Question De Diplôme 3
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Vu lheure, je renvoie Martine chez elle avec ordre dappeler notre mère. Cela étant, de la voir partir, ça me fait chi
Il se fait tard, une douche plus tard, je suis dans mon lit. Demain, je verrais bien si elle vient à six heures me tailler ma pipe.
Durant la nuit, je me réveille en sursaut. Je ne sais pourquoi, mais je me suis vu planter de longues aiguilles à travers le corps de Martine. Je lai vue , mais aussi, je lai vue jouir. Dans mon bureau, incapable de retrouver le sommeil, je crée un nouvel examen. Il se base sur un travail de première année. Rien que Martine ne pourrait ne pas comprendre. Elle devrait même connaitre ça par cur. En me levant de ma chaise pour me faire un café, je me rends compte quil ne reste plus guère de temps jusquà lexamen. La frangine a tout intérêt à être au top du top si elle ne veut pas subir la punition de sa vie, sans oublier les réprimandes de nos parents.
Le document imprimé, je le pose sur le bureau. Dans mon lit, je repense à tous ces moments si délectables passés avec ma sur. Je sombre vite dans un doux sommeil fait de la présence de cette femme si docile, si merveilleuse, Martine, ma petite sur. Je rêve même quelle vit avec moi, quelle me suce là, comme en ce moment
Hein, déjà six heures ?
- Salut ma petite soumise. Je tai préparé un autre examen. Cette fois, je ne tolère aucune faute. As-tu appelé notre mère
Ne répond quen agitant ta tête. Cest bien.
Un peu plus tard, dans le fond de sa douce bouche, jéjacule tout ce que jai. Putain ce que cela fait du bien de se faire réveiller comme ça. Pendant que je déjeune, Martine range lappartement. Demain, elle naura pas cours, seulement ma lessive et le ménage, mais comme ma domestique. Huit heures, elle se met au travail. Comme à mon habitude, je décompte les minutes à haute voix. De plus, pour encore davantage la faire stresser, jai mis mon minuteur sur le bureau.
Une heure, le temps quelle se fume nerveusement sa clope, je contrôle son travail. Bien, très bien même, juste une petit erreur. Pour une fois, je passe léponge. Maintenant, près de moi, je lui donne de quoi passer tout le reste de la journée, le cul vissé sur sa chaise. Il sagit de réviser toute la nomenclature douanière à limportation et il y en a pour un moment. Elle doit connaitre chaque formulaire, comment les remplir et où les poser quand elle passe en douane. Je veux quelle puisse remplir chacun de ses documents les yeux fermés quils soient pour le transport terrestre, maritime ou par air. Je la vois pousser un ouf en voyant lénorme ouvrage.
- Il est important que tu les connaisses. Plus tard, quand tu travailleras, tu ne les verras pas tous, mais il se peut, comme cela mest déjà arrivé quun de ces papiers tarrive sur ton bureau et tu dois être capable de le traiter juste et rapidement.
- Je vois Monsieur. Je my mets tout de suite.
- Oh, pour demain, vu quon est samedi, ménage, lessive et repassage. Si tu as du linge à laver, profite pour le mettre avec le mien.
- Ce sera fait, Monsieur.
Sur son bureau, elle apprend ce quelle est sensé déjà connaitre. Somme toute, ce nest quune révision de plus. Sauf que pour Martine, cest comme si elle navait jamais vu ces documents. Je sens que je nen ai pas terminé avec ça. Je sens même que cela continuera après ses examens, ne me demandez pas pourquoi, je le sais, cest tout.
Alors, devant lévidente inquiétude de Martine, je la questionne sur ses cours. Là, je deviens presque vert de rage. Martine allait bien au cours, mais pour samuser avec ses amies et senvoyer en lair avec quelques garçons.
- Écoute, là, je ne vais pas te toucher. Je vais aller faire un tour afin de me calmer. Quand je pense que nos vieux se sont saignés aux quatre veines pour toi, jai honte. Désormais, jexige que réussisse dans les trois premiers de ta promotion. À moins, tu risques de ne plus revoir le ciel. Cela dit, première, je te laisse un mois pour ramener tes fesses et tout ce que tu as chez moi. Deuxième ou troisième, je ne te laisse quune semaine.
