se dirige vers le bureau et se met à étudier avec ferveur. De mon côté, sur mon ordi, je lui prépare un questionnaire. Cette fois, mes questions seront nettement plus pointues. Je men vais le lui donner après diner. Aujourdhui, peu de contrôle de document. Cela me permet de nous préparer un bon diner à la mode de notre mère. Jy mets tout mon cur, jai envie que Martine prenne plaisir à manger. Cela nous rappellera bien des souvenirs de diner en famille. Cette fois, sur la table, je mets le paquet, jolie nappe, belle serviette, mes couverts en argent et de la porcelaine pour les assiettes. Je noublie pas les verres, en cristal, eux. Puis, mes deux bougeoirs et leurs trois bougies chacun.
Midi, jappelle Martine qui découvre mon repas. Sa main glisse sur mes fesses, passe entre elles. Je sens son majeur appuyer sur mon anus.
- Tu es une belle petite
- Salope, pour son frère, quand on laime comme je laime, je suis prête à tout pour quil continue à me donner du plaisir.
- Je vois ça. Dis-moi, petite peste, depuis combien de temps tu te masturbes en pensant à moi ?
- Depuis cette fessée mémorable. Mais depuis que jai mon appartement, je me suis souvent fessée avec ma brosse à cheveu et je jouis à chaque fois parce que je pense très fort à vous, monsieur.
- Sinon, cest bon ?
- Cest presque meilleur que chez maman.
- Content que ça te plaise.
On termina même la bouteille de vin. Cela dit, après ce vin, il y eut comme un souci. Martine et moi étions bien incapables de travailler et encore moins à mémoriser. Sur mon canapé, nous avons baisé comme des porcs. Martine se dévoilant entièrement et sans ne plus rien me cacher de ses talents en matière de sexe. Je ne pensais pas ma sur aussi dégourdie. Ce quelle me fait, aucune de mes ex ne lavait osé, comme de lécher mon cul et même y plonger la langue. Javoue que jadore voir ma sur pratiquer tout ça. Désormais, je ne pourrai plus regarder cette femme comme ma sur, mais comme ma compagne, ma docile petite compagne. Je la crois encore capable de bien plus. Il ne tient quà moi quelle me les fasse découvrir.
Histoire de ne pas perdre trop de temps, après cette bonne séance de baise, jenvoie Martine remplir mon questionnaire. Je lui rappelle quelle a droit à trois fautes, pas une de plus. Pendant que je range la salle à manger, fait la vaisselle, elle bosse comme une acharnée. Le chrono tourne, une heure cest court quand on est stressée comme Martine. Pratiquement toutes les minutes, je lui donne le temps restant. Oui, je cherche à lui faire commettre des erreurs, oui, je cherche à la punir, doù le gravier.
Ma cuisine rangée, je vais voir, toujours en donnant le temps restant. Top, cest terminé. Je récupère ses réponses et mon questionnaire. Ouille, pas fameux. Jen suis déjà à trois fautes et je nai pas encore dépassé la quinzième question. Et pan, à la vingtième, cest fait, il va y avoir une bonne punition. Encore trois de plus et il manque la dernière réponse.
- Tu as fait très fort. Vas sur le balcon à quatre pattes.
Le temps de prendre le seau de gravier. Près de Martine, jen répands une largeur de dix bons centimètres sur une le double en longueur. À genou, je la vois grimacer avec un plaisir certain. Elle me regarde avec un sourire un peu . Pendant quelle souffre, je dispose plein de punaise sur la table basse avec ma cravache et mon martinet. Vous remarquez que je nai pas encore fait usage de la baguette de bambou. Cela dit, cela pourrait changer après la prochaine interro.
Maintenant, toujours sur du gravier, devant ma table basse, Martine voit ce qui lattend, les punaises.
- Penche-toi dessus, jexige que tu poses bien ta poitrine dessus. Si tu ne le faisais pas, je viendrais appuyer en masseyant sur tes épaules. Vas-y vilaine fille.
Je crois que les mots « vilaine fille » ont déclenché quelque chose de nouveau en elle. Quand elle se penche en avant, cest tout lentement, comme pour mieux profiter de ce moment plutôt piquant. De mes mains, je la relève plusieurs fois pur mieux la pencher et appuyer sur son dos. De ma cravache, je lui interdis de se relever. Sur ses fesses, la cravache rougir sa peau. Ainsi, demain, elle ne pourra sassoir. Je frappe fort à très fort, je veux savoir jusquà quel point elle peut encaisser la douleur. Quand elle cherche à échapper, je sais que je ne dois pas frapper plus fort que ce dernier coup. Je la redresse sans le relever. Je masse sa poitrine. Sa bouche cherche la mienne.
- Petite dévergondée, je vois que tu nas pas détesté.
- Comment ne pas aimer ce que Monsieur mon frère me fait subir avant tant damour. Je vous aime et ne veux aucun autre homme que vous.
- Pour ça, ne te fait pas de bile, ne pourront te toucher que ceux que je voudrais. Tu as de superbes seins.
Je masse cette poitrine encore recouverte de punaises tout en lembrassant amoureusement. Puis, comme pour une marguerite, je les retire une à une en les remettant soigneusement dans la boite. Je termine son supplice par une fellation, enfonçant mon pénis aussi loin que je peux dans sa gorge. Je sens même sa luette sur mon pénis.
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