Je suis sorti prendre lair. Martine sest rendu compte que son aveu mavait mis hors de moi. Ma promenade lui laisse le temps pour bien peser le pour et le contre. Jose espérer quà mon retour, si elle veut son diplôme et travailler avec moi, elle a tout intérêt à cravacher dur.
Deux petites heures plus tard, et quelques bières, je rentre. Je lentends réciter un article du règlement des douanes devant mon miroir. Au fil des heures, sans prêter attention à ma sur daucune manière, je vaque à mes occupations habituelles. Ce nest quen tout fin de journée que Martine me rejoint au salon, un livre et ma baguette de bambou dans les mains. Si elle me pose le livre sur ma table basse, elle me pose le bambou dans mes mains.
- Monsieur, je suis impardonnable. Ce que jai fait ne mérite aucune circonstance atténuante. Je ne veux aucune pitié, aucun pardon. Je vous abandonne tout de moi dès cet instant. Je ferais tout ce que vous me dites, mordonnez et exigerez de moi.
- Ok, on va voir ça tout de suite. Premièrement, tu vas tout raconter à nos parents, sans dire que tu te faisais baiser comme une pute. Ensuite, tu leur expliques que tu viens vivre chez moi pour étudier et enfin, je te prive de toute liberté dagir.
- Merci monsieur, cest tout ce que je mérite.
- Effectivement et je suis encore trop bon avec ma sur, cette petite pute sans honneur.
- Cest ce que je suis, Monsieur mon frère.
- Ah non, plus de frère sortant de ta bouche, espèce de trainée. Tourne-toi, sale pute.
Le bambou dans la main, je marque son cul avec force. Une fois bien bleu, presque noir, jarrête. Ma sur est en larme, la poitrine posée sur le sol. Je labandonne à ses pleurs, jai encore cette violente rage en moi. Des années de perdues à faire des galipettes, résultat, elle ne sait rien de rien du métier quelle veut faire.
Le jour de l'examen, je l'accompagne. Je fais tout pour le mettre en confiance, la détendre un maximum. Elle sait que si elle réussit, je l'engage en tant que collaboratrice, mon boss a donné son accord. Cette fois, c'est moi qui tourne en rond comme une hélice. J'en suis presque à me ronger les ongles d'attendre qu'elle sorte de cette foutue salle d'examen. Je ne vois pas les minutes passés, comme si le temps tournait au ralenti.
Quand elle sort, elle est tout sourire. Elle se dit satisfaite de son travail. Maintenant, il ne reste plus qu'à attendre encore et encore que les examinateurs viennent annoncer les résultats. Dans ce petit bistrot, impossible d'avaler quoi que ce soit, j'ai l'estomac noué. Devant moi, ma sur mange avec un féroce appétit. Je ne crois pas l'avoir jamais vu manger comme ça, ni autant, elle a vidé mon assiette.
Début de l'après-midi, on est devant les tableaux, il n'y encore rien d'afficher. Parfois, tous se lève en voyant arriver une personne portant des papiers, mais non, ce ne sont que de fausses alertes. Quand la porte de la salle s'ouvre, si Martine est particulièrement décontractée, je suis tendu comme la corde d'un arc. Puis, il affiche les résultats et c'est la cohue. Martine parvient à s'enfiler dans le groupe devant les premiers tableaux. Puis, j'entends des cris de joie, des lamentations. Aucune voix n'est celle de ma sur. J'en suis presque à paniquer. Puis, une superbe demoiselle s'approche de moi, elle a un visage illuminé de bonheur.
- Monsieur mon frère, vos cinglantes et délicieuses punitions ont portés leurs fruits, je termine à la seconde place avec une demi-faute.
- Pardon???
- Mademoiselle Alexia Laroche, Mademoiselle Martine Rémi et monsieur Jacques Borloz sont attendu dans la salle ainsi que tous les reçus pour la remise de vos diplômes. Pour les trois premiers, je vous prie de monter directement sur l'estrade, un prix spécial vous sera remis à chacun.
Le doyen venait de parler et je n'en croyais pas mes oreilles.
Maintenant, je sais que ma sur ne me quittera pas de sitôt. Jen suis même persuadé. Elle a trop besoin que je la reprenne en main, que je la discipline pour en faire une femme soumise et docile. Pour de vrai, ce nest pas comme ça que je voyais notre liaison, maintenant si.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!